Théo Et Eva 1/?

Eva : Il faisait nuit, une chaude obscurité d’été, je marchais seule dans la rue
sombre. Le quartier mal famé, ma tenue provoquante, composée d’un chemisier
transparent laissant entre-apercevoir mon soutien-gorge écarlate et d’une haute jupe
rouge collant mon arrière train qui se balançait au rythme de ma démarche vacillante.
Il n’en fallait pas plus. J’entendis des pas. Mon esprit était trop embrumé pour que
je me rende compte du danger m’approchant avec un rire gras.

Théo : Cela faisait déjà depuis quelques minutes que je suivais cette jeune femme au
beau cul qui se dandinait si chaudement. J’avais trop bu et la seule envie que j’eu en
sortant de la soirée était de baiser une bonne chaudasse. Mes pas accélérèrent vers
elle, je n’étais maintenant plus qu’à quelques centimètres d’elle. « Hé bonsoir,
mademoiselle ! » Mon approche quelque peu stupide l’avait au moins stoppée.

Eva : Je m’arrêtais net quand une voix masculine m’interpella. Le souffle chaud de
l’individu effleurait ma nuque. Je me retournai et le vis, grand, basané, les yeux
verts brillant d’ivresse, les cheveux noirs en pétard, le torse aux muscles saillant
sous son t-shirt taché de bière. Je le trouvai bel homme. Sa main effleura mes cheveux
blonds aux boucles incoiffables. Je me sentis bizarrement bien face à lui. Un
gloussement idiot s’échappa de mes lèvres pulpeuses à la courbe d’un rouge sanglant.
J’eu honte de cette preuve de ma beuverie, il était si beau ! J’aurai au moins pu
tenter de le chauffer ou de le charmer pour le foutre dans mon lit ! Mais non il
fallait bien que je glousse comme la conne saoule que j’étais.

Théo : Elle était si belle ! Sa peau blanche luisait sous la lumière du lampadaire à
côté duquel nous nous tenions. J’avais envie de l’embrasser et de la tenir contre moi…
et surtout de la baiser comme la salope que ses yeux révélaient qu’elle était.

« Ça
vous dirait pas de m’accompagner un bout, j’me fais chier et en plus je sais même plus
où j’habite. » Je la fixais mais mes yeux glissaient toujours vers ses seins,
correction, ses GROS seins. Putain c’qu’elle était bonne. Je sentais déjà ma bite
gonfler et mis ma main dessus pour cacher la bosse qui grandissait entre mes jambes.

Eva : Je voyais son regard glisser vers ma poitrine aux extrémités commençant à
saillir. Sa proposition tournait dans ma tête. « Hep. J’vois qu’t’as envie. Moi aussi
chéri ! » Ses pupilles grandirent sous la surprise. Je me rendis soudain compte de mes
paroles. Mes jambes tremblaient, ma culotte commençait sérieusement à se mouiller. Je
ne pus résister à la tentation et glissait une main sous ma jupe, commençant à jouer
avec mon intimité à travers l’étoffe dégoulinante.

Théo : Je n’en croyais pas mes yeux ! La salope était en train de se doigter devant
moi sans aucune gêne… Ma bite avait tellement grossi entre temps qu’elle me faisait
presque mal, il fallait que je jette mon jus sur ses seins. Je lui pris la main et
l’amenai dans une ruelle sombre à quelques mètres d’un bar vide. Je l’attirai contre
moi et lui arrachai son chemisier, ses seins étaient si serrés dans ce soutien-gorge
qu’on aurait presque dit qu’ils voulaient exploser. Je lui léchai le cou tout en
baissant mon pantalon.

Eva : Il avait commencé à se déshabiller. J’observai la grande bosse déformant son
boxer gris. Je voulais son pénis. Un peu de salive glissa au coin de mes lèvres.
J’ôtai son t-shirt après l’avoir repousser. Son corps était encore mieux fait que je
l’imaginais. Je descendis ma main de son cou jusqu’à son bas-ventre. Il frémit quand
je lui touchais l’entre-jambe. Je me penchai en avant. Ma bouche déjà s’entrouvrait,
avide de son sexe dressé qui me semblait incroyablement grand. Je passai ma langue sur
le bout d’étoffe recouvrant mon objectif.
Il retint à peine un grognement viril. Je
n’en pouvais plus, ma vulve gonflée d’envie dégoulinait de cyprine.

Théo : L’inconnue était en train de me lécher le boxer, ça me faisait déjà un effet de
fou. Je la fis se redresser et l’embrassai tout en parcourant son dos nu, mon dieu que
sa peau était douce. Je la voyais frémir de désir, et déplaçai mes mains vers sa
poitrine. Je jetai un coup d’œil : ses tétons me semblaient durs comme du roc. Peu à
peu elle glissa vers mon boxer que de ses mains elle baissa. J’étais désormais nu et
mon pénis saillait dans toute sa grandeur. « Euh, en fait, tu t’appelles comment ? »

Eva : Je ne lui répondis pas. Tout mon esprit était occupé à accepter qu’un truc de
cette taille rentrerait en moi. Je n’arrivai pas à y croire c’était la plus grosse que
j’aie vue !! D’un geste rapide je m’accroupis et approchai ma langue de son engin de
siège. Je me mis à lentement parcourir son gland de ma langue. Sa verge avait un goût
des plus exquis. Puis je tendis mes mains vers sa tige que je mis à branler comme
jamais je ne l’avais osé. Ma bouche recouvrit bientôt son gland que je gobais avec
plaisir. Ses mains se posèrent sur ma tête guidant mon rythme. Il se força plusieurs
fois un passage jusqu’à la paroi de ma gorge. OH PUTAIN J’AIMAIS SA QUEUE !!!!!!

Théo : La salope avait commencé son travail. Ma bite n’avait jamais été si dure que
ça, j’y croyais pas ! Elle me suça pendant je-ne-sais combien de temps, mais en tout
cas c’était vraiment bon. Elle me crachait dessus et me mordillait le gland. Je me
retenus plusieurs fois pour ne pas lui éjaculer dans la gueule, je voulais que le
plaisir dure ! Je la fis se relever doucement et la pris contre moi. Ma bite
s’éclatait contre sa petite culotte, et à mon tour, je la défringuai. Ma bouche se
dirigea vers ses gros seins et j’aspirai ses tétines comme un salopiaud.
Putain de
merde, j’voulais la piner comme un connard. Mes mains prirent la direction de sa
chatte et sans attendre je fis rentrer 2 doigts. Ils glissèrent sans problème, elle
miaula de plaisir.

Eva : Il suçait mes tétons, jouait en des vas et viens exquis dans ma chatte. Que
demander de plus ? Sa virilité dans ma bouche entre mes seins ou dans ma caverne. Peu
importe où. Je le voulais sur et dans moi. Je voulais sentir son sperme dans ma
bouche, glisser dans ma gorge, couler de mon vagin. Je le voulais sa semence. Je
gémissais comme une malade, mes doigts commencèrent des mouvements circulaires sur mon
bouton de plaisir pour faire venir cet orgasme qui me délivrerait de cette
exquise. D’un coup, ce fut le feu-d’artifice, je me mis à trembler et à hurler.

Théo : Comment elle kiffait c’te pute ! Ma bite se tenait à quelques centimètres de
son trou en feu, je me décidai de l’enfoncer. Je mis toute ma force pour rentrer le
plus violemment possible. Elle hurla de bonheur. Mes glissements étaient réguliers,
intenses... J'adorais. Être bourré et baiser, c'était vraiment cool... La jeune femme
transpirait d'excitation et sa chatte mouillait bien. Je lui soufflais des mots à
l'oreille « T'aimes ça grosse chienne, que je te baise comme un roi ? »

Eva : Il me transperçait de son corps. Mes yeux se révulsèrent. J'aimais tellement
ça ! Mon orgasme monta en peu de temps. Je jouis en hurlant, tandis que ses vas-et-
viens se firent plus rapides plus fiévreux. Il jouit en moi. Nous nous effondrâmes
ensembles. Deux loques sur le sol. Au bord de l'inconscience je lui soufflai : « Au
fait mon nom c'est Eva. »

A suivre...

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