Leslie Su 26

Leslie SU26 – Avant de sortir, la fin de la dépression

Je n’ai pas demandé à Pierre de revenir, mais lui, il avait des pulsions et est revenu
me voir deux fois par la suite. Je me suis faite enculée les deux fois comme une reine
et j’en ai pris beaucoup de plaisir, mais ma sortie étant proche, il me fallait passer
un examen de contrôle pour valider ma guérison.

Nous étions le jeudi après-midi, jour où le docteur en chef, une femme en
l’occurrence, effectuait les examens de sortie, Ayant été visité la veille par Pierre,
mon petit cul était encore entrouvert de la sodomie subite.
Je me suis rendue le lendemain matin au cabinet du chef d’établissement à l’heure
prévue.
Sophie, l’assistante du chef d’établissement, une jeune femme d’une vingtaine d’année
et d’une douceur extrême, et avec ce sourire qui sait mettre à l’aise elle me montra
la porte de l’isoloir permettant de se mettre en tenue pour la visite de contrôle.
- Vous vous déshabillez, vous restez en culotte, buste nu, me dit-elle, la
doctoresse vous appellera…

Une fois isolé dans ce petit espace de deux mètres carré, je retirais ma chemise de
nuit, seule pièce autorisée appartenant à l’établissement comme l’avais demandé la
charmante assistante.
En attendant dans ce petit espace, je pensais à ma psy qui m’avait soigné avec une
méthode très particulière, mais efficace, et à Pierre qui avait en un sens lui aussi
contribuer à ma guérison, et soudain, alors que j’étais plongé dans mes réflexions, la
porte de l’isoloir s’ouvrit et une voix féminine me pria de la suivre.
Je demeurais un instant immobile, le temps de sortir de ma rêverie et entrais dans le
cabinet pour découvrir une femme assise à son bureau.
- Asseyez-vous Leslie, me proposa la doctoresse, je suis à vous tout de suite.

Profitant du moment où la doctoresse prenait connaissance de ma fiche de santé, je la
regardais pour la détailler.

Une belle femme d’une quarantaine d’année, elle avait un
visage allongé à la peau mate, les pommettes saillantes, la bouche émincée et finement
soulignée par un rouge à lèvre très tendre. Ses yeux cachés derrière des lunettes aux
montures carrées m’avaient semblé assez foncés, sans que je puisse en définir la
couleur réelle. Ses cheveux d’un noir éclatant étaient retenus en un chignon sévère,
ce qui donnait à son visage un air austère que venait démentir un sourire des plus
séduisant.
- Alors comme cela ma petite nous avons fait une grosse déprime.
- Oui, docteur, dis-je, d’un ton penaud.
- Et maintenant comment vous sentez-vous ?
- En pleine forme.
- Bien, bien, dit-elle.
Elle compulsait ma fiche en y faisant des annotations, puis rajouta :
- Pourriez-vous dire que nous avons pris soin de vous.
- Ohhh, que oui, dis-je, vous avez un personnel des plus compétents.
Je pensais en disant cela à ma psy et à Pierre, si elle savait.
- Bon, mais dites-moi, vous êtres transexuelle ?
- Oui, docteur.
- La vie ne doit pas être facile, dites-moi.
- La vie n’épargne personne, mais nous sommes des êtres disons, un peu plus
exposés.
- Je vois, je vois, bon et bien si vous voulez bien vous étendre sur la table
d’auscultation, nous allons voir cela, me proposa-t-elle en se levant de son fauteuil.

Je remarquais que sa blouse blanche très courte était largement ouverte sur le devant,
à de son pubis et avec un peu de chance je verrais ses dessous. Avec son stéthoscope
autour du cou, elle vint me rejoindre près de la table.
Une fois allongé sur la table d’auscultation, je me m’abandonnais aux attouchements
habituels des visites médicales, elle contrôla ma tension et me regardant elle me dit
:
- Vous avez une très belle poitrine, du très beau travail !
Et elle se mit à me palper les seins, je sentais son parfum épicé et envoûtant, me
laissant aller aux caresses plus qu’aux palpations de la doctoresse, je ne pus
m’empêcher de me demander si elle était nue sous sa blouse.

Pour ce qui était de ma doctoresse qui m’auscultait son corps était parfait, une
poitrine pas volumineuse, mais certainement très ferme, vu le relief de sa blouse à la
hauteur de son torse, et des hanches étroites comme je les aime à saisir à pleines
mains lorsqu’elle pourrait, agenouillée devant moi, m’offrir son orifice secret de son
corps, me laissant de choisir celui dans lequel je pourrais enfoncer mon membre bandé
de désir.

- Eh bien, cela me parait très bien, maintenant je vais vous faire un examen
rectal, baissez votre culotte et pliez les genoux…
La doctoresse enfilait des gants en latex, pendant que je lui offrais mon anus à
l’auscultation. Après s’être enduit consciencieusement les doigts d’une pâte
translucide, elle déposa une importante noisette de cette crème avec laquelle elle
s’était enduite les doigts, sur l’extrémité de son majeur. Puis me dispensant un
sourire qui se voulait rassurant, elle glissa son doigt ainsi lubrifié entre mes
fesses.
Elle le fit lentement naviguer, me massant subtilement l’anus en un effleurement aussi
délicat qu’une caresse.
Comme pour me détendre, elle me dit :
- Vous avez aussi un très joli sexe, ma belle, vous devez faire des jaloux et
des heureuses.
Longuement, faisant preuve d’une étonnante douceur, la doctoresse s’attarda à
frictionner le pourtour de ma corolle anale, rajoutant de cette crème lubrifiante par
moments, et je me suis laissé aller et à m’abandonner aux frôlements si savoureux que
l’habile doctoresse pratiquait à mon orifice anal, éprouvant même un certain plaisir.
- Ça va ? me demanda cette dernière avec un grand sourire.
Ne me laissant pas répliquer, elle rajouta :
- Vous devez avoir l’habitude.

Je perçus le doigt de la femme forcer doucement mon orifice et s’enfoncer lentement,
centimètre par centimètre dans mon cul largement lubrifié.

Bien étendue sur la table d’examens, les jambes repliées et largement écartées, je
sentis le doigt féminin rentrer puis ressortir presque entièrement de mon anus pour
s’y renfoncer aussitôt, et cela à plusieurs reprises.
J’ai pensé que ma belle doctoresse était en train de me branler l’anus, et j’éprouvais
un du plaisir à être fouillé par son doigt si agile.
Mais la nature est faible, mes pensées pour elle et son corps désirable, ses caresses
et sa masturbation de mon anus eurent tôt fait de moi, je fus prise d’une érection et
je me suis mise à bander comme une dingue.

J’exposais mon membre dressé et gonflé de désirs, ce qui fit dire à la doctoresse :
- Eh bien, je pense que cela vous fait un certain effet.
Et avant que je comprenne ce qui m’arrivait, elle referma les doigts de sa main gauche
autour de mon membre bandé, avec douceur mais avec une pression douce et sensuelle.
Un long frisson me parcourut soudain lorsque je sentis la main de l’étrange doctoresse
remuer lentement le long de mon pal de chair dressé, en une masturbation imperceptible
mais pourtant bien réelle, me procurant un plaisir indescriptible.

Sans cesser pour autant de me branler de la main gauche, dans un lent mouvement du
poignet, la sensuelle doctoresse entreprit de sa main libre de défaire les boutons de
sa blouse.
En un rien de temps, elle m’apparue nue, la blouse ouverte sur sa nudité intégrale,
les seins dressés de désir, alors elle me fit me relever et alors que j’étais debout
appuyée à la table, elle glissa à genoux devant moi pour gober mon gland dilaté dans
sa bouche.
Ses lèvres chaudes et humides remplacèrent avantageusement ses doigts le long de ma
hampe charnelle orgueilleusement dressée. C’est un fourreau d’une extrême onctuosité
qui coulissa alors sur toute la longueur de ma verge frémissante, me procurant du
plaisir.
Prise par cette bouche chaude, j’osais alors lancer mon bas-ventre en avant,
jetant avec extase ma queue bandée dans la bouche féminine si moelleuse, tandis qu’un
gémissement de contentement s’échappait de ma gorge.

Encouragée par ma réaction, la sensuelle doctoresse s’appliqua le long de ma verge, me
suçant avec ardeur et satisfaction, sa fellation, tantôt douce, tantôt rapide m’amena
rapidement aux portes de la jouissance. Stoppant par moments le mouvement de ses
lèvres le long de ma queue frémissante, ne gardant en bouche que mon gland dilaté,
elle frappait celui-ci de sa langue, me procurant une rare volupté, avant de le lécher
subtilement.
Puis me sentant m’agiter de plaisir elle prit ma place sur la table, les fesses au
bord afin de me rendre accessible ses orifices, en me disant :
- Maintenant prends-moi Leslie, comme tu le désires, n’ai pas de crainte je
mouille beaucoup !

Je me suis mise entre ses jambes, elle haletait d’impatience, alors je me suis
enfoncée dans sa vulve, la faisant pousser un râle de bonheur.
Son sexe épilé était étroit et je me sentais enserrée dans cet étroit fourreau chaud
et humide, elle était effectivement bien mouillée. Je l’ai pilonnée un long moment la
faisant jouir par deux fois avant qu’un orgasme ne la terrasse et ne la fasse hurler
de plaisir.
Puis je l’ai sodomisée, non sans une certaine difficulté car ma belle doctoresse était
encore plus étroite de ce côté-là, mais elle a adoré, m’avouant après que ce n’était
pas souvent qu’elle offrait son petit anneau.

- Eh bien Leslie, tout est parfait, vous me paraissez en parfaite santé, je vais
signer votre bon de sortie, mais surtout n’hésitez pas à revenir si vous avez des
difficultés, je vous recevrais avec plaisir.

J’ai regagné la cabine ou mes vêtements se trouvaient, une fois habillé je repassais
par l’infirmerie ou Sophie l’infirmière semblait m’attendre :
- Eh bien dites donc, je ne sais pas ce qui s’est passé dans le cabinet, mais la
doctoresse a poussé des hurlements qui ne trompent pas et si vous voulez je veux bien
venir vous faire les soins à domicile.
- Pourquoi pas, répondis-je, ce serait un plaisir de m’abandonner entre vos
mains.
Alors nous avons échangé nos coordonnées et une heure plus tard je sortais de la
maison de retraite, dehors Laure m’attendait.

A suivre…

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