Négociatrice

C’est de la faute à la belle sœur de ma mère. J’avais à peine 15 ans, quand Odile, ma
tante donc me surprend sous la douche quand je me lavais la chatte à ma façon.
Normalement c’était de la masturbation, c’est tellement bon que je prenais des fois
plusieurs douches par jour : j’étais sale entre les jambes. C’est pourquoi au milieu
de l’après midi je suis vue par cette jolie femme.
- Mais que fais-tu ? Tu te branles !
Je devais rougir de m’être faite voir, surtout pas elle pour qui j’avais un plaisir
particulier à bavarder avec elle.
- Sors de là que je t’essuie.
- Je peux le faire seule.
- Pas question, je fais le faire.
Elle m’attend la serviette ouverte. Je me réfugie comme une bête dans son terrier. Un
terrier piégé. Odile commence à essuyer le dos, les fesses, les jambes puis elle passe
sur ma poitrine pas très développée encore avant de venir sur ma chatte. La serviette
tombe : je me retrouve totalement nue.
Elle me conduit par la main vers sa chambre, celle qu’elle occupe quand elle vient à
la maison. Elle me pousse sur le lit où je tombe les jambes écartées. Elle se
précipite pour que je ne les ferme pas : c’est toute sa tête qui me bloque. Surprise
de cette familiarité je la laisse faire. Je participe un peu plus tard quand je sens
sa bouche juste sur ma chatte. Je me demande ce qui lui prend. J’approuve vite quand
sa langue lèche le petit bouton où j’aime me laver.
Je me souviens encore du plaisir qu’elle me donnait. J’éprouvais un orgasme plus fort
que sous la douche. Pendant tout le reste de son séjour elle me faisait à l’identique,
je jouissais toujours. Le second jour il a bien fallu que je lui rende la pareille. Je
trouvais douce sa chatte à ma langue. Sa cyprine entre douce et ambrée était agréable.
J’ai vite su comment la lécher, comment mettre mon doigt dans son con et son cul.


J’étais contente de la faire jouir.
Le temps a passé, j’ai un peu oublié Odile et ses caresses particulière : j’avais un
amoureux qui petit à petit m’a convaincu de faire l’amour avec lui après m’avoir léché
la chatte. Pour ça il était doué. Pour le reste il laissé à désirer. Vers 22 ans, en
fac je rencontrais un homme, un vrai qui me faisait l’amour à la papa : pas
d’inventivité. Plus tard enfin je tombais sur l’homme de ma vie. Nous avons vécu
ensemble presque 2 ans avant de nous unir devant le maire. J’ai eu deux s, un
garçon et une fille.
Puis, comme beaucoup nous avons divorcé à mes torts. Je vis seule, sans mes s
que je vois deux fois par mois. Comme quand j’étais jeune je n’ai jamais abandonné les
plaisirs solitaires améliorés. Je me branle toujours quand je prends ma douche, j’ai
deux godes, un pour devant et l’autre pour le cul. Ce qui me manque est une autre
présence pendant que je jouis.
J’ai rencontré par hasard Laure en prenant un thé. Elle à une certaine allure un peu
masculine dirait certaine, bien faite pour moi. Il ne lui manque qu’un peu de
poitrine. Nous bavardons comme toutes les filles de petits riens. Sans que je m’en
aperçoive sa main s’est posée sur la mienne. Je sentais qu’elle me caressait trop
tard.
Elle me proposait de venir travailler chez elle comme négociatrice d’agent immobilier.
Je cherchais du travail, j’ai accepté aussitôt. Je ne me doutais pas de la suite. Au
début je restais presque toujours à l’agence. C’est elle qui se déplaçait. Il fallait
que je serve mieux. Je l’ai suivi quelques jours, pour apprendre mon métier, qui est
toujours le mien. Elle me spécialise vers le meublé. C’est inimaginable les personne
qui cherche un logement entièrement meublé.
Dès le premier appartement, elle m’a montré les ficelles. Nous étions seules cette
fois là. En passant dans une chambre, elle m’a montré le confort du lit en s’y
couchant.
En tendant ses bras elle m’a faite aussi me coucher près d’elle. Me venait
alors en tête ma tante, j’avais envie d’une femme. J’en avais une près de moi,
j’attendais sans rien faire. Il en allait de ma place.
Laure m’a pris une main, l’a embrassé, puis en se penchant sur moi, m’a embrassé. Je
commençais à être humide. Quand sa langue a le barrage de mes lèvres je l’ai
laissé venir dans ma bouche. Son baiser féminin me rappelait inévitablement ceux de ma
tante. Quand sa main a commencé à explorer ma poitrine je ne me suis pas laissée
faire, j’ai au contraire tendu mes seins vers elle. Elle a réussi à passer sa main
pour contourner mon soutien gorge. J’avais enfin une main autre que le mienne sur ma
poitrine. J’en voulais encore plus sans oser le demander.
Elle m’a faite relever. Cette fois debout toutes les deux, elle m’a embrassée encore
plus profondément. Je sentais son pubis contre le mien. J’avais envie d’elle encore.
Elle m’a mise nue. Je frémissais un peu de la fraicheur de l’appartement, et je dois
le dire des ses mains qui commençaient à parcourir mon corps.
J’osais enfin enlever ses vêtements. Je constatais qu’elle avait une petite poitrine,
petite mais sensible. J’ai su cette dernière chose quand j’ai pu embrasser ses
aréoles. Laure a posé sa main sur ma chatte en entier. Elle devait sentir la mouille
de désir.
Nous nous sommes recouchées. Ma tête est sur son bras, pendant que son autre main me
caresse les seins à sa manière douce. Je sens que mes tétons bandent rapidement. Sa
bouche vient les sucer l’un après l’autre.
Enfin une main descend sur mon ventre. Laure s’arrête un moment, trop long, sur mon
nombril. Elle peigne les poils de mon sexe. Quand elle plonge sur mes lèvres je suis
déjà surexcitée. Elle le sens bien.
- Tu aime te faire branler !
- Oui, et par une femme c’est meilleur.

- Tu te le fais ?
- Souvent, même plusieurs fois pas jour, surtout le soir et sous la douche.
- Tu as eu des amantes ?
- Oui quand j’étais très jeune, ma tante.
- Elle a du t’apprendre des secrets,
- Oui, je ne savais rien à 15 ans.
- Tu te branlais déjà à cet âge.
- Oui.
- Branle-moi.
Pendant que nous parlions elle a déjà commencé à me branler. Je remue pour mieux
sentir sa caresse sur le clitoris. Je sais que si elle continue un instant je vais
partir dans les étoiles ; aussi je fais ce qu’elle demande, je cherche et trouve son
bouton. En écartant ses jambes, elle passe une cuisse sur une des miennes. J’en sens
la chaleur. Je me tends juste avant de jouir. Elle sait que je vais avoir un orgasme.
Elle arrête jusqu’au moment où elle aussi va en avoir un : elle reprend sa caresse
pour que nous partions ensemble.
Nous passons 2 heures à nous aimer. Il y avait tellement de temps que je jouissais
seule. Je n’étais jamais repue.
A l’agence aucun changement, sinon l’embauche d’un négociateur. Notre marché est
demandé aussi nous ne sommes pas encore nombreuses pour les visites. Nous n’avons fait
l’amour qu’une seule fois. J’ai toujours envie d’elle.
Un samedi soir Laure m’invite chez elle. Je me fais belle en me maquillant à peine en
mettant du parfum aux endroits stratégiques : le cou, les seins, le pubis, les
épaules. En m’accueillant elle m’embrasse longuement sur la bouche, chose qu’elle ne
fait jamais à l’agence. Elle aussi a envie. Nous dinons d’un rien. Elle m’embrasse
sans cesse, à tel point que je deviens son jouet. A la fin du repas, je suis à moitié
nue, elle aussi.
Pour nos retrouvailles elle ne manque pas d’imagination. Dès notre coucher, elle me
prend avec sa bouche directement sur la chatte. Puis sur un coup de tête je pense,
elle se met en 69. J’avais oublié le plaisir d’avoir dans ma bouche le gout de cyprine
: je retrouve d’anciens souvenirs.
Je sens bien sa langue passer dans tous les
endroits secrets. Elle va se nicher sur l’anus. Pour moi qui aime la sodomie, c’est
parfait, sauf qu’elle ne peut pas trop entrer : sa langue ne le lui permet pas. Je
rends ce qu’elle me fait ; Je remarque que c’est elle qui mène le jeu comme ma tante
Odile avant. Je ne me plaints pas de mon rôle de passive. Je reçois plus que je donne.
Puis quand elle lèche le clitoris elle égare un doigt vers mon cul. Je fais ce que je
peux pour l’ouvrir encore. Son doigt est entier dans mon anus. La position en 69 me
permet aussi d’enfiler un doigt dans son cul. Elle ne connaissait pas encore cette
forme de plaisir. Je suis contente de lui avoir appris quelque chose.
Nous finissons vite la première partie en nous branlant l’une devant l’autre. C’est la
première fois que je vois une femme de masturber. Je trouve adorable une femme qui se
donne du plaisir.
Nous nous levons pour simplement faire pipi. Je la regarde faire, j’aime voir son jet
couler dans la cuvette des WC. Elle aussi me regarde faire. Nous nous lavons vite fait
sur le bidet. L’occasion de bien voir encore nos sexes.
A nouveau couchées, nous reprenons nos enlacements. Laure m’ « impose » encore un 69.
Je commence à aimer sa cyprine. Elle insiste cette fois dans le vagin. Je serre les
muscles correspondants pour mieux la sentir. Je commence par lui en faire autant quand
ma langue change de lieux. Je vais encore sur son cul. Son con se contentera de mes
doigts puisque je lui en mets trois d’un seul coup. Elle gémit comme je ne l’avais
encore jamais entendu.
Je lui demande si elle a des godes, j’ai envie de la baiser « normalement ». Oui, elle
a ce qu’il faut. Je cherche après l’avoir faite jouir dans son armoire. Je trouve deux
machins en verre plein de bosses. Je vais m’en servir aussitôt.
J’en prends un à pleine main, je le fait passer sur son clitoris. Elle remue de
plaisir, ensuite je le lui mets profondément dans le vagin, je le ressors avant de
recommencer très lentement, trop sans doute puisqu’elle pousse son ventre vers ma
main.
- Oui, baises moi comme ça, j’aime, tu es la première à me baiser aussi bien.
- Tu veux que je t’encule avec l’autre.
- Oui, encules moi aussi.
J’entre l’autre très doucement dans l’anus qui s’écarte lentement. La forme du gode
permet au sphincter du cul de se refermer en parti avant de s’ouvrir à nouveau. Ce
n’est plus une plainte, c’est une forme de mélopée dédié aux dieux de l’amour. En
levrette comme elle est mise, je peux la dominer pour la première fois. Je me glisse
sous elle pour lui donner ma chatte. Là, elle commence à me caresser le bouton avant
de mettre deux seuls doigts, un dans le con et l’autre dans le cul. Elle va et vient
dans le ventre. Je jouis deux fois rien qu’avec ses deux doigts. Je sens qu’elle jouit
avec ses cris de bête qu’on égorge. Je sors doucement les deux godes, elle les veut
pour les lécher l’un et l’autre.
Nous nous embrassons une dernière fois avant de sombrer dans les bras de Morphée. Le
lendemain je suis réveillée par une bonne odeur de café. Je déjeune au lit, elle à mes
coté qui me parle :
- Tu sais, si tu veux, tu peux venir habiter ici avec moi. Nous baiserons souvent et
pouvons travailler ensemble. Personne ne doit se douter de notre relation, surtout à
l’agence où tu travailleras autant sinon plus que les autres. Mais le soir, les nuits,
nous ferons ce que nous aimons. Nous pourrons même participer à des soirées spéciales
où je suis invitée. Tu pourras baiser des hommes comme tu veux, surtout de faire
enculer puisque tu aimes de faire mettre par là. Moi je n’aime baiser qu’avec les
femmes, même si j’ai des godes à la maison.
Voilà pourquoi je ne vis plus seule.

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