La Tante Iniciatrice

L’immense parc abrite sa maison, celle de la tante. L’été est là depuis quelques jours, les vacances aussi. La tante âgée d’à peine 30 ans, accueille les deux jumeaux. On les appelle ainsi bien qu’ils soient cousins. Ils sont nés le même jour. La cousine, Julie, est des plus ouverte à l’amour. Ses 18 ans ne le montre pas, elle adorer jouir. Elle s’est déjà donnée à sa tante, l’autre année. Ce qu’elle préférait était d’avoir la langue dans le vagin quand elle avait un doigt dans l’anus. Elle rendait la même chose ou presque à sa tante.
L’autre, le cousin, Arthur, pas encore très au courant des plaisirs divers acceptait que la tante le branle, le suce. Pour lui baiser une femme est compliquée. Il préfère jouer avec un autre garçon. Il aime bien lécher une queue pour qu’elle dégorge entre ses lèvres. La seule fois qu’il a sucé le sexe tout mouillé de la tante l’a dégouté.
Les vacances commencent sur l’envie de prendre le maximum d’orgasme de la part de la tante. A son âge c’est normal, d’autant plus que son amant l’a quitté pour non pas une femme, mais pour un amant bien muni qui la lui met souvent dans le cul. Elle les a vus une fois. Ils étaient presque nus, à deux pas l’un de l’autre. C’est le jeune qui s’est approché de l’autre. Il l’a embrassé sur la bouche, en se mettant contre lui. Elle pouvait voir les deux pines presque se toucher. Le premier tenait l’autre par les fesses. Il passait sa main dans la raie, cherchant le petit trou. Ce début de jeu excitait tellement la tante qu’elle ne pouvait s’empêcher de se masturber. Le giton faisait pencher en avant l’amant qui obéissait. Le cul enduit de salive, permettait l’introduction d’une queue grosse à souhait. La bite entrait presqu’à fond dans les boyaux. L’enculé bandait joyeusement, sa queue ayant des mouvements instinctifs vers le haut. Elle venait dans la main droite de l’enculeur qui la branlait de haut en bas. La tante pouvait voir le prépuce descendre et remonter dans la main.

Les deux hommes prenaient leur plaisir sans elle. Le sperme de l’enculé partait en grands jets vers le sol.
L’heure de la sieste favorise les plans de la tante. Elle attire les jumeaux dans sa chambre. Là, elle caresse par-dessus la braguette la queue de son neveu. Même s’il aime les hommes, il se laisse faire. Bander est toujours agréable même si l’orgasme n’est pas à l’arrivée. Arthur regarde sa queue sortie. La main de la tante est dessus. Julie regarde intéressée par la bite devenue énorme. Elle est assise sur le lit, contre son cousin. Assise.de l’autre coté la tante prend la pine pour la branler. Même excitée de voir la main aller et venir autours de la queue, même si sa chatte est toute mouillée, plein du désir de se faire mettre, elle laisse faire.
Julie accepte que la bouche de la tante vienne sur la sienne. Leurs langues jouent longuement. Quand la main de la tante prend la sienne pour la remplacer, elle se laisse faire. A son tour, elle fait aller et venir lentement sa main sur la queue. Le prépuce découvre le gland avant de le recouvrir.
Même si Arthur préfère les queues il se dévoue pour à son tour branler sa cousine. Un peu flattée, elle se laisse aller au plaisir. Les doigts glissent dans la chatte, entrent à peine dans le vagin.
La tante ajoute au plaisir en embrassant les seins de la fille. Son autre main passe à son tour dans les compas des jambes vers le bas. Elle commence à caresser l’anus. Il s’ouvre lentement pour qu’il puisse être pénétré.
Si le gland lâche une bonne dose de liqueur, le con est lui aussi près à livrer une quantité inégalée de cyprine.
Tout ce lâcher de liquides intimes donne l’envie de les lécher. En premier la tante commence à prendre dans la bouche la queue encore palpitante de l’orgasme. Le sperme restant est avalé, elle presse la pine pour en extraire encore du jus. Julie attend aussi que la bouche libère la bite pour s’occuper d’elle.
La bouche s’ouvre comme pour la manger.
Les dents sont sorties pour lui mordre le bouton. Julie s’étend, donnant tout son sexe. La tante en profite pour s’étendre contre la nièce. Cette position en 69 n’est pas nouvelle. Les deux femelles aiment se gougnotter. A défaut d’embrasser la bouche, elles se contentent de lécher les autres lèvres. La cyprine coule dans les bouches ; les langues s’imprègnent de l’autre.
Arthur regarde les deux femmes se donner du bonheur. Il en veut encore. Décidément ordinatrice des distractions ; la tante en continuant de lécher sa nièce prend la queue qui s’est dressée dans la main. Elle l’oblige à lui prendre le con dans la bouche, donne le sien toujours à sa nièce qui encouragée suce la bite de son cousin. Ce drôle de trio va loin quand il jouit.
Les deux filles aiment sucer cette bite qui sent l’urine, ingrédient d’une bonne fellation. L’éjaculation ne met pas fin à leur amours particulières, pas au désir de jouir encore. Les deux nanas se livrent l’une à l’autre. Les mains entourent les fesses, les langues passent le long des fentes. C’est Julie qui passe des doigts sur le cul de sa tante, y entre facilement pour la faire encore jouir. Elle aussi se laisse aller quand la langue de la tante est dans la profondeur de son con.
La tante est satisfaite d’avoir appris à ses deux neveux et nièces ce qu’est le véritable but de la baise.

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