Auto Psychanalyse D'Une Trav Soumise

Bonjour, je me présente : Aurélia 24 ans , trav hormonée depuis l’âge de 18ans. Je
suis grande 1.88, mince 72kg, poitrine naturelle 90B, cheveux châtain mi long, visage
fin, yeux noisettes , taille de guêpe et jolies fesses rondes !
Je vais vous conter les faits marquants de la période de mon enfance et de mon
adolescence à la demande de mon psy afin d’essayer de comprendre comment je suis
devenue une transsexuelle soumise et fétichiste de sous vêtements féminins.
J’ai eu une enfance très protégée et fut chouchouté(e) par ma mère et mes 4 grandes
sœurs, étant le seul garçon et le dernier de la famille.

Mon père étant la plus part du temps absent, j’ai vécu toute mon enfance dans un
univers exclusivement féminin parmi lequel je me trouvais très bien.
A l’école j’étais déjà considéré comme efféminé dès le primaire et préférais la
compagnie des filles à celles des garçons.

Bien sûr mes grandes sœurs ne manquaient pas de s’amuser à me déguiser en fille depuis
tout(e) petit(e) régulièrement et s’amusaient à m’appeler Aurélia au lieu de mon vrai
prénom Aurélien.
Ma mère s’en offusquait parfois lorsqu’elle me surprenait ainsi accoutrée en petite
fille et je recevais une grosse fessée devant mes sœurs. La pauvre, elle qui avait
tellement voulu avoir un garçon !

Un jour de vacances, je devais avoir 7 ans et elle rentra du travail et me surprit une
nouvelle fois habillée en fille jouant avec mes sœurs à la marelle !
A ma surprise elle ne me disputa pas cette fois ci, elle me fixa longuement sans rien
dire puis me dis en souriant de continuer de jouer avec mes sœurs et que j’étais très
jolie avec ma petite robe ! Après avoir fini de jouer elle nous envoya nous laver
avant de manger et aller nous coucher.

Lorsque je demandai mon pyjama que je ne retrouvais pas, ma mère me tendit une petite
culotte et une jolie nuisette rose en satin, en me disant d’un ton autoritaire : «
enfile çà : puisque tu aimes tant t’habiller en fille.

»
J’étais honteux et n’osais pas soutenir le regard de ma mère qui s’impatientait déjà.

Allons dépêches -toi, ne fais pas ta chochotte : mets ta petite culotte et ta nuisette
et va vite te coucher, tu resteras en fille pendant toutes les vacances jusqu’à ce que
ton père revienne mais tu ne devras jamais lui en parler sinon je lui dirais que tu
adores t’habiller en fille, tu sais qu’il sera très en colère et que ses fessées font
horriblement mal … J’ai dit à tes sœurs de t’appeler Aurélia toute la semaine donc
pas la peine de t’en offusquer, de toute façon elle t’appelle déjà souvent comme çà
et tu ne dis rien !
Je passai donc toute la semaine en fille à la maison et sortais même avec mes sœurs
qui me présentaient à leurs amies comme leur petite cousine ! Je ne fus pas épargné
par les moqueries de mes sœurs qui s’amusaient beaucoup de ma nouvelle identité.

Je crois que le plan secret de ma mère était qu’elle voulait me dégouter de ces jeux
de travestissement et elle m’imposa de nombreuses taches ménagères fastidieuses,
m’humiliant et me corrigeant en me donnant des fessées devant mes autres sœurs lorsque
je ne les effectuais pas bien : « alors tu voulais être une fille n’est ce pas ?!
Je vais t’apprendre petite tapette ».

C’était la première fois que j’entendais ce mot et j’eu encore plus honte quand ma
sœur m’expliqua que çà voulait dire pd efféminé !).
Mes sœurs, elles se délectaient de la situation et prenaient grand plaisir à me faire
essayer des tenues sexy et à me maquiller outrageusement pour une ‘’fille ‘’ de mon
âge.

Une de mes sœurs fit une remarque à mon autre sœur qui me maquillait : « tu l’as trop
maquillée, çà fait vulgaire et ce rouge à lèvres lui donne l’air d’une petite putain
là ! » Je rougissais en entendant leurs propos cyniques et humiliants.
Ma sœur rétorqua : « c’est vrai mais çà lui va pas mal finalement, çà lui donne un
petit air coquin tu ne trouves pas ? ! » « Oui et cette mini jupe mets bien en valeur
son un joli petit cul en plus !!! »
Elles me regardèrent et elles éclatèrent toutes de rire !

Mais au lieu de me dégouter comme elles le pensaient c’était tout l’inverse qui se
produisit, j’adorais qu’elles m’habillent en jolie petite fille, le contact du satin,
de la soie et tous ces tissus colorés et délicats me troublaient irrésistiblement.

J’adorais que mes sœurs coiffe mes cheveux longs et bouclés, me maquille, je prenais
même plaisir à devenir la petite boniche de ma mère et de mes sœurs qui inconsciemment
se vengeaient sur moi d’avoir été le seul garçon et dernier chouchou de mon
père.

Ma grande sœur la plus proche ( 2 ans d’écart) était très complice et ne tarda pas à
exercer une grande autorité sur moi, j’en étais amoureux depuis l’âge de six ans et
elle profita de ma vénération pour elle pour m’asservir.
Elle me fit signer un contrat en secret comme quoi j’étais son esclave et que je
devais obéir à tous ses ordres, ranger sa chambre, faire son lit tous les jours et
qu’en échange elle me permettrait de porter ses petites culottes en cachette…

A l’âge de douze ans (j’en avais 10) elle me demanda une nuit de venir dormir avec
elle alors que nos parents nous avaient laissé seul pour le week- end.
Elle se dénuda, ôtant sa petite culotte qu’elle me fit sentir en me demandant si
j’aimais l’odeur de sa chatte ! J’étais terriblement gêné et honteux mais elle reposa
la question et n’osant pas lui dire non je répondis un petit ‘’oui ’’ timide et
étouffé.

Elle s’allongea alors sur le dos et me demanda de commencer à lui lécher les pieds,
je lui obéis, puis elle me demanda de lécher et d’embrasser ses jambes, guidant tout
doucement ma tête de sa main appuyée vers l’intérieur de ses cuisses impudiquement
écartées.
Je voyais sa petite chatte humide quasi imberbe se rapprocher de plus en plus puis
elle me mit carrément ma bouche sur son petit clito en me tirant par les cheveux et
dis d’un ton autoritaire : « vas y lèche doucement esclave ! »
Je tentai de refuser mais elle m’infligea une sévère gifle en travers de la figure en
me disant « tu aimerais surement que je raconte à Papa que tu adores porter mes
petites culottes en cachette, as-tu oublié le contrat que tu as signé ?! » Je ne pus
rien objecter à cela et me soumis dès lors à tous ses désirs.


Je commençai à la lécher doucement avec dégout au début mais je fus aussi très vite
gagné par l’excitation car elle semblait apprécier beaucoup mon cunnilingus, se
trémoussant de plus en plus sur ma langue, appuyant ma tête et ma langue fortement
contre sa petite chatte humide et chaude.
Elle m’ordonna de lécher sa fente et d’introduire le bout de ma langue dans sa petite
chatte, elle était de plus en plus excitée et je sentais son odeur délicieuse et son
nectar remplir ma bouche, j’étais alors comme ivre de sensations et elle remarqua que
j’étais en érection.

Elle se moqua de mon tout petit pénis de garçonnet et me dis de continuer de bien la
lécher et de lécher aussi son cul, je ne voulais pas mais elle me rappela la menace de
révéler à mon père mon goût immodéré pour les vêtements féminins et mon contrat
d’esclave.
Elle commença à se doigter pendant que lui léchais la rosette et fini par jouir
violement, appuyant ma bouche très fort contre son clito au moment de l’extase.

Elle me dit d’aller nettoyer mon visage souillé et que dorénavant je devrais lui
lécher la chatte et le cul dès qu’elle en éprouverait l’envie.
Ces jeux de soumission continuèrent régulièrement pendant deux ans jusqu’à ce qu’elle
commence à fréquenter des garçons et mit fin à cette relation ueuse avec moi à
mon immense regret.

Elle ne se privait d’ailleurs pas de ramener ses petits copains en cachette avec
lesquels elle baisait bruyamment dans sa chambre contigüe à la mienne pendant que mes
parents étaient absents.
J’étais très excité de l’entendre se faire baiser ainsi par des mecs plus âgés
qu’elle ( 19 -25 ans ; elle avait 14-15 ans alors) et je commençais ma première
masturbation de ma vie, les oreilles collées au mur pour mieux entendre les
craquements du lit, les cris de plaisirs et de douleur de ma trainée de grande sœur.


J’étais secrètement très jaloux et frustré de ne plus pouvoir donner du plaisir à ma
grande sœur et surtout j’étais devenu accro à l’odeur de sa chatte et de son cul,
aussi je subtilisais en cachette ses petites culottes sales que je reniflais et
portais tout en me masturbant pendant que ma sœur se faisait bien baiser comme une
petite salope, à coté dans sa chambre par un de ses nouveaux mecs.
Elle me surprit un jour entrain de me masturber pathétiquement derrière la porte alors
que je pensais qu’elle et son copain n’avaient pas encore fini de baiser. Elle était
très contrariée, me gifla et se moqua de moi devant son copain, me traitant de petit
pervers et en lui racontant que j’étais une vraie petite tapette qui adore porter de
la lingerie en cachette !
Son copain éclata de rire et me dis « c’est vrai çà ? Montre-moi ! » J’aurais voulu
fuir à toutes enjambées mais ma sœur me tenait déjà par les cheveux et m’ordonna «
Baisse ton pantalon et montre lui sinon je raconte aux parents que tu portes mes
culottes et mes strings en cachette ! »

Je m’exécutai alors et mort de honte je dévoilai mon secret devant son copain qui
sourit et me dis : « Tourne-toi ! hmm elle est très mignonne avec ce petit string
rose, un vrai cul de fillette ! »
Ma sœur pouffa de rire et lui dit : « arrêtes sinon je vais finir par croire que t’as
envie de te taper mon petit frère », il répondit du tac o tac « ta petite sœur tu
veux dire ?! Moi je ne vois qu’une jolie petite fille ici ! »

Et ma sœur abonda dans sons sens : « Je crois que t’as raison, en plus même pour son
âge il a un pénis vraiment microscopique ! Je ne te mens pas, allez montres- lui !»
Comme je rechignai encore, elle me donna encore une violente gifle et je baissai
honteusement mon string exhibant mon micro pénis devant son copain qui éclata encore
de rire !
« Il est ou ? çà ?! Même mon petit frère de 4 ans en a une dix fois plus grosse que
la tienne! Ce n’est même pas un zizi mais juste un petit clito ! » Ma sœur était
morte de rire bien sûr…

Et la discussion sur mon cas pathétique s’éternisait, j’étais mortifié(e) de honte et
espérait qu’ils me libèrent enfin pour j’aille pleurer en cachette mais ils
continuaient à deviser inlassablement sur mon compte.
« J’ai vu un reportage l’autre jour sur les transsexuelles, je crois que ta petite «
sœur » en est une, tu devrais en parler à ta mère et lui faire voire un psy, çà
serait peut être préférable qu’elle change de sexe et devienne une vraie femme avant
la puberté »

Ma sœur avait l’air d’acquiescer à tout ce qu’il disait et ajouta « ouai, moi aussi
je l’ai vu le reportage et j’ai pensé à mon petit frère direct, en plus il n’a encore
que 13ans c’est le bon âge, avec des hormones et une vaginoplastie il pourra devenir
une très jolie fille et plus personne ne l’embêtera plus à l’école sur le fait qu’il
ou elle est efféminée puisqu’elle sera alors devenue une vraie fille ! »

Au collège je n’arrivai pas à masquer mon coté efféminé, j’étais mince, visage fin,
totalement imberbe, cheveux mi longs, taille fine cambrée et fesses rondes.
Même habillé en garçon ma gestuelle et ma démarche trahissaient indubitablement ma
féminité.

Il n’était pas rare qu’un professeur m’appelle Mademoiselle par inadvertance
provoquant l’hilarité de toute la classe ! Même le prof de sport disait que je
marchais et courrais comme une fille !
Je finis par regretter amèrement de ne pas en être une vraiment ; au moins personne ne
m’embêterait quant à mon identité sexuelle comme à présent.

J’étais souvent amoureux de filles et même si certaines semblaient s’intéresser à moi
aucune ne voulaient sortir avec « la tapette du collège » ou me considéraient plutôt
comme une bonne copine !
Plus j’essayais de ressembler aux autres garçons, plus on me rappelait que je n’en
étais pas un vrai mais plutôt une fille manquée.

Puis au Lycée je fus obligé d’aller en Internat car celui-ci était assez éloigné de
notre ville de résidence. J’appréhendais avec crainte ma nouvelle vie en internat
parmi un univers masculin auquel je n’étais pas habitué.

Cependant j’espérais que ce changement d’établissement me permettrait de me construire
une autre image de moi auprès de mes camarades, malheureusement d’anciens élèves de
mon collège se chargèrent de faire suivre ma réputation.
Et en moins d’une semaine j’étais déjà catalogué comme la tapette du Lycée, et on ne
tarda pas à m’affubler du surnom de Lopette.

Les garçons de ma classe prenaient malin plaisir à faire des commentaires salaces à
très haute voix sur moi pour m’humilier devant les autres filles : « Alors ma chérie
t’as mis ton string aujourd’hui ? Ou alors « je t’attends dans les chiottes pour
venir me sucer petite salope et prépare aussi tes petites fesses, j’ai envie de baiser
grave !
Alors toute l’assistance de filles et de garçons explosaient de rire gras et moi je
fuyais honteux (se), les larmes aux yeux.
Lorsque j’entrais dans la douche collective de l’internat j’étais terrorisé(e), on se
moquait à chaque fois de ma silhouette féminine, de mes fesses de filles et de mon
tout petit pénis que les garçons appelaient clito !

D’ailleurs mon surnom de Lopette fût changé au bout d’une semaine pour celui de «
Clito », ce qui ne manquait pas de faire tordre de rire les filles lorsqu’on leur
expliquait la raison de ce surnom !
Malheureusement, je sentais que cette stigmatisation commençait à me mettre en vrai
danger car on ne se contentait plus de m’humilier verbalement mais aussi par des
gestes obscènes : main au cul devant tout le monde ou l’on s’amusait à m’enlacer comme
une fille par derrière et mimer l’acte sexuel sur moi et le pire c’est que je
commençais à être troublé lorsque je sentais l’érection du garçon qui se frottait
contre mes fesses.

Je commençai alors à avoir mes premiers fantasmes homos et à me masturber en rêvant
secrètement de sucer et de me faire baiser comme une petite salope par un ou
plusieurs mecs. Après avoir jouis honteusement j’essayais de me persuader que ce
n’était qu’un fantasme et que jamais je ne passerais à l’acte avec un mec.
Mes fantasmes allaient malheureusement se réaliser bien plus vite que je ne l’aurais
imaginé…

Alors que je m’apprêtais à sortir de la douche à l’internat un soir, je fus
violement agrippé par deux mecs : « bah alors ma chérie, sois pas pressée comme çà,
tu vas pas nous laisser dans cet état là quand même ? » et là je vois avec stupeur que
les deux mecs sont tout nus et en pleine érection, je tentai de me débattre mais étant
bien plus musclés que moi ils me maitrisèrent sans mal et l’un d’eux se frottait déjà
à mes fesses alors que l’autre essayait de guider ma main vers son sexe tendu.
J’essayai de crier au secours mais le mec devant moi m’envoya un grand coup de genoux
dans le ventre et je m’écroulai à genoux le souffle coupé ; au lieu de m’aider il
m’infligea une grosse claque et me dis « bon maintenant que t’es à genoux, tu vas
nous sucer petite chienne ou on te défonce ta jolie petite frimousse de gonzesse et
après on t’encule à sec ! »
Vaincu(e) je n’osai pas croiser le regard du mec qui introduisait déjà sa grosse queue
dans ma bouche mi ouverte. « hmmm ouai vas y suce bien petite pute !
L’autre mec, un grand black baraqué en terminale sport étude guidait ma tête avec sa
main en me pressant puissamment afin que j’avale toute la queue de son copain puis me
fis faire des va et viens comme une grosse cochonne et tous les deux m’encourageaient
en me disant de sucer à fond sinon ils me frapperaient encore.

Le mec commença alors à littéralement me baiser dans ma bouche en me traitant de
petite pute et je senti au bout de quelques minutes le goût âcre de son sperme qu’il
déversait par gros jets saccadés dans ma bouche alors qu’il éjaculait violemment et
qu’il pressait ma tête afin de me forcer à avaler toute sa semence jusqu’à la
dernière goutte.
J’avais des hauts le cœur et tentais de me soustraire de son emprise mais lui et son
pote maintenait inlassablement leur pression puissante sur ma tête puis il sorti
enfin sa queue qu’il tapota et frappa sur mes deux joues en rigolant. J’étais mort(e)
de honte et il dît à son pote black tu peux y aller elle suce super bien cette petite
salope pour une débutante !
Son pote me tira alors par les cheveux et me dît de me rincer mon visage vite fait,
j’obéissais alors sans résister, apercevant qu’il y avait un troisième mec la queue à
l’air qui tenait la porte des douches fermées afin que personne ne puisse venir les
déranger et que je ne puisse pas m’échapper.
Nos regards se croisèrent furtivement alors que la grosse bite du black pénétrait déjà
lentement dans ma bouche.
Elle était vraiment énorme et j’avais du mal à l’avaler ; les deux autres mecs
rigolaient devant ce spectacle ; encourageant leur pote « vas y met lui tout au fond
de la gorge à cette petite chienne ! » et le black répondit quelque chose qui me glaça
le sang « ouai t’inquiète ! je vais lui mettre bien profond à cette petite lope et
après je lui ferais la même dans son cul ! »
Et son pote d’ajouter « Comment elle va se faire défoncer le cul la petite pucelle !
» et là tous les trois se marrent encore pendant que le black me force à l’astiquer de
plus en plus fort.

Puis d’un seul coup il retira sa grosse queue noire de ma bouche et me dis « bon çà
suffit petite gourmande ! j’ai trop envie de baiser ton petit cul de gonzesse : « à
quatre pattes chienne ! Ou je t’explose la tronche! »
Je me mis à quatre pattes tout en le suppliant de ne me laisser partir mais il me dît
simplement « fermes ta gueule et ouvres bien grand ta petite chatte !!! »

Celui qui avait déjà éjaculé dans ma bouche alla prendre la place du troisième qui
surveillait la porte des douches et celui-ci vint se mettre à genoux devant ma bouche
pour que je le suce pendant que le black commençait à frotter doucement son énorme
sexe entre la raie de mes fesses, caressant mon petit trou avec son gros gland. Il
dît aux autres « elle a vraiment un petit cul de salope et même pas un poil sur les
jambes ni sur la chatte !

Puis je senti ses deux mains agripper fermement mes hanches et sa queue qui
commençait à forcer l’entrée de mon anus, je tentais de hurler mais son pote inséra sa
queue encore plus profond dans ma bouche jusqu’à la gorge de manière à ce que je ne
puisse plus crier.
L’énorme gland du black fini enfin par me pénétrer complètement et c’est presque
avec soulagement que je sentais maintenant sa grosse queue me remplir petit à petit
et ses mains qui s’agrippaient fermement à mes hanches tout en me donnant par
intermittence d’énormes claques sur mes fesses.

Il fut bientôt totalement en moi et commença à me limer doucement comme si j’étais sa
copine.
Le pire c’est que mon esprit hurlait non ( je ne pouvais plus crier et on ne parle pas
la bouche pleine c’est mal élevé !) mais mon corps commençait à dire oui et je me
laissais envahir par une indécente volupté et j’entendis soudain le black s’écrier «
mais c’est qu’elle aime çà on dirait la petite pute !
Regardez moi comment elle bouge son petit cul la chienne » « hein que t’aimes çà
petite garce ?!
Dis le moi je veux l’entendre de ta bouche de catin » et m’envoyant une énorme claque
sur les fesses et une série de coups de reins brutale « allez parle salope dis le que
t’aime ma grosse queue de black dans ton petit cul de salope! et je me résignai à
répéter honteusement tout en gémissant « aaaannn ! oui j’aime ta grosse queue de
black dans mon petit cul de salope ! »

En entendant ces mots le mec que je suçais commença à me baiser la bouche sans
ménagement et éjacula dans ma bouche puis sur mon visage avec mépris.

Je ne m’en préoccupais même plus, j’étais tellement absorbé par cette grosse queue qui
baisait rageusement mon petit cul et maintenant totalement brisée, conquise, soumise,
chienne lubrique possédée par ce mec qui me baisait avec tant de fougue.
J’accentuais même le mouvement de son va et vient pour me laisser mieux pénétrer par
cette grosse queue, je cambrais mes reins au maximum pour mieux m’empaler et il me
tira alors en arrière m’intimant l’ordre de faire moi-même le va et viens sur sa
grosse queue comme une bonne petite pute !

Je ne parvenais plus à dissimuler le plaisir indécent et l’excitation qui
m’envahissaient, sentant ses deux mains qui saisissaient fermement mes petites fesses
et mes hanches pendant que son sexe énorme allait toujours plus profond en moi,
sentant ses couilles frapper mon cul avec force et mes fesses claquer en rythme !
Je ne me souciais même plus du regard incrédule des autres mecs et de leurs
commentaires : « Quelle pute ! Une vrai chienne ma parole, elle attendait que çà la
petite salope ! on va bien s’amuser avec cette petite lope pendant toute l’année aaaah
!!! »
Alors que je commençais à m’épuiser dans cette position inconfortable et le black me
remit bien en levrette et commença alors non plus à me baiser comme sa copine mais à
me défoncer le cul comme une vulgaire putain, j’avais horriblement mal à chaque
violent coup de rein qui malmenait mon petit trou étroit de petite pucelle !
Un des mecs me mit son slip dans la bouche pour mes cris.

Enfin après m’avoir ramoné comme une pute pendant une durée qui me parut une éternité
je sentis alors les mouvements de reins s’accélérer et se saccader avec une violence
inouïe, ses mains se crisper sur mes hanches, je criais dans mon bâillon avec rage
mais aucun son ne sortait et je sentis soudain un flot de sperme chaud se répandre en
moi et j’entendais les râles de plaisir de mon amant mêlés à des mots salaces « hmmm
c’est booon, j’adore ton petit cul de pucelle, aaaah t’es trop booonne pétasse ! » Il
se retira enfin mais me força à le sucer encore pour bien nettoyer sa grosse queue
encore pleine de sperme.

Puis il me dit : « c’est bien petite cochonne, j’adore les petites femelles soumises
! » et se retira enfin de ma bouche me laissant par terre complètement souillée et
humiliée ; les fesses et la bouche endolories et dégoulinantes de sperme.
Le black me regarda avec condescendance et me demanda : « alors heureuse ?!

Et ne me dis pas que t’as pas kiffé salope, on a tous vu comment tu te déhanchais
comme une petite pute pendant que tu te faisais baiser par ma grosse queue dans ta
chatte et celle de mes potes dans ta bouche de putain ! »
L’autre mec rajouta : « à partir de maintenant t’es notre chienne et tu ne devras
plus porter que des sous vêtements féminins hyper sexy, si tu ne veux pas que l’on
raconte à tout le monde comment tu kiffes te faire prendre par derrière par des
grosses queues de black et sucer comme une pute ! Compris pétasse ?! Et t’as intérêt
à la fermer et pas te plaindre au directeur sinon t’es morte !

Je ne répondis pas, tellement choqué(e», humilié(e) , honteux (se) d’avoir ressentis
du plaisir à me faire violer brutalement.

Alors le black me dit de me mettre à genoux et il me donna une grande claque au
visage, « réponds salope quand on te parle ! T’as bien pigé pétasse ?! » me redemanda
t il avec insistance : « t’es notre pute maintenant et tu feras tout ce qu’on veux,
ok ?! »
« Dis le à haute voix, je veux l’entendre de ta bouche de suceuse, allez ! ». Sa
main restait en l’air comme l’épée de Damoclès menaçant de m’infliger une autre
claque.
Je me soumis donc une nouvelle fois à sa volonté : « Je suis votre pute je ferais
tout ce que vous voudrez ! » répondis je en sanglotant et des larmes qui coulaient
abondamment de mes yeux.
« Ne pleure pas ma chérie, demain on va te remonter le moral avec nos grosses queues
ma salope, bientôt c’est toi qui nous suppliera de te baiser tu verras ! Tu devrais
être contente t’as déjà trois mecs pour te satisfaire sale nympho ! »

Ils partirent enfin riant de bon cœur de leur forfait accompli, me laissant là
choqué(e), nu(e) et souillé(e) sur le carrelage froid de la douche !
Je n’eu que la force d’ouvrir le robinet de la douche et restai là prostré(e) en
sanglot sous la douche pendant une bonne heure avant que je ne trouve la force de me
relever pour aller à mon lit dans le dortoir.

A peine couché(e) j’eu la visite de mes trois agresseurs qui me gratifièrent chacun
d’un « Bonne nuit petite pute ! Fais de beaux rêves ma salope ! Repose toi bien ma
chienne parce que demain matin tu devras nous vider les couilles avant d’aller en
cours !
Je ne parvins pas à ferme l’œil de la nuit, bien qu’épuisée physiquement et
mentalement, j’avais terriblement mal au derrière et les images de mon viol revenaient
sans cesse dans ma tête ainsi que les phrases humiliantes de mes agresseurs.

Lorsque à 06h du matin l’alarme de la montre d’un des mecs sonna, j’entendis le
black me dire : « Bonjour ma salope ! » et comme je tardais à répondre il me mit une
grosse gifle : « réponds quand on te cause sale chienne ! » je répondis timidement «
Bonjour » et là re-claque dans ma face ! Bonjour qui ? Je veux que tu m’appelles
Maître ! Bon on reprend, dit il sur le ton d’un inspecteur excédé : bonjour qui ? ! »
Alors soumis et humilié je répondis : « Bonjour Maitre ».
Bon çà suffit, assez perdu de temps salope, commence à me sucer et prends de l’avance
en branlant mes potes en même temps. A genoux ma chienne, le ptit dej est servi !!! »

Je dû les sucer tous les trois à leurs tours jusqu’à ce qu’ils éjaculent dans ma
bouche et effectivement après çà je n’avais plus vraiment faim !!!
Le Black me mis une main au cul et me dis : « je n’ai pas le temps de baiser ton
joli petit cul de pétasse ce matin mais t’inquiètes ce soir je vais bien m’occuper de
toi comme il faut ma chérie ! »
Je fus presque surpris et ‘’touch钒 qu’il m’appelle ‘’ ma chérie’’ et non chienne,
pute ou salope comme d’habitude.

Inutile de vous dire que je n’arrivais pas à me concentrer en cours et pris même
sommeil à cause de la nuit blanche passée.

La journée se déroula à peu près normalement, toujours les même moqueries, insultes et
ce surnom horrible qui me suivait partout « ça va Clito ?! », même les filles de ma
classe m’appelaient désormais toutes ainsi et semblaient faire des messes basses à mon
sujet ponctuées d’éclats de rire bruyants !

Fatidiquement la soirée avançait et je savais que je devrais encore me faire violer
brutalement cette nuit.
Lorsque je me rendis à mon casier pour prendre ma serviette, je constatais que mon
casier avait été fracturé, tous mes slips et caleçons avaient disparus remplacés par
quelques petites culottes sexy, porte jarretelle, bas, strings féminins et un mot : «
Les filles de la classe ont fait une collecte pour toi ! »
J’étais mort de honte et ne pouvais tout de même pas accepter de rentrer dans leur jeu
bien qu’au fond de moi je mourrais d’envie d’essayer la lingerie sexy que les filles
de ma classe m’avaient si cruellement offerte !!!

Alors que je restais hébété devant mon casier, je sentis une main me caresser les
fesses, c’était Fodé le grand black, il choisit un petit string orange, un porte
jarretelle noir et des bas noir et me dis : « je veux que tu portes çà cette nuit,
pigé salope ?! »
Commeje tardais à répondre il s’apprêtait à m’assener une grosse claque mais je
répondis précipitamment : « Oui maître ! » et il arrêta son geste au dernier moment et
me dis en souriant « tu commences à piger, c’est bien, tu vois quand tu veux
pétasse! »

Il me donna une petite tape sur les fesses et me dit en souriant : « Alors à ce soir
ma chérie ! » « A ce soir Maître », répondis-je avec un petit ton aguicheur qui me
surprit moi-même !

Serais je entrain de prendre goût à mon supplice, serais je en train de devenir ce
dont on m’accuse selon moi à tort d’être : une petite pute, une salope, une chienne en
chaleur ?!!!
Toutes ses pensées se culbutaient dans ma tête et j’étais de plus en plus troublé par
ces sentiments de culpabilité.

La nuit arriva et je me résignai à mettre le petit string orange, le porte
jarretelle et les bas noirs et j’eu même une érection en pensant que je devenais
vraiment une lope.
Nous allâmes tous nous coucher mais dès que la lumière fut éteinte je sentis une main
se balader sur mon dos et descendre lentement vers mes fesses puis caresser les
contours de mon string et caresser l’intérieur de mes cuisses vêtues de bas soyeux
noirs.
Il avait mis un matelas par terre et me prie doucement dans ses bras et me posa
délicatement sur le matelas.

Je ne voyais pas bien mais pouvais reconnaître la façon particulière de me caresser la
peau de Fodé et sa stature imposante ; les autres ne m’avaient d’ailleurs montré
aucune tendresse mais lui était différent bien que sans pitié à mon égard.
Il me murmura à l’oreille qu’il s’était battu avec ses deux potes parce qu’il ne
voulait pas qu’ils me baisent aussi et que désormais je lui appartiendrais uniquement.
Il était tendre et embrassait fiévreusement mon cou, mes épaules, mes oreilles en me
murmurant que j’étais sa petite pute chérie !
Puis il commença à embrasser mes joues et enfin mes lèvres et me roula une pelle
fougueusement, je me laissais faire ému(e) et troublé(e) par tant de tendresse après
la cruauté et la violence inouïe dont il avait usé et abusé envers moi avec ses
copains la veille.

Je me sentais devenir totalement soumise, femelle passive, offerte et prête à
assouvir le désir ardent de mon bel amant noir musclé et très bien membré !
Il guida doucement ma tête vers sa queue et désinhibée par l’obscurité et l’excitation
il n’eu pas à me forcer pour que j’ouvre grand la bouche pour accueillir sa grosse
bite que je commençai à lécher et sucer avidement, léchant sa queue de bas en haut
puis ses grosses boules , j’étais complètement soumise et excitée et lui avait l’air
de grandement apprécier ma fellation passionnée !
Il m’encourageait en me parlant doucement « hmm ouii vas y suce bien ma chérie, tu
fais des progrès spectaculaires petite salope ! »

Je le suçai déjà depuis une bonne demi heure lorsqu’il me fit allonger sur le dos et
me murmura : « je veux commencer par te prendre comme une pucelle par devant, écartes
bien les cuisses petite garce ! »
Il vint sur moi et releva mon derrière en mettant deux coussins au dessous puis il me
doigta avec un doigt humecté de sa salive tout en me disant que j’avais un cul plus
bandant que toutes les filles du Lycée !
J’étais flattée et excitée par ses mots crus et me trémoussait comme une petite
salope en chaleur sur ses doigts qui préparaient ma nuit de sodomie à venir.

Il commença à frotter doucement sa queue contre mes fesses puis il la positionna en
plein sur mon petit trou lubrifié et commença sa lente et inexorable immersion dans
mes profondeurs !
Cependant bien que lubrifiée et préparée par un délicieux doigté, son énorme gland
avait toujours autant de mal à se frayer un chemin dans mes entrailles et je ne pus
m’empêcher de gémir mais il eu le réflexe de mettre sa main sur ma bouche et continua
implacablement à me pénétrer tout en écartant encore un peu plus mes cuisses.
Et même s’il se montrait encore un peu rude avec moi, il était également très tendre
me caressant les cheveux, m’embrassant dans le cou pendant qu’il commençait à me limer
doucement.

J’étais alors totalement désinhibée et poussait des petits cris contenus de plaisir
et de douleurs mêlés, des soupirs de satisfaction comme une pucelle amoureuse ; me
surprenant même à l’encourager : « hmm oui continue, vas y baise moi, ooh ouii
encoore , aaah oohh noon ouiii hmmm! »
C’était tellement bon, inutile de me mentir à moi-même j’éprouvais un plaisir jusque
là inégalé en me faisant baiser ainsi comme une chienne, m’abandonnant corps et âme à
la saillie de cet étalon noir !

Cette nuit me révélerait à tout jamais et j’assumerai désormais totalement d’être une
petite lopette soumise à mon bel amant black.
Il me fit l’amour tendrement puis me baisa comme une catin toute la nuit et dans
toutes les positions imaginables, jouissant plusieurs fois dans ma petite chatte et
dans ma bouche, me faisant même chevaucher sa grosse queue provoquant plusieurs
orgasmes en moi.

Le jour se leva, nous n’avions pas dormi et étions encore enlacés, sa queue toujours
en moi et c’est avec peine que nous nous séparâmes afin de ne pas être découvert par
les autres qui ne tarderaient pas à se réveiller.
Il m’embrassa fiévreusement sur la bouche et me dis : « à ce soir ma petite pute
adorée ! » et je lui répondis d’une voix amoureuse et complice : « a ce soir mon
chéri » !

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