La Fleuriste 2

EURISTE 2

Je suis fleuriste à mon compte, je reçois une commande par un riche client Mr De
Reminy pour l’anniversaire de sa fille le lendemain soir. Afin de réaliser au mieux
les compositions florales, j’emmène avec moi, mon apprenti Tanguy, pour trouver dans
la forêt différents végétaux dont nous aurons besoin. Pendant notre quête, je me fais
piquer par une guêpe en haut de la cuisse, Tanguy se propose de retirer le dard, mais
c’est bientôt d’une autre manière qu’il va me soulager…

De retour au magasin Julia nous aide à sortir, tout ce que l’on a pu trouver dans la
forêt. Tanguy et moi agissons comme à l’accoutumé, moi en patronne autoritaire et
décidée, Julia en employée modèle, et mon apprentis, toujours à l’écoute de mes
conseils.

La journée se termine, nous avons fait une bonne recette, et avons bien avancé dans
les préparatifs du week end. Demain, je pourrai me concentrer sur la commande de
Monsieur De Reminy. Je ferme le magasin, et rentre chez moi, complètement exténuée. Je
décide de me faire couler un bon bain chaud. Je vais dans ma chambre pour me
déshabiller, j’adore me balader nue dans la maison, je me sens libre. Je jette un œil
à ma piqure, il y a une petite marque rouge, oh que j’ai adoré ce moment passé avec
mon élève, j’espère que l’un de nous aura l’audace de provoquer l’autre demain après
la livraison.

Un coup de sonnette viens rompre ma tranquillité, je n’ai pas envie de répondre, et me
dis que la personne s’en ira, mais je me trompe elle retentit à nouveau en trois coups
courts et un coup long. Je reconnais le code c’est ma meilleure amie Cindy. J’enfile
une sortie de bain à la hâte, râlant au plus profond de moi. Et moi qui pensais passer
une soirée tranquille.

- Salut ! dit-elle très enjouée. Qu’est-ce que tu fabriquais, tu ne voulais pas
ouvrir ?
- C’est exactement ça, lui dis-je.

Je m’apprêtais à prendre un bain, j’ai eu une
journée plutôt spéciale aujourd’hui.
- Oh ! oh ! Tu vas me raconter ça, sautes dans ton bain je te rejoins là-haut,
avec deux verres et la bouteille, j’ai apporté un vin pétillant comme tu aimes.
- Ok ! Je suis partante, à tout de suite.

Je remonte dans la salle de bain, retire mon peignoir, et plonge dans l’eau chaude, un
peu trop sur le coup, mais j’adore ça surtout que je compte y rester un bon moment, la
chaleur durera plus longtemps.

Je me détends littéralement, les images et les sensations que j’ai vécues cet après-
midi, me reviennent en boucle. J’entends les pas de Cindy dans les escaliers, je vais
pouvoir partager avec elle ma nouvelle expérience.

- Toc toc, je peux entrer ?
- Oui, vas-y entres.
-
Elle me tend un verre, et nous trinquons.

- Bon maintenant, je t’écoute, racontes-moi ta journée exceptionnelle.

Je lui expose donc en détails les faits du jour, elle m’écoute sans m’interrompre et
je vois qu’elle m’envie, car Cindy est une fille adorable, et très complexée, elle est
un peu rondelette, mais avec quelques kilos en moins et un look un peu plus féminin,
elle ferait fureur auprès des garçons. Moi je lui envie sa belle poitrine généreuse et
ses cheveux châtains clairs qui lui arrivent au milieu du dos en ondulant. Je crois
que je suis la seule à les avoir vu lâchés, elles les nouent tout le temps en un
affreux chignon à la va vite. Il va falloir que je m’occupe un peu d’elle, lui faire
un petit relooking…

Je termine mon histoire et me rend compte que l’eau s’est fortement refroidi, j’en ai
la chair de poule.

- Je vais sortir du bain je commence à avoir froid.
- Oui, tu as les lèvres bleues, attend je te donne ton peignoir. Tu sais
j’aurais bien aimé être dans les bois cet après-midi.
- Oh, oh, Tanguy te plait bien aussi ? Si tu veux je peux peut être arranger ça
!
- Non, c’est toi qui me plais… Ne fais pas cette tête, depuis que l’on se
connait tu n’avais jamais rien remarqué ? Tu m’as déjà vu avec un garçon ?
- Non, jamais ! Mais je croyais que c’était parce que tu complexais pour ton
physique.

- Oui, c’est vrai que je n’aime pas mon corps. Je pense que c’est un facteur de
mon attirance pour toi. Je m’empêchais de regarder les garçons pour ne pas souffrir,
sachant que je ne pourrais pas les avoir.

Je me sens un peu choquée par ses révélations, mais très vite je trouve qu’elle a fait
preuve d’une honnêteté surprenante. Vu son aveux, j’hésite à sortir de l’eau,
totalement nue devant elle, et son désir pour moi. En réfléchissant, je me suis jamais
gênée de me montrer en tenue d’Eve devant elle, alors pourquoi maintenant ?

Je me lève, elle ne me quitte pas des yeux pendant qu’elle me tend le tissu
éponge, et m’aide à l’enfiler.

- Tu es vraiment belle, mais je te préfère nue… dit-elle en souriant.

Je ne sais ce que je dois faire ou dire, et me contente de sourire, je me dirige vers
ma chambre afin de m’habiller, Cindy me suis, d’habitude elle n’arrête pas de jacter,
là je la trouve vraiment trop silencieuse. Son silence me pèse, et m’inquiète, je suis
mal à l’aise j’ai chaud, je choisis ce que je vais mettre dans le placard, referme la
porte et je vois grâce au miroir qu’elle me fixe. Je regarde ailleurs. Soudain je la
sens derrière moi, elle dénoue la ceinture de ma sortie de bain et fait glisser le
tout à mes pieds, je vois la scène dans la glace, cette situation m’excite, je n’ai
jamais vécu ça, je la laisse faire.
Elle se colle à moi, je vois qu’elle regarde par-dessus mon épaule notre
reflet. Ses mains effleurent mon cou, mes bras, j’ai la chair de poule, ça me plait,
j’ai envie que ça continue et par un signe de tête je lui fais savoir, elle sourit.
Ses doigts viennent pincer mes tétons, qui durcissent en un éclair, tantôt, elle
malaxe mes petits seins bien ronds et fermes, tantôt elle les caresse, je gémis, et
renverse ma tête en arrière, elle m’embrasse délicatement. Je ne veux rien louper du
spectacle.
Petit à petit elle descend sur mon ventre puis en direction de toison.

Cette deuxième expérience du jour est encore plus troublante, on dit toujours
que l’inconnu est meilleur, et je dois dire que le mythe est confirmé.

Elle mélange, les poils qui couvre mon pubis, j’ai envie qu’elle glisse vers
mon intimité, je sens que je mouille, Ahhhhhhh ! L’instant tant attendu se produit, je
frisonne de plaisir, je vois toujours notre reflet, elle ouvre les lèvres d’une main
et de l’autre fait circuler ses doigts, dans les creux et les bosses, évitant ma
caverne. Je n’en peux plus, je jouis…

Après quelques instant, je fini par rouvrir les yeux, elle me sourit, puis
fait demi-tour et sort de la chambre, me plantant là toute seule.
- Cindy, attend, revient.

Elle ne m’écoute pas et continue son chemin. Je lui courre après dans les escaliers et
la ratt dans l’entrée.

- Tu vas attr froid, me dit-elle.
- Non j’ai très chaud et ça grâce à toi. Tu ne peux pas partir comme ça, après
ce que tu viens de me faire découvrir, je n’ai pas envie d’arrêter là.
- Moi non plus, le problème c’est que ce n’est pas raisonnable, on a trop bu, on
a fini la bouteille, nous risquons de le regretter demain.
- Pourquoi est-ce que l’on regretterai ?

A mes paroles, je joins le geste pour baisser la fermeture éclair de son sweat, elle
se laisse faire et m’embrasse, alors, je la prends par la main, l’entraine au premier
et la positionne devant la glace, comme je l’étais quelques minutes plus tôt. Je lui
retire le haut, et dévoile son soutien-gorge, noir brodé de rose pale, il lui met
magnifiquement bien les seins en valeur, les rendant bondissant près à sortir de leur
protection, sa poitrine est appétissante, sa peau blanche et douce. Je suis un peu
maladroite, mais le peu qu’elle exprime me dit que je dois bien m’y prendre.
J’att
la pince qui tient ses cheveux, les laissant se dérouler dans son dos, dieu qu’elle
est belle.

Derrière elle, je m’agenouille et lui ôte ses chaussures, ses chaussettes.
Maintenant, je m’attaque au bouton de son jean, puis la braguette et descends le tissu
jusqu’au sol. Evidement elle m’aide à tout cela.

Sa culotte ou plutôt son boxer, assortit à ses balconnets lui va bien. Ses fesses bien
rebondies me plaisent énormément. Notre reflet me pousse à plus d’expérimentations. Je
glisse une main sous la dentelle, elle se dandine sous mes caresses, je me colle tout
contre elle, moi aussi je me tortille et me frotte à son fessier. Soudainement elle
retire ma main et se retourne, elle me prend la bouche, nos langues se mêlent, nos
caresses s’intensifies, deviennent fougueuses. Cindy se débarrasse des dernières
entraves à sa nudité.

Tout en nous livrant à nos jeux de tendresse et d’étreintes, nous nous déplaçons
lentement vers le lit, et nous laissons tomber dessus. Nos deux corps s’enlacent et se
délassent, nos gémissements se font plus intenses, nos mains s’activent, dans nos
grottes, ça sent le sexe, ça mouille, c’est l’extase.

Je suis soudain prise d’une envie de gouter son minou, je me glisse entre ses jambes,
lui écarte pour mieux m’installer, je tente un premier coup de langue, puis un second,
j’y prends gout, Cindy met ses mains sur ma tête, je pince ses lèvres dérobées avec
les miennes, puis fouine de plus belle, buvant son jus. Elle s’agite de plus en plus
et d’un coup jouit. J’en ai plein la bouche. Je m’approche de la sienne l’embrasse
pour qu’elle se délecte d’elle-même.

A son tour, elle prend position pour me faire subir le même sort, je fais vaciller mes
hanches, c’est bon… jamais je n’aurais cru que j’aurais pris autant de plaisir avec
une femme. Quelques minutes plus tard j’atteins l’extase à mon tour. Quel bonheur !

Exténuées par nos ébats, Cindy vient se lover dans mes bras, nous nous caressons
encore un peu, savourant le moment.

- Cindy, c’était génial, j’ai adoré, et toi tu ne regrettes pas ?
- Pas du tout j’en rêvais, c’était une superbe expérience, merci.
- Tu n’as pas à me remercier… Et si c’était à refaire, je n’hésiterai pas une
seconde.

Je lui dépose un baiser sur les lèvres, lui propose de prendre une douche (que nous
prenons de manière coquine bien sûr), puis nous descendons manger un morceau dans la
cuisine, toujours en tenue d’Eve.

- Tu te rends compte, il est déjà minuit !
- Oh oui, le temps est passé si vite. Je vais rentrer, tu as une dure journée
demain.
- Tu veux rester dormir ici… avec moi ? C’est plus prudent, vu ce qu’on a bu et
puis j’ai envie de continuer à rêver dans tes bras…
- Ouais, ça me plairai beaucoup, moi aussi j’ai envie que la magie continue.

De retour dans la chambre, nous nous couchons, l’une contre l’autre, peau
contre peau, je suis prête à tomber dans les bras de Morphée, je me sens tellement
bien, quelle journée mémorable !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!