Leslie Se07

Leslie SE07 – Seule, le vigile, suite

Arrivée à Paris, sitôt à l’agence j’explique à Sandra et Yves ce qu’il faut faire pour
clore le dossier, et envoyer le tout au client le plus vite possible, puis je me rends
aux toilettes de l’agence pour me refaire une beauté.
Je me regarde dans la glace et habillée de cuir noir, en spencer et pantalon, avec un
chemisier blanc, campée sur des bottines à hauts talons, je me trouve très désirable.
Un au revoir rapide à Michel et je saute dans un taxi pour retourner à la gare,
j’arrive juste à temps pour monter dans le train et me voilà repartie pour Epernay.
Installée dans le train, avec mon petit sac de voyage, je me dis que je n’ai pas
beaucoup de rechange.
En effet, dans mon sac il y a, ma trousse de maquillage, deux strings, deux ensemble
de sous-vêtements, deux paires de bas, ma mini-jupe en cuir ultra courte et deux top
moulants et mon inséparable gode-ceinture.
Il est possible que Benoit soit déçue de ne pas me trouver à chaque instant en beauté
pour lui, mais je me dis que ça ne fait rien nous passerons les deux jours nus à nous
aimer.
J’ai des pensées lubriques et ça promet pour la suite…

A la descente du train, il est là et m’attend, nous tombons dans les bras l’un de
l’autre et nos lèvres se joignent pour un baiser torride, nos langues se mêlent et
Benoit m’entraine vers la sortie en me disant ;
- T’es superbe tout de cuir vêtu.
Lui est habillé en tenue de motard et étonnée je lui pose la question :
- Tu es venue en moto.
- Oui, ma chérie, c’est une de mes surprises.
Il me conduit en me tenant par la taille devant sa moto, et me tend un casque en me
demandant :
- T’aime faire de la moto ?
- J’adore.
- Alors tu vas être gâtée.
Il a une Triumph, le modèle Tiger Explorer, noire, un bijou, je trépigne d’impatience
de monter et qu’il m’emporte sur sa machine.


Une fois équipé, le casque sur la tête et mon sac arrimé à la moto, je monte derrière
Benoit et nous voilà partis.
Démarrage en trombe dans un bruit qui me fait vibrer, j’adore cette sensation d’être
entrainée derrière un motard sur une puissante moto, je m’accroche à Benoit en passant
mes bras autour de sa taille et je ressens en lui de la puissance, celle de l’homme
maitrisant son engin, je vibre quelque peu.

Nous traversons Epernay, puis nous roulons à vive allure sur les petites routes,
Benoit m’emmène dans sa chaumière à quarante kilomètres ay sud de la ville, une petite
maison perdue dans la campagne champenoise.
Il fait encore jour en cette fin de jour du mois de juin, il fait bon et c’est un vrai
plaisir de se laisser emporter par son amant du moment.
Les vibrations de la moto font réagir mon corps et tout mon corps est emporté dans un
délice des sens, les jambes largement ouverte par ma position, collée à Benoit, je
sens mon sexe durcir par les vibrations, si ça continue il a s’apercevoir de mon état.
Si j’en avais l’audace, je saisirais son sexe à la portée de mes mains, mais de peur
de le surprendre je n’en fait rien, frustrée de ne pouvoir exécuté mes désirs.

Quand nous arrivons, je suis dans un état second, le sexe bande et comprimé dans mon
pantalon de cuir, je n’ai qu’une hâte me mettre à l’aise et le libéré de sa prison de
cuir.
Benoit s’aperçoit de mon état, et avec un sourire complice, il me dit :
- On dirait que ça te fait de l’effet !
- Si tu savais, lui dis-je avec un regard remplit de désirs et de lubricité.
- Ça promet, rétorque Benoit.
Nous rentrons chez lui et je me mets à l’aise, tombe le spencer et m’affale dans le
canapé de salon.
- Tu as faim ? Me demande Benoit.
- Un peu, lui dis-je.
- J’ai prévu un plateau traiteur, ça te va ?
- Oh tout me va ce soir, tu sais avec les deux jours et la nuit dernière passés,
les voyages, je suis à plat, crevée et n’ai qu’une envie m’allonger nue et dormir.

- Après un petit câlin ?
- Je ne sais pas si je serais suffisamment en forme.
- Pourtant, tu bandais derrière moi sur la moto, j’ai sentis ton sexe dur contre
mes fesses.
- Oui, c’est la moto.
- Bon, allez mangeons un morceau, nous verrons après.

Nous avons mangé, puis après une douche, je me suis allongée nue sur le lit de Benoit,
qui m’attendais nu, allongé les bras croisés sous sa tête, le sexe au repos sur sa
cuisse, je l’ai trouvé beau dans l’attente de mon corps près de lui.
Une fois allongée, il m’a embrassé tendrement et nos langues se sont mêlées, lascive
je me laissais aller sous les caresses et les baisers de Benoit.
Nos sexes se sont dressés, mais je n’avais pas la force de lui faire l’amour, je
sentais tous les désirs que Benoit avaient en lui, alors pour lui faire plaisir et
calmer ses ardeurs je me suis offerte docilement.
Je me suis retournée sur le ventre en lui offrant mes fesses en lui disant :
- Prends-moi.
J’ai cambré les reins dans le geste de l’acceptation totale, il s’est placé derrière
moi entre mes jambes ouvertes et s’aidant de sa main il a placé son gland sur ma
rosette offerte.
Doucement il s’est enfoncé en moi et m’a pistonné longuement avec de larges coups de
reins, je l’ai senti jouir et se répandre en moi dans un demi-sommeil, et quand il
s’est retiré j’ai sombré aussitôt dans un profond sommeil.

Le lendemain matin, je me suis réveillée avec une douce odeur de café, nue dans le
lit, avec le conduit de mon cul encore humide et imprégné de la jouissance de Benoit
la veille au soir, je me suis étirée et une fois debout, j’ai filé dans la salle de
bains prendre une douche.
C’est drapé d’un peignoir de Benoit que je suis rentré dans le salon où le petit-
déjeuner attendait, lui-même dans un peignoir à moitié entrouvert laissant deviné son
intimité.

- Bien dormit, ma chérie, me demanda Benoit.
- Comme un ange, répondis-je en baillant.
- Un ange au petit cul d’enfer, me dit Benoit.
- Si tu le dit, alors ça doit être vrai.
Nous avons déjeuné en parlant de notre occupation du jour, je sentais que Benoit avait
envie de faire l’amour, mais surtout de me sentir à nouveau en lui, son enculage
l’avait laissé dans un certain manque, celui de recommencer.

A suivre…

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