Dany

Nous avons rendez vous dans le café habituel. Sans que je le demande, le garçon
serviable me sert un café. Dany est en retard, j'attends en pensant à ce que nous
faisons pendant nos rencontres clandestines. J'imagine tant que je sens que je
mouille. Je ne peux plus tenir, j'ai envie de jouir, alors je laisse le café pour
aller aux toilettes. Je les connais, je sais que je peux faire ce que je veux sans que
je sois dérangée. Je sors de mon sac d'abord le tube de rouge à lèvres puis le briquet
fin qui finalement ne me sert qu'à ce que je vais faire.
J'enfonce lentement le tube de rouge dans mon con, et ensuite quand je suis encore
plus mouillées le briquet qui par sa forme le permet, dans le cul. Je serre les fesses
pour ne pas le perdre. Le tube me sert pour faire les mouvements de va-et-vient dans
le ventre. Je ne sais pas pourquoi, aujourd'hui je suis particulièrement excitée.
Je suis obligée de me faire jouir deux fois à la suite. Mes deux orgasmes
correspondent bien à mes excitations.
Il faut quand même que je remonte pour voir à nouveau ma nouvelle amie/amante Dany.
J'ai de la chance elle est en retard. Mon bas ventre a le temps de se remettre de ce
que je lui ai fait. Je sais que la pâleur que j'ai toujours après avoir joui c'est
estompée.
Je la vois enfin quand elle arrive, l'air joyeux, pimpante. Elle porte la robe qui
s'ouvre sur le coté, pile celle que je préfère pour la mettre nue rapidement.
Cette fois, sans qu'on le lui demande, le garçon porte encore des cafés. Il faudra lui
laisse un bon pourboire : il sait fort bien qui nous sommes, ce que nous allons faire
en partant. Il pourrait faire celui qui ne nous connaît pas, surtout des lesbiennes,
ce que nous sommes en partie.
Nous nous embrassons normalement sur les joues. Je sens son parfum particulier, pas un
parfum de flacon, son parfum naturel de femme.

J'ai un regard sur sa poitrine à
moitié découverte tout en restant cachée assez pour ne pas provoquer les mâles
présents. J'ai envie d'elle. Pourtant c'est elle qui me parle en premier :
Tu sais j'ai besoin de ta langue sur mon clitoris et mon cul.
Moi aussi j'ai envie de toi, de te baiser comme une pute que tu es.
Nos doigts se mêlent sans nous préoccuper des autres. Nous nous regardons comme si
nous étions des ados amoureux. Dany lève la séance pour que sans perdre de temps nous
allions dans notre petit hôtel ; juste à coté. Nous y sommes connues par le
responsable de l'établissement.
Dans la chambre habituelle nous pouvons enfin nous embrasser. Quand nos langues
quittent la bouche de l'autre nous nous déshabillons vite. Le baiser suivant nous
permet d'être contre l'autre, nos corps bien soudés.
Elle me raconte sa nuit avec son mari. Il la lui a mise partout pour son grand
plaisir. Elle aime être prise partout par la queue de son époux.
Tu sais il m'a baisé avant le repas, puis ensuite après, là il m'a léché, presque
aussi bien qui toi. J'ai joui quand il a mis un doigt dans le cul. Le salaud sait que
je jouis facilement par là. Ensuite il me la mise au con en allant et venant
rapidement pour change d'endroit. Il m'a sodomiser un bon moment pour que je jouisse
encore plus. Il a gagné en me faisant jouir pendant que je me branlais.
Moi aussi j'ai baisé hier au soir. Il ne m'a pas sucée, il m'a enculée dès le début.
Je l'ai laissé faire même en me branlant. Je pensais à toi, en me disant que si tu
étais là, il te baiserait devant moi. J'aimerai assez te voir entre ses bras. Je
pourrais te lécher l'anus.
Nous avons de genre de conversations deux fois par semaine. Si nous aimons nous faire
jouir à deux femmes c'est pour la plaisir et surtout la légèreté des caresses, même
les plus jouissives. Si nos époux étaient au milieux, je ne sais pas ce que ça
donnerai, sinon un échange de partenaire ou au mieux être en 69 avec une pine bien
vivante au cul.
Ce qui finalement ne serait pas désagréable du tout.
Tu voulais me lécher le cul, fais le .
Elle se couche sur le lit, les jambes écartées : je vois toute sa chatte, celle qui
m'inspire des rêves érotiques presque chaque nuit, qui m'emmène à me branler avant de
dormir.
Je passe ma tête entre ses admirables cuisses. J'embrasse les jambes en montant
lentement, très lentement vers ma cible que je vois. Son petit trou m'attire depuis
que nous nous connaissons. Ma langue tirée entre ses fesses me permet de caresser
l'anus avant d'y entrer un peu.
Son cul a un goût particulier. Il m'excite énormément. Dany gémit comme toujours quand
je lui fait du bien : elle est totalement relâchée, tournée uniquement vers son
plaisir. Je sais que si j'avais une bite j'entrerais en elle facilement. J'ajoute deux
doigts dans le con. Elle en jouit en pleurant, comme à chaque fois, ses larmes sont
de joies, pas de souffrance.
Elle sait bien que j'ai besoin de sa langue ou ses doigts ou même de son sexe sur le
mien. Je me couche près d'elle pour que nous nous câlinions un peu avant de ….Elle ne
s'occupe plus que de mes seins. Ses mains sont douce sur ma peau. C'est ce que j'aime
avec les autres femmes. Elle me pince les tétons, les étire pour que moi aussi je
gémisse. Dany glisse vers mes pieds. Elle bécote tout le corps en descendant. Là, elle
est inventive, je ne sais jamais ce qu'elle va me faire. Je sais que j'en jouirais
beaucoup. Elle lèche mes hanches, puis le nombril. Enfin elle survole mon pubis, mon
sexe pour aller tout en bas : elle prend un des gros orteils pour le sucer comme une
bite.
J'aurais pu le lui faire. C'est agréable, sauf qu'elle arrête vite pour lécher mes
chevilles puis les mollets. Enfin, lentement elle arrive au genoux, puis toujours très
lentement elle approche entre mes cuisses. Là je sais que j'aurais droit à sa langue,
mais où ? Elle lève la tête comme pour me demander ce que je veux.
Elle la plonge
maintenant sur le vagin. Elle trouve l'endroit un peu rugueux, celui du point G. Elle
frotte le con lentement, sans forcer. Je sens au bout d'un moment le grand plaisir
arriver. Et quel orgasme provoqué par Dany.
Elle pourrait arrêter là, mais elle continue pour venir poser sa langue sur le bouton
qui bande depuis un bon moment. Pour faire un tout, elle entre deux doigts là où était
sa langue et deux autres dans mon antre sacrée : mon cul.
Comment résister à ses assauts ? Je ne peux rendre ce qu'elle me fait que quand elle
se tourne en 69. Une bonne invention que cette position meilleure qu'avec un homme. Je
préfère une minette qu'un bite à cet instant.
Maintenant les choses plus sérieuses commence. Nous ne sommes plus coté à cote, mais
couchées l'une au pied l'autre à la tête du lit. Nos jambes s'imbriquent pour que nos
sexes se touchent. Nous faisons presque les même mouvements qu'avec une bite : nos
clitoris en profitent. Nous jouissons toujours ensemble dans ces derniers moments.
La fin est triste : nous devons nous quitter deux ou trois jours. Nous devons nous
contenter des queues de nos hommes.

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