Damien 59 - Jean-Alain

Cette fois-ci, je restai à peu près un mois sans baiser, j'avoue que cela fut très
long.
A plusieurs reprises je dus me raisonner pour ne pas aller tapiner car j'avais
vraiment envie qu'une bonne bite me défonce le cul.
Ce jour là, alors que je venais de sortir de ma douche, on sonna à la porte.
C'était Jean-Alain, un ami steward, je sentis mon cœur battre plus fort.
Je me dis que c'était ce jour là ou jamais où je devais tenter quelque chose.
J'ouvris la porte, nous nous sommes fait la bise et il me demanda "Y a t'il un
nécessaire de couture chez toi ?
- Ici mais que se passe-t-il ?
- J'ai craqué mon pantalon et je voudrais le réparer.
- Regarde dans cette boite je pense que tu trouveras ce dont
tu as besoin.
- Merci c'est sympa".
Jean-Alain trouva la couleur de fil qu'il voulait ainsi qu'une aiguille.
Il ôta son pantalon, s'assit sur le bras du canapé et commença à recoudre.
La vue de ce slip bien rempli me fit perdre mes dernières hésitations.
Tout en discutant je me suis approché de Jean-Alain et à un moment je lui pris le
paquet en disant "Et bien on dirait
qu'il y a ce qu'il faut là dedans".
Complètement interloqué le steward me regarda la bouche grande ouverte et me dit "Mais
qu'est ce que tu fais Damien.
- Rien je touche ta bite et je me dis que tu dois être pas
mal monté.
- Tu voudrais voir ?
- Seulement voir ?
- On peut commencer par ça.
- Et après ?
- Ah je comprends tu es pédé, eh bien après je ne sais pas tu
peux la sucer par exemple.
- C'est tout ?
- Tu voudrais aussi la prendre dans le cul ?
- Pourquoi pas, tu as quelque chose contre ?
- Non pas du tout, tu sais depuis que je te connais j'ai
toujours eu envie de te baiser, j'ai même demandé à Gilles
si c'était possible mais il m'a dit que non, que tu sortais
avec des filles.


- Et toi tu ne sors pas avec des filles ?
- Si.
- Et je suppose que tu les baises ?
- Bien sur.
- Ca n'empêche pas que tu as envie de me baiser. hein ?
- C'est vrai.
- Alors tu vois bien que l'un n'empêche l'autre.
- Tu as raison.
- Alors qu'est-ce qu'on fait ?
- Ecoute tout de suite je ne peux pas car je dois aller aux
opérations à Orly et je suis déjà en retard.
- Alors quand ?
- Quelle impatience !!
- Tu ne peux pas savoir, j'ai le feu au cul.
- Voilà ce que je te propose, demain samedi je fais un Paris-
Nice et je rentre dimanche en fin d'après-midi, je peux
t'emmener avec moi, je m’arrangerai avec le commandant.
- Super.
- J'ai une chambre réservée, on pourra baiser tranquillement.
Qu'en penses-tu ?
- C'est génial, j'ai hâte d'être demain.
- Moi aussi mon petit chéri, bon maintenant je dois partir,
allez viens embrasse-moi.
- Non d'abord tu me montres ce que tu vas me donner demain.
- Non la surprise c'est mieux.
- Méchant.
- Mais non tu verras tu découvriras ma bite et mes couilles
en même temps que moi je découvrirai ton cul.
- Bon d'accord.
- Allez viens, pour commencer donne-moi ta bouche".
Je m'approchai, Jean-Alain me prit dans ses bras, ses lèvres se posèrent délicatement
sur les miennes.
Puis me serrant tout contre lui mon amant écrasa ma bouche, nos dents s'entre
choquèrent.
Je fermai les yeux, ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un
baiser passionné.
Quand mon homme se détacha de moi j'avais la respiration saccadée et le rouge aux
joues.
Il me mit une petite tape sur les fesses et me dit "Tu sais
que tu embrasses très bien, j'ai hâte d'être dans un lit
avec toi.
- Moi aussi je suis complètement en feu, vivement demain que
je me donne à toi.

- Oui vivement demain, tu verras je te ferai bien jouir ma
petite chatte. Bon allez je te laisse, demain rendez-vous à
Orly Ouest à 11h45 devant le comptoir de la RAM.
- OK j’y serai plutôt deux fois qu’une. A demain mon chéri".
Jean-Alain remit son pantalon, je pus voir que l'étoffe de son slip était tendue à
craquer, il me sourit et sortit.
Cette nuit là j'eus le sommeil très agité, je me réveillais souvent et essayais
d'imaginer Jean-Alain nu.
A 11h00 de peur d’être en retard j’étais devant le comptoir de la RAM, Jean-Alain
arriva à l'heure dite et nous partîmes vers l’entrée des équipages.
Une fois dans l'avion il me présenta au commandant puis m'installa et s'occupa de son
travail.
Une fois arrivés à Nice nous allâmes directement à l'hôtel pour déposer nos bagages.
La chambre était très belle et je dis à mon ami "Que faisons
nous maintenant, on baise ?
- Non on fait d'abord des courses comme ça on sera
débarrassé.
- D'accord mais que j'aurais bien pris un petit acompte.
- Petite folle, d'abord le travail et après le plaisir, et
puis moi je ne veux pas me contenter d'un acompte, je veux
te baiser jusqu'à ce que tu me supplies d'arrêter tellement
ton cul te fera mal.
- Tu n'as quand même pas l'intention de me faire du mal !!
- Mais non seulement à force de te baiser tu verras ton cul
sera complètement cassé.
- ça je le sais et j'espère qu'il sera bien cassé.
- Pour ça tu peux me faire confiance, quand je baise je
baise.
- Bon alors allons-y faisons vite ces satanés courses pour
que vite on puisse se retrouver au lit.
- Tu as raison allons-y".
Ce que nous avions à faire pris une bonne heure, il était midi et Jean-Alain me dit
"nous allons déjeuner car pour bien
baiser il faut avoir le ventre plein".
A l'endroit où nous nous trouvions il y avait un petit restaurant sympa, après avoir
regardés la carte nous entrâmes.

Le déjeuner fut très bon et à 13 heures 30 nous étions de retour dans la chambre.
Jean-Alain me dit "Voilà ce qu'on va faire, tu vas d'abord
prendre un bain et après nous ferons l'amour".
Comme je m'apprêtais à me dévêtir, mon homme me dit "Non va te
déshabiller dans la salle de bains".
Sans vraiment comprendre j'obéis, une fois nu je fis couler de l'eau dans la
baignoire.
Quand elle fut suffisamment pleine je me mis dedans et j'entrepris de me laver.
Au bout de quelques instants la porte s'ouvrit et Jean-Alain, simplement vêtu d'un
slip, entra.
Il me demanda "Est-ce que je peux me baigner avec toi.
- Oui si tu veux".
Il ôta son sous-vêtement, d'une forêt de poils châtains émergeait son phallus
circoncis à demi flaccide, sous le sexe je voyais deux testicules duveteux et gorgés
de sève.
Mon mec entra dans la baignoire et s'assit face à moi, il posa une main sur une de mes
cuisses et la caressa.
Au contact de sa main sur ma peau je frémis et je fermai les yeux, la main de mon
amant se déplaça et porta une caresse légère sur mon sexe endormi, je dis à Jean-Alain
"Non c'est
inutile de me caresser la bite, quand je suis avec un homme
je ne bande pas.
- Mais..
- Mais tu n’es pas mon premier mec, il y en a déjà eu avant
toi, j'espère que ça ne te gène pas.
- Pas du tout je ne te considère pas comme ma propriété
privée, tu as le droit de vivre ta vie, non ce qui m'a
surpris c'est que tu me dises que tu ne bandes pas, j'ai
déjà couché avec des mecs, même si ceux-ci faisaient plus
la femme, il fallait quand même les branler ou les sucer.
- Avec moi ce n'est pas la peine, il faut simplement
s'occuper de mon corps, de ma bouche et de mon cul, au lit
je suis vraiment une femme.
- Mais pourtant tu as déjà baisé avec des femmes ?
- Bien sur et dans ce cas là je bande mais quand je suis avec
un homme plus rien.

- Dans un sens ça m'arrange, si branler un mec ne me dérange
pas, j'avoue que je n'aime pas beaucoup sucer et encore
moins me faire mettre.
- Eh bien avec moi tu n'auras pas ce souci, moi il faut me
donner de la bite aussi bien dans la bouche que dans le
cul.
- Super".
Après nous être lavés, nous sortîmes et nous nous séchâmes mutuellement puis nous
repartîmes dans la chambre.
Une fois arrivé près du lit Jean-Alain me dit "Tourne-toi que
je te vois".
J'obéis et fis un tour sur moi-même, mon amant me dit "Tu sais
que tu as vraiment un beau corps et un cul superbe, je vais
bien te faire jouir ma petite chatte".
Mon homme se colla à moi, ses mains se mirent à courir sur mon corps tandis que sa
bouche me butinait le cou.
J'avais mis mes bras autour de la taille de mon mec et les yeux clos je savourais la
montée du désir en moi.
Jean-Alain avait posé ses mains sur mes fesses déjà chaudes et les massait, je sentais
contre ma hanche le sexe dressé de mon amant.
Tout en continuant à m'effeuiller mon homme écrasa mes lèvres des siennes, nos dents
s'entre choquèrent.
J'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé qui
me laissa pantelant.
Quand Jean-Alain s'éloigna de moi, j'avais le souffle court et le rouge aux joues.
Il me dit "Tu embrasses très bien, viens sur le lit je veux
découvrir ton corps merveilleux".
Le phallus de mon amant était complètement érigé, il était de belle taille et au bout
de son gland vermillon perlait une goutte de sperme translucide.
Mon mec me fit allonger sur le dos au milieu du lit puis il s'étendit sur moi tête
bêche, il voulait qu'on fasse un soixante neuf.
Je n'eus qu'à ouvrir la bouche pour enfourner le priape turgescent et commencer à le
sucer tout en le mordillant et en l'entourant de ma langue.
Mon homme empauma mes fesses brûlantes, il les écarta et enfouissant son visage entre
elles, vint darder mon œillet de sa langue inquisitrice.
J’adorais cette caresse, mon mec la pratiquait aussi bien que David et malgré le
membre que je suçais je ne pus m'empêcher de gémir.
Sous les caresses expertes de Jean-Alain je sentais mon anus s'ouvrir.
Le désir avait maintenant complètement pris possession de moi, je levai les jambes et
les écartai pour m'offrir plus encore aux doux sévices que mon amant m'infligeait.
Longtemps mon homme pratiqua sur moi ces attouchements buccaux, j'avais la raie pleine
de salive et je sentais mon anneau palpiter.
Soudain mon mec remplaça sa langue par un doigt qu'il m'enfonça dans le sphincter et
qu'il se mit à faire aller et venir lentement.
L'intromission de ce mini phallus me fit frissonner, je tendis ma croupe pour m'offrir
plus encore et me mis à pomper vigoureusement le phallus que j'avais entre les lèvres.
Un deuxième puis un troisième doigt vinrent rejoindre le premier, je sentais mon anus
s'agrandir et une douce langueur m'envahir.
Je ne sais combien de temps Jean-Alain me travailla le cul de cette façon, ce qu'il me
faisait était si bon que j'avais de plus en plus de mal à me concentrer sur ma
fellation.
Quand il m'abandonna je me sentis frustré et dis "Pourquoi ?
- Ne t'inquiète pas nous avons tout le temps mais maintenant
je voudrais que ce soit toi qui travaille, tu vas me sucer
la bite, mais ne t'en fais pas après je m'occuperai de
nouveau de ton petit cul, je vais bien le préparer pour
bien le baiser après".
Mon amant s'assit au bord du lit, il écarta les jambes et je vins m'agenouiller entre
elles.
D'une main je me mis à caresser les testicules de mon amant tandis que prenant de
l'autre main le phallus érigé à sa base je commençai à porter quelques coups de langue
sur le gland turgescent.
Le traitement porta tout de suite ses fruits, le membre s'allongea encore et Jean-
Alain soupira d'aise tout en fermant les yeux.
Pendant quelques instants je titillai le bout durci de cette hampe qui me faisait tant
envie, je glissais la pointe de ma langue dans le méat pour recueillir les gouttes de
foutre translucide qui perlaient.
Jugeant que les prémisses avaient assez duré mon homme posa ses mains sur ma nuque et
me força à engloutir son pénis tuméfié.
J'ouvris tout grand la bouche et j'avalai l'objet de ma dévotion.
Tout en le mordillant légèrement et en l'entourant de ma langue j'entamai une lente
fellation sur le priape dressé.
Longtemps je suçai amoureusement la verge tout en caressant les bourses gorgées de
sève quand soudain mon mec, prenant mon visage entre ses mains, se mit à me faire
monter et descendre sur sa virilité au rythme où il voulait être sucé.
Au bout de quelques instants de ce traitement Jean-Alain bloqua ma tête entre ses
mains et se mit à aller et venir entre mes lèvres en de violents coups de reins disant
chaque fois "Tiens prends ça".
Il était en train de me piner la bouche, sa bite butait au fond de ma gorge chaque
fois qu'il l'enfonçait à fond.
Le résultat ne se fit pas attendre, je sentis le sexe tressauter sur ma langue, il me
sembla que le gland doublait de volume.
Mon amant, plaquant ma figure conte son pubis, éjacula en râlant.
Ses épais jets de sperme crémeux frappèrent mes amygdales et je les avalai avec délice
tout en cajolant de ma langue le phallus qui continuait à se déverser dans ma gorge.
La semence avait un petit goût salé qui ne me déplaisait pas.
Quand le calme fut revenu mon homme me libéra, je me levai et il me dit "Tu sais que
tu suces superbement.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie, on m'a rarement sucé aussi
bien.
- Tu sais quand on suce une bonne bite comme celle là, il
faut s'appliquer.
- Peut-être mais franchement tu suces vraiment bien.
- Je suis content que ça t'ait plu.
- Oui beaucoup, allez viens maintenant il faut que je
m'occupe de ton petit cul.
- Oh oui car j'ai vraiment envie que tu me baises, je suis
complètement en feu.
- Ca va venir, tu vas voir je vais éteindre ce feu.
- Pas trop vite fais-moi bien jouir avant.
- Bien sur que je vais te faire jouir allez viens sur le lit
et allonges-toi sur le ventre en travers du lit".
Je pris la position demandée, Jean-Alain passa derrière moi, il écarta mes jambes et
s'agenouilla entre elles.
Ses mains se posèrent sur mes lobes charnus brûlants et il commença à me masser le
postérieur.
Sous ces attouchements je fermai les yeux et je laissai le plaisir s'insinuer
lentement dans mon corps enfiévré, la bouche avide de mon amant se posa dans le creux
de mes reins et se mis à me butiner.
Au bout de quelques instants mon homme se leva, sa langue râpeuse se posa dans mon cou
et descendit lentement le long de ma colonne vertébrale jusqu'à la naissance du sillon
de mes fesses.
Je me pâmai littéralement sous ces caresses expertes.
Je ne sais combien de temps mon mec m'effeuilla de la sorte, de ma gorge s'échappaient
de langoureux râles de bien-être
Je sentais mon anneau palpiter, je ne tenais plus je voulais que mon amant me pénètre.
Soudain il empauma mes miches et les écarta, sa langue pointue vint de nouveau darder
mon œillet plissé.
Ce contact m'électrisa et un "Aaaaaaaaaaaaaahh" profond pulsa de ma bouche.
Après m'avoir longuement bouffé le cul Jean-Alain m'enfonça lentement trois de ses
doigts dans le fondement tout en les faisant tourner en moi, je sentais mon anus
s'ouvrir un peu plus chaque fois.
Sur mon corps excité à l'extrême le moindre contact sur ma peau me faisait frémir et
la bouche grande ouverte je râlais sans discontinuer, je me cambrai au maximum pour
m'offrir totalement.
Jugeant à mon attitude que j'étais prêt mon amant me dit "Je
vais te prendre maintenant, mets-toi à genoux et penches-
toi en avant jusqu'à ce que tu reposes sur tes avant-bras,
comme ça ton cul sera bien ouvert, et surtout n'aies pas
peur je ne vais pas te faire mal, d'ailleurs avant de te
pénétrer je vais te lubrifier tu verras ma bite rentrera
rentrer toute seule dans ton cul".
J'obéis, Jean-Alain me graissa le trou de balles avec un gel intime le faisant
pénétrer avec ses doigts, il s'en mit aussi sur le gland puis il se mit à genoux
derrière moi.
Il glissa son phallus de nouveau dressé dans la raie de mon cul et le positionna
contre mon anneau affamé.
Mon amant, posant ses mains sur mes hanches, commença à peser sur ma corolle.
Mon mec me maintenant solidement aux hanches continua à me pénétrer avec une lenteur
calculée.
L'intromission de ce magnifique gland tuméfié dura très longtemps mais ce fut un vrai
délice, jamais je ne ressentis la moindre douleur.
Chaque fois qu'Jean-Alain ressentait le plus petite résistance, il ressortait la tête
de son phallus pour m'assouplir la pastille.
Quand enfin le bout durci fut complètement entré dans mon antre, je sentis la hampe de
chair s'enfoncer en moi jusqu'à la garde.
Quand je sentis contre mes fesses bouillantes les poils follets du pubis de mon amant
je sus qu'il était en moi totalement.
Restant immobile pour me laisser m'habi à la fabuleuse présence qui m'obstruait le
fondement mon homme me dit "Alors
tu vois que je ne t'ai pas fait mal, tu sais je suis bien
comme ça, ton cul est bien chaud et il serre bien ma bite,
tu vas voir ton trou va se relâcher et après je vais
pouvoir te limer jusqu'à ce que tu jouisses bien.
- Je sais que mon anneau va se relâcher et que ça va être
géniel, moi aussi je suis bien, je sens ta quéquette
palpiter dans mon cul et j'ai envie que tu me baises.
- Encore un peu de patience petite chatte.
- Non vas-y défonce-moi le cul, fais-moi du bien.
- Bien puisque tu le veux".
Lentement mon mec se mit à aller et venir en moi m'arrachant à chaque passage de
petits cris de douleur qui peu à peu se muèrent en lourds gémissements.
Jean-Alain me possédait de toute la longueur de son sexe le sortant presque
entièrement de moi pour le replonger à fond entre mes fesses la seconde suivante.
Sous les lents mais non moins vigoureux coups de reins que mon amant m'assénait je
sentais le plaisir envahir tout mon être.
Je fermai les yeux et savourai pleinement la montée du désir.
Des boules de feu naissaient dans le creux de mes reins pour venir exploser vers mon
visage, mon anus, complètement éclaté, laissait coulisser la bite qui me ramonait sans
gène aucune.
Mes gémissements avaient fait place à de langoureux râles de bonheur chaque fois que
le membre turgescent se fichait au plus profond de mon corps.
Ce que me faisait subir mon doux tourmenteur était si bon que je me sentais partir un
peu plus à chaque coup de pine que je recevais.
Jean-Alain me possédait avec une régularité de métronome, les mains crispés dans la
chair tendre de mes hanches il me pistonnait de toute la longueur de son phallus
distendu, je planais littéralement sous les coups de boutoir répétés, le corps cambré
à l'extrême je m'offrais totalement.
Je ne sais combien de temps mon homme me pilonna l'arrière train de la sorte, dans la
chambre en dehors de mes râles on entendait les bruits de succion que faisait mon
canal quand il avalait le priape.
J'avais perdu notion de toute chose, pour moi seul comptait le pénis qui me forait les
reins m'ouvrant un peu plus la rondelle chaque fois qu'il plongeait en moi jusqu'à la
garde.
Mes fesses me brûlaient, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans
mon intimité ravagé, jamais je n'avais ressenti autant de plaisir et mes râles se
transformèrent en cris de plaisir.
Mon mec avait posé ses mains sur mes épaules et me besognait plus rapidement, chaque
fois que sa verge roide s'enfonçait au fond de mon cul j'avançais sur le lit.
Je ne vivais plus que pour et par le pieu qui me ramonait le prose.
J'étais si excité que je voulais que mon homme entre tout entier dans mon cul en feu.
Je savais que seul sa biroute raide pouvait éteindre le brasier qui me consumait mais
en même temps je voulais qu'il continue à m'enculer de la sorte tant c'était bon.
Le ventre de mon amant claquait contre mon postérieur porté au rouge à me faire mal à
une vitesse folle.
J'avais l'impression que si il continuait à me baiser comme ça il allait me déchirer
complètement le fion mais je prenais tellement de plaisir à me faire mettre ainsi que
je voulais que jamais il n'arrête.
Je sombrais de plus en plus dans la jouissance sous les violents assauts que mon homme
m'assénait, je n'étais plus qu'un cul à baiser et je hurlais maintenant sans
discontinuer.
Longtemps Jean-Alain m'a baisé de la sorte, j'avais complètement perdu le sens des
réalité et je me suis mis à hurler les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant me balaya, une boule de feu prit naissance au creux de mon
estomac et explosa en milles lueurs sur mon visage.
Un hurlement strident pulsa de ma gorge, je tendis ma croupe vers le membre qui me
tringlait pour accen la pénétration.
Mon corps s arqua puis je perdis connaissance.
Quand je revins à moi j'étais allongé à plat ventre cuisses écartées, Jean-Alain avait
passé ses bras autour de ma taille et me pilonnait l'arrière-train en de violents
coups de reins.
Quand mon mec vit que je n'étais plus évanoui il me dit "Alors
c'est bon ?
- Oh oui continue, baise-moi bien.
- Oui je vais encore te baiser car je me sens comme un âne et
comme ton cul est bon je ne vais pas arrêter.
- Tu me tues !!
- Allez on va changer de position, mets-toi sur le dos je
vais te baiser comme si tu étais une femme".
Mon amant sortit de mon tunnel béant, son membre était souillé de sécrétions intimes
et marbré de traînées sombres.
Je pris la position voulue, mon homme me fit écarter les jambes et se coucha sur moi.
Son sexe se positionna entre mes fesses et d'un puissant coup de reins Jean-Alain
m'enfila jusqu'à la garde me faisant gémir.
Je nouai mes jambes dans le dos de mon mec et mes bras autour de ses épaules musclées.
Prenant appui sur les avant-bras et la tête lovée dans le creux de mon épaule mon
amant recommença ses rapides va et viens entre mes reins.
Le désir un instant éteint après le fade que je venais de prendre se ralluma en moi,
je rejetai la tête en arrière et les yeux clos je savourai la lente montée du plaisir
dans mon être enfiévré.
Au bout de quelques instants, sous les coups de boutoir redoublés, je me remis à râler
chaque fois que le pénis se plantait au fond de moi.
Mon amant me pilonnait l'anus à une vitesse folle, j'avais l'impression que si il
continuait comme ça il allait me déchirer complètement le cul mais c'était si bon que
je voulais qu'il continue indéfiniment.
Tout mon corps n'était plus que jouissance, mes hurlements avaient repris et je me
tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait.
Les puissants assauts que homme m'assénait me faisaient basculer un peu plus chaque
fois dans le plaisir.
Je ne vivais plus que pour et par le membre qui me forait les reins m'ouvrant un peu
plus le trou du cul chaque fois qu'il s'enfonçait au tréfonds de mes entrailles.
Tout à mon plaisir je bramais sous les coups de boutoir répétés.
Les ongles plantés dans la chair des épaules de mon amant je roulais des hanches en
cadence.
Le cul complètement démoli je hurlais comme une louve en chaleur chaque fois que le
puissant phallus s'enfonçait dans mon canal bouillonnant.
Soudain sans que nos deux corps ne se désunissent, mon homme s'immobilisa et dénouant
mes jambes, il les ramena pratiquement le long de mon torse de telle sorte à ce que
mon orifice ressorte au maximum pour augmenter l'angle de pénétration.
Puis il se remit à me posséder en de rudes coups de reins qui chaque fois m'amenaient
au septième ciel.
Je ne sais combien de temps Jean-Alain me baisa de la sorte, son ventre musclé
claquait contre mes fesses portées au rouge à me faire mal.
Les mains posées sur mes chevilles il me possédait de toute la longueur de son superbe
priape, chaque fois qu'il m'enfilait jusqu'à la garde il me lançait des "Tiens prends
ça,
encaisse".
Le bonheur que je ressentais lors de cette enculade était incommensurable.
Je me suis rendu compte que mon mec prenait aussi un énorme plaisir.
Son front était couvert de sueur et il faisait des grimaces pour ne pas exploser
chaque fois qu'il plongeait son priape turgescent dans ma grotte en feu.
J'avais atteint la plénitude rectale, j'étais tel un pantin désarticulé entre les
mains de mon amant.
je sentais en moi se préparer une jouissance intense.
Mon corps cambré à l'extrême s'offrait totalement aux coups de bite qui me défonçaient
complètement la pastille.
J'avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au fond de mon tunnel en fusion Jean-Alain explosa
en râlant.
Son abondant flot de sperme crémeux fusant contre mes parois surchauffées me déclencha
un orgasme dévastateur.
Mes jambes battirent l'air et mon corps s'arqua sous mon homme.
Je tendis mon fessier vers le sexe qui continuait de se vider en moi pour accen la
pénétration.
Mes ongles labourèrent les épaules de celui qui me montait, de ma gorge pulsa un
hurlement strident.
Je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats, bras en croix et cuisses écartées,
savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Je sentis le phallus à demi-flaccide sortir de ma fente béante et mon homme se lever.
Je restai ainsi, totalement obscène, écoutant les dernières contractions du bonheur
sur ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux Jean-Alain était assis sur un fauteuil en train de fumer une
cigarette tout en sirotant un whisky.
Son pénis flaccide, souillé de sécrétions spermatiques et anales, reposait entre ses
cuisses comme un gros ver.
Mon homme me sourit et me dit "Tu es vraiment un bon coup.
- C'est ce que me disent tous ceux avec qui j’ai baisé. Mais
merci quand même
- Tu sais j'ai une grande expérience de la baise aussi bien
avec les femmes qu'avec les hommes et bien tu peux me
croire jamais je n'ai vu quelqu'un baiser comme toi, tu es
vraiment une super baiseuse.
- Merci.
- Non ne me remercie pas, c'est moi qui te remercie tu m'as
donné tellement de plaisir.
- Parce que tu crois que moi je n'ai pas joui !
- Si je le sais, tu m’as labouré les épaules.
- Oh excuse-moi mais tu m'as rendu fou de plaisir, tu m’as
baisé comme un dieu, j'ai cru mourir de jouissance.
- Tu m'en vois heureux, je suis content que tu ais aimé.
- Aimé ? Mais le mot est faible, tu m'as fait jouir comme
une folle.
- Toi aussi ma petite chérie tu m'as donné énormément de
plaisir, tu as vraiment un cul de rêve, ta bouche aussi est
super mais ton cul il n'y a pas de mot pour le décrire.
J’adore quand tu parles de toi au féminin
- C’est normal, qu’est-ce que nous venons de faire, on vient
de baiser mais c’est bien toi qui était l’homme et moi la
femelle, c’est bien moi qui a reçu tes coups de bite dans
le cul, c’est bien toi qui m’a possédé donc c’est normal
que je parle de moi comme d’une femelle. Merci aussi pour
ce que tu viens de dire, ça me touche beaucoup d’entendre
que ma bouche et mon cul sont sublimes.
Tu sais toi aussi tu es un super coup et ta bite est
magnifique
- Merci.
- Mais de rien, tu sais ce que j'aimerais.
- Non.
- Recommencer.
- Tu veux dire….
- Tout simplement que j'ai encore envie de te sucer la bite
et qu'encore tu m'éclates le cul plusieurs fois.
- C'est vrai ?
- Oh oui je veux passer le reste de la journée et la nuit au
lit avec toi et que tu me bourres bien le fion.
- Mais ce sera avec plaisir, je vais aller me laver la bite
et ensuite tu vas me faire une pipe royale.
- Bien sur mais avant d'aller te laver, sers-moi donc un
verre.
- Bien sur ma petite chérie mais après j'aimerais que toi
aussi tu te laves le cul.
- Bien sur mais j'ai soif et envie de fumer.
- Tiens je vais te servir".
Jean-Alain m'alluma une cigarette et me servit un verre.
Il alla dans la salle de bains et revint tout propre.
Quand j'eus fini de boire et de fumer je me levai et partis me nettoyer.
Quand je sortis de la douche mon corps avait de nouveau une propreté toute suédoise.
Jean-Alain me prit encore deux fois et je le suçai autant.
Il fit monter le dîner dans la chambre, après avoir mangé nous refîmes l'amour
jusqu'au petit jour.
Pendant ce temps il me baisa cinq fois me faisant jouir merveilleusement à chaque
fois.
Quand nous nous arrêtâmes, rompus de fatigue, j'étais rempli de sperme de la tête aux
pieds et j'avais l'anus complètement éclaté et un peu douloureux.
Le lendemain, au réveil, mon trou était encore enflé, légèrement douloureux et un peu
ouvert, je pris une bonne douche et un bain de siège puis nous partîmes en direction
de l'aéroport.
Cette nuit là je dormis comme une masse et quand je me levai le lundi matin mon anus
était refermé et ne me faisait plus du tout mal.

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