Soumise À Mon Gendre Suite (Partie 2)

Soumise à mon gendre (partie 2)

Mon gendre a donc habilement su m'attirer dans sa toile...

Maintenant que l'aveu est fait je ne sais pas où commencer.

Je crois que la chronologie sera plus simple et non dénuée d'intérêt à la condition que je m'applique à me souvenir de la croissance de l'intensité de mon dressage à devenir une soumise telle que mon gendre la désirait.

Il me faut toutefois revenir un peu en arrière, car la séance de tatouage, dont je n'ai fait que transmettre ma lettre de résignation à Mon Maître, n'est pas venue sans une hésitation toute légitime, eu égard à notre entourage familial qui n'aurait pas compris comment une maman et épouse modèle, en serait arrivée à se dénuder le sexe et le tatouer.

Donc, à l'issu de cette deuxième invitation à déjeuner qui a tourné à mon initiation sexuelle de soumise, et à la suite de laquelle j'ai dit à mon gendre que j'accepterai tout de lui, je pensais bien sûr plus à mon dressage qu'à cette marque de lui qu'il me faudrait porter en signe de mon engagement, ce d'autant plus que les esprits revenus, l'idée même du piercing m'était réapparue comme une pure folie.

Mais revenons à la suite de mon histoire. J'en profite ici pour remercier mes lecteurs et lectrices sans lesquels je n'aurai pas osé poursuivre.

En rentrant le soir de ma première initiation, souillée, pleine de son sperme, la bouche avec le goût de son sexe, les orifices encore sous les effets des pénétrations et surtout mon anus qui était devenu quelque peu douloureux, il a fallut l'aplomb et la persuasion de mon gendre pour faire avaler à ma fille et à mon mari la panne de voiture et surtout capter leurs esprits pour me laisser le temps de me faufiler jusqu'à la salle de bain car, j'en suis sûre, ma fille n'aurait pas été dupe...

Même après une douche et une remise en état drastique, j'avais encore l'impression que tout était écrit sur mon front.



Pourtant, une fois couchée et à la faveur du silence de la nuit, l'excitation reprenait le dessus.

J'entendais les propos effroyables de mon gendre au sujet de mon mari alors que celui-ci manifestait ses intentions. Le noir cachait ma honte mais en rien la folie de ma chatte en chaleur qui m'obligeait à écarter les cuisses, même si je savais que j'en sortirai frustrée.

Mon mari a toujours aimé lécher mon corps mais moi pas le sien. C'est un homme que j'ai sans doute limité dans ses tentatives et ses ardeurs et je le regrette avec sincérité mais que faire quand on est jeune avec une éducation des années 60 à 70 où internet n'existait pas et où le sexe était encore un sujet tabou.

Toujours est-il que ce soir là il a voulu me lécher et je l'ai laissé venir avec un plaisir tout nouveau amené par les propos de mon voyou de gendre me dictant de mélanger son sperme à celui de mon mari... je jouissais de le lui faire lécher.

La perversité de mon gendre me suggérait follement, j'en avais honte et j'étais fière à la fois... un paradoxe terrible entre cette brûlure de satisfaire ce salaud qui jouait avec ma libido comme on joue avec une poupée, et ma morale de femme digne et respectueuse des belles valeurs reçues de ma famille et perpétrée par mon mari.

J'ai dû contenir mon plaisir pour ne pas éveiller les soupçons de mon mari qui ne m'a jamais connue aussi réceptive.

Épuisée par deux nuits agitées et une journée torride, je trouvais heureusement le sommeil réparateur dont mon corps et mon esprit avaient cruellement besoin.

Au réveil, tardif, mon mari déjà parti, je croyais sortir d'un rêve et que rien n'avait existé.
Je me levais avec les pensées un peu embrouillées et c'est la corbeille à linge qui vînt hurler sa vérité : jupe honteusement tâchée, pas de culotte et d'un seul coup l'angoisse que ma fille l'ai trouvé dans la poche de son mari... Et la voiture...

Ce fût l'ouverture de la porte d'entrée et la voix de Thierry qui me cueillait ainsi perturbée :
Jolie maman, prête ?
Nous devons faire route ensemble ce matin vous savez ?
Je ne suis pas en avance.


Ma fille d'ajouter juste :
Bisou maman, je file, à ce soir, je passe prendre le pain
Bisou ma chérie... lui réponds dis-je abasourdie

Je descendis l'étage avec les jambes tremblantes.
Je me suis regardé et j'ai senti immédiatement que je ne serai pas en tenue pour Lui plaire.
Dés la première minute sa présence me transperçait alors que je ne Le voyait pas.
Je pris sur moi de descendre jusqu'à Lui.
La sentence ne se fît pas attendre.

Comment es tu vêtue !
N'as tu pas honte ?
File te changer Brigitte !
Fais honneur à Ton Maître...

Je ne pus que Lui dire
Oui Maître

Attends !... Lança t'il
Approche

Je vins timidement jusqu'à Lui.
Il ouvrit mon décolleté, en sortit mes seins, passa sa main sous ma robe et effleura ma vulve
Agenouilles toi
...
Suce Ton Maitre

Je m'exécutais, oubliant l'heure, mes devoirs, le lieu, les risques, je m'appliquais au mieux et j'en étais toute fébrile en pensant que je l'avais déçu en n'étant pas vêtue à son goût.

Il m'a ensuite ordonné de me tourner, de relever ma robe, de Lui tendre mon cul, en prenant soin toutefois que mes genoux posent sur le tapis du salon.
Tends ton cul salope
Il me gifla les fesses, m'arrachant un cri de surprise plus que de douleur. Personne ne m'avait frappé avant ce jour.
Thierry doucement s'il te plait. Osais-je lui demander

Comment doucement, tu discutes alors que tu te présentes en souillon !
Et il frappe à nouveau en doigtant ma chatte déjà trempée et en demande, se crispant sur ses doigts avec la surprise de ses gifles, me procurant un trouble curieux d'excitation.
Tu es vraiment une chienne jolie maman...
Ta chatte me suce et tu gémis comme une truie
Tends ton cul je te dis
Obéit

Je voulais lui répondre mais ma gorge nouée ne pouvait sortir aucun son et je sentais que ma protestation ne servirait à rien.
Il enfonçait ses doigts, me fessait ou plutôt me corrigeait de l'avoir déçu et je lui offrais ma croupe avec application pour me faire pardonner...
Étais-je lucide ?
Qu'étais-je en train de devenir ?
Il était en train de m'introduire l'anus en s'aidant de gel qu'il avait dû prévoir... ce salaud...

Des larmes et des sanglots vinrent me submerger tandis que mon anus était rempli par
un plug dont je ne connaissais même pas l'existence avant ce jour.

Mon Gendre de répondre
Tu pleures jolie maman
Oui Thierry... j'ai honte

Il s'assit sur le canapé en jetant son jean du pied, le sexe tendu comme une lance.
Viens
Je vais te consoler
Approches

En le regardant, il me fît venir à genou, entre ses cuisses écartées, essuya les deux larmes glissant sur mes joues, me mit la main sur la nuque et me guida vers son pieu tendu que je pris en bouche. J'ai voulu baisser les yeux mais il me remonta le menton.
Suce en me regardant
Et mets tes mains dans le dos

Je m'exécutais mes yeux dans les siens.
Voilà jolie maman
Bieeennnn
Suce
Tu aimes ça
Réconfortes toi
Appliques toi bien
Tu n'es pas bien comme ça ?
La bonne queue de Ton Gendre en bouche...
Voilà...
Laisses toi aller
Garde tes mains dans le dos... je vais te les attacher et tu te laisses faire
Bien obéissante
Voilà Brigitte...
N'ai pas peur
Suce

Il se pencha pour saisir mes poignets que je m'efforçais de garder joint dans le dos tant la peur me tiraillait mais celle de le décevoir à nouveau était bien plus grande encore.

Il me passa des menottes et je fermais les yeux pour le sucer avec amour et le laisser me posséder comme bon lui semblerait. Mes forces me quittaient, la pénétration anale commençait à me procurer du plaisir et je recommençais à gémir doucement. Il m'enfonçait sa queue, je le laissais prendre possession de ma gorge, il se retirait, puis revenait, il me dressait à sucer, je m'appliquais, le plaisir montait et plus il m'envahissait et plus il pouvait me posséder, il pinçait mes pointes de seins doucement puis plus intensément, mes poignets tenus dans le dos ne me gênaient plus, mon corps entier était en train de Le suivre, de Lui Obéir

Bien Brigitte
Génial
Maintenant tourne toi à nouveau et donne moi ton cul

J'ouvris les yeux et après un regard de consentement mélangé de reconnaissance je repris ma place en sachant que de nouveau il me fallait endurer la fessée mais je me sentais en mesure de Lui accorder en Lui faisant confiance puisque mes larmes l'avaient retenu.


Il se remit à me masturber et ma vulve réagissait à la moindre sollicitation.
Il enfonça le plug anal, le retira, puis le remis.
Maltraitant mes orifices, en m'insultant à nouveau, il se remit à me fesser doucement puis de plus en plus fort.
Salope
Applique toi
Il faut que je te dresse à devenir une bonne chienne

Il conjuguait la fessée avec la pénétration de mes orifices qui emprisonnaient leurs occupants par des contractions que provoquaient les gifles... J'étais à nouveau au bord des larmes... Je sentais mon corps me quitter, venir à Lui, il en jouait tel un marionnettiste qui donne vie à sa poupée... Le trouble était immense... J'ai commencé à ne plus sentir que les contractions de mon vagin et de mon anus sur leurs occupants... Il le voyait
Allez Brigitte
Tu y es
Tu viens
Tu es une bonne salope mon amour
Tu deviens une bonne putain
Ton cocu de mari ne sait pas ce qu'il perd
Traite moi de salaud
Ca va te faire lâcher des dernières prises

J'obéissais...
Salaud thierry
Tu aimes ça jolie maman
Ouiii salaud
Tu apprends à aimer te faire dresser
Ouiiiiiii salaud
Biiieeeennnnnn maman.... Bieeennn
Je vais t'enculer un peu maman avant d'aller au boulot, mais je ne vais pas te faire jouir
Il faut que tu apprennes encore.
Salaud thierry
Pourquoi ?.... Tu veux jouir ?
Ouiiiiii....ouiiiii ordure....
Tu aimes te faire enculer Brigitte
Oui, oui, ouiiiiiiii...

Il se mit à me frapper à me faire mal mais le désir était si fort que j'acceptais tout et je retendais ma croupe juste après m'être rétractée par la douleur... Il enlevit le plug, se mit accroupi au dessus de ma croupe et enfonça son pieu dans ma rose dilatée...
J'ai exprimé à pleine gorge mon soulagement de le sentir s'enfoncer en moi...
Il est ressortit et m'a renfoncé aussitôt...
Ne jouit pas
Je te l'interdit
Attention Brigitte
Obéit
Non, Nooonnnn... Non je ne peux paaasssss

Je sentais venir mon orgasme et ma chatte prête à éjaculer...
Il me giflât avec force
Obéit je te dis sale truie
Il frappa encore sur mes deux joues... L'effet de surprise fût tel que l'orgasme n'est pas venu
Contrôle toi
Réponds
Oui Maître

Je me remis à pleurer et il continua à me sodomiser.
Je le sentais parfaitement.
Il se masturbait en moi et allait se faire jouir en m'interdisant de le faire avec Lui
Bieeennn jolie maman
donnes moi bien ton cul
voilà
encore
bien
je viens
je vais jouir
sens bien ma queue et apprivoise là
tu es merveilleuse

J'étais heureuse de le sentir et de pouvoir Lui donner Son plaisir...
C'était Lui... Il m'apprenait à Lui appartenir...
Je comprenais que je n'étais qu'une égoïste...
Que c'était à Lui de décider...
Je me donnais dans une béatitude inexplicable...

Depuis c'est Lui qui décide si je dois jouir ou pas...
Et quand il m'autorise, mes orgasmes sont des déferlantes, mon squelette lui même en est secoué.


Il se fait tard...
Je poursuivrais pour en venir à mon tattoo
Bien si vous souhaitez que je continue à vous raconter ma vie :-)
Merci à vous
Un échange avec une femme m'enchanterait

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