Un Ciné Qui Fini En Queue De Poisson....

J’ai enfin décidé mon mari à m’accompagner voir un film d’auteur, un vrai film, avec des idées et un message, autre chose qu’un J.Bond.
« Mais il dure plus de deux heures ! » s’exclame-t-il quand il voit le panneau d’affichage, et alors lui dis-je dépêche toi, c’est bourré mais j’ai déjà nos places. Effectivement c’est bourré, mais dans une petite salle il y a moins de places.
J’ai quand même repéré un mini rang de trois places qui reste en haut, nous nous y plaçons, M contre le mur, moi au milieu et une place pour les affaires comme on dit. Les lumières commencent à baisser quand j’entends une voix qui demande « c’est libre ? » et une ombre désigne la place restante. Je récupère les manteaux, je donne le sien à mon mari et je mets le mien en travers sur mes genoux. L’importun ôte aussi son manteau et s’installe en me détaillant sans pudeur.
Le film commence, et me captive, ce qui n’a pas l’air d’être le cas de mon chéri qui bâille à s’en décrocher la mâchoire, et pique peu à peu du nez ; je le pousse un peu contre son mur, et il s’y cale.
Quelques minutes plus tard, je sens la jambe de mon voisin se coller contre la mienne, que je recule aussitôt, mais il revient à l’attaque et ma jambe est coincée, je ne peux pas aller plus loin. Je le regarde avec des yeux furibonds, mais il me sourit simplement et se retourne vers l’écran.
Je suis le déroulement du film avec passion quand de nouveau mon voisin s’agite, se tourne un peu sur son siège et je sens sa main, sous les manteaux qui vient caresser ma cuisse. Un peu paniquée, je me tourne vers M pour trouver du secours mais maintenant il a la bouche un peu ouverte et somnole et se préoccupe peu de ce qui se passe.
Je prends la main qui me tient la cuisse et la redonne à son propriétaire, qui de nouveau me regarde en souriant, tellement impressionné que deux minutes plus tard elle est de retour sous les manteaux. Comme je ne fais rien cette foi-ci, la main se met à me caresser le dessus de la cuisse, doucement, sans agressivité, et elle est tellement chaude…qu’elle me transmet sa chaleur, surtout quand elle dépasse la lisière de mes dim-up qu’elle descend même pour avoir plus de peau à caresser.


Le film commence à perdre de l’intérêt, la situation commence à m’exciter ; j’écarte un peu ma jambe pour faciliter l’accès et mon explorateur en profite pour glisser sa jambe dessous et me la relever.
Comme il sent la partie bien engagée, il enlève sa main de sous les manteaux et la glisse par dessus l’accoudoir, de mon côté, passe sous mon bras et descend directement sur mon entre-jambe.
Le dormeur qui s’agite interrompt un instant la conquête, mais je sens à nouveau les doigts qui agissent ; doucement, ils agrippent ma robe que je sens remonter sur mes cuisses jusqu’à mon ventre et là, ils plongent par-dessus l’élastique de ma culotte et viennent s’immiscer entre mes lèvres déjà humides.
La situation est absolument délicieuse, je suis branlée en publique par un inconnu, à l’insu de mon mari. Je mouille en abondance et on entend parfois des petits clapotis indiscrets. Je me retiens de ne pas gémir, et c’est difficile. Comme il doit trouver que l’accès n’est pas encore assez dégagé, sa main fait glisser ma culotte de chaque côté et je me tortille en douceur pour l’aider ; l’obstacle est bientôt à terre.
Je regarde mon agresseur qui n’est pas mal du tout, la quarantaine joyeuse et le regard pétillant et comme maintenant on entend ronfler, je n’hésite pas à lui donner ma bouche et ma langue.
Voyant la bataille bien engagée, il n’hésite pas à mettre ma jambe sur l’accoudoir entre nous deux et plonger une main conquérante dans mon puits d’amour qu’il besogne pendant de longues minutes , deux doigts sont dans mon vagin et il fait passer et repasser son pouce sur mon clitoris tout gonflé et me fait exploser en silence. Il a bien senti mes contractions et le jus sur ses doigts, il me regarde et me demande avec un petit sourire « satisfaite ? », puis il se réinstalle sur son fauteuil.
Comme je le regarde interrogative, il prend ma main et la pose sur sa braguette distendue par une bête qui voudrait sortir et comme j’aime bien les animaux, j’ouvre la porte.
Quelle belle pièce ! j’en faits à peine le tour avec la main, elle est toute chaude. Je commence à lui prodiguer un lente caresse en serrant bien mes doigts et ses soupires confirment la qualité du travail. Au bout de quelques minutes, je sens l’animal qui veut se cabrer, je connais ces signes avant coureurs, je me penche par dessus l’accoudoir et prends la tête dans ma bouche en accompagnant ma main, elle sent bon le propre et est épilée. Et ce qui devait arriver arriva, deux mains se bloquent sur ma nuque et une vague chaude envahit ma bouche, que j’avale goulûment. Je passe quelques coups de langue pour fignoler la prestation, dont je suis particulièrement satisfaite.
Mon charmant voisin se rajuste, me fait une bise sur les lèvres, me dit merci et s’en va ; moi je mets ma culotte dans ma poche et je me réinstalle en réfléchissant aux opportunités qu’on peut rencontrer parfois.
Le film fini, je secoue le dormeur et nous rentrons calmement a la maison, et je reste sur ma faim….

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