Deux Culs Pour Une Queue

Ce matin c'est programmé depuis deux jours, Vincent viens me rejoindre pour 9 heures. Ce beau mec brun 1,80 mètre, tout début de quarantaine est bi. Il ne s'en cache pas et lorsqu'il fait un plan avec un mec , sa femme est au courant. Cela clarifie bien les choses. Son trip est de sucer les membres épais, et surtout il est actif et bien monté. Je prends ma douche et j'entends le bip de mon téléphone. Je me sèche et sors au moment ou on frappe à la porte. J'entends des murmures dans l'escalier. Je devine qu'il vient de croiser la femme de ménage. Étant nu j'ouvre la porte en me dissimulant derrière pour faire écran.

Il est magnifique avec ses yeux bleus sa barbe de trois jours et son jean qui le moule à merveille. Il entre, je referme. Je me frictionne avec la serviette tandis qu'il entre dans le salon. Quelques mots échangés et le voilà qu'il se déshabille. Chacun sait pourquoi il est là. Nous consommons le sexe l'un comme l'autre, sans fioriture. Le temps que je retourne à la salle de bain. Il baisse son boxer et nous nous étreignons. J'adore caresser son beau corps finement musclé. Vincent fait 65 kg pour 1,80, il a un superbe torse avec quelques poils clairsemés autour des mamelons. Et une fine ligne de toison qui part de son nombril pour s’arrêter a cinq centimètres de son service trois pièces. Et là je vous dit pas, ou plutôt si je vous raconte. Sa bite est bien bandée en arc de cercle, elle remonte bien dure et veinée en l'air. Un vrai appel à la bouche. Son sexe fait 20-21 sur 4 de diamètre, soit 1cm5 de plus que le mien mais le mien fait 1 de plus en diamètre. Pour l'instant son sexe n'est pas complètement déployé. Nos lèvres et nos bouches se soudent et se sondent, nos langues se collent et virevoltent. Il s'assoit dans le canapé et je viens m'agenouiller pour prendre son sexe en bouche. Ma bouche gourmande le gobe et commence sa ronde sur toute la peau. Le mandrin de Vincent gonfle dans ma bouche.

J'adore cette sensation de faire grossir un zob dans ma cavité buccale. Bien souvent lors de nos précédents échanges, il était complètement bandé et je n'avais pas eu l'occasion de le faire. Aujourd'hui je suis chanceux. Je ne sais si c'est l'heure qui était moins propice qui a conditionnée sa «petite forme» de départ?

En tous cas je me délecte de ce beau membre qui sort de sa léthargie. Le voilà soudainement bien en forme. Je le retrouve. Je pointe ma langue pour titiller son méat. Puis mes lèvres l'aspirent et ma langue le lèche sur toute sa surface. Je lève les yeux vers lui. Les siens sont mi clos, il savoure en se pinçant les lèvres. Quel beau mec! C'est divin! Il ouvre les yeux désormais et me regarde. Il a ce regard viril du mec dominant. Il me toise avec son membre ferme, et je lui donne du plaisir au travers des chuintements qu'il prononce. Pendant ce temps mes mains titillent chacune un mamelon. Je sais qu'il adore donc je ne m'en prive pas.

Par moments lorsque la pointe de ma langue titille la fente du méat, j'aspire en enserrant son gland. Et là je peux vous dire que mon Vincent il décolle. Sa pine fait des soubresauts, et il pousse un petit cri de plaisir. Et cela le fait bander encore plus. Et comme je suis un peu sadique je profite de ce moment pour relâcher ma prise et laisser son sexe reprendre l'air. Sa bite par le rejet de ma bouche retombe brutalement et fermement sur ses abdos et sans y mettre les mains, mes lèvres viennent la reprendre en bouche pour l'enfoncer au fond de ma gorge. Et je le sens dépendre de mon étreinte buccale. Le voilà qu'il s’abaisse un peu plus dans le canapé. Mes mains caressent maintenant le beau fessier que j’aperçois. Je ne sais plus à quoi donner ma préférence. Je viens dans un premier temps suçoter ses boules l'une après l'autre. Elles ne sont pas très grosses mais je ne peux les gober ensemble. Alors je joue avec la droite . J'aspire, je lèche, je mordille, je la fais rouler dans ma bouche , puis je passe à la gauche et lui fait subir le même traitement.
Vince couine, et je fais remonter ma langue tout le long de sa colonne de chair pour aspirer son gland et redescendre. Maintenant je vise sa fente en plus de son scrotum. Et le voilà qu'il palpite à l'idée de savoir que je vais venir lui brouter la rondelle. Car sa position n'est pas anodine. Il l'espère tout en le redoutant. Et voilà nous y sommes ma langue tourne autour de son trou après avoir lentement parcouru le chemin qui me mène de son gland à son trou.
Sa bouche m'appelle. Je me redresse et nos bouches se mêlent. Que dire: elles se dévorent. Le voilà qui fait couler un filet de salive dans ma bouche. Je prend le relais et lui rend la pareille. Nous faisons cela pendant plusieurs minutes. Avant de nous embrasser langoureusement. J'enserre l’arrière de son crane et le maintien soudé pour s'embrasser fortement. Quel bonheur, quel plaisir. Puis je redescend pour retrouver la place que j'occupais auparavant.

Je crache pile face à son trou et ma langue étale ma salive en perçant la belle corolle sombre qui frétille à chaque poussée. Vincent est dans un état second. «J'adore qu'un mec me bouffe le cul, c'est trop bon». Vous pensez bien que de tels encouragements ne font que me motiver. Et je mordille légèrement ses fesses avant de plonger langue en avant dans son trou. Et je suis les contours de sa rosace qui est maintenant bien dilatée. Mes doigts se font inquisiteurs à leur tour. L'index titille, je recrache pour humidifier, il entre et je lui fait faire tout le tour. Puis le majeur le suit et j'entends Vincent éructer. Et je masse sa prostate. Mon vit est dans une raideur à m'en faire mal. J'ai trop envie d'y aller. Et la position de plus en plus allongée de Vincent, m'encourage à aller lui fourrager l'intérieur avec mon zob. «viens», me dit il alors. Pour un actif je le trouve bien inspiré. J'étale le gel, ouvre le préservatif et mon sexe turgescent se présente face à sa fente bien ouverte. «Doucement, hhhoooouuu, oui en douceur».
J'ai introduit uniquement mon gland, une de ses mains est passée sous ses fesses et m'enserre les bourses et me maintient la verge pour m’empêcher d'aller trop profond. Vincent mène la cadence, et tout en soupirant il commence à faire aller et venir en douceur ses fesses sur mon mandrin.
«oh putain que c'est bon», c'est le signal, je sais qu'il kiffe et j'entame moi aussi des vas et vient au moment ou il relâche prise. Je m'avance pour entrer deux tiers de ma queue. Et je le lime gentiment en progressant. «Whhaaa», lance t'il au moment ou je butte au fond de son trou. Et j’accélère. Il ferme les yeux comme s'il était sur une autre planète. Avec une expression de béatitude qui me donne encore plus d'énergie. J'ai attrapé ses hanches et je me déchaîne en lui . Ses jambes posées sur mes épaules. Je le pilonne à fond. Et il pousse de petits cris. «Attends, attends» ajoute t'il. Je décule , il se tourne pour se mettre en levrette la tête posée sur le haut du dossier du canapé. Et je reviens à la charge. Mon sexe entre désormais à merveille dans son puits bien ouvert. Et je donne de grands coups de reins. A chaque poussée il pousse un rauque. Il est haletant , cela le ravi. Il se remet de nouveau sur le dos et c'est reparti.

«Oh la vache, c'est trop bon» Je maintiens fermement ses fesses et je regarde en baissant mes yeux, ma tige qui s'enfonce et se retire en partie pour replonger dans l'antre de ce mâle. Et je branle son membre vigoureux. D ailleurs cela m'étonne qu'il bande alors que je le sodomise. Au bout de quelques allers retours de mon poignet. Il se raidi. Un cri strident s’élève. Vincent joui, ses abdos se contractent. J'admire ses tablettes de chocolat et en quatre à coups il se libère, une belle crème blanchâtre macule ses pectoraux. Il y a même un jet qui a atteint son cou. Je me retire et ôte la capote. Mes mains prennent le relais et en quelques secondes je me libère à mon tour, sur le torse de mon partenaire.
Nous rions ensemble.
Vidés mais heureux. J'ai du mal à me redresser. Nos bouches se lient à nouveau. Puis je vais chercher de l’essuie tout pour permettre à mon partenaire de se redresser. Je lui propose de l'accompagner à la douche mais il refuse. Le temps est compté. Nous venons de passer une heure à nous donner du plaisir. Tant pis il ne me prendra pas aujourd'hui. Pourtant j'aurais tant aimé subir le même traitement. Car croyez moi c'est un sacré limeur aussi. Mon actif prend de plus en plus goût à la passivité. Pas grave on remettra ça. Il prend congé après avoir bu un verre.

Je vaque à mes occupations et j'entends mon tel vibrer. C'est un mec qui s'appelle Steph avec qui j'ai échangé sur le net. Il habite à quelques kilomètres. En fait c'est un bi marié qui a besoin de se faire prendre. Son trip est de se travestir. Dans un premier temps je suis assez réfractaire à cela. Il insiste, il a 35 ans, m'envoie sa tof. Je découvre un beau gosse barbu, brun qui fait viril. Il m'explique qu'il se change sur place, mais qu'il a trop envie de se faire ramoner. Il m'en faut pas beaucoup pour accepter et à midi pétante, il sonne.

J'ouvre et suis encore plus convaincu en le découvrant en chair et en os. Il passe dans la salle de bain et en ressort vêtu d'un chemisier noir en dentelle et d'une robe violette avec un collant noir. Il m'embrasse avant de laisser ses mains parcourir mon corps au travers de mes vêtements. Moi j'ai commencé par caresser son boule et ses jambes. J'avoue que le nylon du collant m'excite quelque peu. Et il frotte son torse et sa taille pour sentir la raideur de mon sexe. C'est sa main qui suit le contour de mon sexe au travers de mon jean. Il mesure 1,70 pour 60 kg. Je passe la main sous la robe. Lui a déjà attaquée ma braguette. Ses doigts s’insèrent dans mon boxer. Mon sexe cherche a se déployer. Il baisse le tout en même temps : le jean en ouvrant le bouton et le boxer en agrippant le tissu. Il s'agenouille et sa langue tendue il sonde ma tige. En bonne salope il a vite fait de l'engloutir en poussant de petits gémissements de ravissement. Moi j'ai passée ma main sous le chemisier. Il porte un soutien gorge. Sa peau est douce, presque imberbe sur son corps. Seules ses jambes sont velues, mais je ne peux caresser qu'au travers du collant. Il porte un mini slip et je palpe un petit kiki ridicule au travers du tissu. Peu importe je vais le baiser. Il est venu pour ça. Il se redresse tout en gardant ma queue dans sa bouche. Le corps en deux comme cela je peux accéder à son fessier. Je baisse le collant et le mini bout de coton pour malaxer ses deux quartiers. Et je lui mets une petite claque sur son cul pour le stimuler. Il remue de la croupe. Cela lui convient et j'essaye d'entrer mon doigt. Oh qu'il est serré. Je vais m'amuser, je pense à ce moment là. Je prend le gel et commence à lui arroser la fente pour ensuite y plonger mon majeur. Je le sens tressaillir et céder sous le traitement de mon doigt. «Tu me déshabille pas plus , je ne montre pas mon corps complet» Ajoute t'il. « Oh viens me baiser» me dit-il, en branlant mon sexe. Il me fait allonger sur le lit sur le dos, car nous avons gagnée la chambre et viens se mettre à califourchon.
«Je gère maintenant » Il me fait face et descend sur ma colonne en trois étapes. Je ne bouge pas de peur de lui faire mal. Les jambes bien écartées, il vient s'empaler en douceur, les genoux fléchis, et le voilà qu'il fait un tour complet sur ma bite. Puis en se mettant au dessus de mon flanc gauche il s’emboîte. Punaise je suis tombé sur un acrobate me dis-je. Et le voilà qu'il se défonce la chatte sur mon pieu. Puis il descend du lit me demande de me rallonger le long du lit. Il a une jambe au sol, il se tiens debout, et écarte ses jambes et revient s’emboîter. Et sa croupe est en chaleur, il y va en cadence soutenue.

Je n'ai jamais eu à faire à une telle chaud-asse. Je souhaite le prendre en levrette et lui en fait part. Il revient sur le lit et je viens le prendre à quatre pattes. Et je le lime en profondeur et à chaque fois que je tape le fond. Il couine. J'écarte mes jambes arrières et positionne mes bras a hauteur de sa tête et jambes tendues. Je laisse tomber mon corps puissamment sur lui. Mes deux paumes bien appuyées sur la couche. Ce sont mes hanches qui donnent toute la puissance. Et je tape fort. Ma bite le ramone. J'en veux encore et lui aussi donc je le retourne, car je veux voir son visage aussi. Je le prends en missionnaire et lui écarte ses jambes pour bien l'éclater. Sa petite bite sort du tissu. On croirait le sexe d'un gamin. Et je me plante jusqu'à la garde pour lui donner un max de coups dans son fion. Mes burnes tapent son entre-cuisse. Son visage exprime en même temps du plaisir et de la consternation. «Tu es une sacrée salope, t'aime sacrément la bite toi...». «J'aime trop ça oui!» Telle est sa réponse. Je sens que mon sexe dégonfle, je suis fourbu par ce rythme saccadé. Je me retire et viens me branler au dessus de son visage. Il astique son sexe qui a un peu grossi mais qui me semble toujours ridicule et au moment ou je décharge. Il jute également. Ma crème est tombée dans sa barbe. Lui a joui sur son ventre. Ce moment fut particulièrement agréable. Je suis transpirant. Nous récupérons . Avant de partir il me confie que sa femme se donne très peu à lui. Et qu'il a envie de vivre ses fantasmes et a de gros besoins. Au départ on baisait et maintenant c'est une corvée pour elle. Il va voir les mecs, mais ne la quittera jamais rajoute t-il. Je pense que c'est sa façon d'expier.

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