Sylvia

Sylvia .
NAT-LM ( Mai – 2013 )



Il nous avait promis de nous la présenter, il a tenu parole. À 25 ans, notre fils Sacha établi à Lyon depuis quatre ans n’avait jamais amené de fille à la maison. Pourtant il devait avoir du succès. Il est beau, brun, cheveux courts frisés, visage fin, de beaux yeux bleus, presque grand 1m75, j’en suis très fière, d’autant plus que tout le monde dit qu’il me ressemble … pas de fausse modestie !

Mon mari Daniel, 48 ans, bel homme, grisonnant, à peu près même taille, un peu plus enrobé, extrêmement sympathique … autant qu’archi- nul au lit !!… seulement j’avais des principes, frustrée mais fidèle … à ma manière !!
Depuis longtemps, à vrai dire depuis toujours, aucune initiative la moindrement fantaisiste dans nos rapports, mais quand il ressent le besoin de se purger, je suis toujours là, je fais semblant d’aimer !

Moi, Camille, 46 ans, épouse un peu bourgeoise. Tous les deux, nous formons un couple qui fait l’envie de beaucoup, mais seulement en apparence, car même lui ne le sait pas, il y a une autre Camille, la cachée, la discrète, l’impudique qui jouit du sexe sans retenue, mais pas avec n’importe qui ! … et surtout, pas avec lui !!

Quand j’ai vu cette fille, j’ai eu un choc, ressenti au fin fond de mon sexe. Si j’avais été un homme j’aurais eu une érection brutale, violente. Je me suis sentie instantanément la culotte trempée et une envie folle de me toucher. Elle me fascinait … mais habituée à donner le change je réussis à cacher mon trouble et c’est sans émotion apparente que je l’ai embrassée. Vous l’avez deviné, j’aime les femmes, et Dieu qu’elle était belle !
Une magnifique chevelure brune, souple, brillante qui tombait sur ses épaules et encadrait un beau visage ovale, des grands yeux verts, brillants, un peu en amande, un nez très légèrement retroussé qui lui donnait un air coquin, une bouche large bordée de lèvres charnues discrètement colorées d’un rouge sensuel, légèrement entrouvertes, comme une invite à y entrer, une moue à la Bardot (d’il y a longtemps!), vous voyez ce que je veux dire ! Un corsage blanc et rose, une jupe en toile légère, juste au-dessus du genou, fine comme de la soie, avec des motifs imprimés ton sur ton, en vert pâle, représentant des feuilles et des brins de muguet … et ses mains … des mains blanches, délicates, faites pour les caresses, aux doigts fuselés, avec des ongles du même rouge que sa bouche, gracieusement posées sur la ceinture élastique de sa jupe que des hanches un peu larges empêchait de glisser … des doigts qui semblaient esquisser un effleurement vers le haut de ses cuisses, pendant qu’entre les miennes, ça devenait de plus en plus humide …

Comme pour ajouter à mon trouble, un coup de vent complice a remonté la jupe en haut de ses cuisses, et l’a plaqué si fort sur son postérieur, que malheureusement, sans voir ses fesses, je les devinais sans peine, le tissu étant quasiment incrusté dans la raie.

L’absence de relief, de dessin, était le signe qu’elle ne portait pas de culotte ou alors un string, cette ridicule ficelle facile à tirer sur le côté pour écarter, humer et fouiller. Ses cuisses, blanches, paraissaient fermes et musclées et ses jambes nues, tout aussi pâles étaient le signe qu’elle ne s’adonnait pas au bronzage, elles semblaient lisses et attirantes pour des lèvres caressantes …
Et une voix de velours, un peu rauque, légèrement voilée, douce et en même temps ferme, troublante … caressante, qui devait être celle d’une sensuelle amoureuse … je me suis mise à rêver … à trop rêver … à imaginer … à trop imaginer ! Je ne devais pas, je me sentais presque monstrueuse. C’était la petite amie de mon fils, sa maîtresse sans aucun doute, et moi, je ne pensais qu’à en faire une amante, à son sexe auquel j’aurais envie de m’abreuver et à ses mains écartant mes grandes lèvres pour coller sa bouche au milieu du mien …

Ce soir-là comme par hasard, il est vrai que c’était samedi, son jour habituel, mon mari m’a honorée de son sexe, et pour la première fois depuis longtemps, j’ai joui, sans retenue, bruyamment, il avait l’air content de lui … il ne savait pas que pendant qu’il se vidait dans mon ventre, je fantasmais sur le corps de Sylvia. Tout le reste de la nuit se passa en courts moments de sommeil remplis de son image, de sa nudité …était-elle rasée, complètement ou non, ou pas du tout ?… sa toison était-elle abondante ? ... était-elle une vraie brune ? Comme dans beaucoup de rêves, je me réveillais toujours avant de savoir !
Le lendemain matin, assez tard, ils faisaient la grasse matinée. Toujours obsédée, tourmentée même, je suis allée dans la petite réserve adjacente à l’ancienne remise, que nous avions transformée et qui nous servait de 2ème chambre d’amis. Séparée de la maison derrière un écran de verdure, pour un jeune couple amoureux c’était l’idéal …
Dans cette réserve, je savais un endroit, derrière quelques cartons entassés là, où entre deux montants disjoints, un très mince interstice permettait de voir une partie de la chambre.
Sans le moindre état d’âme, je suis allée y coller un œil, mon instinct de voyeuse ne laissait pas de place au moindre scrupule, et puis si je voyais mon fils faire l’amour, ce ne serait qu’un petit plus, c’était ELLE que je voulais voir, son corps nu, tout son corps, surtout son sexe qui m’obsédait !

J’arrivais bien, mais malheureusement je ne pouvais tout voir. Elle paraissait assise au bord du lit, je ne lui voyais même pas les seins, juste le nombril, mais j’apercevais la tête de mon fils qui semblait s’activer entre ses cuisses, l’angle ne me permettait pas de tout voir, je ne voyais que ses cheveux, mais je m’imaginais sa bouche collée sur sa chatte détrempée, les lèvres et le menton luisants de mouille, la léchant et la fouillant de sa langue, aspirant son clitoris, en lui mettant un ou deux doigts dans le cul … elle appuyait ses mains sur sa tête pour mieux le coller contre elle. J’ai vu son ventre avoir des soubresauts, elle devait jouir, mais je n’ai pas vu sa chatte ni ses nichons, juste ses fesses nues quand elle s’est tournée, et ils ont disparu dans l’angle mort. À ce moment-là, j’ai jalousé mon fils, j’étais prête à toutes les indécences pour prendre sa place. Je m’apprêtais à calmer le feu entre mes cuisses lorsque j’ai entendu Daniel arriver … juste le temps de me ressaisir et de prendre des linges de vaisselle dans le placard … l’alibi !

Ce dimanche en fin d’après- midi, avant dîner mon mari est allé reconduire des joueurs de l’équipe de foot chez eux, à une vingtaine de km. Je savais qu’il mangerait là-bas et ne reviendrait pas avant 10h1/2 -11h. Tôt après le repas, les jeunes sont allés se coucher et je me promettais bien d’aller dans la réserve !
J’ai attendu un peu, pas trop, je pensais bien qu’ils ne tarderaient pas à passer à l’action !

En arrivant près de la remise, j’ai vu de la lumière à la petite fenêtre du côté, ils avaient oublié de fermer le volet. Le lampadaire sur pied éclairait vers l’intérieur, je pourrais aller assez près sans être vue … la chance était avec moi.


Tout d’abord je n’ai aperçu que sa tête à elle et un peu de ses épaules qui bougeaient en cadence. Vu la hauteur, facile à deviner qu’ils n’étaient pas sur le lit, ils devaient baiser sur le tapis, elle devait être sur lui, en train de le chevaucher. Je voyais qu’elle parlait mais je n’entendais pas … peut-être qu’elle disait des mots cochons stimulants pour tous les deux ? L’expression de son visage témoignait de son plaisir, elle se pourléchait les lèvres dans un aller-retour sensuel de sa langue d’un côté à l’autre de sa bouche. J’ai voulu en voir plus, je me suis rapprochée silencieusement, mon cadre de vision s’est agrandi, j’ai vu sur le côté son reflet dans la glace de la vieille armoire, et en m’approchant encore un peu, j’ai vu ses seins, ses beaux seins que je n’avais fait que deviner la veille sous son chemisier tendu par des tétons arrogants, offrant un décolleté trop peu généreux à mon goût, là, mes yeux n’étaient pas assez grands pour m’en rassasier …

La nuit était tombée en cette journée de début de Mai, j’étais là, derrière la haie de troènes, entre les deux lilas en fleur, inondée de leur parfum … J’étais là, comme une vulgaire voyeuse, le chemisier ouvert, à me caresser les seins d’une main pendant que l’autre s’insinuait dans ma culotte, comme une jeune ado, pas encore femme, avide de connaître, de voir et de garder en mémoire des images de sexe, qui alimenteraient l’imaginaire de ses masturbations. Et pourtant, quarante-six ans, mariée à vingt ans, mère d’un fils de vingt-cinq ans, je ne suis pas exactement le portrait de la jeune vicieuse qui cherche des motifs d’excitation !
Vicieuse oui, mais vicieuse secrète … on dit son jardin secret, moi je devrais dire mon Parc secret … ma forêt secrète, tellement j’y ai de souvenirs, et encore d’envies d’en rajouter, je ne me lasse pas d’en avoir ! Je ne suis pas le genre de croqueuse de plaisirs qui aime s’exhiber, je suis une personne bien, j’ai une façade, honorable, sans prétentions tout en étant quand-même genre un peu bcbg.
Cette façade, c’est une personnalité, j’en ai une autre, que seuls celles qui m’y tiennent compagnie connaissent. J’ai bien dit « Celles », je n’ai jamais connu d’autre homme que mon mari, et n’ai jamais envisagé de le tromper, sauf … Eh oui, je me donne peut-être bonne conscience, mais je considère que partager mes jouissances avec des femmes n’est pas vraiment tromper … d’ailleurs elles-mêmes sont toutes mariées et sont du même avis ! On ne peut quand-même pas toutes se tromper !!
Et puis, si sucer n’est pas tout à fait tromper paraît-il, se lécher et se baiser entre nous ne l’est pas davantage !

Mariée vierge, faire l’amour fut une révélation, mais, bien vite, après la naissance de mon fils, instruite par des conversations entre femmes, au travail, au salon de coiffure ou à la crèche les soirs d’été, j’ai réalisé que mon mari ne recherchait pas la moindre fantaisie dans notre vie sexuelle. Instruite par les histoires cochonnes de mes amies et les livres pornos qu’elles me prêtaient, j’ai eu l’idée de le provoquer, d’abord par des tenues (intérieures) plus aguichantes, mais je me suis vite rendu compte qu’il n’approuvait pas !
Ensuite les mots un peu osés, pour nous stimuler, arrêter de toujours faire l’amour en silence :
- Oh oui mon chéri, c’est bon, tu me baises bien, je vais jouir …je jouis …je jouis …
- Moi aussi, mais je t’en prie, ne parle pas !
Ce ne fut pas une réussite !
Une autre fois, au risque de déclencher une crise au sein de notre couple, mais bien décidée à tenter le tout pour le tout …un soir …
J’étais allongée sur le dos, jamais en pleine lumière, comme d’habitude, lui, en érection attendait, aussi comme d’habitude, que j’écarte les cuisses pour « faire l’amour » .
J’aurais tellement aimé qu’il me dise plutôt, « j’ai envie de te baiser !»
Donc, ce soir- là, au lieu de suivre le rituel, vivement, je me suis mise à genoux, la tête dans l’oreiller, offerte, le derrière bien haut et genoux écartés …
- Vas-y chéri, prends-moi comme ça, baise-moi par en arrière, il paraît que c’est meilleur pour tous les deux …
- Comment tu sais ça ?
- Je l’ai lu dans une revue …
- Ah ouais …
Ce fut le seul commentaire, mais il n’a pas dit non.
Surexcitée, je mouillais comme jamais. Quand j’ai senti le contact de sa queue sur mes fesses, je me suis tendue vers lui. Il n’avait probablement jamais baisé en levrette (pas avec moi en tout cas), j’avais l’impression qu’il cherchait, j’ai même cru à un moment qu’il allait se tromper et me déflorer l’anus, je m’apprêtais à avoir mal, mais je n’aurais pas dit non ! Finalement, il a envahi l’entrée habituelle, et moi par mes gémissements, de lui faire savoir combien j’appréciais ses coups de reins. Ce ne fut pas long, j’avais conscience d’être en position de dominée, ça me plaisait, je l’imaginais devenir exigeant et moi heureuse de le satisfaire. Très vite j’ai senti le plaisir monter et je m’apprêtais à vivre le plus extraordinaire orgasme de ma vie, quand tout à coup, tout s’est écroulé, il s’est retiré, m’a remise « à l’endroit » et m’a reprise dans cette éternelle et monotone position du missionnaire, et a pris son plaisir sans s’occuper du mien. J’en pleurais de dépit … il ne s’en est même pas aperçu ! Il a seulement dit …
- C’est mieux comme ça, plus normal, ne me demande pas de recommencer !

C’est ce jour-là que j’ai pour la première fois osé imaginer chercher ailleurs, seulement imaginer ! Mon petit garçon venait d’avoir trois ans, j’ai eu peur de m’engager dans une aventure dangereuse pour ma vie de mère, je me suis vite ôté ça de la tête. J’avais eu ma leçon, et n’ai plus insisté … juste quelques timides tentatives pour briser un tout petit peu la routine et j’ai réussi à lui soutirer quelques fantaisies … très petites …

Les seules qu’il se (et me) permettait, et rarement, c’était de me caresser et de m’embrasser la chatte, mais jamais sa langue ne m’a fouillée, jamais ses lèvres ne se sont emparées de mon clitoris pour le suçoter et le mordiller … et jamais non plus de doigt s’insinuant entre mes fesses jusque dans mon petit trou. Ces délices-là, et même bien plus qu’un ou deux doigts dans l’anus, c’est avec des femmes que je les savoure. L’autre exception c’était, pas très souvent, de me laisser lui caresser les couilles et embrasser sa queue mais jamais de le sucer complètement, tout juste maintenir le prépuce tiré vers le bas et me laisser prendre son gland entre les lèvres et le titiller avec la langue, et avant qu’il soit trop tard, s’empresser de me pénétrer, dans la position la plus classique et de se vider dans mon ventre. Une fois, il s’est laissé surprendre et a envoyé ses giclées sur mes seins, mon ventre, et s’est presque fini dans mes poils, mais a tenu quand-même à entrer jusqu’aux couilles, peut-être pour le principe, pour y déposer les dernières gouttes. Moi, j’aurais tellement aimé le sentir gicler dans ma bouche et avaler son sperme ! … ou au moins pouvoir nettoyer avec ma langue sa bite pleine des humeurs chaudes et gluantes de notre plaisir .
. Alors, pour pallier cette envie jamais satisfaite, après avoir été baisée, je le laissais aller à la salle de bain, et pendant qu’il se lavait, je ramassais avec mes doigts tout ce qui coulait entre mes lèvres, sperme et mouille mélangés, souvent jusqu’à mon cul, et je léchais. Petite consolation … si on peut dire, car au lieu de me calmer, ça ne faisait plutôt que me redonner le goût … quand c’était mon tour d’aller à la toilette, j’étais mûre pour une petite branlette vraiment consolatrice. La plupart du temps, quand je regagnais le lit, monsieur dormait déjà et ça n’a pas changé, c’est toujours comme ça !!

J’ai commencé à imaginer des situations qui m’excitaient et je me masturbais de plus en plus souvent, plusieurs fois certains jours. Mais je ne pouvais toujours pas me résoudre à prendre des amants, c’était sûrement le signe qu’il me fallait pour réaliser, grâce à une amie qui m’avait devinée, que mes jouissances seraient toutes féminines Bon, mais j’y reviendrai une autre fois … je me suis un peu égarée dans mes souvenirs et mes réflexions …Revenons à ce que j’ai vu par la petite fenêtre …

J’en étais au moment où je faisais une véritable fixation sur le buste et la bouche de Sylvia. Mon imagination n’avait pas de limites, je l’embrassais goulûment, la langue mêlée à la sienne, nous mélangions nos salives, nous aspirant mutuellement … je lui malaxais les seins, je les pinçais, je léchais ses grandes aréoles brunes, je prenais ses gros tétons presque noirs entre mes lèvres, en mordant un et tirant dessus avec mes dents et serrant l’autre fortement entre mes doigts et l’étirer en vrillant pour lui arracher des plaintes de douleurs … je voyais qu’elle aimait ça, je me sentais un peu sadique, je voulais la faire jouir dans la douleur, je voulais la posséder entièrement, pénétrer son sexe ruisselant, buter sur son utérus avec mon gode et, sans lui en demander la permission, après en avoir un peu lubrifié l’entrée et l’avoir détendu de deux doigts fouisseurs, sans brutalité, doucement mais fermement, prendre possession de ses reins jusqu’à ce que, bien enfoncée en elle, fière de la sodomiser, de l’enculer, je l’entende crier sa jouissance, en sentant sous les lanières du harnais ses belles fesses collées à mon pubis ! Et puis, après, je serais son initiatrice, je lui apprendrais à me rendre la pareille, je lui installerais mon gode-ceinture et lui offrirais mon petit (?) trou … c’est si bon de se sentir envahie bien profond . Jamais un homme n’y a eu accès , que des femmes, beaucoup de femmes avec leurs godes … je ne refuse jamais !!

Pendant que je prenais mon fantasme pour réalité, ma culotte enlevée, trois doigts dans le vagin, le pouce massant mon clito, l’autre main allant de mes nichons à la raie de mes fesses, je coulais littéralement, je sentais le plaisir monter et j’ai dû ralentir les mouvements … Je ne voulais pas jouir avant d’avoir vu la belle Sylvia installée sur mon fils, empalée par sa grosse queue (je supposais … pas vue depuis qu’il était petit !) … et vu sa chatte que je rêvais de manger se faire remplir de la semence de mon Sacha, là seulement je me laisserais aller … je savais que ce serait inoubliable !!

J’avais raison, ce fut inoubliable ! pour vraiment tout voir, je me suis encore rapprochée et j’ai tout vu … tout !!!
D’abord les bras de Sylvia qui allaient de haut en bas, elle avait le rictus caractéristique de la femme dom qui aime diriger et quelquefois donner des claques sur le torse ou le visage de son partenaire. Même s’il s’agissait de mon fils, et même si je n’osais me l’avouer, peut-être justement à cause de ça, ça m’a excitée encore plus, je me suis avancée encore un peu et j’ai failli pousser un cri de surprise. J’étais figée, les jambes tremblantes, le cœur qui s’emballait, mais malgré ce que je voyais, que je n’aurais jamais osé imaginer, mon excitation s’est amplifiée, m’amenant au bord de l’orgasme …
Ce sexe de ma presque belle-fille, dont je rêvais d’écarter les grandes lèvres et d’en déguster les sécrétions est un pénis … une grosse et longue bite...

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