Sylvia (2)

Chers lecteurs et lectrices : Lors de la publication de la première partie de ma 1ère histoire, il y manque la fin ! Probablement une erreur de manipulation de ma part. Je vous prie de m’en excuser, et vous présente la partie de texte manquante, qui reprend à partir de la dernière phrase. Merci de votre compréhension, Voilà donc ce qui manquait !
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««« Ce sexe de ma presque belle-fille, dont je rêvais d’écarter les grandes lèvres et d’en déguster les sécrétions est un une grosse et longue bite, une queue raide qu’elle enfonçait à grands coups de reins dans le fondement de mon fils, à genoux, pris comme une femelle !! Sa petite amie … sa maîtresse, est un transsexuel …
J’aurais dû me sentir honteuse, eh bien non ! J’ai aimé ce que je voyais. Cette sodomie un peu violente accompagnée de grandes claques sur les fesses m’a achevée … Elle/ Il s’est retiré, l’a retourné, l’a saisi par les cheveux d’une main, et de l’autre s’est masturbé jusqu’à lui décharger sur la figure. C’est en voyant les giclées de sperme s’écraser sur le beau visage de mon fils chéri, que j’ai joui, comme jamais, vraiment comme jamais !! …je l’enviais !!
J’ai compris que ce que j’avais pris le matin pour une dégustation de chatte était en réalité une fellation … il lui taillait une pipe … sûrement qu’il a avalé … là aussi j’aurais aimé être à sa place !!!
Ils sont repartis le lendemain matin. En les embrassant, la tête pleine des images de la veille au soir, j’ai appuyé mes baisers, mon Sacha, rasé de près, le visage bien lisse, sentait le parfum … Dommage … ce n’était pas le bon !!
Sylvia ou …? … son souvenir ne me quittera pas. En la voyant s’éloigner, je me suis rappelée une chanson de Barbara …Dis, quand reviendras-tu ?
En regagnant la maison, avant que mon mari ne l’aperçoive, je suis allée récupérer ma culotte restée accrochée au bas d’un troène …je ne la laverai pas …odeurs …souvenir … envies !!
Fin … pour aujourd’hui »»»

Sylvia (1)
NAT-LM 05/2013
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Suite, Sylvia (2)

Il y a déjà une semaine que j’ai fait la connaissance de Sylvia.

Son prénom masculin, je l’ignore, mais même si je le savais, je voudrais toujours l’appeler comme ça. Je l’ai désirée en fille, et de savoir qu’elle avait un pénis au lieu d’un vagin n’avait pas fait baisser l’envie que j’avais d’elle. Depuis bientôt 20 ans que je partage mes émois sexuels avec mes copines, dans des jeux où nous nous permettons presque tout, je n’aurais jamais pensé connaître ça un jour. Mouiller autant du désir irraisonné de cette « fille » à la poitrine arrogante et aux fesses provocantes, avec les attributs virils d’un mâle possessif, me mettait dans tous mes états. Un transsexuel, compagnon dominant de mon fils qui lui paraissait soumis …et alors ! Ce n’est pas ça qui m’empêchait d’imaginer la suivre dans tout ce qu’elle inventerait pour jouir de moi et m’entrainer dans les plus délicieuses perversions .

J’ai déjà connu cette espèce de vertige … cette sensation de glissade vers le vice, vers une dépravation sexuelle qui m’attirait, et que je redoutais parce que je savais que je ne pourrais plus m’en passer. Vous vous rappelez … quand je me suis offerte en levrette à mon mari et qu’il a préféré finir en « pose pépère » … quand je rêvais de l’engloutir dans ma bouche … de le sentir heureux, de boire son plaisir … que j’étais obligée de prendre sur moi avec mes doigts et les lécher pour avoir le goût de nos sexes …C’est à ce moment-là qu’un minuscule germe de l’immoralité s’est implanté en moi, insidieusement …et y a trouvé un terrain propice pour se développer .

J’ai commencé à regarder les hommes autrement. Je n’en avais jamais connu sexuellement parlant, d’autre que le mien. Adolescente puis jeune fille, introvertie, super timide, seule la masturbation apaisait mes envies, pas souvent et maladroitement, Je me croyais frigide. Le mariage … plus par convenance que par sentiment, et puis quand-même, il était beau, alors je me suis dit …autant franchir le pas avec lui !
Je me suis rendu compte que je n’étais pas frigide.
J’ai tout de suite aimé faire l’amour .
Après un arrivé assez vite, (je l’ai déjà dit), des conversations entre femmes m’ont
ouvert les yeux …je devrais plutôt dire l’esprit, mais si vous avez lu le début, vous savez déjà!

Donc, je me suis mise à m’intéresser aux mâles en général, pas à un ou deux en particulier, et les visages n’étaient pas mon principal point d’intérêt. Au début, c’était l’été, le temps des shorts, courts, longs, serrés ou très amples. Les premiers moulaient joliment le paquet que les hommes ont entre les cuisses, la plupart du temps au repos mais quelquefois certains devaient se sentir bien à l’étroit tellement le tissu était tendu. Assis sur des bancs publics, les bras en arrière autour du dossier, jambes allongées un peu écartées, ils exhibaient sans pudeur leurs érections, dont quelques- unes paraissaient de fort calibre. J’ai vu deux bonnes sœurs, pas en cornettes, mais quand-même ça se voyait, jeter un regard hypocrite, la bouche en « O » …réflexe naturel d’envie, ou marque de surprise ? …et se parler tout bas la main devant la bouche …
- Sœur Adèle, vous avez vu l’homme au bout du banc ?
- Oh oui sœur Marthe, justement, je me demandais si …..
- Si quoi ?
- Si elle était plus grosse que celle du jardinier …
- Ça je ne suis pas sûre, mais que celle de notre vicaire … c’est certain …et un rire secoua leurs épaules … le rire était vrai …les mots sont ceux que j’aurais aimé entendre.

J’aimais aller me promener dans les allées du Bois de Boulogne qui était proche de nos bureaux. Un jour j’ai remarqué un homme sur un banc, avec un short genre bermuda en coton léger, aux jambes trois fois trop larges, et sûrement qu’il l’avait fait exprès, étaient remontées assez haut …assez pour laisser voir à l’intérieur, ramolli et pas très gros, mais long, un pénis circoncis reposer sur le haut de la cuisse près de testicules qu’il fallait presque deviner dans une broussaille de poils blonds .
Le monsieur semblait endormi. Je suis passée plusieurs fois devant lui, lentement, j’aurais voulu m’arrêter mais je n’osais pas. À mon cinquième passage, le coton était tiré vers le genou, je ne pouvais plus voir à l‘intérieur, mais une grosse bosse qu’il ne cherchait pas à dissimuler montrait qu’il bandait … depuis près de deux minutes, j’avais été la seule à passer et repasser devant lui … il ne faisait donc que semblant de dormir, il devait avoir remarqué mon regard insistant sur son entrejambe, sûrement aussi qu’il imaginait mes cuisses et mes fesses sous ma petite jupe courte et serrée, et que ça l’excitait … je le faisais bander !!
Cette pensée embrasa l’intérieur de ma petite culotte qui devint toute humide .
En quelques secondes, j’eus la vision d’entrer avec lui dans le bois, comme les putes qui en arpentent les allées ( peut-être qu’il me prenait pour l’une d’elles) qu’il me demanderait combien ça coûte pour une pipe … de me baisser, même me mettre à genoux pour prendre dans ma bouche sa queue qui devait sentir et goûter la sueur et le sexe, peut-être aussi le pipi, et le sucer jusqu’à recevoir les giclées de sperme au fond de la gorge, car je savais que les putes, dans le bois, elles ne baisent pas … elles ne font que sucer … sauf des fois, la nuit tombée, penchées en avant, se tenant des deux mains à un tronc d’arbre, elles se font mettre comme ça , par en arrière

Mais voilà, même si j’en aurais crié d’envie, je n’étais pas une fille du bois … et puis quand ces filles- là se font baiser, elles ne jouissent pas, et moi je voulais jouir et que ça s’entende. J’ai été prise de panique, réalisant d’un coup que je n’étais pas capable d’assumer mon délire … j’étais éveillée mais je butais sur un rêve … un rêve douloureux qui me vrillait le ventre … un rêve de perversion qui me torturait de l’envie d’être ce que je n’étais pas … une PUTE, mais pas une pute qui se ferait payer … une pute genre salope, gratuite, ouverte pour qui en voudrait …

Ce jour- là, un homme a dû me prendre pour une folle.
Quand il s’est levé de son banc, a
étiré les jambes de son short en bas de ses genoux, au- dessus de ses mollets poilus, et s’est dirigé vers moi, aucune marque d’érection apparente, comme prise de panique, je me suis sauvée, presque en courant, jusqu’à l’allée principale où je me suis fondue dans le flot des promeneurs. Avais-je été victime de mon imagination débordante … de mon envie obsédante de sexe différent de la routine habituelle, toujours est-il que je n’ai retrouvé mon calme qu’assise sur le siège de la toilette du premier café rencontré en me rafraîchissant l’entre cuisse avec l’eau de la cuvette, sans même me poser la question, à savoir si la chasse d’eau avait été actionnée après le dernier usage !
Je m’y suis rafraîchie longtemps, tant et tant que je m’y suis réchauffée, que mes doigts n’ont cessé, les uns en caresses circulaires saccadées, les autres dans un va et vient pénétrant, de s’agiter dans mon sexe jusqu’à me faire jouir violemment … Jamais je n’avais eu autant de plaisir à me masturber … avec des images en tête … celles d’une obsédée qui me ressemblait … à genoux devant un homme inconnu assis sur un banc … heureuse de déguster ce sexe long et dur qui je le savais ne demandait qu’à me remplir la bouche de ce que mon mari me refusait .
J’avais dû être un peu bruyante, ce qui a attiré l’attention … quand je suis sortie, la porte de la cabine voisine s’est ouverte et j’ai entendu … psitt psitt … je me suis retournée et vu un homme à poil, petit, mais avec une queue énorme en train de se branler d’une main, en se tenant les couilles de l’autre . J’ai eu envie de rester … jusqu’au bout, pour voir le sperme gicler … ça non plus, je n’avais jamais vu autrement qu’en photo ! J’ai failli écouter mon envie, mais il s’avançait vers moi … allait-il me demander de le sucer ? allait-il décharger sur moi … sur ma figure …dans mes cheveux ? j’ai réalisé que là, ce n’était plus un fantasme, et pour la deuxième fois en peu de temps, j’ai eu peur et me suis sauvée sans me retourner. Je n’ai même pas remarqué si j’étais entrée par erreur côté « hommes » ou si c’était lui qui aimait s’exciter et s’exhiber côté « femmes

Les semaines … les mois qui suivirent, je ne pensais qu’à ça. Le matin à 7h, après le départ de Daniel mon mari … après un baiser furtif, presque banal, celui que j’aurais voulu amant impulsif, inventif et gourmand, me laissait sur ma faim de caresses. Un jour, surmontant ma gêne … visite chez la coiffeuse, et j’ai osé, je suis allée dans un sex- shop, teinte en blonde et coiffée différemment, à peine reconnaissable. Je savais ce que je voulais. Sur le catalogue que m’avait donné mon amie Louise avec un petit sourire complice, j’avais fait le choix d’un gode vibrant, de la taille de la queue de mon mari, et d’un autre jouet plutôt fin, d’une dizaine de cm de long … une souris anale que c’était marqué … ce serait meilleur que mon doigt un peu court !
Moi, je ne travaillais qu’en après-midi , alors le matin, une fois mon petit Sacha conduit à la maternelle, je me remettais dans le lit et m’offrait une séance de baise solitaire qui diminuait ma frustration, malheureusement sans le sperme dont l’envie me faisait toujours saliver, mais au moins je jouissais, et puis je pouvais embrasser, lécher et sucer autant que je voulais mes jouets-amants pleins de mes odeurs et de mes liquides … je me sentais vicieuse, je me traitais de salope, j’aimais ça !

Bien sûr je n’en parlais à personne. Puis en blonde, je ne m’aimais pas …quand je me caressais, cuisses écartées devant mon grand miroir, mes cheveux étaient une tâche trop claire, qui me faisait une tête ridicule à côté de l’abondante toison foncée qui garnissait mon ventre et me remontait jusque dans la raie … je suis redevenue brune . Mon « cher » mari lui, avait l’air de s’en foutre complètement ! Mon jeune fils, du haut de ses 3 ans1/2 a déclaré d’un ton convaincu que j’étais belle comme ça, qu’en « jaune», il ne m’aimait pas!
Il avait de la graine de séducteur … enfin, c’est ce que je croyais !!
Un samedi matin, Sacha étant chez une de ses grand-mère pour le week-end, et Daniel pour un voyage de pêche de deux jours, Louise est venue prendre le petit déjeuner avec moi.
À un moment, elle m’a demandé :
- Et puis ma belle, depuis le temps, tu m’as pas dit … le catalogue, ça t’a plu, as-tu trouvé quelque chose à ton goût ?
C’était vrai que je ne lui en avais jamais reparlé , j’ai été surprise et j’ai un peu bafouillé
- Bien … c’est que …
- Allez, fais pas ta timide. tu sais, je connais ça, je m’en sers depuis longtemps …j’aime toujours autant …
- Oui … c’est vrai ?
- Bien sûr ma belle que c’est vrai, j’en ai plusieurs, un jour si tu veux, je te montrerais mais là, tout de suite … en as-tu acheté ? … hein ?
- Oui, deux … tu veux voir ?
- Ben voyons, certainement …
Un peu gênée quand-même j’ai sorti la petite boite de sa cachette et l’ai posée sur le divan où elle est venue me rejoindre.
- Tiens …
- Oh qu’ils sont mignons … et est-ce que tu t’en sers toute seule ou Daniel participe ?
Là, j’ai vraiment failli m’ ! Mêler Daniel à ça !!!

Encore plus mal à l’aise, j’aurais voulu disparaître, je n’arrivais pas à sortir un son, à articuler le moindre mot, j’avais chaud, je respirais avec peine, puis d’un seul coup, comme si la pression devenait insoutenable, j’ai éclaté, je me suis libérée et j’ai étalé ma frustration accumulée depuis trop longtemps. J’ai parlé … parlé, racontant sans m’arrêter,
en termes vrais et crus (que je pensais souvent mais que je n’exprimais jamais à haute voix devant quelqu’un), la sécheresse de ma vie sexuelle … disant mes envies de sexe cochon, comme ce que je lisais dans des livres pornos … mes envies de me faire demander, même imposer toutes sortes de choses … l’envie que mon mari devienne un partenaire plein de fantaisie … un amant inventif, vicieux, qui se servirait de moi pour assouvir ses désirs les plus pervers …et me faire jouir comme ça !!

J’avais conscience que je devais donner l’image d’une obsédée surexcitée, mais j’ai été jusqu’au bout, il fallait que je me vide. Une fois vidée, redevenue sans voix, j’ai réalisé la portée de ce que je venais de dire et toutes les pensées affreuses que Louise aurait sur moi, et j’ai éclaté en sanglots. J’ai vu d’abord son petit sourire, plein de douceur et dans ses yeux beaucoup de compréhension. Je me suis sentie mieux.
Elle a ôté la boite, s’est approchée, d’un bras, m’a affectueusement entouré les épaules et c’est sur la sienne que je me suis détendue pendant qu’elle me caressait les cheveux. Je me sentais bien, elle me parlait doucement, elle aussi avait connu des moments difficiles, elle s’est mise à me raconter … doucement, calmement. Entre deux confidences, elle me donnait des baisers dans les cheveux, sa main me caressait l’épaule, puis la joue … le cou, puis elle n’a plus parlé, elle me serrait contre elle, je m’abandonnais à sa pression, je me sentais bizarre, je frissonnais et j’avais chaud. Je pressentais que quelque chose allait arriver … bien sûr je savais quoi et je n’avais pas envie de lutter… seulement de me laisser guider …Quand de son autre main elle m’a caressé la joue, je me suis tournée vers elle et ai fixé mes yeux dans les siens pour qu’elle y lise bien que j’étais prête à aller jusqu’au bout. Je n’avais jamais imaginé avant, qu’elle avait le goût des femmes, et même à ce moment- là je n’en étais pas certaine … mais j’aurais été malheureuse de m’être trompée.
Doucement elle m’a pris le menton, et lentement … trop lentement, a approché son visage … j’attendais bouche entrouverte mon premier baiser d’une femme. sa bouche à la recherche de la mienne, j’ai cru défaillir. Un baiser comme j’en rêvais, à pleine bouche, nos langues s’enroulant dans le bain de nos salives qui coulaient sur nos mentons, une de ses mains m’appuyant sur l’arrière de la tête et j’autre passant sous mon tee-shirt pour me prendre les seins et pincer les tétons. Puis, sentant sa main descendre et relever ma jupe, j’ai écarté les cuisses le plus que je pouvais, regrettant d’avoir mis une culotte. Ce ne fut pas un grand obstacle, elle l’a écartée et a tout de suite pris mon bouton entre deux doigts … j’étais mouillée comme je ne me rappelais pas l’avoir déjà été autant. j‘ai jouis presque tout de suite … mais ce n’était pas fini .

Elle me pénétra d’un doigt, puis de deux, tournant … vrillant, son pouce massant mon clito dur à en être douloureux … mais que c’était bon … je voulais qu’elle sache tout le plaisir qu’elle me donnait … oh oui … oh oui … que c’est bon …c‘est tout ce que j’arrivais péniblement à dire, la bouche collée à la sienne…
Et ce fut le coup de grâce, elle retira ses doigts de ma chatte et y introduisit le pouce et accentua son va et vient, profond, viril, et j’ai joui en criant mon plaisir quand son grand doigt est venu entre mes fesses, et qu’elle me l’a enfoncé dans le cul, J’ai cru défaillir tellement c’était fort … elle me caressait en me mordillant doucement tout le tour de la bouche … sa main est remontée, elle l’a approchée de mon visage, elle était toute luisante du liquide de mon sexe, Je l’ai embrassée … j’ai ouvert la bouche … elle m’a donné ses doigt à sucer, toute sa main à lécher … je me sentais … je me goûtais …je me demandais
si je ne rêvais pas … Elle me prit dans ses bras et un baiser me rassura … c’était vrai !
Elle me berçait comme un gros bébé, mes sens apaisés, comblée, j’ai senti mes yeux se fermer sur la vision de son visage avec ses taches de rousseur, illuminé par ses brillants yeux verts, et encadré de ses magnifiques cheveux roux, avec des mèches collées sur son front… elle avait eu chaud … elle m’avait donné du plaisir … je saurai le lui rendre!!

Je voulais parler de Sylvia, mais je ne pouvais qu’y penser … alors j’ai préféré attendre … et puis les souvenirs, des fois … ça fait aussi du bien ….

Elle va revenir … Il faut qu’elle revienne …! … Je vous raconterai …

Sylvia (2)
NAT-LM 05/2013

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