Trixie Chap 10 - La Punition

J'étais souvent retournée chercher des légumes chez le vieux fermier. Mais chaque fois temps, soit mon mari m'avait accompagné, ou le hangar était rempli de monde. Le vieil homme avait bien essayé de me tripoter discrètement mais je l'avais rabroué. Le marchand de légume n'avait pas été content, de ne rien pouvoir tenter, la dernière fois, il faisait franchement la gueule et m'avait presque arnaqué sur le prix des légumes. Il maugréait tout seul. Profitant d'un court instant ou nous étions seuls, et ne voulant pas le fâcher, car j'espérais encore profiter de son gros pénis, je réussi à lui dire que j' avais adoré être attachée et pénétrée avec sa grosse queue. Il me répondit que ma punition serait terrible lorsque je reviendrais toute seule, puisque ça faisait plusieurs fois que je venais accompagnée et qu'il était frustré, car je ne devais plus vouloir baiser avec lui, il me demanda si je portais toujours mon porte-jarretelle, et si je voulais bien me pencher pour qu'il puisse voir mes seins. Discrètement je me penchais sur un étal.
J' étais curieuse, je me demandais bien en quoi ma punition serait terrible. je décidais qu'à la prochaine occasion...
Je lui téléphonais, lui demandant si je pouvais mardi prochain venir chercher des légumes, bien qu'il ne soit pas ouvert. Il s'empressa de me donner son accord et que ça tombait bien car ce jour là, il était tout seul à la ferme.
« Et tu sais que tu auras droit à une punition ! Tu feras tout ce que je demande ! D'accord précisa-t-il. J'ai ta parole !
- Oui, je vous le promet...à mardi ! »
Le jour dit, j'arrivais en début d'après midi devant le hangar. Il était derrière la fenêtre à guetter mon arrivée. L'ouverture surplombait le sol d'environ 1,5 mètre. Je me garais perpendiculairement à celle-ci ou se trouvait le vieux, à environ deux mètres du mur.
J'ouvris en grand ma portière et pivotais sur mon siège, en restant assise les fesses posées sur le rebord.

Je m'étais dit que j'allais d'abord l'exciter à mort, ma punition n'en serait peut-être que meilleure ! J'aimais me masturber lorsqu'on me regardait. Il m'épiait...il allait être servi.
Je jetais un coup d'œil aux alentours le parking et les abords étaient déserts. J'écartais doucement mes longues jambes gainées de noirs. Bien qu'il fasse assez chaud, j'avais mis des bas et un porte-jarretelle sachant que cette lingerie excitait les hommes. J'aidais ma jupe à remonter à mi cuisse, bien plus haut que les attaches, mes mains descendirent sur la chair nue de mes cuisses vers le triangle transparent de mon string. Je l'écartais doucement dévoilant la fente de ma chatte, de deux doigts je séparais mes lèvres pour qu'il puisse voir l'intérieur rose de mon Vagin. Mon majeur s'insinua y pénétra, je ne quittais pas des yeux le vieux à la fenêtre. Je savais qu'il avait du sortir son énorme queue et commencer à se masturber. Il me sembla voir bouger à la fenêtre du premier étage...
Je me soulevais, relevais ma jupe jusqu'à ma taille et ôtais mon string. Puis j'écartais largement les jambes offrant aux regards du vieux ma chatte béante. Je relevais doucement mon fin tee-shirt dont les bretelles se nouaient sur mes épaules. Mes deux seins soutenus par le demi-soutien gorge noir jaillirent. Les mamelons étaient déjà durs, je les saisis entre mes doigts et les fit rouler pour les ériger encore plus, ils réagirent à la caresse et se dressèrent encore plus fièrement. Il me semblait bien que des ombres se profilaient aux fenêtres supérieures, mais bon, je n'en étais pas sûre...cela faisait peut-être parti de la punition, me faire espionner par d'autres hommes. A cette idée une onde de chaleur me traversa le bas ventre, je senti que ma chatte s'humidifiait.
A son expression, je voyais que le vieux ne perdait pas une miette du spectacle. Mes mains descendirent sur mon sexe, j'écartais à nouveau mes lèvres et entra deux doigts dans ma vulve moite. Commençais de lents allers et retours tout en fixant la fenêtre.
J' adjoignis un troisième doigt, je pensais à la grosse bite du vieux qui devait se tendre au maximum. Il devait se branler, j'entrais mes cinq doigts dans ma chatte. Maintenant je mouillais abondamment, ma main glissait petit à petit à l'intérieur de ma chatte qui se dilatait de plus en plus. Car sachant que surement la punition serait énorme, un bon doigté faciliterait les grosses insertions. Tout en fixant le vieil homme dans les yeux, j'entrais la moitié de main main à l'intérieur de mon sexe. Et commençais des va et vient, Le plaisir montait, de me savoir regardée ainsi, peut-être par plusieurs hommes. Mais je ne voulais pas me faire jouir ainsi. Je stoppais, réajustais mes vêtements et grimpais les marches menant au hangar, je n'avais pas remis mon string.
Il m''attendait, il me bondit littéralement dessus, son énorme sexe en érection et ses couilles monstrueuses sortaient de son pantalon. Il m'enlaça sauvagement se plaquant contre moi et ses lèvres se plaquèrent sur les miennes. Sa langue força ma bouche, je le laissais faire en lui rendant son baiser, bien que son haleine ait des relents de vinasse. Il me prit la main, la mit sur sa bite, je commençais à le masturber doucement, puis plus rapidement. Il gémit de plaisir, et m' éjacula presque aussitôt dans la main, je sentis le sperme chaud couler dans ma paume. Il me prit la main et me demanda de lécher le liquide poisseux répandu. Je 'exécutais, le lapant à petits de coups de langue et en l'avalant au fur et à mesure. Puis je m'accroupis, saisis l'énorme hampe dans ma bouche et aspirais le sperme qui restait à l'intérieur du méat.
«J'ai bien aimé ton exhibition, mais il me semble que tu es venu chercher ta punition, petite salope ? Me demanda-t-il. Tu sais ce que m'as promis, tu le mérites, cela fait presque deux mois que je n'ai pas pu te toucher... »
Je répondis par l'affirmative. J'étais curieuse de savoir ce qu'il me réservait. Il m'avait relevée, une de ses mains me caressait un sein, me pinçant fortement le mamelon, tandis que l'autre était passée sous ma jupe et il avait enfoncé trois longs et gros doigts rugueux dans mon vagin trempé.
Son pouce me caressait le clitoris.
« Bon ! Dit-il nous allons passer aux choses sérieuses ! »
Il ferma à clef la porte du hangar, mit la clef dans sa poche. Il m'entraina vers des escaliers et me demanda de les gravir devant lui. Je sentais son regard sous ma courte jupe. Il tenait toujours son sexe flasque maintenant à la main. En grimpant j'entendais des chuchotements à l'étage. Je ne m'étais pas trompée, il y avait biens des mecs. Je débouchais sur une sorte de mezzanine, cinq hommes refluèrent vers une grande pièce. Cinq lits, une table, des chaises, une espèce de cuisinière à gaz, un évier, une armoire et un frigo l'équipait. Il y avait aussi cinq gars basanés qui me fixaient intensément l'air éberlués. La lumière entrait à flot par deux grandes fenêtres. Je ne pouvais plus me défiler maintenant...en plus le hangar était fermé a clef.
« Mes saisonniers, me dit le vieux paysan. Ce sont des marocains, ils n'ont pas beaucoup de distraction. Je leur ai promis, en compensation de quelques heures supplémentaires, un petit extra...!Tu sais ce que tu dois m'obéir...c'est notre contrat ! Ils ont surement apprécié le spectacle que tu nous as offert dans ta voiture, on est juste à l'aplomb ici. Ils étaient aussi au balcon, pour voir que tu te régalais avec mon sperme...et je pense que ça fait un moment qu'ils n'ont pas baisé !»
Les cinq hommes, avaient sorti leur pénis. Les cinq sexes circoncis dardaient leurs glands vers le plafond. Ils se masturbaient doucement l'air hilare ...en pensant à ce qui allait surement se passer...Les bites n'étaient pas énormes, mais d'une bonne taille.
J'allais être la proie de ces hommes surement affamés de sexe. A cette pensée je frissonnais. Sous l'effet de l'appréhension et d'une sorte de désir malsain, je sentis mes tétons se tendre sous le mince tissu transparent de mon tee-shirt.
« Dis donc on dirait que ça te fait de l'effet, me dit le vieux en s'apercevant que les pointes turgescentes tendaient le tissu.
Tu portes ton demi soutien gorge noir, petite salope ? Attends, on va leur laisser deviner tes mamelons ! »
Joignant le geste à la parole, il saisit à travers le tissu un téton dans sa bouche, il l'aspira. Déposa de la salive sur mon aréole et l'étala avec sa langue, pour bien imprégner le tissu transparent. Celui-ci se plaqua étroitement sur le mamelon. Il se recula pour juger de l'effet.
« Parfait, dit-il toujours aussi érectile tes tétons ! »
Il me fit avancer vers la lumière de la fenêtre, on aurait dit qu'on avait découpé un bout de tee-shirt et que mon téton sortait par le trou. De voir leurs regards fixant intensément mon sein, commençait à m 'exciter sérieusement. Ils se masturbaient plus vigoureusement.
« Vous avez vu les gars...qui veut faire l'autre ? »
Ils se bousculèrent presque, mais le plus grand celui qui avait l'air du chef, passa devant ses copains. J'eus un petit recul quand il me saisit entre les lèvres, le second téton. Il l'aspira, le mordilla, puis il fit comme le fermier, il l'enduisit de salive, pour bien accroitre la transparence du tissu. Cela dura un peu plus longtemps, ma poitrine se cambrait maintenant sous la caresse. Il passa à l'autre et l'humecta à nouveau, tout en le mordillant.
« Allez laisse tes amis apprécier »
Le paysan, était passé derrière moi, il me tira les bras vers l'arrière pour faire ressortir ma poitrine.
Les quatre autres s'approchèrent les yeux écarquillés, c'était très érotique, on apercevait même les petits points de chair de poule qui pigmentaient mes aréoles.
« Allez Ahmed, dénoue les bretelles ! » celui-ci s'exécuta
« Ben alors, dit le fermier, vous attendez que son tee-shirt se quitte tout seul ? Qui lui l'enlève ? »
Le plus petit au regard chafouin s'approcha, il attrapa de chaque côté le vêtement léger et le tira lentement vers bas. On aurait dit que la caresse du tissu sur mes seins faisait encore augmenter la taille de mes tétons. Je poussais un gémissement de plaisir, lorsque mes deux pointes brunes gorgées de sang surgirent hors du tissu. Le paysan tira encore plus mes bras en arrière.
En voyant mes seins, soutenus par mon demi soutien gorge, le petit chafouin ne put résister, il plaqua sa bouche sur mon sein droit, tout et me pinçant le téton gauche. Il me mordilla le bout du sein, cela me fit gémir de douleur, il n'avait jamais fait ça a une blonde, blanche de surcroit.
« Doucement, dit le fermier...quitte le lui en plein. Allez qui ne lui a pas sucé les nichons ? »
Il me prit les seins, comme pour les soupeser. Il les leur présenta.
« Putain ce qu'ils sont fermes, et que tes tétons sont durs... Tu aimes hein ? Petite salope ! »
Effectivement ces succions, me donnaient des frissons dans tout le corps, je sentais des gouttes de foutre tomber sur mes cuisses. J'aime énormément que l'on me caresse les seins et que l'on triture mes tétons, Maxime au boulot arrivait presque à me faire jouir rien qu'en me les malaxant. Les deux derniers firent subir à mes nichons le même traitement.
Ils se firent même plus hardis, en appuyant et frottant leur queues raidies, à hauteur de mon pubis.
« Bon dit le paysan, assis tout le monde. Tu vas quitter ta jupe, ensuite on verra... »
Il recommençait lui aussi à bander. Sa queue était de loin la plus grosse et la plus grande. Il l'exhibait d'ailleurs fièrement.
« Allez, exécution fais moi bander... »
Je ne savais pas trop comment m'y prendre, les cinq maghrébins bandaient déjà énormément, ils se caressaient. Ils avaient tous enlevés leur pantalon. Je me mis en pleine lumière. Tout d'abord je relevais ma jupe pour leur laisser apercevoir les fermoirs de mon porte jarretelle, et une bande de chair blanche au dessus de la limite des bas.
Ils savaient que je portais pas de culotte, puisqu'ils m'avaient vu enlever mon string dans la voiture.
Lentement ensuite, je la remontais encore, leur laissant apercevoir les lanières noires bien tendues , tranchant sur ma peau blanche, comme si j'allais découvrir ma chatte épilée. Mais arrivée à la limite de mon mont de venus, je la rabaissais. Ils émirent tous un grognement de frustration.
Je m'accroupis, et écartais lentement les jambes. La jupe remonta jusqu'en haut de mes cuisses. Je leur laissais juste le temps de deviner la fente ma chatte et me remis debout.
Je lu dans leurs regards la frustration éprouvée. Puis roulant des hanches, je m'approchais du vieux paysan, lui attrapais sa grosse queue qui était encore flasque, la calottais et décalottais deux ou trois fois, pour la lui faire durcir, la caressait sur toute la longueur. Lui tournant ensuite le dos, je lui demandais de me dégrafer mon soutien gorge et me sauvais. Le tenant d'une main pour ne pas qu'il tombe, je me dirigeais vers le chef des saisonniers, me penchais et tout en enlevant le bout de tissu, lui présentais mes tétons à hauteur de sa bouche, il se dépêcha d'en aspirer un goulument. Tandis qu'il le suçait, mes mains se mirent à pétrir sa verge, il me sembla qu'elle s'étirait davantage, sa respiration s'accéléra, il renversa la tête mais j'arrêtais d'un seul coup, il grogna de mécontentement. Ce jeu m'excitait, je mouillais de plus en plus.
Leur tournant le dos, je défis sur mon côté droit la fermeture éclair de ma robe. Je commençais à la descendre lentement sur mes cuisses. Je me penchais, mes fesses fermes s'offrirent à leurs regards. Leurs respirations se firent plus saccadées, toujours de dos j'enlevais gracieusement ma jupe. Me penchant légèrement en avant, perchée sur mes hauts talons, jambes légèrement entrouvertes. Je sentais leurs regards fouiller mon entre jambe, ou du foutre commençait à couler de mon vagin. Je me retournais, en ayant pris soin de tenir ma jupe devant ma chatte. Ils commençaient à ne plus tenir en place et s'agitaient sur leurs chaises.
Je laissais tomber le vêtement. Leurs yeux se mirent à briller. Bien campée sur mes talons, j'écartais les jambes. Mes mains partirent de mes genoux, s'arrêtant aux fermoirs du porte jarretelle, comme si j'allais les ouvrir, puis elle continuèrent leur lente ascension. Caressèrent mon porte jarretelle autour ma taille, le faisant claquer sur mon ventre.
« Les filles chez-vous n'ont pas ce genre de lingerie, leur dis-je en souriant ! »
On entendait les mouches voler. Mes doigts s'arrêtèrent de chaque côté de ma fente, et j'en écartais les lèvres pour ouvrir mon orifice vaginal. Je dégageais ensuite mon clitoris de son petit capuchon et le titillais de mon index pour le faire durcir. Ma chatte était trempée. Avec l'index et le majeur, je pénétrais mon vagin, ressortais mes doigts ruisselants de foutre, les portais à ma bouche pour les sucer voluptueusement. Je m'approchais du petit chafouin pervers qui s'appelait Ali. Tout en avançant, je me caressais les lanières du porte jarretelle sur les cuisses en souriant. Lorsqu'il compris que c'était lui que j'avais choisi, il se trémoussa sur sa chaise, se tenant la base de la bite à pleine main, il la pressait comme pour la faire encore grandir. Ma chatte était plus que trempée maintenant, arrivée devant lui, je l'enjambais en lui tournant le dos, il m'attrapa aux hanches, positionnant sa queue à l'aplomb de mon orifice vaginal. Je fléchis les genoux, il grogna de plaisir...je fis attention que seul son gland circoncis pénètre mes lèvres, et je me relevais d'un seul coup, lui fit subir une seconde fois la même opération...et m'écartais rapidement.
« Espèce de Salope...tu vas voir si je t'atts ! »
Mais je m'étais dégagée et étais tombée à genoux devant son copain. J'écartais rapidement ses jambes et positionnais sa bite entre mes seins, Je les pressais et faisais subir à son sexe plusieurs va et vient entre mes nichons fermes.
Puis sans le prévenir, je changeais de partenaire pour saisir la bite de Mohamed dans ma bouche, quelques coups de langue sur son gland et sous son frein, il voulut me retenir mais je m'échappais.
Leur frustration à tous grandissait.
« Bon ça suffit maintenant, tu t'es assez moquée de nous...tu l'auras voulu...Allez les gars attz la. Dit le paysan »
Ils me bondirent tous dessus et m'immobilisèrent, attendant les ordres. Je sentais leurs mains me parcourir le corps.
« Bien, je sais tu aimes te faire baiser en étant attachée toi ! Me dit le fermier. »
Il sorti une cordelette,.
« Mettez la à plat ventre en travers du lit, cette Salope. Tu aimes te faire sodomiser, attachez la ! Je l'encule ensuite vous pourrez la baiser »
Il m'écarta les jambes, enfourna son énorme phallus dans ma chatte pour le lubrifier, cracha dans mon anus récupéra avec ses doigts du foutre dans ma chatte badigeonna mon trou intime et enfila son pénis, qu'il avait aussi enduit de mon liquide séminal. Il l'enfila d'un seul coup sans s'arrêter. Les maghrébins regardaient cette énorme et lente pénétration avec des yeux effarés, ils furent encore plus étonnés lorsqu'il m'entendirent gémir de plaisir. J'accélérai la cadence, bougeant mon bassin d'avant en arrière, le vieux avait éjaculé tout à l'heure, il ne paraissait pas pressé. Un marocain se présenta devant moi, la bite tendue, il força mes lèvres de son gland circoncis. J'avalais petit à petit le sexe boursouflé, il m'attrapa la nuque et me martela sans ménagement le fond de la gorge. Cela ne dura pas trop longtemps, il devait y avoir pas mal de temps qu'il n'avait pas baisé, il explosa d'un seul coup, éjaculant une quantité impressionnante de sperme, je ne pus que l'avaler. Les autres se masturbaient pour entretenir leurs érections, attendant l'éjaculation de leur patron pour pouvoir enfin profiter de moi.
Le paysan tardait à se libérer, je resserrai mes sphincters plusieurs fois, enserrant son gros rouleau de chair. Ses pressions eurent l'air de faire de l'effet, m'enserrant la taille, il expulsa sa semence avec un grand cri. Il se retira.
« Elle est à vous, mais doucement... »
Le chef s'approcha, il me détacha les poignets, me mit sur le dos. Sa bouche se posa sur mes seins qu'il lécha longuement tour à tour. Agaçant les mamelons, avec ses dents, puis lentement sa bouche descendit sur mon ventre, tandis que ses mains passaient sous les lanières de mon porte jarretelle pour ouvrir mes jambes. Ses pouces écartèrent mes lèvres, du foutre ruisselait de ma chatte. Il le lécha, insinuant sa langue dans mon méat. Il aspira mon clitoris, le chatouillant avec son pouce.
« Tu aimes ça hein, petite salope blonde, tu aimes te faire baiser ! Tiens prends ma bite. »
Et il l'enfonça brutalement, heureusement que ma chatte était bien lubrifiée, elle glissa d'un seul coup jusqu'à la garde.
Je me mis à gémir de contentement.
« Tu vois que tu les aimes les queues des arabes salope ! » et il redoubla ses coups de boutoir, mes petits cris l'avaient amené au bord la jouissance. Il positionna alors sa bite à l'entrée de mon vagin,
d'une main il écarta mes lèvres, de l'autre il me souleva la tête.
« Regarde Salope, regarde mon sperme qui va couler dans ta chatte »
Et il se lâcha à grands jets chauds, et poisseux, puis il eut l'air de pousser sa semence au fond de mon vagin, avec sa bite. Cette mise en scène déclencha ma jouissance, mes parois vaginales enserrèrent son pénis. Il eut encore cinq ou six soubresauts et les couilles vides, il s'écroula sur moi.
Je repris vite mes sens, car le petit pervers, m'avait saisi et entrainé avec lui sur une chaise.
« Allez dit-il je vais faire comme le patron, je vais t'enculer »
Il me fit mettre debout de dos, sa bite tendue en arc de cercle me chatouillait l'orifice anal, encore trempé du sperme du vieux paysan. M'attrapant aux hanches il me força à m'asseoir sur le pieux raidi.
« Au putain, je n'avais jamais baisé un blanche et blonde, tiens, tiens salope ... »
Les deux marocains restant s'approchèrent, ils se mirent à me caresser et sucer les seins. Ils y frottaient leurs bites dures comme du bois, et me les présentaient pour que je suce leurs glands, mais ils ne laissaient faire que de légers attouchements buccaux, ils ne voulaient pas éjaculer ainsi.
Ce régime, m'excita à nouveau, je me laissais retomber lourdement sur la queue qui me sodomisait, pour la faire pénétrer le plus profondément possible. Puis ensuite je bougeais mon bassin d'avant en arrière... de mes deux mains j'offrais mes seins aux deux arabes debout.
« Allez, sucez mes tétons, mordillez les ! Ouuaaahhh, que c'est bon !! »
Celui qui me sodomisait, se leva d'un seul coup, me pencha vers l'avant et avec un grand han, enfonça sa queue le plus profondément possible, je sentis les décharges de son éjaculation, il cria sa jouissance, lui non plus ne devait avoir baisé depuis longtemps. Lorsqu'il de retira je sentis du sperme couler mon orifice vaginal.
Je n'eus pas le temps de dire ouf, qu'un des deux hommes restant me poussa vers le lit. Il s'y coucha sur le dos, une jambe pendante sur le sol. Il me fit mettre à genoux de part et d'autre ses cuisses, et tenant fermement sa bite, il me l'enfila dans la chatte. Il me laboura aussitôt avec de grands coups de reins. Sa queue n'était vraiment pas grosse, et mon vagin était tellement lubrifié que je ressentais pas grand chose. Lui avait l'air de prendre du plaisir avec la jolie blonde.
Je sentis qu'on me penchait un peu en avant, mes fesses pointèrent vers le haut. Le dernier maghrébin me fit poser la jambe gauche sur le sol, puis il m'enjamba. Je senti son gland se positionner sur mon orifice anal, des cinq c'était lui qui avait le plus gros sexe. Il n'eut pas besoin de forcer, avec les éjaculations précédentes mon cul était vraiment bien lubrifié et mes parois anales distendues. Sa queue pénétra en moi, cela me permit de mieux sentir celle de celui qui me baisait la chatte. Après quelques essais maladroits ou ils furent chacun obligés de renfiler leurs bites dans mes orifices, ils réussirent à coordonner leurs pénétrations.
Le petit Ali m'avait presque amené à la jouissance. Je sentais que s'ils continuaient ainsi, je n'allais pas tarder à jouir. Je commençais à les exciter de la voix, le plaisir qui montait doucement me tirait des cris rauques. Je leur disais d'aller plus vite et plus profond. Je gémissais, ne pouvant au bout de toutes ces pénétrations presque plus contrôler mes sens. Je criais que j'allais jouir.
a« Putain, Salope tu aimes vraiment ça ! S'exclama soudain le vieux paysan. Je croyais te punir en te faisant baiser par mes saisonniers, mais ce n'est pas le cas ! »
Je levais les yeux et le regardais, il se branlait avec vigueur, sa grosse queue était raide à nouveau, prête à exploser. Il s'approcha de moi;
« Prends la dans ta bouche, Salope... »
Son gland eut à peine le temps de rentrer dans ma bouche, qu'il éjacula pour la troisième fois de l'après midi. Je ne sais pas si c'est cette éjaculation qui le provoqua, mais un orgasme me submergea, il me sembla que mon ventre s'embrasait, ma chatte et mon anus se contractèrent fortement, enserrant les deux bites qui me pénétraient. Celui qui était sous moi se raidit et s'arcbouta
son sperme chaud inonda mon vagin, les contractions de sa queue ne s'arrêtaient pas. Celui qui me sodomisait pris en suite la relève, m'enserrant la taille avec force, il tint sa bite au plus profond de mon cul tant qu'il n'eut pas fini de déverser sa semence, avec de grands glapissements de bonheur.
Un peu honteuse d'avoir joui comme ça, avec six hommes, du sperme dégoulinant de mes orifices, je ramassais mes affaires et me m'habillais.
« Je pense que tu ne resteras plus trois mois sans venir me voir...me dit le fermier »

A suivre

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