Du Rêve De L'Imaginer Avec Un Autre, À La Réalité De La Voir Se Faire Prendre ( Partie 2)

Ce matin encore, j’ai contemplé ma femme avec désir et amour. Elle avait permis à mon fantasme d’exister et pour ça je lui en étais reconnaissant. De m’avoir conté sa nuit avec Greg m’avait permis depuis maintenant 3 semaines de désirer sans arrêt ma chérie. Le simple fait de l’imaginer selon ses propos me filait la gaule et l’envie de la posséder
Encore couché dans son lit, les draps tirés bien haut, les yeux toujours clos. J’ai pensé : Je la réveillerais bien en lui prodiguant un cunnilingus, mais je serai être en retard, l’idée se concrétiserait ce soir alors.
Au volant de ma voiture, je me remémorais ces derniers 15 jours. Au lit, nous entendions de mieux en mieux, c’était comme une nouvelle lune de miel. Une frénésie de sexe. Elle en avait toujours envie et mon désir pour elle était toujours à la hauteur. Je me demandais d’ailleurs combien de temps cela allait durer et si je souhaiterais à nouveau mettre en pratique mon désir de la voir avec un autre un de ces jours.
Ma chérie m’appela aux alentours de midi, pour me demander si l’idée de déjeuner avec elle me plaisait. En raison des tâches confiées, je ne pouvais me libérer, mais elle me fit promettre de prendre la fin d’après-midi pour la passer avec elle et l’honorer car elle avait le feu… Elle m’attendait pour 15h00 chez nous. Le reste de la journée fût très tendue chez moi.
En bon mari, alors que je disposais du reste de l’après-midi, je suis passé prendre un bouquet et une bouteille de champagne et offrir l’agréable surprise à mon arrivée, car elle aimait beaucoup cela.
Dans mon désir de la surprendre agréablement, ce fût le contraire en arrivant chez moi. Je pensais lui faire un claironnant « coucou ! » l’imaginant alors heureuse de mon arrivée, me sautant au cou de bonheur. Je ne m’attendais aucunement à découvrir ma femme en petite tenue au salon en train de siroter un verre de vin blanc… Mais ce n’était pour me déplaire !
Elle m’accueillait, me remercia, m’embrassa et me demanda de monter dans la chambre à coucher que’ elle rejoindrait sous peu et que je devais l’attendre dans la tenue qui me plairait.


Autant vous dire que je suis monté au pas de charge jusqu’à là-haut. Arrivée sur le pas de la porte d’entrée, je suis resté figé, par la surprise qui m’attendait sur mon lit.
Un homme baraque, grands et surtout nu avec une érection à donner envie a une actrice de cinéma porno. Il me salua en me demandant si j’étais Antoine et vînt me serrer la main, pas gêné pour un sou.
J’étais étonné et surpris mais aucunement fâché ou contrarié. Mon esprit a vite compris la raison de sa présence en ces lieux aujourd’hui. Mon envie de la voir se faire prendre devant moi en direct était sur le point de s’exaucer
Encore sous le coup de la surprise, Stéphanie arrive et ravi que les présentations soient faites, m’invite à me détendre et aller m’assoir dans le fauteuil posé dans le coin de notre chambre. Elle s’accroupie devant moi et m’invite à sortir ma tige afin de bénéficier d’une fellation. Surpris et excité, je m’exécute.

Tout en la sortant elle m’explique que c’est le Greg de l’autre soir, qu’il est arrivé aux alentours de 14h00 et qu’ils ont déjà commencé à se chauffer sans moi.
Sans plus un mot, elle m’avale la verge et exécute une fellation d’environ une minute, tout en expliquant à Greg, comme ils ont dû en discuter, que ma verge était bien loin de ressembler à la sienne. Je n’ai pu que constater la véracité de ses propos.
Puis sans avertissement, elle s’est relevé en reculant et en me disant que la suite serait pour Greg et que les préliminaires à mon encontre étaient fait et que je pouvais maintenant continuer seul.
Après avoir rejoint Greg elle se tourne vers moi et me dit « Nous y voilà, tu vas pouvoir assister à nos ébats en temps réels, ce sera mon cadeau, profite en et ne nous dérange pas, sauf si je te le demande »
Ma femme à présent qui se dévêtit de sa nuisette sexy et qui se retrouve sur notre lit, nue, couchée, les jambes rabattues vers ses épaules et cet homme qui commence à lui dévorer le minou, en lui disant « Alors ou en étions-nous ?? »

Elle invitait Gregory à reprendre ou ils en étaient restés.
Il s’est accroupit entre les jambes de ma chérie à environ 1 mètre de son ventre. Elle était maintenant à moitié couchée sur le lit, prenant appui sur ses deux coudes pour pouvoir nous observer tous les deux. Ses regards dans ma direction me rassuraient et m’excitaient. Moi assis dans mon fauteuil, le chibre en main, et elle nue les jambes écartées devant cet étalon.
De temps en temps, je stoppais mon geste pour calmer mes ardeurs et ne faisait plus que regarder ou écouter.
— T’as vu sa belle petite chatte comme elle s’ouvre … et elle est super mouillée … regarde comme mon doigt coulisse bien … écoute le bruit que ça fait quand il rentre et qu’il sort …
Mes yeux semblaient sortir de leurs orbites devant le spectacle que son amant m’offrait en communiquant directement avec moi, en même temps qu’il pénétrait ma chérie.
— Et en plus elle adore ça … là elle est chaude comme elle ne l’a encore jamais été … n’est pas petite chienne ?
— Oui … Gregory … j’ai envie de me faire baiser … je mouille trop …
— Humm … tu veux de la queue … ?
— Oh oui, je veux ta queue… de la bonne grosse queue bien dure … Greg … tu ne veux pas me la faire gouter… je te montre bien mon minou tout ouvert … t’as pas envie de baiser une belle salope …?
Et moi, regardant Greg et pensant « alors, tu n’as pas envie de lui en donner ? »
« Oui … Greg, viens me la fourrer … »

Greg semblait serein et patient et savait faire monter la pression et le désir. Je découvrais Stéphanie comme jamais. Suppliant de se faire baiser. Alors elle se redressa et prit possession d’une queue déjà bien dure et grosse. Immédiatement elle la saisit pour se l’enfourner dans la bouche et la sucer avec déchaînement.
C’était la première fois que je voyais ma femme sucer une autre bite que la mienne, mais le spectacle de son visage comme aspiré par cette queue, de sa joue déformée par le gland quand elle l’embouchait, de ses lèvres que j’embrassais si souvent, même d’un simple baiser chaste, et qui là se refermaient sur une hampe bien dure et la faisait glisser du sommet aux couilles, m’excitait comme jamais.

En 30 secondes ma main avait repris possession de ma verge bandée. Je me masturbais frénétiquement devant cette fellation. Mes vêtements gisaient épars sur le sol.
— Alors chérie, est-ce que sa queue est bonne ? est-elle assez grosse pour une gourmande comme toi ? Et toi Greg, elle te suce bien ? finalement tu ne dois pas regretter pas d’être venu
- Je t’ai dit de ne pas nous déranger, sinon je lui demande de te sortir de la chambre et tu resteras derrière la porte, compris cocu.
Surpris par sa réflexion et mon surnom mais souhaitant continuer de reluquer, j’acquiesçais favorablement à sa requête
Greg se mit à lui parler : Oui Stéphanie, tu m’excite, je rêve de ton cul, de tes lèvres pulpeuses, de ton corps, j’aime aussi la salope que tu es …Oui bouffe ma grosse queue devant ton mari, Tu en raffoles, on dirait ?
— Je vais te bourrer la chatte… pendant que ton mari mate et qu’il se branlera sur ce spectacle peu commun. Il se positionne alors entre ses cuisses, lui lève les jambes pour l’ouvrir totalement et impudiquement
« Regarde bien comme ça va s’enfoncer et glisser sans problème tellement elle dégouline … elle a une magnifique fente ta femme. Il commence à la besogner, faisant rentrer puis complètement ressortir sa bite de sa chatte, la limant tout en me regardant branler ma queue qui durcissait encore. Quand elle fut à point, il se retira et ordonna à ma femme de se mettre à quatre pattes.
Les derniers rayons de soleil illuminaient son corps ainsi offert. Elle était nue, soumise et heureuse, avançant comme une salope qui a envie de se faire sauter n’importe où.
Cambrant au maximum sa croupe pour nous exciter davantage, secouant de temps en temps la tête pour faire retomber ses mèches de part et d’autre de son visage, faisant darder sa langue et humectant ses lèvres.
— Hum, petite salope … tu es sublime … on dirait une fauve … une chienne en chaleur qui est sortie chasser de la queue …
— Oui … Gregory… ce soir je suis une mangeuse de queue … Ta queue, et là j’en ai envie.

— Et tu la veux où ?

L’œil mutin elle répondit :
— Je la veux dans ma chatte, viens me bourrer un bon coup et ensuite, en ondulant du cul elle lui dit « Tu reviendras ensuite dans ma bouche … je vais la pomper, la déguster … et ensuite tu t’occuperas de mon cul, il y’a le feu et je recherche un pompier pour l’éteindre »
Comme ça quand mon cocu jouira, tu seras près et en moi, et il pourra lire dans mon regard le plaisir que prend sa salope de femme de se faire ramoner par la queue d’un autre mec devant lui…
Son amant n’attendit pas qu’elle eût fini sa phrase pour se positionner derrière elle, la saisit aux hanches et s’enfonça par derrière dans sa fente, après avoir bien sûr revêtu un préservatif. Le voyant faire, j’étais excité, car Il la pilonnait avec force.
À chaque assaut de sa part, Stéphanie était un peu projetée vers l’avant.
Je pouvais lire dans ses yeux les ondes de jouissance qui submergeaient son corps. N’y tenant plus, je déchargeais à même la moquette et lui dis tendrement « Je t’adore ma chérie … c’est trop bon de voir sa femme se faire mettre … je n’ai jamais joui aussi fort … »
Pendant ce temps, Gregory retourne visiter la bouche de ma femme, je le soupçonnais d’aller s’y calmer afin de ne pas jouir de suite. Ma chérie comme une folle l’astiquait, crache dessus la gobe, se bifle, suce ces couilles. Elle a tout d’une actrice de porno à ce moment précis.
Puis arrive le moment où elle exige qu’il aille éteindre l’incendie qui lui ravage le cul. "J'en veux encore, viens m’enculer maintenant, lui dit-elle d’une voix rauque et pleine de défi.
Honteusement, je me remis à bander. Ça n’est pas pour toi ! Mais tu bandes encore ? Tu aimes vraiment ça, que ta femme se fasse baiser par un autre ? Tu veux voir la suite cocu ??
Il repassa derrière elle et la positionna bien à quatre pattes. De la langue, il préparait son anus à la pénétration. Il enfila un doigt, puis deux, sous les gémissements de Steph. Elle lui tendit un tube de crème.
— Mets-en beaucoup, parce jamais une aussi grosse queue n’est entrée de ce côté, et je n’ai pas envie d’avoir mal, dit-elle en fixant mon regard.
Gregory enduit largement l’anus de ma chérie, et pose son gland sur son œillet. Il appuie doucement et le gland pénètre son petit trou. D’une poussée lente et régulière, il s’enfonce jusqu’aux couilles. Stéphanie la bouche ouverte, haletait sans dire un mot. Elle semblait avoir un peu mal. Il lui dit alors :
— Ça va ? Je ne te fais pas trop mal ?
— Ça va, dit-elle les dents serrées. Tu es vraiment gros. Laisse-moi m’habi un moment.
Il s’immobilisa, la queue toujours au fond du cul de sa chienne d’un soir.
— Vas-y maintenant. Montre-moi ce que c’est qu’une vraie sodomie.
— Tu vas couiner, ma salope, répondit Gregory.

Il commença alors de lents va-et-vient. Puis il accéléra le rythme, le ralentit, l’accéléra de nouveau. Il la pilonnait tel un marteau piqueur, il lui claquait le cul en même temps. Il lui tirait les cheveux vers l’arrière afin de rapprocher leurs bouches pour se rouler une pelle ou encore lui cracher dedans. Durant plus de 10 mn, son cul était tout simplement à la merci de son amant, de ses envies et de son rythme. Il lui défonçait littéralement l’arrière train, à chaque pénétration elle avançait de 5 cm sur le lit jusqu’à se retrouver le visage écraser contre les barreaux du lit. Elle hurlait, je ne savais pas si c’était de plaisir ou de douleur. J’allais intervenir quand je l’entendis dire :
— Oh putain que c’est bon ! Viens vite, jouis en moi…

Greg eut alors un sursaut et s’agrippant aux hanches de ma femme déversa son foutre au fond de son cul. Ils s’écroulèrent sur le lit. Je venais d’éjaculer une seconde fois, sans m’en rendre compte. Je me relevai discrètement et retournais au salon afin de laisser à eux seul ce moment de récupération et aussi pour réaliser que jamais je n’avais baiser ma femme pareillement ni imaginer qu’elle aimerait autant ce traitement
Stéphanie après vingt minutes était en train de dire au revoir à Gregory et l’embrassa encore une fois, puis revînt à la maison
— Viens vite me faire l’amour, mon chéri, dit Stéphanie en entrant dans la chambre. Prends mon cul…
Je ne me le fis pas dire deux fois. J’enfilai ma bite d’une seule poussée. C’était encore béant et les reste de Greg étaient encore présent, Elle se mit à gémir de plaisir.
— Je veux qu’on recommence… C’était trop bien…
Sur ces paroles, j’éjaculai dans son cul, dans une extase inégalée.

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