Initiation À La Sodomie

A cette époque-là, j’habite Bordeaux après quatre années en Afrique, où comme chacun sait l’homosexualité est réprimée.
Je viens de divorcer et me retrouve libre d’aller et venir à ma guise, sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit. J’en profite pour laisser libre cours aux pulsions retenues toutes ces années. En soirée, après le travail pour me changer les idées et vivre de nouvelles expériences inédites, je découvre les saunas club mixtes et gay. J’apprécie l’ambiance érotique de ces endroits sulfureux où je peux tester mon pouvoir de séduction. Je suis dans ma trentaine. Mince, le corps modelé par le sport que je pratique régulièrement, j’attire facilement les messieurs amateurs de jolis garçons.
Un soir, je choisis un sauna excentré et discret. Quelques hommes présents dont un quinquagénaire sympathique qui me drague gentiment. On fait connaissance. Je lui raconte ma vie en raccourci et où j’en suis sexuellement parlant. Je lui révèle que je n’ai jamais été sodomisé. En Amérique du sud où j’ai vécu avant l’Afrique, j’ai croisé des hommes pour des rencontres furtives sur les plages : exhibitions, caresses, fellations. Les quelques tentatives de pénétration n’ont pas abouti. J’étais trop serré, contracté, mal à l’aise.. A l’évocation de mes souvenirs, il me sourit et m’invite à le suivre dans une cabine. Je me laisse entraîner et prendre en mains littéralement. Il me propose un doux massage, prétexte aux caresses les plus intimes. Avec tact, douceur, doigté, il apprivoise mon corps, réveille ma sensualité à fleur de peau. Couché sur le ventre, il m’écarte les cuisses pour ouvrir les fesses et exposer le sillon fessier. Ses mains sont douces, je frissonne. Du bout des doigts, il titille ma rosette désormais offerte. Puis sa langue remplace les doigts. Une langue pointue qui tourne autour de l’échancrure plissée, agile et forte à la fois. La sensation est sublime. Le bout de la langue s’insinue, cherche à me pénétrer.

Je m’abandonne et gémis en continu. L’anulingus dure un long moment et m’amène proche de l’extase. Soudain, je sens perler quelques gouttes de gel lubrifiant sur ma rosette. Un doigt pousse l’anneau plissé qui cède sous la délicate pression. Tout en me doigtant, il me susurre à l’oreille. Tu as un cul superbe. J’aime le lécher et maintenant le doigter. Son doigt va et vient, tourne autour de l’anneau. Je comprends qu’il veut l’assouplir, l’ouvrir. Je me détends et laisse faire. Il perçoit mon relâchement. C’est bien, chéri, me dit-il. L aisse-toi aller. Ensuite, c’est avec deux doigts qu’il investit mon petit cul qui se détend. Puis trois doigts joints ensemble écartent encore plus l’anneau que je sens désormais ouvert. Tu es prêt maintenant, me murmure-t-il. Mets-toi à genoux m’ordonne-t-il. Je lui jette un coup d ‘œil et le voit mettre un préservatif sur son pénis qu’il a plutôt épais et assez court. Le gland ressemble à une grosse fraise. Excité, curieux et craintif à la fois, je me laisse faire. A quatre pattes sur la couchette, les fesses ouvertes, je lui présente mon cul. Avec précaution, il positionne son gland sur mon anneau. Je le sens pousser. Sa verge est dure. Ma rosette bien lubrifiée céde sous la pression. Soudain, je sens le gland écarter l’anneau et me pénétrer. Je pousse un cri de douleur. Il me tient fermement par les hanches et me parle doucement . Relâches-toi chéri, dit-il. Tu vas t’habi et aimer me sentir en toi. Il ne bouge plus. Peu à peu, la douleur s’estompe. La sensation de dilation devient supportable, agréable presque. Il recommence alors la pénétration, centimètre par centimètre. Voilà, chéri, je suis tout en toi. Je vais te limer maintenant. Toujours en douceur, il fait glisser sa verge dans l’étroit passage. Les yeux fermés pour mieux le ressentir, Je m’accoutume à ce pénis qui va et vient en moi. Le premier de ma vie de bisexuel. Je lui demande d’aller et venir doucement. Je veux m’habi, savourer la sensation de mes chairs dilatées, chauffées par le frottement de sa tige.
Alors commence une longue pénétration. L’homme est endurant, pas pressé d’éjaculer. J’aime ma queue dans ton petit cul, me dit-il. Entre deux gémissements, je lui dis que c’est bon, que j’aime ça, que j’en veux encore, que sa queue est bonne.
Cette première fois, ma jouissance est un mélange de douleur et plaisir mêlés. J’ai eu la chance de tomber sur ce quinqua amoureux des hommes. Il m’a dépucelé avec une délicate virilité, attentif à mon plaisir avant de prendre le sien. Quand je lui dis que je n’en peux plus, il jouira dans la capote. Quelque temps plus tard, quand mes chairs seront devenues plus réceptives, je ressentirai des orgasmes intenses, comparables à ceux d’une femme avec sa vulve.
Cet homme sera mon maître et amant pendant quelques mois. Plutôt actif et un brin dominateur, ce qui me plaît bien, Il débridera ma sensualité et m’initiera à d’autres plaisirs ; tels que l’exhibition, le candaulisme, la pluralité. Mais ceci est un autre récit, à paraître en suivant.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!