Une Livraison Très Chaude

Bonjour, c’est à nouveau Benoit le routier.
Je vous livre ici une autre histoire qui m’est arrivée il y a quelques mois. Elle met un peu de temps à se mettre en route mais jusqu’à présent je n’ai jamais rencontré de femme qui se jettait nue contre moi en 5 minutes.
Il est 11h30 et je suis en train de livrer mon deuxième client du côté de Fécamp. Coup de téléphone de mon chef :
« T’es où ? »
« Bah je livre près de Fécamp »
« Ah !? Il faut que tu livres tout de suite ton quatrième client, il attend la marchandise »
« Ouais mais je fais quoi du troisième client ? »
« Laisse tomber, tu le feras après. Fonce chez le quatrième, il veut absolument la marchandise le plus tôt possible »
« Ok ça sera en début d’après-midi, le temps que je descende sur Rouen et que je fasse ma coupure »
« Non non pas de coupure, vas-y directement »
« Comme tu veux. Je pense pouvoir aller jusque chez le client mais une fois sur place je serais obligé de couper. Je vais arriver vers 13h, j’espère qu’il y aura du monde pour décharger. »
« Pas de problème, je suis au téléphone avec lui, il y aura du monde »
Je descends donc sur Rouen (à vitesse normale ; mon chef peut dire ce qu’il veut : je respecte les limitations de vitesse) et j’arrive peu après 13h dans une petite entreprise du bâtiment. Une femme blonde d’une cinquantaine d’années vient à ma rencontre pour m’accueillir.
« Bonjour. Ah c’est génial vous avez réussi à venir »
« Bonjour. Bah vous savez on essaye de satisfaire au mieux les clients »
« Merci en tout cas. Votre chef m’a dit que vous étiez juste avec vos horaires donc si je peux faire quoi que ce soit pour vous il n’y a pas de problème. »
« Ca devrait aller. Je peux encore conduire quelques minutes. J’irais me garer dans la rue. »
« Si vous avez besoin vous me demandez. Il y a un petit restau pas loin, je peux vous emmener »
« C’est gentil mais j’ai ce qu’il faut pour manger »
Echange de sourires et de politesses.

Ce n’est pas souvent le cas alors ça fait du bien de voir quelqu’un de souriant et dans ce cas j’ai envie d’être sympa. Elle repart vers son bureau me permettant de mater ses fesses. Un postérieur bien en chair moulé dans son pantalon…Quoi ? Pas de marque de culotte aux niveaux des fesses ? Serait-elle du genre à porter un string ? On dirait bien que oui. Pas de pensée salace, elle est juste sympa et elle porte un string ; il y a plein de filles comme ça sans pour autant que ce soit des appels au sexe. Allez, au boulot : débâchage et sans traîner car je n’ai pas beaucoup de temps.
13h30 les ouvriers reviennent de leur pose déjeuner. Ils discutent avec elle et je capte des bribes de conversation.
« Dis donc tu as une petite mine » dit l’un des gars en parlant à la femme. « Tu as fais des folies de ton corps toute la nuit ? » dit-il en mimant un mouvement de bassin très équivoque.
« Ah… euh, c’est vrai que j’ai passé une bonne soirée et qu’on s’est couchés tard… »
Petits rires. Elle regarde dans ma direction, j’ai le sourire aux lèvres d’avoir entendu ça et elle me rend ce sourire.
Déchargement terminé. Je vais la voir pour faire signer mes documents.
« J’insiste, si vous voulez je vous dépose au restau pas très loin d’ici »
« C’est gentil merci mais j’ai vu un grand morceau de trottoir un peu plus loin dans la rue, je vais me garer là-bas. »
Je vais donc me stationner avec quelques pensées dans la tête…’elle porte un string et elle parle de cul…’ - ‘j’aurai dû demander à ce qu’elle m’emmène au restau, j’en aurai profité pour lui faire du rentre-dedans pendant le trajet….’ - ‘ allez arrête ton film ça ne marche pas comme ça dans la réalit酒. Vous savez bien, c’est le genre choses qu’on fantasme mais la raison (ou le stress) nous empêche d’aller plus loin.
Je mange vite-fait en me disant que je vais pouvoir faire une petite sieste avant de repartir. J’ai à peine fini de ranger mes affaires qu’une voiture se gare devant moi et… c’est elle qui en descend.
J’ouvre la porte :
« J’ai oublié quelquechose ? »
« Non, non. C’est juste que j’ai oublié de vous remercier avant que vous ne partiez »
Oh oh !!! Elle va me donner un pourboire ? Le pourboire n’existe presque plus de nos jours alors je suis tout content car c’est très rare.
« Il est sympa votre camion » (Bof : un Renault Premium DXI 460 chevaux – pour les connaisseurs – tout ce qu’il y a de plus banal) « Je ne suis jamais montée dans un camion »
« Ah et bien venez »
Je descends et je lui laisse la place. Je lui montre quel pied poser en premier sur le marche-pied et où s’agripper avec les mains. Elle est tellement proche de moi que je peux sentir son parfum. Ses fesses sont juste devant mes yeux pendant qu’elle monte et j’en profite pour bien mater. C’est confirmé : elle porte un string. Elle est derrière le volant, je lui explique les différentes commandes et je lui montre la vue qu’elle a par le pare-brise. On discute quelques instants puis elle redescend. Je reste derrière pour la rattr au cas où elle tomberait (et surtout pour mater ses fesses). Elle touche bientôt le sol quand je ne réfléchis plus et je pose ma main sur son postérieur genre « attention vous allez tomber, heureusement que je suis là pour vous tenir ». Il y a là quelques secondes où je me demande ce qui va se passer. Tout se joue pendant ce court instant. C’est la baffe (que je pourrais peut-être éviter en prétextant le geste prévenant qui a malencontreusement dérapé) ou alors le début de choses beaucoup plus réjouissantes. C’était sans doute le geste qu’elle attendait car une fois à terre elle s’est tournée vers moi et elle a collé ses seins contre moi. Je me suis penché vers elle et nous nous sommes embrassés. Mon cœur palpite un peu, mon cerveau me dit « mais qu’est-ce que tu es en train de faire ? » mais je me laisse porter. Nos langues tournent ensemble dans nos bouches, nos mains se baladent sur nos corps, l’excitation monte. Et nous aussi nous montons ; dans le camion.
Les rideaux sont tirés en quelques secondes car nous avons une furieuse envie de sexe tous les deux. Je vois enfin ce string que je devinais un peu plus tôt. Elle a 30 ans de plus que moi, je le vois à son corps mais je m’en fiche. Elle sait ce qu’elle veut et c’est ça qui me plaît. Nous sommes sur la même longueur d’ondes ; nous voulons du sexe sans lendemain. Nous ne voulons pas connaître l’autre en détail, ce qu’on veut c’est sentir nos corps l’un contre l’autre ; l’un dans l’autre. Nous sommes à genoux face à face, nos langues se cherchent, elle me masturbe pendant que je glisse un doigt dans sa chatte. Elle est bien humide et de mon côté j’ai une érection bien dure. Elle appuie sur ma tête tout en s’allongeant sur le dos dans la couchette. Je me trouve bientôt face à sa chatte dans laquelle je n’hésite pas à plonger ma langue. Je joue avec son clitoris jusqu’à ce qu’elle fasse des mouvements avec son bassin. Elle me tire par la tête pour que je vienne me coucher sur elle. Contact entre nos sexes… Mon gland est à l’entrée de son vagin, je pousse un peu et mon sexe entre petit à petit en elle. Il n’y a pas de résistance tellement elle lubrifie, je fais donc des allers-retours plus amples. « pas comme ça » me dit-elle. On bascule sur le côté puis elle se met au-dessus de moi ses genoux contre mes hanches. Elle me chevauche comme une furie et je me cramponne à ses fesses charnues. Nous haletons tellement la cadence est soutenue. Je vois ses seins balloter devant mon nez, je relève la tête et j’en att un que je tète goulument. Me relever comme ça c’est super difficile pour les abdos mais ça doit modifier l’angle de ma verge (ou je ne sais quoi d’autre) car elle ralentit et vient s’empaler sur toute la longueur de mon sexe. Je reste ainsi pendant qu’elle se décolle de moi en sortant presque tout mon sexe, puis elle vient se rassoir dessus. Dès fois lentement, dès fois plus vite. Elle gémit doucement, elle est sur le point d’avoir un orgasme. Je relève un peu plus la tête, j’att ses fesses avec mes deux mains et je bascule mon bassin en cadence avec elle.
Il n’en faut pas plus pour que nous jouissions tous les deux. Elle émet un long gémissement pas très fort puis elle s’effondre sur moi. On s’embrasse tranquillement le temps de récupérer notre souffle.
C’est l’heure de se quitter. Je la raccompagne à sa voiture après que nous nous soyons rhabillés. Un dernier baiser et elle me glisse « j’adore les livraisons comme ça. Tu repasses quand tu veux ».
Je n’ai jamais eu l’occasion de retourner dans cette entreprise mais j’ai gardé l’adresse en mémoire. Je ferais très certainement un crochet par cette rue un de ces jours…
Seulement dans tes rêves.

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