Leslie Se39

Leslie SE39 – Seule, Ernesto, au petit matin, suite et fin

Son sexe est en moi et plus rien ne compte que mon plaisir, il me griffe le dos pour me ramener à la réalité, je vais crier, je le sais…
Je ne bouge pas, ses cuisses contre mes fesses, son membre fiché en moi, alors il me dit :
- Tu te souviendras de cette nuit et de ce petit matin !
Longtemps je suis restée ainsi embrochée volontaire sur le membre de mon amant, faisant des petits va-et-vient de haut en bas en m’appuyant de mes mains sur ses épaules, il restait passif allongé sur le dos profitant pleinement du plaisir que je lui procurais.
Puis il me retourna pour se retrouver au-dessus de moi et me pistonner copieusement.
M’accrochant dans un premier temps à ses fesses, j’osais les entrouvrir, puis mes doigts s’aventurèrent plus profondément dans son intimité, sa peau devint moite alors que je doigtais son petit trou, le faisant gémir et se tordre de plaisir.
Il n’était pas hostile à ma caresse et en prenait même un certain plaisir…

Puis il me dit :
- Tu veux ?
- Oui, dis-je.
Il plongea ses yeux dans les miens, se baissa et nos lèvres se touchèrent.
Prise d’une folle excitation, je me dégageais de son étreinte et plongeais sur son sexe que je pris en bouche pour l’exciter et lui faire perdre la tête.
Il frémit un peu et quand son membre entier fut à l’intérieur de ma bouche, son membre avait mon goût, le goût de mon intimité qu’il avait pénétré quelques instants auparavant.
Son sexe, à présent dur et turgescent, je glissais une main par-dessous son corps pour aller chercher son anus et le caresser du bout de mes doigts
Du bout des doigts j’écartais les bords de son intimité, et maintenant l’écartement j’enfilais mon majeur dans son corps, il émit un petit gémissement sauvage qui me procura un long frisson.
Ma langue titillait son gland, le faisant briller de ma salive et récoltais à chaque petit coup de langue les fils translucides de son plaisir qui suintait du méat entrouvert, rien maintenant ne pourrait m’arrêter, j’allais sodomiser mon amant latino.



Il gémissait à présent et se cambrait sous mes caresses, ses mains perdues dans mes cheveux essayant d’imprimer un mouvement se ma bouche sur son sexe, il forçait mon visage à aller plus loin encore et engloutir son membre au fond de ma gorge.
Il commença à onduler amplement, par de grands mouvements de bassin, décollant ses fesses du matelas, propulsant son bas-ventre contre mon visage, j’ignorais combien de temps il allait tenir sans jouir mais je le sentais de plus en plus avide de sensations.
Il poussa un petit cri, s’agitant contre moi et il me supplia et dit :
- Prends-moi !
Il avait les yeux ouverts et me fixait intensément,
Il s’offrit sans un mot et quand je le pénétrais, il gémit, hurla et se cambra brutalement en murmurant :
- Leslie, je n’en peux plus défonce-moi !
Il resta immobile, à genoux en levrette sur le lit le cul investit par mon membre, il était étroit et me serrait bien le membre avec son conduit, certainement pas vierge mais surement pas souvent visité.

Quand j’ai commencé mes mouvements dans son étroit conduit, Ernesto émit un son rauque avec sa gorge et je le senti aussi se crisper à chaque coup de reins.
Son sexe était dressé de plaisir, Ernesto bandait de se faire enculer en poussant de petits cris et en s’agitant convulsivement comme pour confirmer ses dires :
- Oui, ohhh oui, c’est bon !

Puis il se dégagea de l’étreinte et il se retourna pour s’allonger sur le dos et s’offrir er redressant ses jambes en prenant ses genoux entre ses mains, alors je le pénétrais à nouveau dans cette position.
Ensuite il attrapa mon visage, serrant furieusement mes joues et m’embrassa comme un sauvage, léchant, mordant ma bouche. Il mordait puissamment mes lèvres, tandis qu’il entourait mon corps de ses jambes, pour me serrer encore plus contre lui, comme s’il avait peur que je m’échappe et que je laisse son petit trou serré vide…
Labourant mon dos avec ses ongles avec violence, je poussais un cri de douleur et lui dit :
- Allonge-toi sur le ventre !
Il comprit que je voulais le posséder sans qu’il puisse faire le moindre mouvement
J’avais envie et besoin d’être en lui et de le chevaucher et de le soumettre à mes désirs, lui rendre dans ce petit matin tout le plaisir qu’il m’avait donné depuis que nous étions rentrés dans cette chambre, le posséder intensément, il murmura :
- Leslie !
Il s’allongea sur le ventre et je vins embrasser ses fesses avant de le reprendre.

Et cette fois je le pistonnais sans attendre, de longues minutes avant de jouir en disant :
Ohhh, ton petit cul de latino, il est trop bon !

Mes mots l’excitaient, il rebanda et je sentis que tous ses désirs étaient revenus, alors il se dégagea et me prit par les hanches avant de se placer derrière moi et de suite il posa sa bouche sur mes petites fesses et sa langue força le passage. Il se mit à dévorer sans complexe mon anus, non sans oublier d’enfoncer sa langue dardée dedans.
Puis il glissa un doigt dedans pour constater que j’étais encore bien ouverte de toutes les pénétrations subites, je n’étais pas lubrifiée mais sa salive avait fait le principal, j’étais à nouveau prête.

Il enfonça un deuxième doigt et je tentais de serrer les fesses, mais c’était peine perdue, les deux doigts avaient pris possession de mon trou et il les enfonça d’un coup profondément, puis ce fut son membre qu’il m’enfonça dans l’anus.
Longtemps il me sodomisa sans un mot, puis il cessa de me chevaucher et me retourna sur le dos, il me regarda, puis se pencha sur moi et m’embrassa tendrement, serra mes mains dans les siennes en enlaçant ses doigts avec les miens.
Puis me passant les jambes par-dessus ses épaules il me reprit en me branlant doucement, je jouis peu de temps plus tard en sentant la jouissance d’Ernesto remplir mes entrailles, ma jouissance, elle allant s’étaler sur mon ventre.
Une jouissance infernale, qui commençai dans mon intimité, se répandant dans mon ventre et mes reins, et je n’ai pas été capable de retenir :
- Ernesto, ohhh, je jouis…
Il murmura :
- Leslie !
Puis se détachant de moi, il partit dans la salle de bains, me laissant pantelante sur le lit, sans force comme anéantie, puis quelques minutes plus tard il sortit de la salle de bains.
Il était habillé, il avait passé un débardeur noir et un pantalon, noir lui aussi, les cheveux encore mouillés et sa petite croix en argent autour de son cou, et juste avant de disparaitre, il me lança :
- En partant, claque la porte.


Je suis restée seule dans la pièce devenue silencieuse, une expérience de jouissance qui me laissait le cul ouvert et légèrement douloureux, mais néanmoins heureuse d’avoir enculée ce beau latino.
J’ai pris une douche et j’ai retrouvé mon string jeté, hier soir dans la chaleur de nos ébats, sur la moquette, je l’ai remis, puis mes affaires une à une retrouvé dispersées dans l’appartement.
J’arrangeais mes cheveux une dernière fois devant le miroir, mon cul me lançait et me rappelait que j’avais été prise de nombreuses fois, mais je ne saurais pas dire combien…

En partant j’ai claqué la porte, refermant une aventure d’un soir…

A suivre…




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