Marion. Ses Parents Me La Confient.

Marion n'a plus que quelques jours de vacances, et ne veut pas perdre de temps. Elle a attendu 23 ans pour connaître le plaisir anal et souhaite rattr le temps perdu. Elle m'offre son cul sans retenue, et me laisse y fourrer de superbes légumes que son petit trou gobe avec bonheur. Je la gode tous les soirs avec de nouveaux joujoux achetés aux maraichers, son cul bien sûr, mais aussi sa chatte et sa bouche. Elle adore ces multiples insertions, surtout quand ma queue se joint à la partie et que je la baise et l'encule avant de lui offrir ma bite à sucer pour me faire finir dans sa bouche.


On essaie de nouveaux jeux, et on se retrouve à se masturber face à face. Elle s'introduit tout ce qui lui tombe sous la main, et aucun des légumes n'échappent à sa voracité. Elle s'exhibe sans aucune pudeur, ne cache pas son plaisir, et je me branle en m'offrant à son regard sous mes meilleurs angles.

Je salive sur ma queue pour qu'elle entende bien ma main qui s'active dessus, et je peux entendre les coulissages de ses toys dans ses orifices dégoulinants.


Elle a trois manches en elle, un dans le cul et deux dans la chatte. Sa bouche est libre, et je me lève pour combler ce vide. Je viens dans sa bouche d'un seul coup, bien au fond, et la maintiens contre moi :

- Salope, tu es une salope Marion, encore plus que je ne l'espérais. Ca te plait plein de queues à la fois! Tu as déjà baisé à plusieurs ?
- Ca va pas! Tu me prends pour qui? Je ne suis pas une pute !
- Mais je n'ai jamais dit ça. Tu es juste une salope, vicieuse et perverse, qui adore les grosses queues. Alors je me dis qu'une petite partouze ne te déplairait pas !

Elle sait qu'elle peut se permettre tout avec moi, qu'elle peut être odieuse avec moi comme je le suis avec elle ; elle m'envoie me faire foutre me disant que j'ai de la chance d'avoir une grosse queue, sans quoi ce serait fini entre nous. Je stoppe le sujet, et me concentre sur sa pipe délice.

Je l'encourage, la félicite, et m'abandonne pour lui offrir sa ration quotidienne.


Je lui demande si elle revient le lendemain, craignant de l'avoir fâchée, et elle me rassure me disant qu'elle est trop bien avec moi.
Comme à chaque fois la nuit porte conseil, et elle semble moins hostile lorsque je ré-aborde le sujet. Elle me demande si j'ai un copain. Hélas non, pas ici, mais je connais un endroit où on pourrait baiser à tout va. Je lui parle alors d'une plage de nudistes, familiale en journée, mais qui devient un lieu de rendez-vous, pour hommes, le soir venu; je suis sûr qu'une fille serait la bienvenue. Elle aimerait bien essayer, mais avec la présence de ses parents qu'elle ne doit pas rejoindre trop tard, ça lui semble impossible. On s'offre encore du bon temps, à deux, et elle rentre dormir.


Une fois de plus la nuit lui a porté la solution, et elle me la présente le lendemain. Ses parents vont reprendre le boulot, mais elle qui est étudiante a tout son temps. Il me reste quinze jours de location et elle me propose de rester avec moi. Je serais d'accord mais m'inquiète de la réaction de ses parents. Pas de problème, elle sait comment les prendre et tout va pour le mieux.


Arrive le samedi du départ. Il est neuf heures, ils viennent me dire au revoir et me confient leur fille en toute sécurité, ayant confiance en moi, et sachant que j'ai une vraie chambre et un canapé-lit, comme dans leur appartement, et que Marion a pris ses draps pour occuper ce dernier. Ils poussent même l'innocence jusqu'à me remercier et me proposer un petit dédommagement que je refuse.
On les regarde partir par la fenêtre, puis Marion se pend à mon cou:

- Baise-moi.
- Avec plaisir, mais d'abord tu m'embrasses, un vrai baiser.

On ne s'est embrassé que du bout des lèvres jusqu'à présent, et ma demande semble lui plaire autant qu'à moi. Nos bouches se soudent, nos langues s'enroulent, et elle essaie de défaire mon pantalon sans y arriver.
Je me détache:

- Viens à la chambre salope, je vais te baiser comme tu le mérites.
- Oui je suis ta petite salope, et je veux qu'on baise en permanence, matin, midi et soir.

On est au lit, à poil, et je suis sur elle. Je matraque sa chatte, longuement, jusqu'à épuisement. Je me retire et c'est à son tour de venir sur moi et de se déchainer sur mon manche. Elle me baise violemment puis se retire avant que je ne décharge. Elle s'empare de mon sexe et me masturbe sauvagement:

- Jouis, jouis salaud, je veux voir comment tu gicles. Elle est belle ta queue, elle est grosse, c'est bon de te branler. Je vais la faire éjaculer ta grosse bite, et puis je vais lécher ton sperme.

Elle fait comme elle a dit, et s'applique à me nettoyer. Je lui roule une longue pelle parfumée de ma semence.

Après chacune de nos baises elle rentrait aussitôt chez elle, mais là on a le temps d'un câlin. Elle est dans mes bras et entame la conversation:

- Ca t'a plu de m'embrasser après que j'aie bu ton jus ?
- Ouiiiiii, j'adore ça.
- Tu aimes le sperme ?
- Oui, comme toi la mouille.
- J'aime ma mouille, mais toi je te demande si tu aimes le sperme d'autres hommes. Ne le prend pas mal, mais tu m'as parlé de cette plage où il n'y a que des hommes et je me demande si....
- Si j'y vais, et si je baise avec des mecs ? C'est ça ? (elle me fait un signe affirmatif). Je n'y suis pas encore allé cette année, j'attendais que vous partiez. Sinon j'y vais chaque année après votre départ. Et tant pis si je te déçois, mais je baise entre mâles, et j'aime ça autant qu'avec toi.
- T'inquiète, je suis large d'esprit. Mais alors tu ne voulais peut-être pas que je reste ?
- Ne dis pas de bêtises, je suis sûr qu'on va super bien s'amuser.


On continue à discuter, puis on va faire le marché et c'est elle qui choisit les joujoux. Elle prend des courgettes et des concombres de belles dimensions.
On fait d'autres courses, on passe devant des pâtissiers et des glaciers qui la font saliver. Elle m'avoue son envie de glaces, mais sa retenue pour son régime. A propos de glace, elle a déjà comparé ma queue à ce dessert, et je lui propose une glace au chocolat à ma façon ; on achète des Danettes.


On est à la fin du déjeuner, et on passe au dessert. Elle prend son petit pot au frigo tandis que je m'allonge tout nu sur la table. J'ai profité de ce qu'elle préparait le repas pour me raser entièrement le paquet. Elle est émerveillée par ma nudité:

- Ouah, génial! Je n'osais pas te le demander, mais c'est ce que j'espérais.
Elle me suce pour me faire bander, décalotte bien mon gland turgescent, et trempe ses doigts dans sa crème chocolatée. Elle en recouvre mon gland et ce froid a pour effet de me faire bander encore plus. Elle me suce, me nettoie, et me recouvre à nouveau. Elle recommence plusieurs fois:

- Cette bite, mon salaud! C'est le meilleur dessert de toute ma vie.
- Doucement salope, tu vas me faire jouir.
- Mais j'espère bien, ne te retiens pas, donne-moi tout.

Je m'abandonne et décharge dans son vide-couilles assoiffé. Elle avale tout, giclée après giclée, à chaque fois que je viens en elle ; mais là elle garde tout en bouche et recrache dans le petit pot. Elle touille avec son doigt, mélange sperme et chocolat, puis me nappe à nouveau la queue. Elle me ré-embouche et ses lèvres serrées sur mon manche descendent jusqu'à la racine, pour recouvrir ma paire de boules de cet appétissant nouveau dessert. Elle abandonne ma queue et enfouit sa gueule entre mes jambes. J'écarte bien les cuisses pour mieux m'offrir à elle :

- Salope! J'en ai connu des vicieuses, mais tu fais partie des meilleures. Etre aussi si chienne, aussi jeune, c'est trop génial. Bouffe-moi les couilles petite pute, dévore mes belles profiteroles au chocolat chantilly.

Elle gobe mes prunes l'une après l'autre, puis les deux à la fois.
Elle se redresse et recommence. Elle m'encrême à plusieurs reprises, et dévore tout, sur mon gland, sur mon manche, sur mes burnes, jusqu'à finir son dessert.

Elle a du chocolat plein le visage de s'être vautrée entre mes cuisses, et je la lèche pour la nettoyer et lui roule des pelles gourmandes.

Il est quatorze heures, il fait très chaud, et on reste à l'appartement, au frais. On est au lit, et on se fait un sage câlin. On envisage notre soirée à la plage, et je la sais prête à toutes les orgies, tout comme je le suis. On sort en milieu d'après-midi pour s'aérer et profiter des lieux, et puis on rentre pour dîner en attendant notre sortie coquine.


A suivre..........................

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