Marion Et Ses Astuces Pendant Le Confinement 02.

Nue sur ma chaise longue, j’attends que le miracle s’opère.

Le soleil me dore agréablement, je me laisse aller vers une nonchalance exquise. Ma
perfidie et ma patience sont rapidement récompensées, car furtivement j’aperçois Hugo
debout, vêtu d’un tee-shirt rouge, rien de plus voyant, il reste un petit moment avant de
se mettre sur le côté, mais avec sa tenue flashy, il est repérable à 1 KM à la ronde.
J’ai du le surprendre et il mate le cochon! C’est exactement ce que je voulais, cochonne
toi-même!

Maintenant, est-ce qu’il va s’approcher pour voir le spectacle de plus prêt? Pendant de
longues minutes, il ne bouge pas.
Que faire? J’ai l’idée soudaine de l’enflammer encore plus en frôlant d’une main mon
corps, l’autre tenant mon livre, je touche mes seins et les caresse un instant et je
continue la visite doucement pour bien lui laisser le temps d’analyser la situation.

Je descends vers ma chatte pour la cajoler avec les doigts et imprimer un mouvement de
va et vient que j’amplifie volontairement pour bien lui faire déchiffrer ce qui se passe.
Là je pense qu’il a comprit. Est-il trop timide pour tenter un rapprochement?

Comme je suis perverse, je pousse le bouchon encore plus loin, en émettant des
gloussements caractéristiques d’une fille qui se fait du bien, mais en les amplifiant
démesurément pour qu’il puisse les percevoir entre les pauses de sa douce musique.

Soudain je ne vois plus le rouge de son maillot, mon cœur s’emballe pendant que ma
fente s’humidifier sous l’effet de mes caresses et des dépravations de mon cerveau qui
voudrait tellement qu’Hugo assisté à ma masturbation prêt de moi.

Un indice supplémentaire me rassure au bout d’un moment, j’entends le craquement
caractéristique de l’ouverture de la porte de garage, même s’il parait plus atténué que
d’ordinaire, sans doute cherche-t-il a faire le moins de bruit possible, mais à l’écoute
du moindre bruissement, je sais que tel un sioux, il s’approche à tâtons.

Mais ses
chaussures n’ont rien à voir avec des mocassins d’indien et des craquements de brindilles
m’avertissent que la proie est bien tombée dans le piège. Tel une araignée, si je le
saisie dans ma toile, je ne la lâcherais pas, et il en est tout proche..

Ce jour-là, pas le moindre souffle de vent et quand je vois des branches bougées, j’ai
tout de suite repéré ma petite victime quoique je connais un paquet de mec qui voudrait
être à la place de ce martyr.

J’imagine ses yeux coquins qui m’observent, je me tourne du côté où j’ai vu remuer les
feuilles, un genou relevé et les jambes écartées, je laisse momentanément ma chatte
lisse bien visible pour qu’il se délecte de la situation, la mouille qui s’épanche de ma
minette doit bien se réverbérer dans le soleil et luire à lui brûler les yeux. Puis je
reprends mes caresses en écartant ma fente pour s’approcher de mon clito.

Un gros bruit de feuilles qui s’entrechoquent me fait sourire, la branche qu’il tentait
d’écarter lui a échappé et le trahit immédiatement .
C’est le moment d’en profiter et d’attaquer.

- C’est toi Hugo? fais-je d’une voix angélique.

- Oui, me répond-il, timidement.

- Eh bien, montre-toi, lui dis-je, n’aie pas peur, je ne vais pas te manger!

Il sort doucement de sa cachette et baisse les yeux.

- Regarde-moi au contraire, lui conseillé-je, c’est bien pour ça que tu es venu,
profite en bien, je ne suis pas si innocente que ça va! Comment trouves-tu ma chatte?

- Merveilleuse, me répond-il.

Décidément la conversation est limitée avec ce garçon si effarouché et embarrassé,à moi
de le mettre en confiance.

- Viens plus près, ordonné-je.

Je me lève pour aller dans sa direction, lui se rapproche du grillage qui nous sépare,
les gestes barrières risquent d’être vite oubliés!

- Tu veux la toucher? Lui fais-je et humidifier tes doigts avec ma mouille?

Je me place de manière à ce que ma fente soit juste au milieu d’une interstice du
grillage.
C’est pas facile avec cet obstacle, mais c’est ce que j’ai adoré de cet
aventure, nous aurions pu faciliter la chose en se retrouvant tous les 2 du même côté,
mais
le charme eut été brisé et nous ne l’avons jamais fait. Ses doigts se rapprochent pour
frôler ma fente, il est craquant ce jeune ados, gauche et craintif et j’ose la question
qui tue!

- As-tu déjà touché une fille comme ça?

- Non, c’est la 1ère fois.

Ça me plaît énormément d’être l’initiatrice, certaines n’aiment pas ça, mais moi
éduquer des puceaux aux plaisir de sexe, j’adore ça, c’est d’ailleurs pas le 1er que je
vais déniaiser.

- Et moi j’ai le droit de voir ta queue?

- Oh oui, bien sûr, dit-il en baissant immédiatement son short et son slip en même
temps.

Il est fière de me la montrer, une bite rigide et toute droite en l’air me saute au
nez.

- Fait lui traverser le grillage, tu vas voir ce que je fais aux belles queues des
jeunes garçons!

Et dès qu’il lui fait franchir le grillage et qu’elle se trouve du bon côté, je me
précipite dessus, 15 jours que j’en ai pas sucée, c’est très long.

Je sais que ma célérité va être au détriment de sa résistance, mais j’en ai trop envie,
dès que je l’ai enfournée, je la suce goulûment et sans les mains pour lui laisser une
chance de lutter et aussi pour que j’en profite plus longtemps. Mes doigts se blottissent
entre ma fente pour titiller mon bouton, le plaisir monte de plus en plus, un temps
d’abstinence amplifie le désir.

Son sexe blond est très joli, une bite assez épaisse pas très longue mais dans la bonne
moyenne et qui me convient parfaitement en ses temps de vache maigre, des petites
couilles toutes mignonnes, d’une peau claire et tendre que je ne peux malheureusement
pas pétrir comme je veux à cause de la clôture.


Je le regarde de temps en temps pour voir que ma langue lui fait un bien fou vu ses
mimiques de satisfaction. Et il résiste mieux que je ne l’avais imaginé pour un puceau,
c’est pour cela que je le soupçonne qu’il se soit branler auparavant dans sa chambre en
me contemplant nue. En tout cas il a du bien la nettoyer car je n’ai pas senti le goût de
foutre en la prenant.

Et ce n’ai qu’après plusieurs minutes de plaisir intense pour lui comme pour moi, qu’il
décharge dans ma bouche gourmande une quantité non négligeable de bon sperme chaud et
épais qui me satisfait bien. Je continue de bien lui lécher jusqu’à la dernière goutte,
il ne faut pas gaspiller, et je lui fais voir que j’avale avec joie sa sauce crémeuse à
souhait. Il est tellement surpris qu’il reste figé comme une statue à l’exception de sa
bite qui doucement baisse la tête.

Je lui propose de goûter ma chatte qui dégouline de bonheur, à travers le grillage,
rien de bien aisé, mais c’est faisable, et sa langue très fine et mobile, se faufile
bien entre ma fente et arrive à agacer mon point sensible, ce qui me fait monter e
tension et libère encore plus de cyprine qu’il déguste avidement. Il a une dextérité
surprenante qui fini par être payante, car ce rosier de madame Husson réussit
parfaitement son coup et arrive à me faire jouir dans sa bouche de manière spectaculaire,
ce sera à n’en pas douter, un bon coup mesdames.

Ma ruse a parfaitement fonctionné, je lui donne un baiser par dessus le grillage, un
baiser bien mérité ou je sens le goût de ma chatte et qu’il fait durer une éternité Pour
mon plus grand plaisir.

Mais le moment de se séparer arrive sans toutefois omettre de se donner RDV le
lendemain à la même heure et au même endroit.

Et pendant toute la durée du confinement, j’ai eu ma dose quotidienne de sperme.
Pas un
seul jour nous avons manqué notre rencard, même si le week-end avec les parents présents
c’était plus périlleux. Je lui avais fait comprendre que notre relation durerait le temps
du confinement mais il a accepté sans rien objecté le deal, en lui concédant une
possibilité d’extra ultérieurement.

Les jours de pluie, il apportait un parapluie pour m’abriter pendant ma prestation.

Mon jeune frère, ou peut être la deux ont fini par s’apercevoir de se manège car Théo
un jour m’a lancé en éclatant de rire àl’approche de l’heure fatidique:

- C’est bientôt l’heure de la pipe!

Je lui ai envoyé un clin d’œil complice en riant avec lui. S’il m’a dit cela c’est
qu’il m’a observé, et je trouve même excitant qu’il m’épie, je me suis aperçu de rien, il
faut dire que je suis bien absorbée quand je suce un garçon, et plus rien me perturbe en
dehors de l’œuvre à exécuter. Maintenant le sachant, cela me procurera un petit plus.

Hugo a beaucoup appris pendant ce confinement et maintenant il résiste bien aux assauts
d’une bouche de fille sur sa queue et vous pouvez me faire confiance je m’en prive pas,
et il est prêt pour vous donner beaucoup de plaisir les meufs.

Une chance que l’éducation nationale va donner le BAC sans épreuve, car ses révisions
ont été bien perturbées.

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