Stage En Angleterre

L'été de mes 19ans, je suis parti en Angleterre à l'occasion d'un stage pour mes études. J'avais dégotté un boulot tranquille, dans une société en banlieue londonienne. Si le quotidien se déroulait à merveille, avec des collègues amusants et des tâches variées, les weekend étaient en revanche particulièrement long, sans moyen de locomotion ni personne à qui parler. Mes occupations se résumaient la plupart du temps à regarder des programmes sans intérêts sur les quelques chaines que je captais dans la petite chambre que je devais occuper pendant mon stage, à faire quelques footing dans la campagne anglaise pour m’oxygéner un peu et à de longues masturbations solitaires. Je profitais de la longueur de mes jours pour prendre mon temps, me caresser en douceur, laissant mon imagination se perdre dans des fantasmes divers et des tourbillons de corps entremêlés.

Je pris la décision un week end de prendre le train pour aller visiter un peu Londres. J'en parlais à des collègues qui me donnèrent des conseils sur les lieux à visiter, les transports et les horaires des trains. L'un d'eux, fêtard invétéré qui passait le plus clair de ses soirées dans les pubs des villes alentours, me conseilla expressément de me rendre dans un quartier spécifique, où il était sûr que je m’amuserais. Je le pris au mot et notais le conseil.

Le samedi suivant, j'étais au petit matin sur le quai de la gare. J'étais parti léger, short long et chemisette, la journée s'annonçant particulièrement ensoleillée. Je passais une agréable journée à passer devant les lieux que tout bon touriste se doit d’aller voir, de Buckingham à la tour de Londres en passant par le tower bridge. En milieu d’après midi, j’avais terminé la petite boucle que je m’étais planifiée et décidais d’aller dans le quartier conseillé par mon collègue avant d’aller reprendre mon train quelques heures plus tard.

Le moins que l’on puisse dire c’est qu’en sortant du métro, le Londres dans lequel je me trouvais était complètement différent du Londres que j’avais pu visiter le reste de la journée.

Entre bars un peu louches, filles en tenues légères marchant dans la rue et sex shops, l’ambiance était clairement moins distinguée que devant le magasin Harrods… Je me demandais un peu pourquoi mon collègue m’avait conseillé ce coin, et compris en repensant aux discussions que l’on avait eues à propos de ma solitude le soir pendant mon stage et plus particulièrement le manque de présence féminine que je subissais depuis plusieurs semaines.

Un peu troublé par la situation et par l’endroit, je poursuivis mon exploration dans les rues, rayonnant autour de la station de métro pour être sûr de ne pas me perdre.
Après une petite demi heure de marche, de plus en plus troublé, je me dis que je pourrai trouver dans l’un des sex shop, quelques revues qui pourraient alimenter l’imaginaire de mes branlettes régulières, qui avaient malgré tout de plus en plus de mal à se renouveler. Je choisi l’une des boutiques un peu au hasard et franchissait le rideau faisant office de porte, ne sachant pas vraiment ce que j’allais trouver derrière.

La boutique était assez sombre, éclairée par des spots orangés dirigés vers le plafond. A l’intérieur, une dizaine de personnes, exclusivement des hommes, allaient et venaient sans bruit, alors qu’une radio diffusait à bas volume une musique zen. Je parcourais les différents rayons, étonné par l’inventivité de certain costumes, objets ou godemichet en termes de formes, de couleur et de dimensions. Je me dirigeai finalement vers le rayon des revues, où 3 hommes flânaient en feuilletant des magazines, jetant parfois quelques regards furtif au niveau de la porte et vers les autres personnes, surement par crainte d’être reconnu. Le rayon était assez vaste, et il y avait là de quoi alimenter mon imagination pendant des décennies !
Tous les thèmes et tous les types de sexualité étaient représentés, des plus communes au plus « alternatives ». Je jetais finalement mon dévolu sur un magazine représentant des lesbiennes et tournais les pages avec intérêt et excitation.
Je ne tardais pas à me sentir à l’étroit dans mon short et je sentais ma température corporelle augmenter de façon non négligeable.

Une fois le magazine parcouru, je le reposais et cherchait des yeux ma prochaine cible, quand mon regard croisa celui de mon voisin. Un homme d’environ 35 ans, brun, 1.80m et pour tout dire assez quelconque, le genre de type qu’on croise tous les jours et qu’on oublie au bout de 30 secondes. Celui-ci me fixa un moment, et je détournai le regard gêné, pour continuer mon exploration. Je trouvais finalement un autre journal, traitant cette fois de femmes mures en soubrettes et me concentrais sur les images lorsque je senti que l’homme s’approchait de moi pour poser un magazine sur une pile. Il en avait encore un entre les mains et le feuilletait maintenant à moins 1 mètre de moi. Je jetai par curiosité un coup d'œil au magazine, et m'aperçut immédiatement qu'il s'agissait d'une revue gay. Mon inconnu tournait lentement les pages, et je ne parvenais pas à détourner le regard des images que je voyais défiler devant mes yeux. J’étais fasciné par ces corps nus, musclés, ces sexes dressés, sucés, enfoncés, tous plus impressionnants les uns que les autres. Je repris mes esprits au bout de quelques minutes et constatais alors que l’homme ne regardait plus son magazine, mais m’observait en tout en tournant les pages et en me les montrant.
Je me senti instantanément rougir et détournai le regard au plus vite. L’homme se déplaça alors lentement derrière moi, en me frôlant plus que nécessaire compte tenu de la largeur des allées du magasin. Troublé par la situation, je fis un tour dans les rayons, le regard vague, ne pensant qu’à ce que je venais de vivre puis mes pas me guidèrent finalement devant le rayon des revues gay.
Sur un coup de tête, je saisi la première venue et je retournai rapidement vers une zone « conventionnelle » afin de prendre une autre revue. Je me rendis alors à la caisse, nerveux, stressé, avec l’impression que tout le monde me regardait et m’observait.
Je payais les 2 magazines au vendeur indifférent et ressortais rapidement de la boutique.

J’eu l’impression de me liquéfier lorsque je vis, sur le trottoir juste en face de la sortie, l’inconnu à la revue qui me fixait, son regard planté dans le mien. Il s’approcha alors de moi :

_bonjour.

_b-b-b-bonjour,

_belle journée hein ?

J’essayais tant bien que mal de répondre, je bégayais, mes mains était moites, je me sentais horriblement mal à l’aise et rouge comme une pivoine.

_tu viens souvent dans le coin ?

_non je suis français, je suis en stage et à Londres que pour la journée.

_ oh tu es pressé alors….. ça te dirait de me suivre un moment ?

Bon, bien que nerveux et surement un peu naïf, je n’étais pas non plus complètement débile et compris rapidement ce qu’il voulait…. J’essayais alors de me calmer et de faire le point dans ma tête, pesant le pour et le contre de suivre cet inconnu, visiblement pour autre chose que boire un thé…. Sentant mon hésitation, l’homme repris la main.

_viens, je connais un coin pas loin, tu ne le regretteras pas.

Et il se mit à marcher dans la rue. J’avais l’impression d’être encore en train de réfléchir mais mes jambes le suivirent machinalement. Nous marchions dans la rue, sans rien dire, moi 1m derrière cet homme que je ne connaissais pas 10min plus tôt, et qui se retournait toutes les 30s, pour s’assurer qu’il avait bien ferré son poisson. Il rentra dans un bar et descendit directement un escalier vers les toilettes où je le suivi. Il se plaça dans une cabine vide et se retourna vers moi :

_ne t’inquiète pas, ils ont l’habitude ici, on sera tranquille, viens, rentre !

Je rentrai alors dans la cabine et fermai le verrou derrière moi. Je ne pensais plus à rien, je n’arrivai pas à réfléchir et restai debout, sans rien dire, sans bouger, quand je senti la main de l’homme se poser sur mon sexe et le malaxer.
Rapidement, il défit ma braguette, sorti mon sexe et me branla lentement mais fermement. Je me penchai en arrière contre la porte et savourait l’instant les yeux fermés. Au bout de quelques seconde, je me senti rentrer dans un fourreau chaud et humide et rouvrit les yeux. L’inconnu était penché et me suçait avec application, en me massant les boules. L’excitation de la situation fit que je ne pouvais tenir le rythme très longtemps. L’homme le senti et s’arrêta, ne voulant pas me faire jouir avant d’être sûr d’avoir pu, lui aussi, profiter. Il me retourna alors vers la cuvette des toilettes et me fis m’asseoir dessus. Je mourrais de chaud et avait l'impression que ma tête allait exploser. D'un geste rapide et précis, l'inconnu ouvrit sa ceinture, déboutonna son pantalon et descendit son boxer.
Son sexe jailli brutalement devant mon visage. Il était plutôt long et fin pour ce que je pouvais en juger, son gland rosé était à moitié recouvert de son prépuce mais brillait de désir.

_Allez vas-y c'est très bien n'aies pas peur....

L'Inconnu pris ma main et la posa sur son membre. Pour la première fois de ma vie, j'avais entre mes doigts un autre sexe que le mien. J'avais pourtant l'impression que c'était quelque chose de complètement différent et était fasciné par la chaleur qui s'en dégageait et le subtil mélange entre la rigidité globale de son sexe et la douceur de la peau. Lentement, avec application, je commençais des vas et viens sur cette colonne, les yeux braqués dessus. Je prenais le temps de découvrir complètement le gland, par des mouvements amples et réguliers. Je prenais vraiment mon pied à toucher et caresser son sexe, et je le sentais durcir et s'allonger encore, au fil de mes allers venues.

Au bout de quelques minutes, l'Inconnu avança lentement mais surement son bassin. Son sexe s'approchait inexorablement, centimètre par centimètre, de mon visage. Je compris immédiatement où il voulait en venir, et au sommet de mon excitation, je me lançais à poser un coup de langue le long de sa tige.
Agréablement surpris par le gout et la texture de ce que j'avais lécher, je poursuivi mon exploration. Ma langue parcourait la face inférieure de son sexe, pendant que mes mains poursuivaient leur travail de caresse. Inévitablement, je m'approchais de plus en plus de son gland et après un premier coup d'essai sur son frein, qui le fit tressaillir, je pris celui-ci complètement en bouche. Emerveillé par cette nouvelle sensation, je restais quelques instants sans bouger, parcourant de ma langue toute la surface qui m'était offerte. J'adorais ce petit gout légèrement salé et l'incroyable douceur de la texture de la peau à cet endroit-là. Comme un rappel à l'ordre, l'Inconnu commença lentement à faire des mouvements de balancier avec son bassin. De fait, et sans que je bouge, son sexe allait et venait dans ma bouche, le frein de son gland frottant à chaque passage contre ma langue. Sa respiration était de plus en plus forte.

Mes mains devenues inutiles, parcourait ses jambes et s'arrêtèrent finalement sur ses fesses, accompagnant ainsi ses mouvements de bassins. J'adorais cette situation, l'impression à la fois d'être dominé et utilisé, et en même temps de contrôler et d'avoir cet Inconnu à ma merci. Je sentais son plaisir monter, le goût de son sexe salait à chaque aller retour, sa respiration forte devenait saccadée.
Chaque mouvement faisait maintenant rentrer son sexe entièrement dans ma gorge, ses boules tapaient mon menton, et mon nez venait s'écraser contre son pubis. D'une main ferme, il tenait l'arrière de mon crâne pour empêcher toute dérobée. Il prenait plaisir à rester parfois plus longtemps, planté au fond de ma gorge.
J'accompagnais cette intrusion en pressant dans mes mains ses fesses et en me serrant au plus contre lui. De ma bouche grande ouverte coulait de la salive, qui lubrifiait sa pénétration et coulait abondamment sur mon menton. Il s'amusait parfois à sortir son sexe et le frotter contre mon visage en me demandant de lui lécher les testicules. Je lui prenait, une a une, les boules en bouche et les caressait de ma langue. Finalement, il replaça son gland dans ma bouche et se branla en même temps. Mes mains accomagnaient son désir, l'une sur les fesses suivant les mouvements de son bassin, l'autre sur les testicules que je massais et faisait rouler l'une contre l'autre.

Au bout de quelques temps, j'entendis tout d'un coup sa respiration se bloquer.
Ses mouvements stoppèrent pendant une fraction de seconde. Puis un gémissement rauque accompagna le jus qu'il me vida dans la bouche. La quantité relativement faible me permis de tout garder pendant qu'il refit quelques mouvements, accompagnés de nouveaux gémissements plus faibles. Il se retira enfin, haletant, et je recrachais dans du papier toilette le fruit de sa jouissance.

Il se pencha vers moi pour m'embrasser, et me félicita pour le plaisir que je lui avais prodigué.
Il me redressa et recommença à m'embrasser tout en me caressant le sexe. Ses mouvements étaient vifs et rapides. Etant donné l'état avancé d'excitation dans lequel je me trouvais, c'est au bout de seulement quelques secondes que j'explosais moi aussi dans sa main, mes soupirs étouffés par sa langue qui me remplissait la bouche.

Il s'essuya la main et nous nous regardâmes quelques secondes, essoufflés et en nage, avec chacun un petit sourire de satisfaction sur le visage.

Je venais de vivre ma première expérience avec un mec, mais pas la dernière...

N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires et si cette histoire vous à plus, je me ferai un plaisir de vous raconter la suite de mon apprentissage !

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