Terma 102 : Mon Stage Pratique À La Ferme Agricole Pilote (1)
Je suis un étudiant, âgé de 22 ans et en deuxième année dans un Institut Agronomique. Et au début des vacances dété, on ma envoyé pour un mois de stage pratique, dans une de leurs fermes pilotes. Je dois faire un rapport sur les cultures pratiquées, leur productivité, le personnel et les méthodes de travail. Visé par le régisseur principal de la ferme, mon rapport transmis à lInstitut sera noté dans mes études. Jai passé juste une semaine de vacances à la maison, puis je suis parti en stage à la ferme, en pleine campagne. Reçu par Mr Allal, ancien prof et régisseur actuel, on ma fait visiter rapidement les lieux et expliqué les protocoles du personnel de la ferme. Il y avait la zone des bureaux et administrations et à coté mais plus loin et séparés, trois logements de service pour les cadres et leurs familles. Et nettement plus loin, presque au milieu des champs, les baraquements des ouvriers, des magasins, des garages et ateliers et du matériel. Les baraquements des ouvriers sont de grands dortoirs, des toilettes et douches communes et aussi un espace repos et restaurant où ils prennent le seul repas du soir vers 19h, repas commun préparé sur place dans la cuisine du restaurant. Le repas de midi est un grand casse croute fourni dès le matin, avec le petit déjeuner, et mangé à midi sur les champs, sur le terrain de travail. Pour mieux madapter au métier, on ma logé dans une sorte de petite chambre accolé en extérieur au grand dortoir. Les champs, jardins, périmètres expérimentaux et les écuries formaient des espaces très vastes, tout autour de ces trois zones et cest surtout la où tout le monde travaille la journée, sauf les administratifs.
A mon arrivée à la ferme, il y avait déjà une trentaine douvriers agricoles en contrat et que je nai rencontré que le soir quant ils sont revenus à 18h des champs, pris leurs douches et installés aux dortoirs. Jai pris mon premier diner avec eux au restaurant collectif, une sorte de cantine avec de grandes tables en rangées et des bancs tout autour.
Lun voulait que je lui écrive une lettre familiale et lautre que je lui explique sa fiche de paie quil avait apporté et à laquelle il ne comprenait rien. Je navais quune chaise pour lun deux, alors je me suis assis sur mon lit. Le gars, Si Mbarek sest assis parterre à mes pieds et jai commencé à écrire sa lettre. Quant je lui relisait ce que javais écrit, il allongeait la tête pour voir même sil ne sait ni lire ni écrire. Ce mouvement le mettait en contact étroit avec mes jambes et mes cuisses, tellement la chambre était étroite. Parfois, pour se stabiliser, il avait mis ses larges mains sur ma cuisse et mon genoux. Jétais gêné mais je comprenais leurs habitudes de promiscuité, de vie en communauté, presque intime. Mais ces contacts dont je navais pas lhabitude ni chez moi ni à lInstitut me donnaient un sentiment dintimité et de sentiments bizarres, mais je nai rien dit. Et quant jeus fini sa lettre et expliqué le contenu, il est parti me promettant récompense plus tard que jai refusé.
Lautre, à son tour me présenta sa fiche de paie et pour mieux voir, il sest rapproché et assis exactement comme le premier, en contact avec ms jambes et cuisses. Et dès que jai commencé à expliquer la première ligne de la fiche, il a allongé et rapproché sa tête et placé ses mains, lune sur mon genoux et lautre sur ma cuisse.
Mon zeb, nu sous le pantalon sest réveillé et sest dressé, formant une belle bosse sur la toile du pantalon, et juste sou le nez de Si Larbi. Je suis resté hypnotisé et g^né, mais lui, il sest mit à rire en levant sa tête vers moi. Je voulais me dégager mais il me tenait bien par mes cuisses et son regard était gentil, compréhensif, amical et même encourageant. Il ma dit que cétait naturel pour un jeune comme moi, et sa main a effleuré la bosse de mon pyjama, et ma queue a ressentit cela comme une caresse et même un choc qui la fait bondir et sallonger totalement. Je ressentais du plaisir dans mon corps et jai fermé les yeux tout en me collant au mur. Alors, il a fait une chose incroyable. Il a empoigné à pleine main mon zeb, à travers le pantalon, et il la serré à me faire mal. Je sentais mon zeb gonflé et dur et je ne savais plus quoi faire ou dire.
Ensuite jai ouvert les yeux, il tenait toujours mon zeb mais je voyais que javais éjaculé sur son visage et sa chemise, pourtant il riait gentiment. Jai tout de suite pensé que Si Larbi était un homme âgé qui comprenait la vie et les choses et ce nest pas ce débordement sexuel dun jeune comme moi qui allait le fâcher. Alors, jai glissé de coté et je me suis affalé sur le lit, les jambes toujours allongées et écartées. Si Larbi a remis mon zeb dans sa bouche et repris à me sucer et lécher de haut en bas, jai compris quil me nettoyait la queue. Ensuite il a sorti un mouchoir et ma enveloppé le zeb et essuyé longuement. Puis, tout en gardant son mouchoir autour de mon zeb et ma montré de grande tâches de sperme sur mon pyjama. Javais compris que mes éjaculations brusques avaient polluées mon pantalon et même la chemise de lhomme. Alors, il ma retiré mon pantalon et ma poussé pour mieux mallonger le dos sur le lit.
Aussi machinalement quauparavant, jai soulevé un peu et tendu mon derrière et écarté mes cuisses le plus largement que je pouvais. Jétais prêt à moffrir à cet homme, sans trop réfléchir, juste par les sensations et plaisirs nouveaux, que je ressentais dans mon corps. Il ma frotté le sillon de mes fesses et mon anus. Jattendais cela et ny tenant plus, jai rejeté, avec me pieds, le drap qui me couvrait, découvrant ainsi, complètement mon derrière, ma Terma, mes fesses et mes cuisses à Si Larbi. Je me sentais bizarre, faible mais décidé. Il y a deux heures, je naurais jamais pensé arriver à cette situation, à ce comportement volontaire de ma part. Javais une envie folle doffrir au zeb de Si Larbi, un homme inconnu, ma Terma et mon cul pour me dépuceler et jose avouer, me niquer. Oui cétait grave et difficile, mais pour linstant, tout me semblait facile tant jétais prisonnier des sensations agréables de partout, dans mon corps. Ma tête refusait de penser au reste, à ce qui pourrait se passer et jen était heureux, bizarrement et agréablement chatouillé. Mon cul était prêt à se donner et ma tête le souhaitait en urgence. Si Larbi, devant ce trésor offert, sest penché et ma donné plusieurs baisers, sur les fesses et dans leur sillon et enfin même sur mon anus quil lécha un peu avec ses lèvres. Sensation formidable qui me faisait frétiller. Puis, il poussa lentement un doigt dans mon trou mais ça ne passe pas malgré que javais gonflé mon cul. Je lentendais saliver son doigt et il tenta une seconde fois et son doigt, dune poussée glissante, il me pénétra, sans douleur. Cette introduction ma fait pousser un « Ahhh » profond et presque un gémissement. Javais déjà lexpérience de mes doigts dans mon cul lors de mes problèmes de constipations mais ce corps étranger me donnait une autre sensation, comme si quelquun me possédait, que je permettais à une chose extérieure à mon corps de le pénétrer et de le conquérir. Cétait une sorte de gêne interne mais tellement agréable que je lespérais encore plus profonde. Aussi jai poussé mon derrière vers lui et le doigt me pénétra plus profondément, et jai crié un autre « Ahhh » plus long et bruyant. Si Larbi a comprit maintenant que jétais à lui, que ma Terma et mon cul étaient à lui, mais nous savions que jétais vierge et cela compliquait le problème. Il bougea son doigt, vers lintérieur et lextérieur plus sieurs fois, me frottait et me branlait le cul. Jaurais souhaité son zeb au lieu de son doigt. Jétais accroché à me faire dépuceler et offrir mon cul aux plaisirs du zeb de cet homme. Je ressentais ressentais comme de lhumidité dans ces mouvements et son doigt jouait à entrer et sortir très facilement. Si Larbi élargissait mon anus et rapidement, il réussit à mettre deux doigts dans mon cul. Ce fut très légèrement gênant mais pas douloureux et sa branle fut encore plus humide et agréable. Mais je savais que son zeb était nettement plus gros et plus épais que ses deux doigts. Étrangement, ses frottements dans mon cul ont fait bander mon zeb de lautre coté et cétait agréable. Je voyais quil y avait une complémentarité entre les plaisirs du cul et du zeb, des deux cotés à travers une simple paroi de fine peau interne. Enfin, il sortit son doigt, me donna encore quelques baiser sur les fesses et le cul, puis me couvrit totalement du drap. Puis il parla enfin. Cest vrai que depuis quon avait fini avec sa fiche de paix et quil me manipulait le zeb et le cul, nous navons pratiquement dit parlé.
Il me dit que, daprès ce quil a découvert, mon corps est très sensible, quil aimait le sexe et les plaisirs du sexe et que mon zeb comme ma Terma étaient très sensibles et facilement accessibles aux jouissances. Il ajouta que, si je le voulais toujours, il maidera à me dépuceler et à mouvrir aux plaisirs et jouissances des sodomies. Il ouvrit son pantalon et sortit son zeb et me demanda ce que jen pensais. Je me suis tourné complètement vers lui et je lui ai demandé de savancer, je désirais le toucher,
tâter sa chair et sa puissance car il était déjà assez bandé. Javais déjà vu beaucoup de zeb dans des livres et des vidéos mais cétait le premier réel que javais la, à ma disposition. Il savança et le tenant bien empoigné, il était debout, puissant et affolant. Il me loffrait et je lai empoigné à mon tour. Une merveille, une douceur et une lourdeur qui me donnèrent des frissons dans tout le corps. Je lai branlé deux ou trois fois doucement, puis, attiré par sa présence, jai essayé de lintroduire dans ma bouche, mais il était trop épais, alors jai juste introduit une partie de sa tête qui était déjà très grosse et je lai léché. Mes frissons saccélèrent et jétais emballé, alors jai poussé et écartant mes lèvres, jai réussi à introduite toute la tête, puis le début de la hampe. Dans ma bouche, je sentais que ce gros zeb mavait déjà pénétré, dépucelé, alors je lai enfoncé encore plus. Puis lai commencé à le sucer et le branler. Exercice nouveau pour moi mais tellement excitant que javais envie quil soit ainsi pour toujours. Javais du plaisir à le sucer, le lécher et le branler, je le possédais de toute sa longueur et même les couilles mont attirées. Elles étaient grosse et gonflées, je savais quelle contenaient le jus du mâle qui allait me remplir les entrailles sil réussissait à me dépuceler et à me niquer. Javais un espoir fou et en urgence. Je lai sucé et branlé longtemps et il me semblait totalement prêt à me défoncer le cul. Si Larbi sétait levé et debout, bien dégagé, le pantalon sur ses chevilles, il offrait à ma bouche son zeb et ça commençait à lui donner du plaisir car il gémissait fort et vibrait parfois du corps. Jai accéléré mes sussions, mes branles et, comme moi, ses éjaculations arrivèrent en surprise et en force. Le premier jet pénétra en partie ma bouche et je fus obligé de le libérer mais je continuais à le branler. Et le second jet arriva sur moi, mes mains, ma veste de pyjama et même ma figure et jai reculé au mur. Le troisième jet, moins fort resta surtout dans ma main et mon bras. Si Larbi sassit soudain sur la chaise devant le lit. Je retenais toujours son fameux zeb qui continuait à libérer du sperme mais en douceur et quantités faibles et dispersées. Jai enfin libéré ma main complètement polluée et pleine de sperme qui séchait petit à petit. Lui restait sans bouger, sur la chaise un moment. Puis, il sortit son mouchoir qui mavait essuyé avant mais je lai devancé et jai repris le zeb et gobé dans ma bouche. Je lai nettoyé en le léchant, le suçant et laspirant de ses dernières gouttes de sperme. Il pouvait maintenant sessuyer normalement. Puis il se leva, se pencha sur moi et messuya le visage et menleva ma veste polluée. Jétais maintenant complètement nu sur le lit et Si Larbi était penché sur moi, le zeb encore tendu et se balançant érotiquement suivant les mouvements de lhomme.
Jétais hypnotisé par ce zeb et ses balancements, javais chaud et je ressentais ma Terma qui me chatouillait à fond. Jimaginais ce gros zeb mouvrir le cul et me donner du plaisir comme tout à lheure à ma douche. Je me positionné a genoux sur le lit, le cul en lair devant Si Larbi qui était debout et le zeb tendu et se balançant comme provocateur et jai exigé quil mouvre le cul et me nique tout de suite. Mais il ma répété de patienter à demain soir et jai recommencé à le lécher , sucer et branler. Et il sest allongé devant mes yeux et gonflé et durci. Si Larbi était maintenant debout devant moi, le pantalon ouvert. Il souriait et jétais complètement excité. Encore une fois, jai rejeté le drap et me suis assis sur le lit, nu à partir de la ceinture. Mon zeb était légèrement tendu, pas beaucoup et mes fesses et mon cul me démangeaient. Je lai supplié de massoir juste un moment sur son zeb et il ma averti que cela pourrait être dangereux mais jai insisté. Alors il a abaissé un peu plus son pantalon pour bien libérer son gros zeb et je me suis levé, puis jai écarté mes jambes et je me suis assis sur ses cuisses puis, avancé jai placé son zeb sur mes fesses et je me suis frotté sur lui. Si Larbi mai saisi les fesses et me caressait de ses mains. Moi je me replaçais et jai réussi à allonger le zeb entre mes fesses et à me frotter le cul sur lui.
Jétais déchainé et lui voulait me repousser mais jai refusé et résisté. Puis jai écarté mon anus de mes doigts, je le faisais dans certains de mes besoins en cas de constipations, et jai placé dedans la tête de son zeb. Il a essayé de me repousser mais jai gueulé de me laisser faire et je me suis assis caremment dessus et en poussant fort. Le zeb ma pénétré le cul dans une douleur incroyable. Je me sentais déchiré et jai crié à fond, mais, poussé par je ne sais plus quoi, jai résisté et poussé encore jusquà ce que je sois assis, les fesses sur ses cuisses. Son zeb était maintenant entièrement dans mon cul. Avant javais rejeté mon corps vers larrière pour manipuler le zeb mais maintenant je me serrais contre la poitrine de Si Larbi qui a abandonné toute autre tentative de me repousser. On st resté un long moment ainsi et jen ai profité pour ressentir la chair du zeb dans mon intérieur. Jai fais quelques pressions internes de mon cul qui mont fait un peu mal mais nettement moins quauparavant. Cétait déjà mieux et jai refais ces pressions et mouvements internes de mon cul jusquà ce que je ressentais plus de douleur, ou juste un peu. Puis je me sui penché en repoussant le zeb vers lextérieur. Il a glissé vers larrière, me faisant encore un peu mal, mais je ne lai pas totalement laissa sortir de mon cul. Puis, je me suis assis de nouveau et le zeb sest enfoncé encore dans mon cul. Puis jai refais cette expérience plusieurs fois et de plus en plus vite. Enfin, après une vingtaine de vas et viens, je ne ressentais presque plus de douleur, juste un gêne même agréable. Alors je me suis redressé afin que le zeb sorte de mon cul et jai reculé sur les cuisses de Si Larbi. Le zeb sest pointé, debout devant mon bas ventre. Il était toujours gros, longs et épais mais rouge, plein de mon cul. Si Larbi ma dit quil mavait averti et si nous avions attendu le lendemain il aurait apporté e la pommade pour lubrifier et me dépuceler sans mal ni sang. Jai répondu en éclatant de rire quun dépucelage sans le sang nest pas une vraie défloration de sexe. Maintenant mon cul est ouvert et il fallait faire vite pour lhabi au zeb de Si Larbi.
Il a sorti son fameux mouchoir et nous a essuyés, lui ses cuisses et son zeb ensanglantés et il ma demandé de me coucher sur le ventre et ma nettoyé le cul, doucement, de son sang de nuit de noces. Ensuite, il ma léché lanus et fait entrer sa langue, puis il ma sucé le cul, la ouvert avec ses doigts et fait pénétré deux puis trois dentre eux. Chaque fois cétait un peu douloureux mais très supportable. Et enfin, il ma fait agenouillé, la tête sur le matelas et les fesses en lair, le cul largement offert. Et enfin, jai ressenti lagréable pression de la la tête de son zeb sur le sillon de mes fesses, puis sur mon trou de cul et il a poussé doucement et lentement. Et cette fois, son zeb sest glissé petit à petit à lintérieur de mon cul. Ce fut une sensation merveilleuse, agréable à la pression de lécartement de ma chair mais au remplissage de sa chair dans mon intérieur. Jétais heureux, satisfait de mon audace et de ma résistance. Et ensuite, pendant plus dune demi heure, il ma sodomisé, il ma niqué, parfois doucement et lentement et parfois en vitesse et avec force et puissance. Et enfin, il a éjaculé par trois grands jets de sperme chauds et puissants. Depuis que son zeb ma pénétré, je nai pas arrêté de gémir, crier et parfois hurler de jouissances et lui aussi qui gémissait haletait et lançait des cris de bonheur sexuel. Quant il ma rempli de son sperme, il sest allongé sur mon dos courbé et il est resté longtemps ainsi, son zeb toujours dur et gonflé en moi. Enfin, je me suis allongé ventre sur drap et il est resté collé à moi. Son zeb ne voulait pas sortir de mon cul et cela me faisait un plaisir physique et dans ma tête. Jétais heureux que mon cul et son zeb se soient rapidement accordés, adaptés. On est aussi resté un long moment ainsi. Javais constaté quil sétait débarrassé de son pantalon et son tricot depuis bien longtemps et de ma veste de pyjama aussi. Ainsi, nous étions complètement nus, lun sur lautre et lun dans lautre. Je ne me souviens quant il avait fait cela mais jétais content et heureux. Ensuite il sest un peu dégagé et son zeb est sorti de mon cul.
Mais je me suis retourné pour avoir le dos sur le lit et son zeb contre mon ventre. Sa poitrine velue me chatouillait les seins et cétait aussi agréable. Javais encore envie de son zeb et je lui ai murmuré cela dans loreille. Il a souris et sest redressé. Puis il ma fait largement écarter jambes et cuisses et sest agenouillé entre mes cuisse. Puis il ma fait lever les jambes et cuisses jusquà ses épaules et soulevé mes hanches et fesses. Ainsi, son zeb était gonflé, horizontal juste en face de mon cul par-dessous mes couilles. Puis il ma pénétré par-dessous. Son zeb a glissé en vitesses, tellement mon cul était ouvert, chaud et mouillé de sperme. Il ma pénétré jusquaux couilles et ce fut une nouvelle expérience merveilleuse pour moi. Jai gueulé à fond et essayait de soulever encore plus mon derrière pour offrir encore et encore le trou de ma Terma au gros zeb de Si Larbi. En une soirée, il a su me draguer, me faire éjaculer, sensibiliser mon zeb puis mes fesses et mon cul et enfin me dépuceler, me niquer et jouer avec mon cul. Deux ou trois heures, pas plus, pour me mettre dans un autre monde de plaisirs de sexes et de jouissances dont je ne soupçonnais même pas lexistence. Il ma niqué de cette façon face à face, ce qui lui permettait de membrasser au cou et aux lèvres, de me caresser et masser les seins, de les embrasser et sucer leurs bouts qui pointaent et qui augmentait mon excitation et mes jouissances. Enfin, après presque une heure de ces jeux face à face ou il ma niqué une fois puis il a éjaculé et resté dans mon intérieur. Nous avons continué à nous caresser puis il ma retourné et dans ses restes de sperme il ma niqué une troisième fois par derrière. Ce fut une sailli ou je navais que des plaisirs agréables, des jouissances affolantes et aucune g^ne ou douleur. Mon cul était largement ouvert maintenant et comme je men inquiétais, il ma rassurer que dici le matin, mon anus retrouvera sa position initiale car il était très souple vu ma jeunesse. Jen fus rassuré et je me suis donné encore plus avec folie et liberté totale.
Et ce nest que vers quatre heure du matin, juste deux heures avant le lever des ouvriers, que je réussi à le libérer pour aller prendre un peu de repos. En attendant, je me suis glissé furtivement vers les douches derrière le restaurant et je me suis bien lavé et douché puis je suis retourné à mon lit, jétais presque endormi debout.
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