Terma 103 : Mon Stage Pratique À La Ferme Agricole Pilote (2)

Le lendemain je me suis réveillé vers 10h, j’avais raté le petit déjeuner et je suis arrivé aux bureaux en retard,mais personne n’avait l’air de se soucier de moi. J’ai bossé sur mon rapport toute la journée, presque à jeun et vers 15h, je suis retourné au dortoir. J’avais faim, alors je suis allé au restaurant, coté cuisines où le chef cuistot Boubakar était, parait-il un brave homme. C’était le gros Soudanais de service qui préparait le diner des ouvriers. Je l’avais vu une seule fois, c'était un gars lourd de corps, toujours souriant et plaisantant et très compétent en cuisine. D’après ce qu’on m’a dit, il racontait que dans son pays, il avait quatre femmes et une quinzaine d’s auxquels il envoyait son salaire chaque mois. On disait qu’il était aussi amateur de culs et de Terma mais je n’en avais aucune preuve.
Pour l’instant, j’avais faim et à ma demande il m’a fait un gros casse croute, pain, viande hachée, salade et une boite de jus. Mais en me l’offrant, pour plaisanter, il m’a dit de payer car j’étais un étranger, pas un ouvrier. Il riait, je savais qu’il plaisentait et j’ai demandé son prix, alors il a approché sa main de ma Terma et m’a touché doucement comme une légère caresse. J’avais compris mais c’était une plaisanterie. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais bien en sa présence. Je mangeais et ma faim commençait à s’atténuer, c’est pourquoi je ne me suis pas écarté et je lui ai dit de me laisser d’abord apaiser ma faim. Je crois que mon « d’abord » l’a touché car Il m’a mieux regardé, toujours le sourire aux lèvres et il a accentué sa main sur mes fesses couvertes seulement par la fine toile du jogging. Il m’a dit que son boulot était de remplir les ventres par devant, mais cela ne l’empêchait pas de remplir les Terma par derrière. J’avais compris et je n’ai pas réagis, j’étais bizarrement troublé. Sa main sur mes fesses, il a ajouté qu’il aimait beaucoup les gens qui ne portaient pas de slip contre leur Terma, j’avais encore compris et j’ai continué à manger sans m’éloigner.

Il ajouta enfin que lui aussi était toujours sans slip. J’imaginais l »image de son zeb libre et j’en ai ri, au lieu de m’écarter. Voyant que je ne fuyais pas à ses plaisanteries cochonnes et à ses attouchements, il m’a dit, dans un murmure, que son gros zeb bandait pour moi et pour ma Terma et m’a montré la grande bosse de sa braguette.
Et, sans hésiter, il a sorti son zeb, un monstre, qui a brusquement bondit comme un animal de la braguette. Et en effet, il n’était pas seulement bandé mais aussi long et gonflé et droit, debout à l’horizontal. Il m’a dit, en se léchant les lèvres que ceci, montrant son zeb, est pour toi et pour ta Terma. J’étais troublé, excité, paralysé de désirs. Boubekeur, malgré sa petite taille et son corps trapu avait un gros zeb, long et épais et qu’il empoignait devant moi et le secouait pour mieux m’exciter. Et moi, dès que je l’avais vu, ce gros zeb, j’étais hypnotisé et accroché. Déjà, mon cul me chatouillait, mon souffle s’accélérait et mon bas ventre commençait à me démanger. Même ma queue s’était réveillée. La main de Boubakar avait repris sa place et ses caresses poussées sur mes fesses. Les agréables démangeaisons de mon cul se sont amplifiées. Pas possible, cet homme m’a ensorcelé, plutôt la vue de son zeb mais j’en avais peur car il était bien plus long mais surtout plus épais, plus gros que celui de Si Larbi. Si j’acceptais, j’avais peur qu’il me fasse très mal. J’hésitais.
Mais Boubakar ne m’a pas laisser réfléchir, il a décidé à ma place. il m’a saisit le bras, m’a pressé vers le fond de sa cuisine et a ouvert une porte et m’a poussé dans ce local. C’était un grand magasin de marchandises. Il m’a tourné face au bois de la porte ouverte, et derrière moi, prestement, il a descendu mon jogging jusqu’à mi cuisses. J’étais à poil à partir de la ceinture et en excitation extrême et je le laissais faire. Alors Boubakar, d’une main avide et puissante, m’écarta les fesses au plus large possible et de son autre main, il poussa son zeb contre mon anus.
Mais son zeb était plus gros que celui de Si Larbi auquel mon anus était habitué et il n’arrivait pas à m’ouvrir assez mon anus qui résistait et son me faisait mal et j’ai crié de douleur. Alors il a reculé, puis j’ai sentis son souffle sur mon cul et sa langue qui me léchait le sillon des fesses et mon anus. Il poussa un doigt qui passa vite dans mon anus, puis deux ensemble et qui passèrent aussi. Il reprit de me lécher même à l’intérieur tout en faisant tourner ses doigts et les enfonçant encore plus. Enfin il se releva et remit son zeb sur mon anus et poussa doucement. La grosse tête me pénétra avec de la douleur mais pas beaucoup et il continua lentement à pousser et son zeb glissa en partie dans mon cul. Il s’arrêta quelques secondes puis reprit sa progression. Je ne ressentais plus de douleur mais une sorte de gêne par l’écartement continu des chairs de mon cul. Et ça commençait même à être agréable, ça me plaisait. Je me sentais ouvert, nettement plus ouvert qu’avec Si Larbi et ça me donnait un début de jouissances de me sentir rempli par ce gros zeb.
Quant son zeb entra complètement jusqu’aux couilles et que les poils de son bas ventre me chatouillaient les fesses, il s’arrêta un moment. Il me demanda si j’avais toujours mal et j’ai répondu que non et que ça commençait à me plaire. Et pour confirmer, j’ai fais quelques pressions internes de mon cul sur son zeb, je serrais et lâchais trois ou quatre fois et c’était agréable. Il m’a dit de continuer pour adapter mon cul à son zeb et j’ai continué me donnant quelques jouissances qui inondaient maintenant même mon bas ventre. Alors, il m’empoigna les hanches et démarra les vas et viens de son zeb dans mon cul. Maintenant, il glissait facilement de tout son long et c’était plus agréable et jouissif qu’auparavant. Pour lui faciliter la chose et les glissements de son zeb dans mon cul, je me suis penché un peu plus sur la porte et j’ai aussi écarté au maxi mes jambes et mes cuisses. Maintenant, les mouvements de son zeb étaient larges, fluides et nettement plus agréables.
Je ressentais bien la vigueur de ce gros zeb, nouveau mais jouissif pour mon cul qu’il remplissait très bien, nettement mieux que le zeb de Si Larbi. Boubakar me niquait avec conviction et force et son gros ventre claquait contre mes fesses. Il soufflait fort et haletait avec bruit et poussait des « han ! han ! » comme pour aider aux enfoncements de son zeb dans mon cul. Moi aussi, dès que la douleur avait disparu et remplacée par des démangeaisons et chatouillements agréables car mon cul s’était adapté au volume du zeb, je n’ai pas arrêté de gémir et même parfois de crier de plaisir, durant certains enfoncements brutaux. Boubakar était assez poilu et ainsi même ses poils de pubis frottant mes fesses ajoutaient à mon plaisir car j’ai toujours imaginé que les hommes poilus étaient des mâles virils et grands baiseurs.
Boubakar me sodomisa ainsi pendant plus d’un quart d’heure, j’étais courbé et par ses coups de reins, ma tête cognait parfois la porte mais j’étais au paradis des plaisirs sexuels. C’était une véritable saillie et mon cul suçait et frottait follement son gros zeb et aucune sodomie d’hier n’arrivait aux plaisirs de Boubakar, le gros cuistot mais qui cachait dans son pantalon une arme sexuelle qui affolait et ensorcelait ma Terma. Debout et courbé, je me sentais comme une pute niquée contre un mur dans une rue sombre, j’avais totalement le cul ouvert et offert à cet homme et à ses coups de reins virils et aux chocs de son zeb qui me défonçait à son rythme cadencé. Et ces pensées me donnaient encore plus de sensations agréables. Me donner, même ainsi, à cet homme possédant un si gros zeb, ajoutait à ma liberté d’user totalement des plaisirs de mon cul, de ma Terma. Soudain, dans la chair interne de mon cul, j’ai ressentis que son zeb se gonflait et s’allongeait de plus en plus. J’ai compris que son plaisir allait venir et qu’il allait éjaculer. Juste après, Boubakar crispa ses mains sur mes hanches, se colla à fond à mon derrière, s’enfonça encore plus dans mon cul et éjacula par quatre fois dont trois violentes et abondantes.
Des jets puissants sanctionnés chacun par un coup de reins vigoureux et des hurlements de victoire, en phase avec les miennes. Heureusement que la cuisine était déserte. Ensuite, il resta en moi un moment pour se vider au maximum de son sperme puis il se détacha.
Malgré que j’étais en pleines jouissances, dès qu’il s’est détacha de moi, j’ai pensé au sperme qui allait couler de mon cul, sur mes fesses et mes cuisses. Alors je me suis retourné en vitesse pour m’accroupir au sol pour vider mon cul plus facilement. Boubakar était toujours debout, tenant son zeb qui se courbait maintenant mais qui brillait encore des taches de son sperme et des sucs de mon cul. Et il était encore assez long et attirant et mon bas ventre reprenait ses chatouillis agréables, je savais que mon cul en voulais encore. Boubakar me tendit son zeb que j’empoignais d’une main pour le mettre dans ma bouche avec avidité. Et tout en vidant mon cul, j’ai sucé et léché son zeb jusqu‘aux couilles pour le nettoyer. Il me donnait toujours des frisons de désir et j’espérais une seconde sodomie immédiate.
Hélas, rapidement, il récupéra son zeb et le remit dans son pantalon qu’il remonta en vitesse. Je l’ai supplié que j’avais encore envie de lui, mais il refusa car il avait le diner des ouvriers à préparer. Mais il m’a dit que ma Terma lui plaisait beaucoup et que son zeb, lui aussi, en voulait encore. Alors il me donna rendez vous pour ce soir à 23h dans sa cuisine qui sera vide. Il a ajouté qu’il avait sa grande chambre avec grand lit et toilettes plus au fond du magasin où il m’a niqué. En confidence, il ajouta que je n’étais pas la seule Terma pour son zeb mais qu’il avait déjà deux autres culs parmi les ouvriers qu’il niquait presque chaque soir, et parfois ensemble. Mais comme j’étais nouveau, que ma Terma était jeune et bien serrée sur son zeb, ce qui lui plaisait beaucoup, il lui réservera une bonne partie de la nuit. J’étais content, puis je suis allé à la cuisine pour me laver le cul pendant que lui commençait déjà à travailler sur ses fourneaux. Il me regardait laver mes fesses et mon cul et remonter mon pantalon. Ce tableau a du lui plaire car, en rigolant il me cria de loin, de bien cacher ma blanche Terma, car si quelqu’un pouvait la voir, il risquait de me violer sans hésiter. J’en ai rigolé et je suis parti.

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