Eric Et Emma

Éric et Emma , partie un , un monde s’écroule :

Jeudi 5 aout, il fait plutôt chaud en ce milieu d’été, et la climatisation du break d’Eric expulse avec une rigueur métronomique une fraicheur salutaire, dans un ronronnement monocorde. Parfois ce ronronnement a tendance à le plonger dans ses pensées. Il regarde la route défiler en entendant ce son qui pour lui et propice a une sorte de méditation contemplative. Et ce jour là il a matière à réfléchir. Eric est commercial, dans un domaine pas très sexy, l’assurance, mais il doit avouer qu’il gagne bien sa vie. Il parcourt tout le quart sud-ouest avec sa voiture de société, qui est un peut sa deuxième maison. Il se regarde dans le rétro central, et il se dit qu’il n’as pas trop a avoir honte, du haut de ses trente deux ans. Il est brun, d’une belle chevelure abondante mais entretenu, des yeux bleus, un nez dans la norme et une bouche dans la moyenne, ni trop grosse ni trop fine. Il fait attention à lui et fait un peu de sport le week-end, et la tenue vestimentaire que lui impose son emploi parfait ses atours.
Alors pas étonnant que son 7 éme rendez vous aujourd’hui, qui répondait au nom pas très glamour de Mme Sicard, lui est fait autant de rentre dedans.
Décolletée pigeonnant, parfum capiteux, ce n’étais pas la première fois qu’il voyait cette femme dans le cadre de sa profession.
C’est en revanche la première fois qu’elle fut aussi insistante. Elle lui avait caressé la jambe avec son pied dans un escarpin de cuir noir, en lui disant que la chambre était toute à coté et qu’ils seraient plus à leur aise pour signer le contrat.
Lui avait décliné poliment, comme a son habitude, car il était fidèle a sa formidable et diablement belle épouse, non pas que madame Sicard ne fut pas a son gout, (elle était aussi belle que son nom était laid) mais il tenait a son serment de fidélité.
Ha son épouse, Emma. Ils s’étaient rencontrés sur les bancs du lycée et s’étais marié il y a de cela 7 ans .

Il n’avais connu qu’elle mais c’est pour lui la plus belle femme du monde.
Il faut dire que sa belle chevelure châtain qui descend jusqu’au épaules, ses yeux verts, une poitrine généreuse (100c) qu’elle savait très bien mettre en valeur avec de somptueux décolletés et qui malgré le temps tenais très bien en place, ajoutez a cela une chute de rein à s’ d’envie avec une belle cambrure, des jambes fuselées et entretenues, il y avait de quoi faire tourner les têtes.
Et c’étais sa femme, il en était fière, très fière même serait un terme plus exact.
Au niveau sexuel Emma avais un appétit correct pour lui, disons que ses envies lui suffisais et ils ne mettaient pas beaucoup de fantaisie dans leur sexualités.
Mais il est vrai que ses absences prolongées n’étaient pas propices à cela.

La sonnerie de son téléphone tira Eric de sa contemplation, il s’apprêtait à appuyer sur la touche de son kit mains libres, mais il attendait de voir s’afficher le nom de son correspondant.
Merde, Hervé, son chef. Il va encore lui demander de faire le samedi il ne pourra donc pas rentrer vendredi soir comme promis a son épouse. Comment va –t-il encore lui annoncé cela, d’autant plus qu’ils devaient passer le week-end a Biarritz.
Eric prend l’appel, fébrile….
-« oui allo ! »
-« Eric c’est Hervé »
-« Ha bonjour Hervé, qu’est-ce qu’il te faut ? »
-« Bon écoute j’ai une bonne nouvelle pour toi pour une fois, tout les prospections dans les landes son annulées par la direction et son reportée a la semaine prochaine. »
-« C’est pas vrai ? ho !c’est génial !je termine quand en ce cas ? »
-« tu termine tes contrats d’aujourd’hui, et tu peut rentrer chez toi »
-« ok il ne m’en reste plus qu’un, j’ai un client qui m’a appelé pour annulé »
-« c’est noté passe un bon week-end end ! »
-« toi aussi Hervé, salut ! »
Cette journée n’était décidemment pas mauvaise.
Le dernier contrat fut vite expédié, pour une fois qu’il finissait sa semaine un jeudi……
Il prit la route à 16h15 et arriva en vue de bordeaux à 17h30 environ.

Il arrivait à sa résidence, enfin il allait retrouver son épouse chérie, il espérait qu’elle serait là car il n’avait pas pris la peine de la prévenir.
Ils habitaient une grande résidence cossue sur les boulevards de bordeaux avec cour et jardin privatif et pouvais donc se garer chez lui, luxe rare dans une ville de cette taille.
Il appuya sur le bouton de sa télécommande de portail, et commença à faire entré le break.
Ouf sa femme étais la, sa voiture étais dans la cour…

Click !!! Le bruit de la clé dans le barillet de la porte, ce petit bruit que l’on entend quand on rentre chez soi, Eric l’entendit avec contentement.
Il avançait dans le vestibule, posa son attachée case et pénétra dans la cuisine attenante a ce même vestibule.
Tiens trois verre dans l’évier, recevais elle du monde ? Peut être des copines….
Il s’approche et sent un des verres. Du cognac …Bizarre elle n’aime pas l’alcool d’habitude.
Il se dirige alors vers le salon, personne.
De nouveau très bizarre pourquoi serait-elle ailleurs avec ses amies ?
Il va vérifier sur la terrasse, personne.
Eric commence à avoir une boule au ventre et se dirige maintenant vers l’escalier de l’étage.
Ses sens sont en alertes, et son cerveau reptilien a compris depuis longtemps ce qui se trame.
Mais son esprit conscient refuse d’y croire lui. Il monte les marches dans un silence de mort et entend des bruits provenant de sa chambre conjugale.
La porte est entrouverte et de la musique pas très forte mais suffisamment audible pour couvrir quelques bruits de pas diffuse de la pièce.
Les bruits se font plus audibles, des petits claquements secs, à intervalles réguliers.
Il s’approche de l’entrebâillement, et ce qui vois lui scie littéralement les jambes.
Son épouse, sa sublime Emma a une laisse autour du cou, un homme grogne en la prenant en levrette avec brutalité, la fouettant avec la laisse attaché au collier d’Emma.
Ses gémissements ne laissent aucun doute de son appréciation du traitement.
Devant elle se trouve un autre homme à qui elle prodigue une bruyante fellation.
L’homme qui la pilonne est bien bâtit, la quarantaine bien conservé. Il est musclé avec son physique de sportif olympique et il met beaucoup de cœur à l’ouvrage.
Eric le reconnait enfin, le coach personnel d’Emma, Yves, cela faisait deux ans qu’il donnait des cours particulier à sa femme. Très particulier apparemment se fit-il comme réflexion.
Le deuxième larron il ne le connaissait pas la cinquantaine bedonnant, assez laid, aux antipodes de ce qu’il imaginait des gouts de sa femme.
Mais il s’aperçut alors de la taille du mandrin de cet homme, il était tout simplement hors normes.
Emma l’avalais avec gourmandise et le gros bonhomme soufflais et transpirait comme un vieux bœuf asthmatique.
Yves continuait à la pilonner violemment, et il s’adressait a elle en des termes qui choquèrent presque le pauvre Eric, lui si prévenant et doux avec sa femme :

-« alors t’aime ça grosse salope hein ?
T’aime que je te la mette si fort, si profond ? »
-« mhmhmhmhm !!! »
-ah…..écoute la Henri, elle aime tellement ta queue qu’elle ne la lâche même pas pour répondre cette grosse pute. »
-« T’avais raison Yves, elle suce comme une reine, j’en ai le chibre prêt a exploser et pourtant elle le gobe quasiment en entier cette salope ! »Répondit Henri de sa voix éraillé et métallique.
-« Ho putain t’es trop bonne grosse chienne je sens que je viens »Yves était pris de petites convulsions au niveau du bassin, signe qu’il était entrain de décharger dans la matrice de la femme d’Eric.
-« putain tu sens comme je te remplie grosse salope ?......Ha putain la dose que je t’ai mit ! »

Yves venait de se retirer et effectivement ce qu’il avait mit a Emma, Eric l’aurais obtenu peut être en trois éjaculations cumulées.
Il n’en revenait pas de la quantité que ce mec, ce Yves, avait éjaculé.

Cela coulait abondamment de la chatte de sa femme.
Yves s’adressa alors à Henri :

-« Henri, laisse moi ta place, elle va me nettoyé la queue la chienne !!! »
-« ok ça marche !! »

Le gros se leva péniblement de sa position et passa lentement derrière Emma, aussi lentement que Yves fut rapide et gracile à passer de l’autre coté.
Le gros demanda alors :

-« alors salope, de quoi t’as envie ? »
-« encule moi si il te plaît, fort…… »

Eric, depuis dix minutes qu’il assistait a cette scène complètement tétanisé, entendis enfin le son de la voix de sa femme, ce qui pouvais balayer les dernier doutes de son esprit conscient qui se refusait toujours à croire complètement a ce qu’il voyait.
Aucun doute c’étais Emma, son Emma. Eric était en plein cauchemard, mais la scène qui se déroulait devant ses yeux n’attendait pas ses réflexions pour continuer son cours.

-« tu veux que je t’encule petite pute hein, t’entend ça Yves ? Elle réclame la salope !!Heureusement que c’est ce que tu réclame petite pute par ce que, que tu sois d’accord ou pas, c’est la que je t’aurais prise »
-« Encule moi fort si il te plait…….la voix d’Emma s’étouffa dans un trémolo dû a son excitation avancée, et au fait que yves jouait avec ses seins.

Le gros commença à pousser sur la rosette d’Emma. Eric n’en revenais pas, elle lui avait toujours refusée l’entrée de sa grotte secrète, et elle était là, devant ses yeux, entrain de ce donner a cette caricature humaine, plus proche du porc que de l’homme.
Le gros avait déjà entré une partie de son volumineux et turgescent gland dans le fondement d’Emma.
Elle commençait à avoir des petits cris de douleur.
Le gros se saisit vivement de la laisse et tira dessus, la strangulation qui en résulta coupa les protestations d’Emma dans un cri coupé net.

-« Ta gueule salope, tu vas la prendre sans sourcillée, tu verras elle va bien t’écartelée ».

Il lâcha la pression de la laisse mais Emma ne pouvais plus que se plaindre par gémissements, car Yves lui avais saisi la tête et enfourner sa grosse queue dans la bouche.
Tiens, Eric pris conscience a ce moment là de la taille du vit de Yves, lui aussi monstrueux par rapport a lui, qui étais dans la norme habituelle pensait-il, mais pas au vu de ces deux étalons.
Le gros pilonnait le cul d’Emma avec autant de délicatesse que Yves dans sa chatte tout a l’heure.
Sauf qu’a ce moment, les suppliques s’étaient transformées en râle de plaisir de la part d’Emma.
Yves bandait fort à nouveau, et remplissais la bouche d’Emma. Au bout de dix minutes de ce traitement elle fut prise de convulsion tout comme le gros, ils jouissaient a l’unisson, et yves un peut en retard sur les deux autres, envoyait néanmoins de grande giclées de sperme dans la gorge d’Emma, qui, ne pouvant tout avaler, en recrachait une partie sur le coté de sa bouche.
La salope, Eric allais de surprise en surprise, dire qu’elle lui faisait presque des fellations avec une paille !
Emma tomba sur le lit presque inanimée tellement son orgasme fut dévastateur…


Les deux compères qui venaient de finir Emma se levèrent du lit :

-« Henri vient, laisse la salope récupérer on descend prendre une bière ! »

Eric devait dégager de là très vite, il se précipita dans la chambre d’amis, attenante a la chambre conjugale.
Juste a temps, le gros et apollon passait la prote a l’instant.
Ils se tapaient dans le dos et se congratulais vivement en descendant l’escalier, se fendant des performances de « leurs » salope.
Le sang d’Eric bouillonnait. La colère sourdait dans ses tempes, mais il décidait néanmoins à attendre et voir ce qui se passerait.
Il avait la sensation d’être aspirer par un trou dans son propre ventre.
Mais alors pourquoi un début d’érection l’avais tenaillé tout le long ou il avait assisté a cette scène ?
Il se risqua au dehors, et se rapprocha alors de sa chambre.
Emma venait de ré-émergée de son orgasme. Elle était étendue sur le coté, dos tournée a la porte.
Il pouvait la voir, elle était belle étendu comme ça. Il l’adorait, mais pourquoi lui faisait-elle ça ?
Ses deux orifices étaient encore largement ouverts et luisants de sperme.
Elle passa sa main derrière son cul et commença à se masser l’anus. Elle récupéra du sperme dans sa main qu’elle porta à sa bouche, en se léchant les doigts dans un bruit de succion très audible.
Elle recommença l’opération plusieurs fois, et semblait prendre beaucoup de plaisir à le faire.
Et là, coup de poignard pour Eric, elle se saisit d’une lampée de sperme qui coulait de sa chatte et en badigeonnant la photo d’Eric sur la table de chevet, puis la lécha de bas en haut en terminant par un petit baiser dessus. Au moins elle pensait encore un peut a lui se consolait-il.
Il se reprécipita dans la chambre d’amis, les deux compères remontais déjà l’escalier.
Par chance, la cuisine ou ils se servirent leur bières ne donnait pas sur la cour ou la voiture de Eric se trouvait. Ils ne purent donc s’apercevoir de sa présence.
Ils passèrent le pas de la chambre.

-« Alors salope ça t’as plut ? »demanda Yves
-« Ho que oui qu’est-ce que vous m’avez mis tout les deux, tu avais raison Yves, ton ami est un grand défonceur, il se pourrait qu’il me visite tout les trous de nouveau, j’ai adorée »
-« Tu verras j’en ai d’autre des amis comme ça et d’autres encore plus pervers »
-« Me fait pas salivée salaud, je mouille déjà de nouveau à cause de toi »
-« En tout cas, dis Yves, ce n’est pas ton cocu qui te la met comme ça ! »
-« Arrête, tu sais que sa m’excite encore plus quand tu parles de lui, que tu me dis que je le cocufie »
-« Allez viens salope, il faut aller prendre une douche et Henri meurt d’envie de te savonner …. »

Putain, Eric venait de prendre trois ou quatre lames de fond dans le ventre en entendant tout çà.
Et cette salope qui était sa femme chérie pas plus tard que ce matin semblait insatiable. Les trois protagonistes avaient gagnés la salle de bain, jouxtant la chambre conjugale.
Eric dévala l’escalier, la colère, la brulure de la trahison, et la nausée, tout cela se mélangeait.
Il lui fallait quelque chose de fort, il se saisi de la bouteille de cognac dans la cuisine, celle-là même que sa femme avais dégustée avec ses deux amants.
Il prit un grand verre dans le sèche-vaisselle et bu une grande rasade de cet alcool salutaire.
La brulure qui se propageais dans sa gorge soulageais un peut, pour quelques secondes, ses autres tourments.
Il se débarrassa du verre dans l’évier, rejoignant les trois autres verres précédents. Il devait quitter cet endroit et vite, il devait réfléchir, s’aérer.
Du bruit se fit de nouveau entendre a l’étage, quelqu’un descendais avec un pas gracile, il se pourrait que se soit Emma.
Il prit donc la fuite par là même ou il était entré 1 heure plus tôt…
Il monta en toute vitesse dans son véhicule, actionna la commande du portail et démarra, sortis en trombe tandis que le portail se refermais déjà…..


Emma étais attirée dans la douche par le gros type, Henri, elle bavait d’envie devant son énorme sexe. Il lui avait bien ramoné l’anus tout a l’heure, sans ménagement, comme elle aime.
Le gros fini de lui faire parcourir les quelques centimètres qui les séparaient, et elle se fendit de nouveau d’une magistrale pipe alors que l’eau leur courait sur le corp.
Elle était debout mais penchée et Yves passa derrière pour la sodomiser. Il rentra comme dans du beurre.

-« putain Henri comment tu l’as ouverte, j’ai même pas , pourtant je suis déjà bien pourvu mais là !.... »

Il l’a besognait franchement et ce traitement, amplifié par la présence dans sa bouche de l’autre bite, ne tardèrent pas a foudroyer Emma d’un autre orgasme.
Les deux hommes se vidèrent de nouveau en elle. Putain qu’elle adorait le sperme se dit elle.
Elle adorait aussi les amis de Yves, il avait toujours le chic pour lui ramener des bons coups, même si ils étaient parfois très laids.
C’était le cas d’Henri, mais sa queue énorme la faisait chavirer. Elle adorait par-dessus tout les gros sexes, qui la remplissaient bien. C’est sur que ce n’est pas son gentils mari qu’elle adorait, mais adorais aussi cocufié, avec ses 15 petit centimètres et une queue assez fine qui allait la contentée.
Elle termina sa douche avec ses amants. Au sortir de la douche salvatrice elle leurs dit qu’elle descendait boire.
Elle descendit l’escalier, a vitesse normale mais cru entendre du bruit.
Elle força le pas et fis irruption dans la cuisine, nue, mais rien. Pas un bruit.
Elle ouvrit le frigo, puis se désaltéra d’eau, non sans avoir pris un petit verre dans le placard.
Elle le déposa dans l’évier, pressée de remonter de nouveau se faire prendre, d’autant plus que les deux amis appelaient déjà leurs « salope ».
Elle mit un pied sur la première marche mais les touts petit poils a la base de sa nuque étais hérissés.
Quelque chose l’avais faite tiquée. Elle ne pouvait dire quoi mais elle revint en arrière.
Merde, elle découvrit se qui l’avais mise mal a l’aise. Il y avait un verre de trop dans cet évier.
Sur les cinq verres, quatre sentaient le cognac. Cela ne pouvait être un de ses amants qui s’étaient resservis, ils étaient remontés avec leurs bières à la main. Quelqu’un étais rentré. Eric ? Non impossible, il ne rentrera que demain soir, tard.
Elle s’approcha néanmoins de l’entrée, et la, son sang ce glaça, elle fut pétrifiée sur place , ce qui semblais être l’attaché case de son mari trônais fièrement sur la console de l’entrée……..


A suivre. (si cela vous plait bien sur !)
artemis.entreri@hotmail.fr

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