Eric Et Emma 2

Éric et Emma 2, Descente aux enfers.


Emma étais tétanisée en bas de son escalier. Même si elle adorait cocufier son mari, là il s’en était rendu compte. Son sexe à cet instant n’émettait plus la moindre humidité.
Aussi entreprit-elle de gravir quatre a quatre les marches qui la séparait de ces deux amants.
Ceux-ci étaient ravis de la réapparition de « leurs salope ».
Le premier à s’exclamer de son retour fut Yves :
« Ah, mais qu’est-ce tu foutais ? J’ai une demi-molle et Henri a encore du jus dans les couilles !! »
« Ta gueule Yves !!… » Rétorqua Emma sur un ton qui ne souffrait aucune contradiction possible.
« Hô, mais te fâche pas ma puce…qu’est-ce qu’on t’a fait ? Aller viens sucer, ça va te calmer… »
Emma ne plaisantais pas du tout et ajouta sur le même ton que tout a l’heure.
« Aller dégagez tout les deux, je vous ai assez vus ! »
« Mais vas-tu nous dire ce qui ne vas pas ? » demanda, assez penaud, Yves.
« Éric nous a surpris je crois……putain…. »
« Ha !!! C’est pour ce putain de cocu que tu t’inquiète ? Quand il a vu deux vrais hommes s’occuper de sa femme il s’est tirer vite fais oui !!! »
« C’est fin, c’est poétique, tu te sens intelligent peut être ? » rétorqua Emma.
« Sa te dérange pas d’habitude de te foutre de lui quand on te met des coups de bite… »
« Oui mais là il est au courant et de la pire façon, il y a beaucoup en jeu putain, allez cassez vous… »
« Bon OK, tu sais ou me trouver salope… » Répondit Yves.
« Ouais c’est ça, aller bon vent »
Apollon et le gros ayant débarrassé le plancher, Emma se rafraîchit dans la douche.
Éric savait, et elle ne savait que faire de cette information.
Elle se calma rapidement, après tout elle connaissait Éric mieux que personne.
Il valait mieux qu’elle le laisse faire le premier pas, qu’elle le laisse appeler en premier pour décider de la suite a donner.



Emma tournait en rond dans la maison, depuis plusieurs heures maintenant. 21 heures, son portable sonna, c’est le nom d’Eric qui était affiché sur l’écran.
Emma pris une grande respiration et décrocha.
« Oui allo ? » fit- elle d’une voix qu’elle espérait assurée mais qui ne l’étais aucunement.
« E…..Emma c’est…..Éric….. » son souffle était court, il semblait parler avec peine.
« Oui je t’écoute mon amour… »
« PUTAIN….. , tu ose m’appeler comme ça !!!…….sa…salope…. »
Emma déglutie avec peine, il ne semblait pas le prendre dans le sens qu’elle espérait.
« Je …je t’ai vu te …te faire mettre …par ces porcs….. »
Des larmes commençaient à ourlet sur les paupières d’Emma.
« Je suis désolée mon amour !!!..... » Osa-t-elle proféré dans un sanglot.
« Tu…tu parles …sa…salope… » La voix d’Eric semblais de plus en plus traînante.
« Mais dis moi Éric, tu es ivre ou quoi ? »
« J’ai…..j’ai peut être, pr….pris un verre ou deux…ouais…sa change pas que t’es une sal….. »
Un bruit effroyable se fit entendre dans le combiné.
« ERIC !!!ERIC !!! »
Emma ne put dire que ces mots avant que le téléphone ne se fasse muet. Chaque petit bip de tonalité lui rappelait, chaque secondes, les propres battements de son cœur, qui ne demandait qu’à sauter hors de sa généreuse poitrine.
A l’autre bout du fil, le téléphone broyé d’Eric avais laissé des bouts de verre dans un break qui ne l’était pas moins, broyé, encastré dans un poteau sur les boulevards de bordeaux.


Lundi 17 aout, les contours d’une lampe fluorescente commençais à se dessiner, timidement, les paupières clignais, comme pour chasser les dernières incertitudes de ce qu’elles révélaient aux précieux organes en dessous.
« Bonjours monsieur » une voix fluette acheva le réveil difficile d’Eric.
« Bonjours, je suis où là ? »
« Vous êtes a l’hôpital Pellegrin, vous avez eu un accident de voiture, vous venez de faire douze jours de comma »
« L’accident….
.oui…je me souviens…. »
« Bon je vous appel le médecin »
« Merci mademoiselle »
Tout le corps d’Eric semblait s’animer avec peine. Il essaya vainement de se lever, les épaules, les coudes, les principales articulations, tout n’étais que souffrance.
« Ça va revenir, tu sais !! » Une voix venait de le cueillir à l’ instant.
« Ce ne sont que des ankyloses, 15 jours de rééducation et tu retrouveras une bonne partie de ton autonomie »
Éric fut très étonner de celui qui s’adressait a lui de manière si cavalière, puis le reconnu.
« Mathias, ça alors, tu es a Pellegrin je ne savais pas !!! »
Eric et Mathias étais sur les bancs du lycée étant plus jeune, puis leurs chemin se sépara a la fac où l’un partit en économie et l’autre fit médecine. Il s’était perdu de vue depuis.
« Bon tu vas être content, on a prévenue ta femme de ton réveil, elle est en chemin… »
« Ha !…merci …»
Éric venait de revenir a la réalité, le pourquoi de ça présence ici. Pourquoi s’était-il repu d’alcool ce soir là, lui d’habitude si maître de lui-même, même dans les pires situations.
Maintenant qu’il savait, il devait savoir ce qui lui avait échappé. Il devait épier les allés et venues de sa femme qui avait soudainement tout d’une étrangère, et pour ça il avait un plan….
« Hé bien ça a l’air de te faire plaisir dis donc !!! »
« Bon, Mathias, cela fais longtemps qu’on s’est perdu de vue mais j’ai déjà quelque chose à te demander, tu veux bien ? »
« Bon je t’écoute, en souvenir du bon vieux temps je te dois bien ça.. »


Emma fonçais vers Pellegrin, le médecin l’avais prévenue depuis un moment déjà, mais Yves, qui la prenant en levrette a ce moment là, lui avais mit la dose encore une fois, et accessoirement l’avait mise en retard.
Elle arriva dans le service où séjournait Éric, le médecin l’attrapa au vol.
« Bonjour, vous devez être Emma Marchal ? La compagne de monsieur Éric Marchal? »
« Oui c’est bien moi, comment va-t-il ? »
« Sur le plan physique tout vas bien, il est ankylosé mais il devrait très vite récupérer, par contre au niveau cérébral….
»
« Comment ça, il a quelque chose de grave ? » sembla s’inquiéter Emma.
« Disons qu’il souffre d’amnésie post-traumatique, il lui manque les quelques jours précédent son accident, il est possible qui ne s’en souvienne jamais, je suis désolé »
« Si il va bien et qu’il n’aura pas plus de séquelles que cela, tant mieux »
Emma semblait sincèrement soulagée, tant par ce que son mari allait bien, que par ce qu’il semblait que les dieux de l’infidélité étais avec elle. Il n’avait pas de souvenir des derniers jours, et ça, cela dessinai un large sourire sur son visage, au moment même ou elle poussait la porte de la chambre d’Eric.

Éric joua les surpris en voyant entre sa femme :
« Ho mon chéri, tu es enfin réveillé, j’ai eu si peur …..»
« Tout vas bien mon amour » répondit mielleusement Éric.
Emma s’étala de tout son long sur le lit, au niveau de l’entrejambe d’Eric. Elle leva la jambe droite afin s’assurer son propre équilibre, mais, trop absorbée par le rôle d’épouse modèle qu’elle se donnait, elle ne perçu pas qu’Eric regardait son entrecuisse et que de grosses et douteuses traces blanches en marbraient la si douce peau.
Éric n’en revenait pas, il était à l’hôpital après un grave accident, et elle trouvait quand même le moyen de se faire tringler avant de venir le voir, cette pute n’avais aucune limite. Comment avait-il pu être aussi aveugle.
Emma tira Éric de sa contemplation, il eu juste le temps de se ressaisir avant qu’elle ne s’aperçoive de ce qu’il regardait une seconde auparavant.
« J’ai vu le médecin, il a dit que tout aller bien mais que tu avais une petite amnésie du a l’accident. »
« Oui, je n’ai aucun souvenir de l’accident……Je ne sais même pas pourquoi je l’ai eu, ce qui l’a provoqué…. »
« Ces derniers temps, tu avais du mal à supporter la pression de ton travail, tu es sortis boire plus que de raison, et tu as conduit, malheureusement… »
Éric étais perdu dans ses pensée, putain la salope, elle mentait avec un aplomb qu’il ne lui connaissait pas.
C était décidé, il allait la filer dès qu’il le pourrait, il devait savoir jusqu’où elle était prête à aller.
« Bon aller mon amour je te laisse, j’ai des choses importantes a faire, remet toi vite, te faire l’amour me manque ».
« Ton corps me manque aussi tu sais… » Mais il pensait en son fort intérieur :
*Tu te fais pas chier salope, tu viens d’en prendre plein le cul et tu me dis que tu souffre d’abstinence*
Emma se dirigea vers la porte et se saisie de la poignée, se retourna vers Éric et dis :
« Je suis contente que tu aille bien malgré ton accident, bisou amour… »
Traduction, tu ne peux pas savoir comme ça le fait que tu n’ai aucun souvenir.
En partant Emma ne pu s’apercevoir du rictus de satisfaction d’Eric, là, ce coup-ci , c’est lui qui menait la danse , et elle croyais s’en sortir a si bon compte, elle en aurais pour son argent, mais ce qu’Eric ignorait , c’est que lui aussi , passerait a la caisse.

Éric étais tellement motivé qu’en 8 jours, il récupéra quasiment toute sa mobilité, mais fit croire a sa femme, avec le soutien de son complice et ami médecin qui jouais son rôle a merveille, qu’il lui fallait encore quinze jour sans bouger de chez lui, au repos strict.
De retour chez lui, Emma était très câline et Éric se laissais gentiment faire.
La nuit ensemble se passa sans encombre et quelqu’un qui ne les verrai qu’a travers la lucarne de ce seul instant, se dirait qu’il s’agit là d’un couple très uni, qui ne voyais pas poindre le moindre orage a l’horizon.

Le plateau petit déjeuner déposé par Emma réveilla Éric. Un petit mot ornait le verre de jus d’orange, lui improvisant un bouchon de fortune. Éric s’en saisi et put lire : « Partie faire du sport, je rentre a midi, gros baiser mon amour ! » Quelle ironie dans le verbe ! Sa pour baiser, elle va être servie, pensa-t-il.
Il laissa le plateau sans y toucher plus avant, et se prépara en vitesse.
Il devait se rendre a une adresse a bordeaux, qu’il avait put voir sur le net. Une boutique d’espionnage, ces mêmes boutiques assez a la mode ces dernières années. Ces boutiques étaient comme les sex-shops, tout le monde se défend d’y aller, mais le chiffre d’affaire de celle-ci montre bien que la fréquentation était elle, au top.
Il avait déjà repéré ce qu’il voulait, il acheta deux porte clefs a positionnement GPS, en plus de faire positionneur, ces mêmes objets pouvaient servir d’espion de conversation via une carte SIM prépayé glissée a l’intérieur, il suffisait d’appeler le numéro puis d’écouter ce qui se passe alentour.
Il prit soin de les prendre de la même couleur afin de les échanger souvent, question de batterie.
Emma rentra vers midi, Éric étais de nouveau au lit en pyjama afin de parfaire son rôle de malade.
Il tendit un des portes clefs à Emma.
« Tiens, ou as-tu trouvé ce petit porte-clés si mignon ? » s’enquiert-elle.
« Tout a l’heure, en fouillant dans mes affaires je l’ai trouvé il avait l’air neuf, alors je suppose que j’avais du l’acheter avant l’accident dans l’optique de te l’offrir, je ne vois que ça, ou un client d’entreprise me l’as peut être donné, que sais-je… Au moins tu pensera à moi si tu l’accroche à ton sac à main. »
« Très bonne idée mon amour, comme ça je t’aurais partout avec moi… »
Elle ne croyait pas si bien dire.
« Mais tu n’as pas touché au petit dej que je t’avais préparée? »
« Oui désolé, tu sais je n’ai pas très faim depuis l’accident »
« D’accord je comprends il y a quelque-chose que tu aimerais ce midi ? »
Une idée venais de traverser l’esprit d’Eric a cet instant, il ne faisait aucun doute que « apollon » avais une nouvelle fois besogné sa moitié, aussi voulait-il la tester ici même.
« Oui ton joli petit cul, il m’a manqué tu sais ! »
« Ho tu es bête quand tu veux, je suis sérieuse là ! » fit-elle trop rouge pour être honnête.
« Mais moi aussi figure toi, voudrais-tu te refuser a ton langoureux mari ? »
« Ne sois pas bête laisse moi faire un brin de toilette, j’ai fais du sport, je sens horriblement mauvais… »
« Non justement, laisse, je veux te prendre « nature », là, comme ça »
Il joignait le geste à la parole, le rythme cardiaque d’Emma fit un bon en flèche a cet instant, le sperme d’Yves tapissais sa matrice, impossible pour Éric de ne pas s’en apercevoir.
Éric commençais à l’embrasser, doucement, lui travaillant les seins. Ce simple petit travail suffisait déjà la rendre tremper, elle adorait le sexe. Pourtant elle avait jouis 2 fois ce matin avec Yves, mais il lui en fallait encore, elle en arrivait à se demander si elle avait une limite en la matière.
Elle attrapa la queue de son mari et la mit en bouche. Elle le suçait comme une pestiférée, il cru défaillir tellement elle le suçait divinement bien. Elle croyait s’en tirer a si bon compte, en le faisant éjaculer rapidement, mais lui ne voulais pas en rester là.
Il l’arrêta et elle eu l’air très déçu, comme si elle réclamer sa dose de sperme à avaler.
Éric ne lui connaissait pas une telle ardeur sexuelle.
« Hé bien quelle fougue dis moi, je ne te savais pas comme ça ! »
« C’est que ça…ça fais …longtemps que je t’attends mon chéri »Les hésitations de sa chère et tendre n’échappait pas a Éric qui eu un tout petit rictus de satisfaction. Il enfonça alors le clou.
« Met toi en levrette que je te pénètre, j’ai trop envie de ton sexe. »
Emma étais en panique complète, que faire, vite une solution….
Éric approchais sa main de son antre chaude, dans 1 seconde il serait fixé.
« Non arrête ! »
Éric était comme sonné de cet ordre brutal et la regardait, interdit.
« Je veux dire tu ne veux pas essayer autre chose ? Tu as toujours eu le fantasme d’essayé la sodomie pas vrai ? Aujourd’hui j’ai envie de te faire plaisir, pend moi par derrière mon amour. »
Éric lubrifia avec sa salive, et commença à forcer l’entrée de la grotte interdite. Il n’en revenait pas, lui le cocu, le seul à n’avoir JAMAIS profité de sa femme par cette voie, aujourd’hui et uniquement dans la but de s’en sortir indemne, elle était prête à le lui offrir son cul sur un plateau.
OK, ainsi soit-il, il lui laissait cette manche, il était trop tôt de toute façon pour faire tomber les masques, aussi décidât-il d’en profiter un maximum avant de remettre les pendules a l’heure.
Il la besognait sans ménagement, sans douceur aucune, et bizarrement c’est ce qu’elle semblait aimer. Il la fourrait depuis dix minutes mais étais au bord de l’explosion et les petits gémissements de satisfaction d’Emma ne l’aidais pas à tenir…trop tard, il se répandit dans son fondement, déversant un sperme chaud et abondant, trop longtemps contenu.
Sa femme n’avais pas jouis mais qu’importe, aujourd’hui il s’en foutait, alors qu’habituellement c’était pour lui un leitmotiv.
« Merci » Glissa-t-il à l’oreille de sa compagne qui se dirigea dans la salle de bain sans un mot.
Ce n’est pas que cela lui avait déplut, mais elle l’avait échappé belle et de plus, les queues qui la défonce habituellement de ce coté là font au moins presque deux fois celle de son mari, elle n’avait pas trop sentie par rapport a d’habitude. Heureusement qu’elle ne s’était pas faite sodomiser ce matin même, Éric l’aurais trouvé bien large, mais qu’importe, elle s’en était bien sortie en fin de compte.
Emma passa le reste de la journée avec Éric en s’occupant dans la maison pendant que lui semblait travailler un peu sur son ordinateur portable, dans son lit.

Le lendemain, huit heure quinze, Éric s’éveilla le premier cette fois .Il fit mine de se lever péniblement, car son épouse se réveillait à l’ instant même.
« Bonjour mon amour » fit-elle enjouée.
« Bonjour ça va ce matin ? »
« Oui, je ne t’avais pas dis pour hier, c’était bien finalement… »
« Ha oui ? Tu as aimé ? On le fera plus souvent si tu veux. »
Elle se dirigea vers les toilettes pour seule réponse.
La matinée s’écoula comme l’après midi de la veille, monotone, midi passa puis, vers quinze heure, elle annonça a Éric qu’elle sortait voir une amie et qu’elle pensait rentrer vers 19 heures.
Il acquiesça, et elle se prépara donc.
Éric fut abasourdi quand elle ressortit de sa préparation. Mini jupe en cuir noir, escarpins vertigineux en cuir brillant noir et blanc, petit top a décolleté pigeonnant et maquillage appuyé parfaisaient ses atours. Elle ressemblait, certes, à une pute des très beaux quartiers, mais elle était diablement sexy comme ça. Éric en avais une érection en béton.
« Je te plais comme ça ? » Se fendit-elle.
« Ho que oui » réussi péniblement a déblatéré Éric, totalement soufflé.
« A ce soir mon amour, bisou » se fendit-elle d’un geste de la main a la Marilyn Monroe.
« A ce soir » répondit Éric, mâchoire décrochée.
Elle était partie depuis 3 min, Éric s’arracha a sa contemplation passive, c’est vrai que c’était une pute, mais qu’est-ce qu’elle était belle, et c’était sa femme.
Non, il ne se laisserait pas attendrir par ses sentiments à cet instant. Il fallait agir et vite.
Il prit son nouveau Smartphone, équipé du software en lien avec les portes clefs.
Il attendit 10 min avant de sortir, autant être sur qu’Emma soit déjà partie.
L’amie chez qui elle se rendait prétendument, Éric connaissais son adresse, et a priori Emma étais sur la bonne route. Au moins une vérité dans cet océan de mensonges.
Éric prit le tramway en direction du centre ville, et s’arrêta place des quinconces et choisi d’attendre a une terrasse de café. Il composa le numéro de la carte prépayé en lien avec le porte-clés qu’Emma avais accrochée a son sac, et tendit l’oreille dans son combiné.
On reconnaissait la voix d’Emma et aussi Catherine son amie mais également celle d’un homme qu’Eric ne reconnaissait pas. C’est la voix de sa femme qu’il capta en premier.
« Catherine, tu ne trouve pas que ce string fendue laisse bien ressortir mon clito ? »
« Siiii…, tu me donne envie de m’en régalé petite putain. »
« Commence pas à m’exciter comme ça, après on va commencer avant d’y aller »
« Tu as raison, on s’amusera moins si on se soulage maintenant. »
«Bon les salopes on se magne un peu si il vous plait on va être en retard, encore une fois ! »
« ho ça va ! » reprirent-elles en chœur
« Tu nous emmène ou cette fois ? » entrepris de s’informer Catherine.
« Au sex-shop, cours de la marne ! » dis l’homme, un sourire dans la voix.
« Bon Emma fait voir que je te passe tes chaussures »
Emma tendit un pied à Catherine qui enfila le précieux escarpin.
« Ho ! Arrête salope…tu sais que j’adore ça ! »
Catherine étais en train de sucer un orteil de l’autre pied, de lécher la partie de la plante juste en dessous des orteils, pratique qui semblais combler d’aise la femme d’Eric.
« Je sais que tu adore ça ! C’est pour mieux te mettre en jambe ! »
« Aller, on décolle si il te plait, j’ai envie comme jamais là ! »
Éric entendit tout ce petit monde se mettre en en branle. Il fallait agir vite, il n’était pas très loin du cours de la marne, en tram, tandis qu’au vu de l’adresse de l’amie d’Emma, ils leurs faudrait quinze bonne minutes de trajet, mais lui ne connaissait pas les lieux, au contraire des trois comparses apparemment.
Éric laissa dix euros sur la table pour payer le café qu’il avait commandé, sans se soucier du retour de monnaie, et fila aussi vite qu’un vendeur a la sauvette lors d’un contrôle de police.
Arriver sur place, il hésita quelques minutes avant d’entrer, tel un Dante Alighieri sur le seuil des enfers, il savait qu’en franchissant cette porte, le retour dans sa vie d’avant ne serai peut être pas possible. Son hésitation faisait écho à un sentiment profond, une impression que si il entrait dans cet endroit, il y perdrait une partie de lui-même a jamais.
Il balaya ce doute passager d’un revers de la main et pénétra dans l’antre redouté d’un pas franc et assuré, après tout il était là pour ça, pour « savoir ».
L’entrée, composée de la boutique étais moins « glauque » que l’idée qu’il s’en était fait.
Le gérant lui fit un petit signe de tête accompagné d’un grognement guttural en guise de bonjours.
Il entreprit de visiter les lieux.
Il descendit dans une sorte de sous-sol et tomba sur des cabines de type « glory-hole » (cloisons percées et communicantes entre deux cabines).
Il y avait plusieurs hommes déjà présent et il semblait régné une certaine tension.
« Tu viens pour le show toi aussi ? »
Eric regarda avec étonnement l’être singulier qui s’adressait à lui.
Un homme fluet au visage émacié, qu’Eric aurais pris pour une caricature gay, avec son pantalon de cuir totalement ouvert a l’entre jambe, venais de lui poser cette question.
« Un show ? Quel show ? »
« Ha je vois tu es là par hasard, alors c’est ton jour de chance l’ami, tu vas assister a la représentation de deux putes de premières, et si t’as de la chance tu pourras peut être faire parti des quinze qui aurons l’honneur de se faire sucer au glory-hole, mais, les places sont chères ! »
Non ce pourrait-il que…non quand même pas se dit-il. Elle n’irait quand même pas jusque là.
Éric se dit intérieurement qu’Emma venais elle aussi assister a cette « représentation » dont il ne connaissait pas le contenu .Mais son subconscient lui, lui criait la méfiance.
Il ressentit tout à coup des nœuds dans le ventre, et une curiosité malsaine mêler d’excitation de bientôt être fixé.
Une légère clameur monta d’en haut de l’escalier, ça y est, elles arrivaient.
Éric étais pris de panique, que faire ? Il n’y avait pas pensé, mais il pouvait être découvert dès les premières minutes.
Il avisa un recoin plus sombre et s’y engouffra.
Deux femmes et un homme arrivèrent en bas de l’escalier, l’une d’elle était Emma.
Ce qu’Eric se refuser à croire en se mentant à lui-même était finalement confirmé.
C’est une vraie pute, pensât-il, c’est elle qui va se livrer en pâture à tous ces mâles en ruts, et cela semblait la combler d’aise.
L’homme qui les accompagnait désigna deux hommes de l’assemblée, dont celui qui avait son pantalon de cuir. Il laissa exploser sa joie d’être choisit. Éric pris conscience de la taille de son vit, qui, au vu de cette désignation, étais déjà bandé, raide. Un mandrin d’au moins 25 de long par 6 de diamètre. Un vrai cheval pensa Éric, elle a vraiment le chic pensât-il et s’aperçut que le choix du deuxième larron avait été aussi fait selon la taille, toute aussi impressionnante, surement un critère d’Emma.
Emma qui, au demeurant, était maintenant les yeux bandés et accessoirement la langue de sa copine Catherine sur le clitoris. Elles ne perdaient pas de temps, c’est le moins que l’on puisse dire se fit comme réflexion Éric.
Éric ressentais un malaise, une excitation malsaine mêlée de colère.
Alors pourquoi malgré lui il avait sortis son sexe et commençais à se masturber devant le spectacle ?
Les mains d’Emma étais attachés dans le dos de celle-ci et elle fut positionnée en levrette.
L’homme au pantalon de cuir fut appelé du regard par Catherine. Il se plaça directement a l’entrée de son œillet. Il la pénétra d’un coup, sec et violent.
Les cris d’agonie d’Emma furent étouffés par le sexe du second protagoniste, qui venait de le ficher directement dans sa gorge, lui baisant la bouche, lui aussi sans aucune douceur.
Éric est partagés entre le sentiment d’intervenir pour mettre fin au « calvaire » de sa femme, mais se dis qu’après tout, elle l’avait bien cherchée. Il se fit une autre réflexion, quand il voyait la taille du sexe de celui qui sodomisait sa femme, il se dit intérieurement que hier, elle n’avait rien du sentir.
Les cris étouffés d’Emma s’était changés en suppliques de plaisir.
Elle fut secouée de spasme caractéristique de l’orgasme. Cette salope jouissait par le cul !
Éric augmenta la vitesse de sa masturbation, le deuxième homme, celui qui prenait sa bouche, était en train de jouir en se répandant dans son orifice buccal, abondamment. Emma avala tout sans sourciller le moins du monde, la salope, elle le lui avait toujours refusée a lui, son mari.
Comme l’autre homme avait joui, celui qui la sodomisait se retira et se positionna par terre, queue tendue. Catherine fit relever Emma et la fis s’assoir sur la queue. L’homme au pantalon de cuir lui pilonnait maintenant violemment la chatte et elle couinait comme une petite salope.
L’homme qui semblait diriger les deux salopes s’écria soudain :
« On veut une petite bite ! La salope a besoin d’être léchée ! Qui est volontaire ? »
Tous les mâles présents, blessés dans leur orgueil et ne voulant pas être reconnue en tant que tel ne se manifestais pas beaucoup.
« Toi là ! Planqué dans le coin, tu me semble un bon client, fait pas ton timide, viens lécher ma pute ! »
Sa pute ! Éric sentit une grande colère lui monter, qu’il refréna a grand peine, mais ce n’étais pas le moment de perdre le contrôle de lui-même. Cet homme ne manquait pas de souffle.
Il s’approcha néanmoins, non sans lancer un regard assassin vers cet homme qui ressentit, l’espace d’un court instant ,un léger malaise, comme si il avait sentit la légitimité du statut d’époux d’Eric.
Il se pencha devant la chatte distendue de sa femme, qui en prenait pour son grade.
Il commença à se régaler de son clitoris gonflé a l’extrême, et commençais à se prendre au jeu et l’excitation montais de plus en plus.
De son coté Emma était tellement pilonnée avec violence, que le bandeau commença à se relever, et elle put ainsi voir les cheveux de l’homme qui la léchait, morphotype qui lui disais quelque-chose, puis, un doute affreux s’insinua en elle a cet instant, on dirait……le bandeau venait de tout rendre de nouveaux imperceptible. Elle voulut prononcer le nom de son mari à cet instant, mais la bite du deuxième homme, de nouveau en forme, étouffa cette supplique au fond de sa gorge.


A suivre, si le cœur vous en dit……. ;-)

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