Janet

Quand j’étais jeune, vers 17 ans, je me suis faite toucher par ma tante. Ca se passait dans ma chambre où elle était entré sans me prévenir : je me masturbais. Pour elle je le faisais mal très mal. Alors elle a tenu à me montrer comment le faire bien, pour mon bien. Nues, elle mettait sa main sur sa chatte, allait et venait sur le clitoris.
Je l’imitais bien sur, j’en jouissait aussi, comme elle, fière d’avoir un orgasme devant une autre fille. Nous l’avons refait souvent avec de partager nos plaisirs en nous embrassant et suçant. Elle m’a laissé l’impression que les plaisirs féminins étaient supérieurs aux plaisirs hétéros. Ainsi à 20 ans, je me suis faite dépuceler. J’ai eu à peine mal une seconde avant de partir dans un bel orgasme. Cette première fois n’a pas été la dernière. Durant toutes mes études (6 ans) en fac j’étais la proie des bites de mes congénères. J’aimais bien baiser, me faire mettre partout. Plus je baisais plus je réussissais.
Je trouvais facilement une place dans une étude notariale dans un chef lieu de canton. Là, je me tenais sage, presque trop. Ni mon patron, ni les clercs de cherchaient à me faire quoi que ce soit. J’en étais réduite à la masturbation. J’avais une vie tranquille, rangée. Quand j’allais une fois par mois en ville, c’était pour me distraire les sens. Ca, je baisais bien dans ma chambre d’hôtel. Je me faisais baiser comme une putain, dans n’importe quel trou du moment que j’en retirais du plaisir.
Un jour je retrouvais mon initiateur qui sans que je lui demande rien, alors que j’avais envie de lui, me demandait en mariage près une baise particulièrement réussie tant pur lui que pour moi. Il me suivait depuis longtemps sans se faire connaitre, même au cours d’une de mes rares partouzes.
Sans réfléchir j’acceptais et je le trouvais, moi une bête de sexe réduite volontairement à consacrer mon cul à un seul. J’ai tenu parole, lui seul me la mettait où il voulait où je voulais.

Mais, ça il le savait j’avais au fond de moi encore des regrets de ne pas avoir d’amante. J’avais quitté mon travail de clerc à regrets: il me plaisait beaucoup.
J’avais du temps libre, alors un jour je me suis mise en chasse. J’allais là où je pouvais rencontrer d’autre femmes comme moi. C’étais difficile alors de tomber facilement sur une compagne de jeux saphiques. Ca l’est encore de nos jours.
J’entretenais des rapports épistolaires avec une américaine Janet depuis plus de 15 ans quand j’ai pu aller la voir à SF (San Francisco pour les ignares que vous êtes). Le premier jour, encore sous le choc du changement d’heures (9 Heures en moins) Je n’étais pas belle à voir. Puis ensuite elle m’a invité dans un restaurant au Fischer man Wharf : le port de pêche. Il y a là des bons restaurants qui n’ont heureusement rien d’américains.
On dit que les huitres son aphrodisiaques. Ce doit être vrai. Ces coquillages arrosé d’un vin blanc sec de Napa Valey me mettaient dans des conditions d’excitation à tel point que j’en parlais à Janet. Je lui avouais mon ancien penchant pour les filles. Pour elle, le penchant était son quotidien. Elle me prenait les mains pour me dire que se je voulais d’elle, elle voulait de moi.
Ainsi je me trouvais à mouiller devant une fille depuis une éternité. Dans le taxi, nous ne cessions pas nos baisers, même si le chauffeur regardait souvent dans le rétroviseur. Là, bas il semble que ce soit une chose naturelle que deux femmes s’aiment.
Son appartement , en centre ville était confortable, une chambre immense avec une salle de bain avec tous les accessoires utiles ou non. Ses fenêtres donnaient vers la baie, sur le Golden Gate Bridge. Avec au loin à moitié cachée par une colline, Alkatras. Sans doute cette vue me donnait encore plus envie de livrer mon corps à ma correspondante.
Janet m’a offert un bourbon que je dégustais en la regardant avec envie. Je me doutais de la suite, il me tardais qu’elle agisse. Nous sirotions lentement la liqueur quand elle s’est levée.
Avec son léger accent de l’ouest elle me dit:
- J’ai moi aussi envie de baiser avec toi, tu dois bien donner du plaisir. Je veux de lécher.
- Je veux ta bouche sur la mienne. A partir de là, tout a basculé. Nos langues ont longuement joué à cachecache dans la bouche de l’autre. J’aimais sa salive douce. Nos corps rapprochés semblaient faire connaissance par-dessus nos habillement. Je sentais ses seins contre les miens, son pubis écrasé contre moi.
J’ai pris un sein dans ma main, le l’ai massé comme j’aime qu’on me fasse. Elle réussissait à venir sur mes fesses en relevant ma jupe. Une main est venue dans la raie. Je pensais que si elle arrivait à mettre un seul doigt dans l’anus, elle pourrait faire de moi ce qu’elle voudrait. Quand elle est arrivait juste sur mon trou, elle en caressait le pourtour, me donnant un envie extraordinaire de l’avoir en moi. En tendant mes fesses vers sa main, elle comprenait mon besoin. J’étais tellement mouillée que son doigt est entré facilement en entier. J’ai eu mon premier orgasme quand elle le faisait aller et venir.
Ce genre de caresses je l’avait avec mon mari. Avec une femme c’était une première. Doucement, elle m’a déshabillée pour me serrer nue contre elle. J’en voulais plus, je l’ai moi aussi mise totalement nue. Pendant qu’elle passait une main sur ma chatte, je lui en faisait autant. Nous ne nous sommes pas branlées longtemps, les orgasmes venaient très vite. Elle m’a emmenée vers sa fenêtre pour que je profite de la vue pendant qu’elle était assise sur la moquette sa bouche sur ma chatte. J’ai deux voir deux secondes dehors, le reste du temps du cunnilingus je passait les yeux fermés. Je caressais mes seins puisqu’elle ne pouvait pas le faire.
Couchées sur son grand lit. Nous nous caressions partout. J’adorais ces caresse douces, entières, féminines en un mot. Nos bouches ont pris possessions de la poitrine de l’autre. Je devais la sucer trop puisque je l’ai faite jouir rien qu’en tétant ses tétines.
Janet, après cet orgasme m’avouait que j’étais la seule à lui donner ce genre de plaisir. J’en profitais pour la branler doucement. Elle écartais les jambes comme si j’avais lui mettre une bite.
Lâchement j’en profitais pour mettre ma tête entre ses cuisses. Je léchais tout entre les deux genoux en faisant une impasse sur la chatte proprement dit. Ce n’est quand remontant que j’arrêtais ma langue sur son cul d’abord, son périnée ensuite. Je passais une main sous une cuisses pour que mon pouce arrive sur le bouton. Ensuite, tout en continuant la masturbation clitoridienne, j’entrais ma langue profondément dans son vagin. Bonheur de ma part de sentir un goût qui me rappelais ma tante. Satisfaction de la sentir gémir et prononcer des mots anglais sans suite.
Si je n’étais pas rasée, elle l’était. C’était doux, comme les fesses d’un nouveau nez, le plaisir sexuel en plus. Après avoir jouit deux fois, elle m’enjambait à mon tour.
Notre 69 était le bien venu. Prendre du plaisir et en donner en même temps, quoi de mieux entre femmes. Nous ne nous contentions pas de nos langues. Les doigts, tous les doigts participaient. Ils étaient partout à la fois, surtout autour du vagin ou dedans, souvent sur et dans les culs; Nous ne nous ménagions pas.
Pratiquement la nuit entière était consacrée au plaisir. C’est un coup de téléphone qui nous réveillait : mon mari à 9 heures locale m’appelait pour m’embrasser et prendre des nouvelles. Que dire sinon que j’allais bien que j’avais récupéré du voyage. Je n’allais pas lui dire que Janet s’occupait de moi en me masturbant. Elle prenait une de mes mains pour que je la masturbe aussi. J’étais sacrément excitée d’être branlée et de branler en parlant à mon mari qui disait qu’il avait envie de moi.
A peine la conversation téléphonique terminée, Janet me couchait à nouveau. Elle voulait faire un breakfast de ma chatte. Elle y réussissait presque après que j’ai jouis. Pour le lunch, elle tenait à ce que je sorte très peu habillée pour me montrer à ses voisins.
Je ne portais plus qu’un de ses shorts ridiculement courts, coupés de telle façon qu’on pouvait voir ma chatte, au moins la fente et la raie des fesses. Un simple foulard noué devait cacher le reste. Dans le « diners » du coin, elle me pelotait, m’excitais sans cesse. J’en mouillais. Notre table au coin à gauche en entrant était la plus cachée. Janet arrivait par miracle à passer sa main dans le short, prendre entre deux doigt mon clitoris. Elle me branlait en pleine salle bondée. Je jouissais en silence, sinon j’aurais mis la police dans le coup.
Je me suis rattrapée chez elle en le renversant sur le lit, ma bouche sur son con que je bouffais comme une affalée.
Nous avons tenu deux jours ainsi.
Enfin calmées nous ne faisions l’amour que deux fois par jours, sauf le samedi où nous sortions à la recherche d’un mâle que nous n’avons pas trouvé. Nous avions envie d’un bonne bite ! J’en ai eu une chez moi, celle de mon époux à qui je ne cachais rien de mes relations avec Janet. D’avance je savais qu’elle voudrait baiser avec lui quand elle viendrait chez moi. Que de bonne partie à trois arrivaient.

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