Damien 76 - La Vie Commune (Suite 5)

Le surlendemain matin, je me levai vers 8 heures et partis sur PARIS faire des courses, à midi je déjeunai dans un restaurant du côté de l'OPERA et après avoir acheté deux jupes avec les corsages assortis, une paire d’escarpins, quelques culottes ainsi que des bas, je repris le chemin de la maison.
Pendant le trajet je laissai mon esprit vagabonder.
Je faisais le point sur ma vie, je menais une vie heureuse, j’étais comblé sexuellement, j’aimais mon homme mais quelque chose me manquait.
Ce quelque chose, c’était le fait de ne pas pouvoir être en toutes circonstances près de mon amant.
En effet si en me travestissant je faisais illusion et personne ne pouvait se douter que sous mes jupes il y avait un pénis et une paire de couilles, il n’en était pas de même à la plage ou à la piscine, enfin dans toute activité où il fallait ôter ses vêtement.
En maillot de bains je ne pouvais faire aucune illusion, n’ayant pas de seins mais plus que ça la bosse formée par mon sexe masculin serait trop voyante.
Arrivé à la maison, je me mis derrière l’ordinateur et commençais à chercher des sites et/ou articles sue les transsexuelles.
Je passais tout l’après-midi derrière l’ordinateur jusqu’à l’arrivée de Pierre.
Il fut étonné que contrairement à l’habitude, je ne sois pas dans le salon.
Il me trouva dans le bureau et me dit "Que fais-tu mon amour ?
Tu travaille encore ?
- Non je n’ai rien fait aujourd’hui. Il faut qu’on parle
chéri.
- Mais que quoi chérie ?
- Voilà il m’est venu une idée à midi, qu’est-ce que tu
dirais si je me transformais en femme ?
- Mais chérie, tu es en femme.
- Non tu n’as pas compris, je ne suis pas en train de te
parler d’être maquillée, habillée en femme mais d’être une
vraie femme.
- ….
- En un mot comme en cent, me faire opérer, devenir une femme
avec des seins, une chatte et tout et tout.


- Tu veux te faire opérer ?
- Oui c’est ce que je viens de te dire.
- Mais….
- Mais quoi ?
- Pourquoi, moi je me satisfais largement de ton cul.
- Ce n’est pas ça, je ne te dis pas que si je me fais opérer,
tu n’auras plus droit à mon cul, mais tu en auras aussi
plein les mains quand tu toucheras ma poitrine et tu auras
aussi une chatte à ta disposition.
- Oui….
- Et comme ça si tu le veux tu pourras si tu le veux me
baiser tous les jours, j’aurais une chatte tu te rends
compte une chatte. Tu auras une chatte à ta disposition en
plus de ma bouche et de mon cul, ce n’est pas génial ?
- Vu comme ça !
- Tu comprends, je suis malheureuse de ne pas pouvoir être
tout le temps avec toi.
- Mais tu es tout le temps avec moi.
- Mais non, regarde quand nous sommes à la plage, je dois me
comporter comme si j’étais ton pote alors que je voudrais
que tu me prennes dans tes bras. Là je ne peux pas passer
pour une femme.
- C’est vrai.
- Ça ne te plairait pas, d’être sur le sable allongé auprès
d’une jolie femme ?
- Bien sur que si.
- Et bien tu vois.
- Mais ce doit être extrêmement douloureux de faire ça.
- Il faut souffrir pour être belle.
- Oui mais quand même.
- Ecoute je n’attends que ton accord, si tu me dis OK je le
ferais.
- Je peux un peu réfléchir.
- Oui je te laisse jusqu’à demain soir.
- D’accord.
- Allez viens, j’ai très envie que tu me baises.
- A tes ordres ma salope".
Main dans la main, nous partîmes dans la chambre.
Arrivé Pierre me dit "Viens approche-toi de moi".
J'obéis, il m'enlaça et posant délicatement ses lèvres sur les miennes, il se mit à me lécher le visage pendant que ses mains courraient sur mon corps, des ondes de désir commençaient à monter en moi.
En un tour de mains, je fus nu, Pierre déchira mon string rose et se déshabilla.

Il me pris dans ses bras et me déposa sur le lit à plat ventre.
Il se mit à me masser la nuque ainsi que les épaules.
Une fois qu'il m'eut bien décontracté, il me retourna et me caressa les seins tout en me pinçant les tétons, tous ces attouchements conjugués me basculèrent dans une douce langueur, je frémis.
Pierre, se pencha sur moi, et se mit à me lécher le nombril, un gémissement échappa de ma gorge, puis il me retourna délicatement et sa langue se posant dans mon cou, commença à descendre sur mon dos le long de ma colonne vertébrale, sous l'effet de ces caresses, je me tortillai doucement sur la couche plongeant de plus en plus dans le désir, c'est là que je me rendis compte que je planais déjà alors que Pierre n'avait pas encore touché à mon cul.
Longtemps l'homme ne pratiqua sur moi que des attouchements buccaux et manuels, les yeux clos, je savourais ce bien-être tour en râlant.
Jugeant que j'étais à point, Pierre arrêta, ses mains se posèrent sur mes fesses et entreprirent de les masser, au bout de quelques instants de ce traitement, j'avais le fessier brûlant mon amant écarta mes miches et une langue pointue s'insinua dans ma raie, à ce contact mon anus s'ouvrit légèrement et la langue inquisitrice me pénétra, je gémis.
Patiemment, Pierre m'ouvrit complètement le cul, sa langue râpeuse allait et venait sur ma corolle tandis que deux de ses doigts coulissaient dans mon rectum, je me sentis fondre.
J'étais totalement en transe je voulais qu'il me baise et je lui dis "Aaaahh je t'en supplie encules-moi ahhh.
- Pas tout de suite, un peu de patience, tu jouiras encore
plus.
- Noonnn, je veux ta bite tout de suite, je veux qu'elle me
casse le cul".
Pierre continua à me travailler le trou jusqu'au moment où ne tenant plus, je mis à onduler au rythme de trois de ses doigts qui me possédaient, je n'étais plus que frémissements, ma tête rejetée en arrière ballottait de droite à gauche.

Mon mec me mit sur le dos et s'agenouilla entre mes cuisses, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il m'approcha de lui jusqu'à ce que le formidable pénis bute contre mes fesses, il les écarta et posta son priape contre l'orée de mon canal et lentement me pénétra.
L'intromission dura un temps infini, mais jamais, je ne ressentis la moindre douleur, quand enfin Pierre fut tout en moi, mon cul était rempli comme toujours avec mon mec.
Me prenant par les cuisses, mon homme commença à me besogner doucement, sentir son monstrueux membre coulisser dans mon tunnel après les prémices que j'avais subi je me sentis partir, je basculai totalement dans un univers où seul le plaisir comptait, j'allai à la rencontre de ses coups de boutoir pour être sur que toute la hampe entrait en moi, la verge érigée sortait presque entièrement de ma grotte et replongeait lentement jusqu'au tréfonds de mon cul en fusion.
De temps en temps, Pierre sortait totalement sa pine de moi et me caressait tout le long de la raie puis me renfilait d'un grand coup de reins.
J'avais perdu toute notion des choses, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me forait les reins, je voulais qu'il reste fiché indéfiniment entre mes fesses, je me tordais comme un damné sous ses coups de queue qui me portaient au septième ciel et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Mais sourd à mes supplications, Pierre continuai à me posséder avec une régularité de métronome, je sentis une boule monter vers ma gorge, l'air me manqua et un sublime orgasme me balaya, j'ouvris la bouche et un hurlement strident pulsa de ma gorge "aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh", mon corps se tendit comme un arc, je griffai les draps et tendis mon cul vers cette merveilleuse pine d'ébène qui me donnai autant de plaisir me ramonant le rectum puis je retombai lourdement sur la couche perdant connaissance.
Quand je revins à moi, Pierre me besognai toujours en de larges coups de bite, des gouttes de sueur perlaient de son front, le plaisir qu'il prenait devait être grand vu les grimaces qu'il faisait pour ne pas exploser.

Peu à peu, sous les assauts répétés de cette hampe virile, le désir remonta en moi, mon amant se baissa et me prenant aux aisselles me ramena vers son torse.
Il se leva et je nouai mes bras autour de son cou ainsi que mes jambes autour de sa taille.
S'appuyant contre le mur, mon homme se mit à me pilonner l'anus à grands coups de reins tout en me faisant monter et descendre sur son phallus gorgé de sang.
J'avais le trou complètement éclaté, j'avais l'impression que s'il continuait à me tringler de la sorte, il allait me déchirer le cul mais que c'était bon, dans les bras de mon mec, j'étais tel un pantin désarticulé, jamais je n'avais subi une telle enculade, mes ongles plantés dans ses épaules musclées, je hurlai mon plaisir sans discontinuer "aaaaaahhhhh
ahhhhhhhhh aaaaaaahhh aaaaaahhh ahhhhhhhhhh aaaaaaaahhhhhhh
ahhhhhhh".
Pierre allai me reposer au bord du lit et me ramena les jambes vers la tête, de la sorte à faire ressortir plus encore mon sphincter de manière à avoir un angle de pénétration encore plus grand, là il se mit à me défoncer à une vitesse folle.
Mon intimité s'était encore agrandie, je voyais entre mes jambes le priape noir sortir et se planter au plus profond de mes entrailles, le ventre musclé de Pierre claquait contre mon arrière-train en fusion à me faire mal, sous ses coups de boutoirs violents, je me tordais comme un damné sous mon amant la tête ballottant de droite à gauche, en cet instant seul comptait pour moi cette bite roide qui me démolissait la corolle, j'avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer.
Pierre s'enfonçant au fond de mon cul éjacula en feulant, une formidable giclée de foutre crémeux m'inonda le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur, je hurlai de jouissance et sombrai dans l'univers cotonneux du plaisir, je sentis le pénis encore dur de PIerre quitter mon antre et je restai allongé sur le lit les yeux clos, cuisses écartées, écoutant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux, Pierre me regardai en souriant, son sexe était toujours dressé, je lui dis "Merci de m’avoir si bien baisé, j’en avais très envie
- Mais de rien ma petite salope, tout le plaisir fut pour
moi.
- Ah non ! Pour moi aussi, ce fut magnifique.
- Tant mieux.
- Je t’aime.
- Moi aussi ma puce.
- Tu bandes tu en veux encore ?
- Oui mais d’abord on va aller manger et après je vais te
défoncer le cul.
- Chouette !".
Nous allâmes prendre une douche puis pendant que Pierre servait l’apéritif, je mis à réchauffer le dîner.
Après avoir dîné, Pierre me dit "Tu sais depuis tout à l’heure
je réfléchis à ce que tu m’as dit quand je suis rentré.
- Et alors ?
- Eh bien, si tu as vraiment envie de le faire, je suis
d’accord mais d’après ce que je sais c’est un parcours
douloureux et long.
- Je le sais. Alors c’est vrai tu serais d’accord ?
- Oui ma puce.
- Génial ! Parce que je veux vraiment le faire, je veux être
vraiment une femme. Mais ne t’inquiète pas, tu auras
toujours le droit à mon cul.
- Je l’espère bien parce que ton cul est magnifique.
- Après hormones il sera encore plus beau.
- Déjà là je le trouve superbe.
- Merci.
- Alors comment veux-tu faire, car je ne crois pas qu’il se
pratique ce genre de chirurgie en France.
- Si mais ce ne sont pas les meilleurs, pour avoir un travail
bien fait, il faut aller en Thaïlande. J’ai déjà les
contacts, je vais tout de suite envoyer un mail.
- Hou là là ! Mais tu es au taquet toi.
- Tu me connais quand je veux quelque chose, je le veux.
- Oui je sais.
- Et ça je le veux plus que tout au monde, la seule qui
aurait pu me faire tout abandonner c’est que tu me dises
non.
- Et je t’ai dit oui.
- Donc maintenant je fonce".
Je me mis derrière l’ordinateur et envoyais un mail de demande d’explications à la clinique que j’avais trouvé comme celle me paraissant la mieux.
Un fois le mail envoyé, je me tournai vers Pierre et le regardai d’un air lubrique.
Il me demanda "Que se passe t’il ?
- Je veux te bouffer la bite.
- Mais ne te gène surtout pas".
Pierre se leva et baissa le short qu’il avait enfilé pour dîner.
Le fabuleux sexe de mon amant bien qu’à demi bandé était déjà impressionnant.
Pierre s'assit sur le canapé et écarta les jambes, je vins m'agenouiller devant lui et commençai à caresser le magnifique pénis.
Celui-ci réagit aussitôt, il grandit encore, l'entourant de mes doigts je me mis à le masturber lentement.
Au bout de quelques instants de ce traitement, Pierre qui avait fermé les yeux tendait son ventre vers moi, j'arrêtai mes attouchements manuels, penchai ma tête vers ce magnifique priape et du bout de la langue, je me mis à lécher le gland turgescent, mon amant laissa échapper un gémissement, ouvrant tout grand la bouche j'enfournai l'objet de ma dévotion et commençai à monter et descendre dessus.
Je suçai cette merveilleuse pine pendant une demi-heure m'arrêtant chaque fois que je sentais les prémices de l'explosion, mais mon mec n'y tenant plus, prit ma tête entre ses mains et l'immobilisa et se mit à donner des coups de reins violents se servant de ma bouche comme d'un cul.
Soudain plaquant mon visage contre son pubis, il éjacula en râlant, une énorme giclée de foutre pulsa au fond de ma gorge et je l'avalai avec délice continuant à flatter la bite qui tressautait dans ma bouche.
Quand le calme fut revenu Pierre me relâcha et me dit "C’est
toujours aussi bon ma chérie.
- Merci mais j’en avais envie, j’adore ta queue et boire ton
sperme, c’est mon digestif à moi, une vraie liqueur.
- AH, AH, AH !
- Maintenant il faut que tu t’occupes de mon petit cul, je
suis en chaleur.
- Viens allons dans la chambre je vais te démonter ton petit
puits d’amour".
Je me relavai, ôtai mes vêtements et suivis mon homme.
Arrivés dans la chambre Pierre me dit "Allonges-toi sur le
ventre".
J'obéis, il m'écarta les cuisses et commença à me masser le fessier tout en glissant un doigt sur ma raie, ce contact m'électrisa.
Sous ses caresses légères, mon postérieur devint brûlant, j'écartai au maximum les jambes et poussai un soupir de bien-être.
Mon homme éloigna mes fesses l'une de l'autre et enfouit sa tête entres elles, sa langue pointue vint aussitôt ma pastille, je ne pus retenir un râle face à ce baiser lingué qu'il échangeait avec mon anus et auquel je m'abandonnai avec langueur.
Je sentis le désir naître en moi, mon antre s'ouvrait sous ses coups de langue experts, je me cambrais pour m'offrir plus encore à ces attouchements buccaux qui me transportaient au septième ciel.
La langue de mon amant me pénétrait comme un petit phallus, m'arrachant chaque fois des gémissements, j'étais tout à mon plaisir, je me tortillais sur le lit le cul en feu.
Longtemps, Pierre continua à me caresser, me sucer, quand il stoppa j'étais pantelant, tout mon corps frémissait de bonheur, il me fit replier les genoux de telle sorte que je me retrouvai le cul en l'air, je sentis son gland turgescent se poster contre ma corolle et peser dessus, bien qu'ayant été bien ouvert, quand la tête de la queue roide écarta mes chairs je ne pus réprimer un cri de douleur, mon homme m'enfessa avec une lenteur calculée procédant pas de petits coups de reins.
Quand il fut entièrement en moi, il ressortit sa verge et de son bout durci, il commença à m'assouplir le sphincter.
Quelques instants de ce traitement et mon cul s'ouvrit complètement.
Je dis à mon homme "Baise-moi fort, très fort, casse-moi le cul".
Pierre me pointa et d'un violent coup de reins me pénétra me faisant gémir, puis se mit à me posséder lentement.
Ses lents va et vient dans mon canal enflammé achevèrent de me faire perdre pied, je me mis à onduler tendant mon arrière-train vers cette fantastique biroute qui me donnait tant de plaisir, je mordais les draps pour ne pas hurler de jouissance.
Je voulais qu'il me prenne plus fort, qu'il me fasse mal, qu'il me casse le cul, je le suppliai de me défoncer, mais sourd à mes supplications, mon mec continuai de me besogner avec une régularité de métronome. Pour moi seul comptait la bite qui me ramonait le prose, je n'étais plus que jouissance et de ma bouche ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh" continu.
Soudain, mon homme me décula et me retourna, il prit mes jambes et le releva vers mon visage puis d'un coup de reins plongea son superbe pénis au fond de mon trou en fusion et se mit à me limer à une vitesse folle, j'avais rejeté la tête en arrière et tout à mon plaisir, je hurlai sans discontinuer, je sentais la pine raide coulisser en moi sans aucune gène, mais je me dis que s'il continuait à me baiser de la sorte, il allait me déchirer le cul, mais je ne voulais pas qu'il s'arrête, c'était trop bon.
Chaque fois que la virilité s'enfonçait en moi jusqu'à la garde, ma croupe venait à sa rencontre pour accen la pénétration, je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi, mais je voulais qu'il y reste éternellement tant le bien être qu'il me procurait était grand.
Pierre en appui sur mes jambes me pinait avec des "HAN" de bûcheron, le désir avait entièrement pris possession de mon corps, je me tordais sous mon mec comme un damné, ma tête ballottait de gauche à droite et j'avais planté mes ongles dans ses épaules musclées.
Les coups de boutoirs répétés de mon homme me rendaient fou, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
S'enfonçant au plus profond de moi, Pierre explosa en feulant, ses puissants jets de sperme crémeux m'inondèrent le fondement en fusion me déclenchant un orgasme dévastateur, mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis mon derrière vers lui pour accen la pénétration et de ma gorge pulsa un hurlement de jouissance puis je retombai lourdement sur la couche.
Quand je rouvris les yeux, Pierre était allongé à mes côtés et fumait, il me sourit et me demanda "Je t’ai baisé assez
fort ?
- Ça a été extra, tu m’as bien défoncé le cul, j’ai joui
comme une folle.
- Merci, moi aussi j’ai bien joui".
Pendant que nous parlions, je baissai les yeux et vis que le pénis de mon amant se redressait, il finit par reprendre ses dimensions phénoménales.
Alors mon homme me prit par les aisselles et me mit à califourchon sur lui, son priape érigé entra en moi jusqu'à la garde sans aucun effort, quand je sentis les poils follets de ses testicules contre mes fesses, je sus qu'il était en moi entièrement.
Passant ses mains sous mes fesses brûlantes, il se mit à me faire descendre et monter sur sa bite roide.
Pendant cette nuit là, Pierre me prit encore trois fois me faisant jouir superbement à chaque fois, quand nous nous endormîmes repus il était six heures du matin.
A mon réveil, Pierre était déjà parti au travail, j'avais encore un peu mal au cul mais j'étais comblé.
Je me levai, me douchai pour rendre à mon corps une propreté toute suédoise, pris un bain de siège pour faire désenfler mon anus, puis après m'être appliqué quelques compresses, je m'enduis la raie et le trou de baume et allai voir sur l’ordinateur si une réponse était arrivée.
Effectivement une réponse de la clinique était arrivée, le courriel disait qu’il fallait que je me rende là bas pour afin d’avoir un premier entretien avec le professeur qui m’expliquerait tout le cheminement.
En fin de courriel il y avait plusieurs dates qui étaient à ma convenance.
Quand Pierre rentra ce soir, je vis avec lui quelle date lui convenait le mieux et je renvoyais le réponse.
Ce soir j’étais dans un tel état d’excitation qu’il fallut que Pierre se surpasse sexuellement pour me calmer.

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