Damien 77 - La Vie Commune (Suite 6)

Le lendemain une réponse d’acceptation arriva et nous prîmes nos dispositions pour le voyage.
A la date donnée, nous fîmes le voyage en Thaïlande afin d’examiner toutes les possibilités de ma transformation en femme.
Une fois arrivés nous nous retrouvâmes, en début d’après-midi, dans le bureau du praticien qui me dit "Bon alors que voulez
-vous exactement ?
- C’est simple docteur, je veux être opéré afin de devenir
une vraie femme, ce n’est pas simplement l’ablation du
pénis et des testicules mais aussi gommer le maximum de
traces de masculinité.
- Bien je vois, il faut que vous sachiez que ce que vous
demandez n’est pas neutre et va nécessiter un certain
nombre d’opérations.
- J’en suis consciente docteur.
- Je vois que psychologiquement vous avez passé le cap
puisque vous parlez de vous au féminin, et c’est une très
bonne chose. Il faut que vous compreniez aussi que
l’ablation des organes génitaux est irréversible.
- Je le sais docteur et j’appelle de tous mes vœux cette
transformation.
- Bien, il faut aussi que vous sachiez que ce n’est pas
anodin, il y a beaucoup de souffrance avant d’arriver au
but.
- Je m’en doute.
- Il n’y a pas que la chirurgie, il y a aussi les hormones
pour donner à votre corps une féminité qu’il n’a pas au
départ, si vous souhaitez une poitrine, il y a aussi du
travail.
- Bien sur et oui je veux avoir une poitrine.
- Bien….
- Mais docteur….
- Oui ?
- J’ai une question importante, une fois tout terminé, est-ce
que je pourrais faire l’amour normalement, c'est-à-dire
comme une femme avec le vagin que vous m’aurez créé ?
- Bien sur.
- Et est-ce que je ressentirais du plaisir ?
- Oui car nous fabriquons le vagin et le clitoris à partir
des tissus de la verge et des testicules, tissus qui sont
très érogènes, de plus avec les nouvelles techniques on
implante aussi des glandes qui proviennent de votre
appareil sexuel d’aujourd’hui qui vous permettent de
mouiller comme une vraie femme.

La seule chose que vous ne
pourrez pas faire c’est bien sur avoir des s.
- Oui bien sur, je n’en demande pas tant.
- Alors maintenant que ceci est éclairci je vais vous
expliquer ce que nous allons faire et comment cela va se
passer. Vous avez de la chance vous êtes très fins de
traits et vous avez une musculature très fine de même que
l’ossature. Vous n’êtes pas très grand et n’avez pas de
grosses mains ni de gros pieds. Veuillez vous déshabiller".
Je me dévêtis complètement.
Le médecin m’examina longuement me palpant le corps sur toues les coutures.
Il me dit de me rhabiller et retourna s’asseoir derrière son bureau et me dit "Vous avez de très belles jambes musclées
mais pas trop, elles sont bien galbées c’est parfait, vos
fesses sont bien rebondies et fermes, on voir que vous
faites de la gymnastique et vous avez un sexe de bonne
taille.
- C’est important ?
- Oui car comme je vous l’ai dit, c’st à partir de vos tissus
sexuels que nous construirons votre nouveau sexe et si vous
aviez un petit pénis, on ne pourrait pas faire un vagin
très profond, là vous aurez un vagin de femme normale
pouvant accueillir un pénis d’une taille au dessus de la
moyenne.
- heureusement car mon amant est très bien monté.
- Voyons ça, Monsieur voulez-vous baisser votre pantalon et
votre slip que je vois l’engin".
Pierre s’exécuta et le médecin dit "Effectivement, ça me
parait être un sexe au dessus de la moyenne, Pouvez vous
caresser Monsieur afin que je vous vois en érection".
Pierre posa sa main sur son phallus et en peu de temps le membre s’érigea.
Le docteur prit un mètre et mesura la bite de mon amant.
Il retourna s’asseoir et annonça "Effectivement ce n’est pas
rien, 29 cm et 8 de diamètre, mes compliments Monsieur,
vous faites partie de la catégorie des hommes très bien
montés.
Mais sans problème votre vagin acceptera ce membre
et pourra être pilonné par celui-ci.
- C’est merveilleux.
- Bien ce point élucidé, nous allons passer à la suite. Il va
falloir faire un léger remodelage du front et des arcades
sourcilières. Dans votre cas ce sera une simple réduction
de l’os en utilisant une fraise chirurgicale. Je vais vous
dire comment ça se passe. Une anesthésie générale sera
pratiquée. L’opération dure environ 2/3 heures.
Les bandages ou pansements compressifs du visage sont
nécessaires pendant les 1/2 semaines du processus de
guérison.
Il faudra faire aussi une chirurgie de lifting du front et
des sourcils, toujours sous anesthésie générale, la durée
totale de l’opération est de 1h30 à 2 heures. Le port d’un
bandage ou de pansements compressifs faciaux est nécessaire
pendant une semaine pendant le processus de guérison. Les
points vous serons retirés dans les 12-15 jours suivant
votre opération.
Vous aurez temporairement une sensation d’engourdissement
et de démangeaisons du scalp due au trouble des nerfs
sensoriels pendant l’incision. Vous n’aurez pas besoin de
chirurgie de remodelage de l’angle de la mâchoire, ceci est
chez vous déjà très féminins.
Sauf si vous voulez faire retoucher vos paupières, mais
sincèrement je ne pense pas qu’il y en ait besoin, donc il
n’y aura pas de chirurgie des Paupières qui s’appelle une
Blépharoplastie supérieure et inférieure.
Par contre il faudra faire une chirurgie de la trachée,
Pomme d’Adam. Cette opération permettra de réduire et
remodeler la proéminente pomme d’Adam. Cette intervention
dure environ 3/4 d’heure. Pendant les premières 24-48
heures, vous pourrez ressentir quelques gonflements mais ça
passera rapidement.

Voilà pour la première partie, comme vous pouvez le voir,
c’est quelque chose qui va s’étaler dans le temps.
- Concrètement docteur comment ça se passe ?
- Le remodelage du front et des arcades sera la première
intervention.
La chirurgie de lifting du front et des sourcils sera la
deuxième et sera pratiquée deux mois après la première,
quand à la chirurgie de la trachée, Pomme d’Adam, elle sera
pratiquée en même temps que la deuxième.
Ce qui sous entend que tout cela durera un peu plus de deux
mois, bien sur vous n’êtes pas obligé de rester ici, vous
pouvez rentrer chez vous deux semaines après la première
intervention et 15 jours après la deuxième.
- D’accord.
- Pendant ce temps vous aurez bien un programme d’hormones
féminines qui vous permettra de développer votre poitrine.
Sans implants mammaires vous pourrez obtenir une poitrine
de 85 C ce qui est une belle poitrine et qui aura le mérite
de tenir toute seule, maintenant si vous voulez une
poitrine plus importante il faudra passer par une
intervention.
- Qu’en penses-tu chéri ?
- Je pense qu’une poitrine de 85C est très agréable.
- Je suis bien d’accord avec vous Monsieur, venez… au fait
avez-vous choisi un prénom ?
- Oui Line.
- Bien, venez voir Line, je vais vous montrer une poitrine de
85C"
Pierre et moi suivîmes le médecin, il nous montra des poitrines en latex de 85C.
Pierre me dit "Ce sera parfait, ça me va parfaitement".
Nous retournâmes dans le bureau du médecin qui reprit "Sauf
avis contraire de votre part mais il ne me semble pas
essentiel de faire de la chirurgie sur vos fesses, elles me
semblent bien faites".
Pierre répondit "Excusez ma vulgarité docteur, mais moi j’aime
bien son petit cul.
- Et vous avez raison, de plus avec les hormones, les fesses
vont s’arrondir un peu pour avoir a même forme que des
féminines.

- Ce sera parfait comme ça pas de chirurgie des fesses. Hein
ma chérie ?
- Tout à fait d’accord".
Le professeur nous offrit un café et après que nous ayons bu en silence il reprit "Tout ceci n’est que le début,
normalement en plus des opérations dont nous avons parlé,
il faut attendre quatre mois de plus afin que le traitement
hormonal porte ses fruits, ce qui nous amène à environ 7
mois.
C’est à ce moment qu’on peut démarrer la dernière épreuve,
c'est-à-dire l’opération ultime qui vous transformera
complètement et définitivement Line. Je vous avoue que
certaines patientes s’arrêtent là et ne franchissent pas le
pas
- Ce ne sera pas mon cas, j’irai jusqu’au bout. J’ai vraiment
hâte d’y être.
- Bien alors je vais vous expliquer comment cela va se
passer.
Pour réaliser de très bonnes sensations de la partie
sensible, incluant le clitoris, son capuchon et le frein,
des sensations spéciales additionnelles peuvent être
obtenues aux endroits précis entre le frein clitoridien, la
muqueuse urétrale et la labia minora.
Ma technique conservera la sensibilité des nerfs pour
fournir à cette zone les mêmes sensations qu’un clitoris,
son capuchon et son frein.
La sensibilité pourra être ressentie dès le 4 ème jour
après l’opération lorsque le pansement sera retiré.
Pour donner l’apparence d’un organe génital féminin,
j’utilise tout les matériaux à ma disposition pour créer
les plus beaux résultats avec tout les détails comme un
capuchon clitoridien et un frein bien dessiné, la taille,
la forme, l’implantation précise du clitoris tout comme
l’aspect et la forme naturelle de l’ouverture vaginale.
Je fais très attention à modifier l’urètre pour le placer
exactement dans la position anatomique féminine correcte et
de retirer tout le corps spongieux masculin.
Chacun présente une anatomie différente, je prendrai tout
mon temps pour obtenir les meilleurs résultats possible et
la profondeur maximale possible anatomiquement pour chaque
patiente.
Ma technique permet d’obtenir une profondeur vaginale
moyenne de 26 à 30 cms
Bien sur vous allez me dire que tout ça est bien joli mais
comment fait-on ?
Je vais vous détailler chaque étape pour qu’à la fin vous
obteniez un sexe féminin tout à fait vrai.
Ma technique de changement de sexe fournit des résultats
ayant les meilleures caractéristiques anatomiques et
physiologiques réalisée en une procédure unique. Voici
comment je vais procéder en détails pour la reconstruction
de chaque organe génital féminin.
Après avoir procédé à l’ablation du pénis et des
testicules, nous allons commencer par construire le Mont de
Venus.
Je vais vous fabriquer une proéminence au dessus du
capuchon clitoridien qui contient la graisse naturelle
ainsi que les nerfs sensoriels qui véhiculent la
sensibilité au clitoris.
Une fois le Mont de Vénus construit, nous allons nous
occuper du capuchon clitoridien.
Il sera fabriqué avec le prépuce dorsal neurovasculaire et
attaché au neoclitoris.
Une fois le capuchon bien en place, c’est maintenant le
tour du clitoris.
Le clitoris est un organe complexe et spécifique, il est
réalisé avec la partie dorsale du gland du pénis en
préservant intacts tout les nerfs et les vaisseaux
sanguins.
La taille, la position et l’orientation seront à
l’identique d’une femme native.
Vous me suivez ?
- Parfaitement docteur.
- Bien alors continuons, nous allons pouvoir maintenant nous
atteler au bâtissage du frein clitoridien.
Le frein clitoridien est le rabat naturel de la peau du
prépuce qui joint la partie basse du clitoris à la surface
interne des petites lèvres.
Cette zone est sensible elle aussi.
A ce moment nous avons terminé la partie supérieure du sexe
féminin, mais nous sommes encore loin d’avoir terminés.
Il faut commencer à bâtir le vestibule vulvaire.
Le vestibule vulvaire est la partie qui donne accès à
l’orifice urétral et abrite au centre l'orifice vaginal.
Le vestibule vulvaire est très important, c’est la première
partie de la vulve à recevoir la lubrification vaginale
pendant l'excitation sexuelle. C’est la zone la plus
stimulée durant la stimulation digitale, orale et reçoit le
gland pendant la première phase de la pénétration.
Pur construire j’utilise Les tissus sensibles du gland.
Les tissus sont utilisés dans cette zone précise entre le
frein clitoridien et les tissus urétraux.
Nous passons maintenant à la constitution des petites
lèvres.
Ma technique est simple, il suffit d’utiliser, pour la
patie inférieure, les tissus originellement roses du rabat
du prépuce neurovascularisé.
La partie extérieure des petites lèvres est réalisée avec
la peau du pénis.
Nous allons dès à présent nous attaquer à la construction
des grandes lèvres.
Les grandes lèvres seront réalisées avec la peau du
scrotum.
Elles seront construites avant d’utiliser le reste de la
peau pour la greffe vaginale.
Ça va toujours Line ?
- Oui docteur.
- Voulez-vous faire une petite pause.
- Volontiers, je sais ce n’est pas bien mais je voudrais bien
fumer une cigarette.
- J’ai aussi ce vice, allons sur la terrasse. Vous fumez
aussi Monsieur ?
- Oui.
- Suivez-moi"
Nous allâmes sur la terrasse et tout en fumant nous parlâmes de tout et de rien comme de vieux camarades.
Au bout d’un quart d’heure nous redescendîmes dans le bureau du professeur qui me demanda "J’espère que mon discours ne
vous a pas trop ennuyé ?
- Mais pas du tout au contraire, c’est passionnant de savoir
tout ce qui va se passer, je n’aurais jamais cru qu’il y
avait tant d’étapes.
- Vous savez l’opération dure entre 5 heure et 7 heures.
- C’est long !
- Oui mais il y a du travail.
- Je le vois bien.
- Bon alors il nous reste encore trois étapes, il y a d’abord
l’ouverture urétrale, il s’agit de positionner correctement
l’urètre et de retirer le tissu spongieux.
Le tissu urétral en supplément est utilisé pour simuler la
partie inférieure du vestibule vulvaire.
Nous voici arrivé aux deux dernières étapes, il y a
l’ouverture vaginale
Cette zone est réalisée en combinaison de la peau du
périnée et de la peau du pénis. Il faut toujours être très
vigilant sur la taille adéquate, le diamètre d’ouverture,
nécessaire pour les relations sexuelles.
Il ne reste plus qu’à bâtir le vagin.
La paroi vaginale est construite principalement avec une
greffe de peau du scrotum. La surface entière du neovagin
n’a pas de poils car tous les bulbes sont totalement
retirés pendant le processus délicat de préparation de la
greffe de peau.
A partir de ce moment là vous êtes complètement opérée, et
commence un convalescence de trois mois, période où vous
serez suivie par des médecins gynécos. A partir de trois
mois vous êtes une vraie femme et si je peux me permettre
d’être grivois complètement opérationnelle.
- Vous pouvez docteur, vous pouvez.
- Attention par contre, pas de bêtise, pas d’imprudence, pas
de sexe pendant cette période surtout pas dans le vagin. Si
vous faites de l’anal allez y doucement, il faut le temps
que tout cela cicatrise et une bonne cicatrisation c’est la
tranquillité à vie. Je suis très sérieux, j’ai vu trop de
patientes ne pas faire attention et revenir me voir
complètement déchirée. Dans ce cas tout est à refaire mais
jamais bien car on manque de matière première.
- Nous serons sages docteur.
- C’set tout le mal que je vous souhaite.
- Bien merci pour tout.
- Mais ce fut un plaisir, donc demain rendez-vous pour les
examens préopératoires, soyez à jeun. Il faut aussi savoir
qu’il nous faut deux mois pour examiner les résultats des
examens pour que je puisse vous donner mon accord.
- Bien docteur, merci de votre accueil et à demain.
- Il y a une dernière chose. Il me semble que vous pratiquez
l’anal ?
- Bien sur docteur, sinon je ne vois pas comment faire.
- Souvent ?
- Presque tous les jours et plusieurs fois, je suis très
gourmande en matière de sexe.
- C’est très bien de pratiquer le sexe. Puis-je voir votre
anus étant donné les dimensions de Monsieur.
- Sans problème".
Je me déculottai et me penchai en avant, le professeur vint derrière moi, il glissa un doigt entre mes fesses et testa mon œillet.
Celui bien que ferme s’ouvrit sous la caresse et je dus me retenir pour ne pas gémir mais je ne pus m’empêcher de frémir.
Le docteur me dit "Votre anus se porte très bien, il est bien
élastique mais reste quand même ferme. Avez-vous fait
l’amour ce nuit ?
- Oui docteur.
- Bien donc il est vraiment très bien, on voit aussi que vous
adorez ça car un simple attouchement vous fait frémir.
- Je ne voudrais pas vous choquer docteur mais c’est la reine
des baiseuses.
- Vous ne me choquez pas et en passant félicitation pour
votre propreté.
- Merci docteur.
- Bon voilà pendant que je m’occupe de devant, je peux aussi
m’occuper de derrière et rendre à votre anus la fermeté
qu’il avait avant votre première fois.
- Vous pouvez faire ça !
- Oui.
- Mais cela nécessite une période d’abstinence.
- Bien sur mais pas longue, elle correspond au temps que vous
allez passer à la clinique et à l’hôtel en convalescence
post opératoire.
- Ce serait génial, qu’en penses-tu chou ?
- Oh oui.
- Comme ça comme je vais vous faire un hymen devant, vous
pourrez avoir la chance de vous faire dépuceler deux fois
analement.
- Vous allez me construire un hymen ?
- Oui et vous ressentirez la même douleur qu’une vierge à la
défloration, pour l’anal je ne vous dis pas, vous devez
vous en rappeler.
- Oui je m’en souviens. C’est génial, tu voudrais chéri
pouvoir me dépuceler devant et derrière ?
- Bien sur mon ange.
- Bon docteur c’est d’accord.
- Bien donc à demain".
Une fois retournés à l’hôtel, je pris une douche.
Après m’être coiffé et habillé, je revins dans la chambre où Pierre m’attendait.
Il me dit "ça te dirait de visiter un peu la ville avant
d’aller dîner ?
- Si tu veux chéri.
- OK et tout à l’heure je vais bien m’occuper de ton joli
petit cul.
- Miam !".
Nous allâmes visiter le Grand Palais, construit en 1782, c’est est un vaste complexe à la beauté envoutante qui servait de résidence au Roi thaïlandais.
La beauté de l’architecture et la complexité de l’artisanat nous laissèrent ébahis.
Après en avoir pris plein les yeux, nous partîmes rue Kao San.
Un voyage à Bangkok n’est pas complet si on ne se promène pas dans la rue Kao San.
Il y a des innombrables stands aux couleurs chatoyantes vendant toutes sortes de choses aux touristes.
Pour finir nous décidâmes de visiter un temple bouddhiste, nous avons jeté notre dévolu sur le Bouddha d’Emeraude, où nous avons été soufflés par la beauté de l’architecture, les jolis motifs en verre et les décorations dorées véritablement éblouissants.
Avant de rentrer nous allâmes dîner au restaurant Vertigo du Banyan.
Nous y avons dégusté un Pad Thai, c’est un plat de nouilles au poulet avec plein de légumes et des cacahuètes écrasées, c’est délicieux.
Une fois revenus dans notre chambre d’hôtel, Pierre alla prendre une douche tandis que je me démaquillai puis une fois qu’il fut sorti, je le remplaçai dans la salle de bains.
Une fois totalement propre je revins dans la chambre où Pierre m’attendait nu sur le lit.
Il me dit "Allonge-toi à côté de moi sur le ventre".
Je m’exécutai, Pierre se mit à me caresser les fesses et me dit "Mais c’est vrai que tu as un joli petit cul et que je
l’aime.
- Merci.
- Je ne veux pas qu’il change, il est parfait, deux superbes
fesses, une raie que j’adore et une petite pastille dont je
suis amoureux.
- Et que tu vas exploser.
- AH, AH, AH ! Ça oui.
- Et on commence quand ?
- Mais tout de suite ma petite cochonne".
Pierre me renversa sur le dos, m'attira contre lui, ses lèvres écrasèrent les miennes et sa main courut sur mon dos.
J'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et je m'abandonnai à ce baiser enflammé.
Quand Pierre se détacha de moi, j'avais le souffle court et les joues rouge.
Il s'assit sur le lit et écarta les jambes, je compris ce qu'il voulait, je vins m'agenouiller devant lui et commençai à caresser le pénis érigé.
Celui-ci réagit aussitôt, il grandit encore, l'entourant de mes doigts je me mis à le masturber lentement.
Au bout de quelques instants de ce traitement, Pierre qui avait fermé les yeux tendait son ventre vers moi, j'arrêtai mes attouchements manuels, penchai ma tête vers ce magnifique priape et du bout de la langue, je me mis à lécher le gland turgescent, mon amant laissa échapper un gémissement, ouvrant tout grand la bouche j'enfournai l'objet de ma dévotion et commençai à monter et descendre dessus.
Je sentais le priape palpiter sous mes attouchements lingués.
Je suçai cette merveilleuse pine pendant une demi-heure m'arrêtant chaque fois que je sentais les prémices de l'explosion, mais mon mec n'y tenant plus, prit ma tête entre ses mains et l'immobilisa et se mit à donner des coups de reins violents se servant de ma bouche comme d'un cul.
Soudain plaquant mon visage contre son pubis, il éjacula en râlant, une énorme giclée de foutre pulsa au fond de ma gorge que j’avalais avec délice et je continuais à flatter la bite qui tressautait dans ma bouche.
Quand Pierre me relâcha, il me dit "Tu suces vraiment comme
une déesse".
Il m'enlaça et posant délicatement ses lèvres sur les miennes, il se mit à me lécher le visage pendant que ses mains courraient sur mon corps, des ondes de désir commençaient à monter en moi.
Après m'avoir ôté ma chemisette, Pierre m'avait pris dans ses bras et déposé sur le lit à plat ventre, me massant la nuque ainsi que les épaules.
Une fois qu'il m'eut bien décontracté, il me retourna et me caressa les seins tout en me pinçant les tétons, tous ces attouchements conjugués me basculèrent dans une douce langueur, je frémis.
Pierre, se pencha sur moi, et se mit à me lécher le nombril, un gémissement échappa de ma gorge, puis il me retourna délicatement et sa langue se posant dans mon cou, commença à descendre sur mon dos le long de ma colonne vertébrale, sous l'effet de ces caresses, je me tortillai doucement sur la couche plongeant de plus en plus dans le désir, c'est là que je me rendis compte que je planais déjà alors que Pierre n'avait pas encore touché à mon cul.
Longtemps l'homme ne pratiqua sur moi que des attouchements buccaux et manuels, les yeux clos, je savourais ce bien-être tour en râlant.
Jugeant que j'étais à point, Pierre arrêta, ses mains se posèrent sur mes fesses et entreprirent de les masser, au bout de quelques instants de ce traitement, j'avais le fessier brûlant mon amant écarta mes miches et une langue pointue s'insinua dans ma raie, à ce contact mon anus s'ouvrit légèrement et la langue inquisitrice me pénétra, je gémis.
Patiemment, Pierre m'ouvrit complètement le cul, sa langue râpeuse allait et venait sur ma corolle, je me sentis fondre, j'étais totalement en transe je voulais qu'il me baise et je lui dis "aaaahh je t'en supplie encules-moi ahhh.
- Pas tout de suite, un peu de patience, tu jouiras encore
plus.
- Noonnn, je veux ta bite tout de suite, je veux qu'elle me
casse le cul.
- C'est lui que tu veux. Hein ?
- Oh oui, qu'il est beau.
- Tu l'auras, mais tout à l'heure".
Pierre continua à me travailler le trou jusqu'au moment où ne tenant plus, je me mis à onduler au rythme de trois de ses doigts qui me possédaient, jamais mon amant ne m'avait préparé comme ça, je n'étais plus que frémissements, ma tête rejetée en arrière ballottait de droite à gauche.
Mon mec me mit sur le dos et s'agenouilla entre mes cuisses.
Avec un sourire il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il m'approcha de lui jusqu'à ce que le formidable pénis bute contre mes fesses, il les écarta et posta son priape contre l'orée de mon canal et lentement me pénétra.
L'intromission dura un temps infini, mais jamais, je ne ressentis la moindre douleur, quand enfin Pierre fut tout en moi, mon cul était rempli comme toujours avec mon homme.
Me prenant par les cuisses, mon homme commença à me besogner doucement, sentir ce monstrueux membre coulisser dans mon tunnel après les prémices que j'avais subi je me sentis partir, je basculai totalement dans un univers où seul le plaisir comptait, j'allai à la rencontre de ses coups de boutoir pour être sur que toute la hampe entre en moi, la verge érigée sortait presque entièrement de ma grotte et replongeait lentement jusqu'au tréfonds de mon cul en fusion.
De temps en temps, Pierre sortait totalement sa pine de moi et me caressait tout le long de la raie puis me renfilait d'un grand coup de reins.
J'avais perdu toute notion des choses, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me forait les reins, je voulais qu'il reste fiché indéfiniment entre mes fesses, je me tordais comme un damné sous ses coups de queue qui me portaient au septième ciel et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Mais sourd à mes supplications, Pierre continuait à me posséder avec une régularité de métronome, je sentis une boule monter vers ma gorge, l'air me manqua et un sublime orgasme me balaya, j'ouvris la bouche et un hurlement strident pulsa de ma gorge "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh", mon corps se tendit comme un arc, je griffais les draps et tendais mon cul vers cette merveilleuse pine qui me donnait autant de plaisir me ramonant le rectum puis je retombais lourdement sur la couche perdant connaissance.
Quand je revins à moi, Pierre me besognait toujours en de larges coups de bite, des gouttes de sueur perlaient de son front, le plaisir qu'il prenait devait être grand vu les grimaces qu'il faisait pour ne pas exploser.
Peu à peu, sous les assauts répétés de cette hampe virile, le désir remonta en moi, mon amant se baissa et me prenant aux aisselles me ramena vers son torse.
Il se leva, je nouai mes bras autour de son cou et enserrai sa taille de mes jambes.
Debout au milieu de la pièce, mon homme se mit à me pilonner l'anus à grands coups de reins.
Mon trou du cul était complètement éclaté, mon amant me tringlait si fort que j’avais l’impression qu’il allait me déchirer le cul mais que c'était bon.
J'étais tel un pantin désarticulé, tressautant au rythme de la possession.
J’avais planté mes ongles dans le dos de mon homme et je hurlai mon plaisir sans discontinuer "aaaaaahhhhh ahhhhhhhhh
aaaaaaahhh aaaaaahhhhhhhhhhhhhhh aaaaaaaahhhhhhh ahhhhhhh".
Pierre allai me reposa au bord du lit, il ramena mes jambes vers ma tête.
Il se remit à me défoncer à une vitesse folle.
Mon intimité s'était encore agrandie, je sentais le superbe priape sortir et se planter au plus profond de mes entrailles.
Le ventre musclé de Pierre claquait contre mon fessier en ébullition à me faire mal.
Sous ses coups de boutoirs violents, je me tordais comme un damné sous mon amant la tête ballottant de droite à gauche.
J'avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer.
Pierre s'enfonçant au fond de mon cul éjacula en feulant, une formidable giclée de foutre crémeux m'inonda le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur, je hurlais de jouissance et sombrai dans l'univers cotonneux du plaisir, je sentis le pénis encore dur de Pierre quitter mon antre et je restai allongé sur le lit les yeux clos, cuisses écartées, écoutant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je refis surface, Pierre était allongé à mes côtés, il fumait une cigarette, je lui souris et il me dit "Tu es la
reine des baiseuses, ton cul est un vrai joyau.
- Merci et moi je suis monté au septième ciel.
- Oh oui je m’en suis aperçu, te voir jouir est fabuleux.
- Merci.
- Il n’y a pas de merci qui tienne ma puce".
Pierre me prit encore plusieurs fois cette nuit là me faisant jouir somptueusement.

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