Délices Glacés

Délices Glacés

Histoire Fictive, Fantasme à réaliser. (Histoire quelque peu longue, mais les détails ont leurs importances.)

Paris, les beaux jours se font rares avec la rentrée. Tant pis, les souvenirs des vacances en Guadeloupe réchaufferont son cœur. Pour le décrire, il n’est ni beau, ni laid, mais son regard marron foncé pétille derrière ses lunettes carrées. Il porte ses cheveux en chignon strict, son corps est athlétique des années de natation et de judo pratiquées. Sa peau quant à elle rappelle le chocolat au lait.
Cours de chimie, le professeur souhaite un exposé rendu par groupe de deux sur les différents moyens de catalyse utilisés par l’Homme. Il se mettra avec une jeune fille avec qui il a sympathisé quelques jours auparavant. Rendez-vous est pris pour le mercredi après-midi à la bibliothèque universitaire. Oh j’oubliais, elle est rousse, avec des yeux verts, et il mentirait s’il disait qu’il n’avait pas de vues sur elle. 1mètre 70, mince mais des fesses attirantes, une poitrine ferme : un joli 85C. Son esprit divague dans le métro en rentrant chez lui. Il pense à de nombreux jeux sur le corps de son amie. Il est joueur, curieux, et toujours prompt à essayer diverses positions et lieux insolites pour faire l’amour. L’arrivée de la rame à destination le tire de sa rêverie.

Le jour arrivé, un problème à la bibliothèque changera leurs plans ; ils iront chez elle. Sur place, il découvre la mère de son amie : une copie conforme de sa fille, si ce n’est plus de formes, et un peu plus petite. Le pantalon et la chemise laissent facilement deviner les trésors que détient cette femme, sans oublier le frottement du tissu qui fait pointer deux tétons de belles tailles.
Installés dans le salon, après 4heures de travail, le jeune homme envisage de rentrer chez lui, mais un délicieux fumet de saumon, et les demandes incessantes des deux femmes font qu’il restera diner. Quand son amie se lève pour partir, il est gêné de devoir rester prendre le dessert seule avec sa mère.


-Elle ne mord pas, même si elle est très protectrice avec sa fille. Et vu que je n’aime pas le nougat, tu prendras mas part de glace. Mes amies m’attendent !
Il obtempère, mais cherche à partir au plus vite. Il n’est pas timide, mais il a l’impression que cette femme le lit. En se faisant raccompagner à la porte, il lui serre la main et se prépare à prendre congé, mais un regard vers le décolleté légèrement entrouvert, et ce regard vert qui donne envie de s’y perdre déclenche un truc chez lui.

Ses lèvres foncent vers celle de la mère de son amie, et il commence à l’embrasser fougueusement. Ses mains caressent ses fesses, défont le chemisier, il lui baise le cou. La porte se referme derrière lui, elle l’attire sur la table du salon où trône encore une coupe pleine de glace. Il la soulève et la pose dessus, puis s’arrête.
-Pardon, je n’aurais pas dû...
-Qui t’as dit d’arrêter ?
Le ton est sensuel, mais autoritaire. Elle se retrouve rapidement nue, ses tétons en train de se faire sucer avec insistance. Une idée lui vient quand elle tourne la tête sur le côté. De la glace fondu, mais encore froide lui coule sur les seins, les lèvres, que le jeune antillais s’empresse de lécher. Coquine, elle pousse un peu le vice, en s’en mettant sur le nombril. Quelques gouttes finissent par lui descendre sur le pubis.
-Eh bien alors, tu ne veux plus de glace ? Il m’en reste sur la chatte…
Elle l’excite au plus haut point ! Il ne se fait pas prier pour lécher la trainée de crème glacée, et arrive sur les grandes lèvres. Sa langue froide réveille des sensations oubliées chez sa partenaire : son divorce trois ans plutôt l’avait quelques peu déçu des hommes. Le clitoris bourgeonnant demande sa part d’attention, et il se fait lécher, sucer et aspirer tantôt délicatement, tantôt avec fougue.
- Baise-moi !
- je n’ai pas de capote.
-Quoi ? Et comment aurais-tu fait l’amour à ma fille si je n’étais pas là ?
-Je n’en avais pas l’intention…
-Ne me mens pas ! Continue à me sucer !
Elle imprime son ordre en saisissant ses cheveux et lui colle le visage à son sexe.
Il se fait dominer par cette femme, mais il y prend gout : être son jouet sexuel d’un moment lui plait, et il n’attend qu’un ordre pour commencer à la baiser !
Mon dieu, elle avait perdu l’idée de jouir sous les assauts d’une langue agile et énergique. Quand les spasmes de son orgasme se font ressentir, son clitoris se retrouve aspirer dans la chaleur de sa bouche. Il sait faire jouir une femme se dit-elle, voyons ce qu’il y a dans le pantalon. Elle lui dit de s’asseoir sur la table, et allonge son torse sur la nappe. Elle commence à jouer avec ses muscles, le creux des abdos, ses pectoraux : tout y passe. Inéluctablement, elle arrive à la bosse de son pantalon, et découvre avec plaisir un sexe de belle taille, tout en érection.
-Quel bel engin !
En versant de la crème glacée dessus, elle le saisit en bouche et entreprend de la nettoyer. Sa langue s’attarde sur le gland, puis sur la tige, et n’y tenant plus, elle lui monte dessus.
-Attendez !
-Quoi, si c’est la peur que je tombe enceinte, je prends la pilule !
-Oui mais…
-Ne me parle pas de maladie, je suis clean ! Et je doute qu’un aussi beau jeune homme que toi aille tremper sa bite n’importe où ! Baise-moi et ferme là !
Elle lui colle son pied sur la bouche, qu’il entreprend de lécher. Il gobe ses orteils, les suce pendant qu’il se fait chevaucher. Il a l’impression d’avoir une vraie tigresse. Elle se déchaine, agite son bassin sur lui, ses seins ballotant de haut en bas. Sa mouille est abondante, elle lui coule sur les boules et le pubis, la base de son pénis est entourée d’une crème blanche. Las, elle se couche sur la table et lui ordonne de la pénétrer. Il la fourre avec puissance, le claquement des corps s’unissant retentit dans la cuisine ; ce faisant, il ne cesse de lui lécher les pieds, les seins, embrassant ses lèvres et son cou de temps à autre. Elle veut être prise en levrette, se retourne et tient la table tant les coups de boutoir sont violent.
Elle jouit comme une folle.
Jamais elle n’avait imposé ses volontés à un homme, et il lui faisait tant de bien que sa cyprine ne cessait de couler sur la table. 3 années durant lesquels seuls des godes en plastique l’avaient fait connaitre un ersatz d’orgasme, et là, ce pieu de chair lui en offrait plusieurs. D’ailleurs les râles de son male soumis lui parvenaient entre ses cris :
-Je jouis !
-Je veux te goutter !
Il sortit en elle et s’enfonça dans la gorge de sa partenaire. Son sperme épais et chaud se déverse dans sa gorge. Elle le nettoiera jusqu’à la dernière goutte et le plante pour aller dans la salle de bain.
Il venait de se faire dominer sexuellement par une femme, et cela ne lui avait pas déplu. Pour une première fois, lécher un pied ne lui avait pas déplu, et il lui restait un sentiment de travail inachevé sur la conscience. Disons-le clairement : malgré son éjaculation, il bandait ferme toujours. Il se rendit dans la salle de bain et s’approcha de la mère de son amie :
-Tu devrais rentrer, ta famille va commencer à s’inquiéter.
-Non, ça ira pour ça, j’ai prévenu mon oncle.
-Très bien, je t’ai mis une serviette là, si tu veux te doucher.
Elle avait dit cela en remettant son chemisier, les fesses encore nues. Il s’approcha d’elle par derrière, lui collant son sexe dans le dos.
-Ce sera tout pour ce soir, jeune homme.
Il n’en avait cure : empoignant un sein dans la main gauche, la droite branlant son clitoris, et il mordillait son cou. Il se baissa pour lui lécher la chatte, et se faisant, pénétra son anus d’un doigt, puis deux. Après l’avoir lubrifier d’un mélange de salive de de cyprine, il la pénétra avec douceur dans le cul.
Ce jeune homme était plein de surprise, et quand elle sentit son sexe pénétrer son anus, elle s’agrippa au lavabo. Encore des sensations oubliées… S’il se fit doux au départ, il enchaina sur un rythme élevé et maintenu suffisamment longtemps pour la faire jouir une autre fois. Il la retourna, lui fit passer ses bras autour du coup, et tenant ses jambes, il lui fit découvrir un septième ciel ! De ses bras il lui imprima un va et vient terrible mais jouissif, la faisant sauter sur toute la longueur des 20cm de son sexe.
Des cris de jouissances communs s’élevaient dans la salle de bains, et il finit par se vider dans ses intestins. Il resta en elle le temps de retrouver son souffle, puis les deux amants se séparèrent.
Elle avait les jambes faibles, à cause de tous les orgasmes qu’elle avait eus. Le laissant prendre sa douche, elle arrangea la cuisine, et quand vint son départ :
-J’espère que tu viendras souvent diner à la maison.
-Je n’y manquerais pas, c’était délicieux, surtout le dessert.
-Je n’en doute pas. Et pour ma fille, pas un mot, je n’aimerais pas qu’elle me haïsse parce que son copain m’aura baisé avant elle.
-Je vous ai dit que ce n’était pas mon intention.
-Certes, mais moi je te le demande, baise là. Elle a pris l’habitude de me prendre mes vibromasseurs, et à son âge, ce n’est pas normal.

*Suite à venir*
Un autre fantasme à réaliser, sur Paris ! Si des lectrices intéresser, m’envoyer un mail. See ya !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!