Julie Et La Caméra

Julie a des envies de changement. C’est dans la norme pour elle : avoir des idées nouvelles. Un soir, nous faisions l’amour comme souvent. C’est elle qui me l’avaient demandé sans que j’en aie un besoin pressant. Elle allait jouir quand elle arrête tout :
- J’aimerai que tu me filmes quand je baise avec un autre.
- Comment ça ?
- Avec la caméra.
- Crétine comment tu veux baiser un autre ?
- Comme avec toi sauf que tu regarderas
- Et si je veux participer ?
- Non, tu te masturberas.
- Baises moi encore.
Je n’étonne toujours de la capacité de Julie de charger de conversation. Qu’elle veuille baiser un autre même si ça ne me conviens pas trop, je comprends. La filmer, pourquoi pas je l’ai bien fait pendant qu’elle se masturbait avec un gode dans chaque trou. Mais pourquoi ne pas participer à sa fête de baise. Et puis le temps passe sans que rien de nouveau n’arrive. Sauf qu’un de ses vieux copains, avec lequel elle n’a jamais baisé, si ou enlève deux ou trois touches pipi, est rencontré opportunément. Bien sûr invitation à la maison, préparation d’un repas plus élaboré.
En plein repas, elle recommence :
- J’ai demandé à Yves de nous filmer quand nous ferons l’amour après le repas.
- Mais je ne t’ai pas demande de te baiser.
- Si tu me baiseras, j’en ai envie. Ne dis pas que je ne te plais pas assez.
- Si tu me plais bien
- Alors tu me baiseras, j’en ai envie, j’ai envie de toi. Tu dois bien lécher. Je voudrais lécher ta bite et manger ta sauce.
Elle se lève, se mets nue, dessert la table, range tout, fait la vaisselle, toujours nue. Nous pouvons voir ses seins remuer comme elle. Julie est excitante. Je commence à bander. Je regarde la braguette du copain André. Il est comme moi, il bande. Elle finit la vaisselle pour enfin exciter celui qu’elle désire. Elle vient derrière lui, l’embrasse dans le cou, passe ses bras sur sa poitrine, descends sa main tout en bas, vers la queue.

Elle le lui masse avant de la sortir complétement. Elle n’est pas déçue, il a un beau morceau, plus gros et long que le mien. Le prépuce descendu le gland est un peu rougeoyant.
Julie lui fait tourner la chaise pour qu’il soit bien placé. Elle s’agenouille devant la pine. Je vois mieux l’ensemble. Elle lui mange avec appétit le bout de la queue : elle lèche le gland en allant de bout, au bord et surtout au frein. André se laisse faire. Julie suce normalement fort bien. Mais là elle agit pour son plaisir à elle. C’est érotique de la voir tenir la bite dans une main, ses lèvres autour de la pine. Elle vient sur les genoux. Elle écarte bien les cuisses. C’est elle seul qui vient à la recherche du morceau de viande qu’elle veut dans son vagin. Elle arrive au but. André, bien qu’il prétende le contraire est heureux d’être ainsi baisé devant moi. Elle pousse pour qu’il entre au fond. Quand tout est dedans, elle commence sa danse du ventre. Elle passe sa main droite entre son corps et celui d’André. Elle fait ce qu’elle aime : se masturber en baisant.
Ses gémissements de baise sont forts, très fort assez en tout cas pour alerter tout le voisinage. Elle s’en fiche totalement. Elle se fait mettre, elle se donne du plaisir, elle gémit, c’est normal : il faut la prendre comme elle est. Puis
- Yves où est la caméra.
- Je ne l’ai pas sortie.
- Filme moi, filme nous pendant que je me fais mettre, vite avant que je jouisse.
Bon. Elle le veut, j’ai la caméra en main. Ce que je vois dans le viseur, une femme sur les genoux d’un homme, qui la baise avec vigueur. Je dois avoir la queue dehors, elle doit même être brinquebalante. Je filme tout, l’ensemble et les détails : la queue qui entre ; le con qui s’ouvre, les fesses de ma femme vue par l’arrière. Je filme son visage défiguré comme celui d’une femme qui prend un plaisir monstrueux. Je filme la queue sortie qui déverse son sperme sur le ventre de ma femme.
Elle se lève, laisse tomber son amant et sa queue.

- Tu veux baiser ?
- Bien sûr que je veux jouir.
- Alors prends mon cul.
Prendre le cul de Julie est une récompense et pour elle et pour moi, surtout pour elle. Je passe la caméra à André. Elle me veut assis. Je suis sur une chaise, les fesses au bord. Julie vient vers moi : elle me met en forme par sa bouche autour de mon morceau. Ses lèvres sont douces, presque trop. Elle m’oublie pour enfin venir poser ses fesses sur moi. Elle n’écarte qu’à peine les globes. Sa main prend la bite, la branle un peu pour la mettre juste sur son entrée de derrière. Son trou se déplie quand elle s’assoit puis je sens l’entier morceau entrer facilement dans son anus qui me connait fort bien. C’est elle qui règle la cadence selon son bon vouloir.
Je sens le membre entrer, se dilater à l’intérieur de sa capsule, de son rectum. Elle serre les muscles du cul pour mieux me sentir, elle risque de me faire jouir. Julie remonte, sort presque la pine. Elle se fait encore enculer le temps qu’il lui faut pour jouir deux fois et moi, hélas, une seule fois, mas ne fois formidablement inoubliable.
Le soir même il faut revoir le film. Un ramassis de mauvaises images, sauf quand je l’encule. Il nous faut recommencer cette sodommie. Elle aime presque autant l’avoir dans le cul que devant.

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