Leslie Hs16

Leslie HS16 – Hors-série – Petite aventure avec un couple, dont la femme est la collègue de Laure

J’ai accepté de recevoir avec Laure une collègue de boulot, Mireille, elle vit en couple et Laure l’a invité pour diner, cela ne nous arrivent pas souvent de recevoir des collègues de travail et faire ce genre d’invitation, mêlant notre vie intime et le boulot, mais depuis que Laure me parle de sa collègue, j’ai bien senti qu’il fallait que j’accepte de la recevoir, avec son homme bien sûr.

Elle est agréable et lui est bel homme, pendant le repas, je m’éclipse de temps à autre pour venir aider Laure à la cuisine, puis reviens malgré moi rejoindre nos invité et faire la conversation en l’absence de Laure. Ils n’ont pas d’s et nous sommes donc juste tous les quatre.
Alors que le repas tire à sa fin, Laure nous propose de nous installer dans les canapés. Le repas a été un peu arrosé et je nous sens tous un peu embrumés.
Mireille propose alors à Bertrand de rentrer, mais elle se laisse convaincre par Laure qui lui dit :
- Vous avez le temps et avec l’alcool, il vaut mieux attendre un peu, ce serait trop bête de vous faire contrôler par les flics.
Profitant d’un bâillement incontrôlé de Bertrand, Mireille renchérit :
- Non, on va y aller, Bertrand est fatigué…
- Je vais faire un petit somme dans le canapé, dit Bertrand, après je serais en pleine forme.
- Bon, moi je vais faire du café, dit Laure et si vous le voulez, vous pouvez dormir là, il y a de la place.
- Moi je veux bien un café, dis-je.
- Je t’en prépare un, dis Laure, d’autres amateurs ?
- Oui moi, dis Mireille…
- Bon j’y vais, dit Laure, tu peux débarrasser Leslie chérie ?
Je regarde Bertrand en train de s’assoupir, et commence à débarrasser, puis j’arrive à la cuisine, les bras encombrés d’assiettes et couverts…
Je range les couverts sales directement dans le lave-vaisselle tandis que Laure se débat avec la machine à café, puis elle me dit :
- Pendant que le café coule, je vais faire visiter l’appartement à Mireille.


- Ok, dis-je, à tout de suite ma chérie.

Je suis toujours penchée sur le lave-vaisselle, presque la tête dedans à essayer de récupérer une petite cuillère tombée au fond quand je sens une main se poser sur le haut de ma cuisse. Il faut dire que compte tenu de la longueur de ma jupe et de ma position, mes cuisses doivent être très découvertes.
Est-ce une certaine griserie, car j’ai pas mal participé à la consommation de vin, toujours est-il que je ne bouge pas. La main remonte ma cuisse et termine sous ma jupe sur mes fesses. Enfin, je reprends mes esprits tente de me redresser.
- Bertrand, arrêtez, que faites-vous ?
Ma voix se voudrait plus ferme qu’elle ne l’est et Bertrand me maintient contre le lave-vaisselle.
- Chut, ne fais pas l’idiote, tu vas ameuter le quartier et puis je suis désolé mais tu es trop excitante…
Paniquée par la situation, je me relève appréciant malgré tout le compliment.
- Laissez-moi s’il vous plaît, lui-dis-je une fois relevée.
L’alcool ingurgité me fait de l’effet. J’ai du mal à reprendre mes esprits, et je regarde Bertrand dans les yeux.
Est-ce une impression ? Je sens que l’atmosphère s’est quelque peu électrisée. Puis je lis dans les yeux de Bertrand qu’il vient de prendre une décision. Effectivement il se colle à moi et m’enlace pour m’embrasser fougueusement. Je le repousse un peu, mais sans grande conviction et le laisse faire et me surprends même à répondre à son baiser.

Je sens ses mains qui descendent sur mes fesses, qui relèvent ma jupe et il me masse fiévreusement les fesses. Ce n’est pas désagréable et pour tout dire assez excitant… Pour ne pas être de reste, je glisse une main entre nos corps serrés et me lance à la découverte de son sexe que je sens, déjà bandé, au travers de l’étoffe fine de son pantalon.
Le sexe que je palpe maintenant me semble d’une taille très convenable et en tous cas, il bande ferme. Notre baiser se prolonge et en tentant d’abaisser mon string, il entre en contact avec mon sexe, bandé lui aussi, et s’exclame :
- Mais…
- Chut, dis-je, c’est une belle surprise, non ?
- Alors là…
La surprise de Bertrand, me met dans un état d’excitation que j’aurais peine à décrire, toujours est-il que je bande et que sa main tient mon membre, fait qu’il ne refuse pas se tenir un sexe bandé dans sa main.

Sans lui laissé le temps de réfléchir et de se dérober, de mon côté, j’ai tiré vers le bas le zip de sa braguette et ma main s’étant glissée dans son slip, j’ai sous mes doigts une colonne de chair, chaude et dure dont la taille dépasse mes espérances.
Ses mains sont remontées sur mes hanches et inconsciemment ou insidieusement, il pèse dessus pour m’inciter à me mettre à genoux devant lui, je comprends son désir, mais je résiste un peu pour voir si il est dans la disposition de se faire sucer par une transexuelle et s’engager dans une relation où il pourrait se retrouver avec un sexe dans son cul.
Mais il insiste et je sens qu’il doit avoir l’habitude de se faire sucer par des bouches autres que celles appartenant à des femmes, alors je me laisse enfin glisser et me retrouve avec sa queue face à mon visage, elle est belle, tendue, vigoureuse.
Aussitôt il la présente devant ma bouche qui s’ouvre presque instinctivement.

Au moment où je l’engloutis je le sens pousser un soupir d’aise…
Ma langue tourne autour de son gland, mes lèvres accentuent leur pression autour de sa verge et je mets à l’enfoncer le plus loin possible dans ma gorge. Nous ne nous connaissons qu’à peine et sans doute me prend-il pour une sacré salope qui ne pense qu’à se faire enculée, je n’ai pas honte, je suis simplement maintenant dans mon plaisir.
Alors soudain je me relève et dit :
- Arrêtez, elles vont nous surprendre…
- T’in quiètes pas, ma dit-il, elles doivent être trop occupées pour cela, je connais Mireille, c’est une vicieuse.
Veux-i le me faire comprendre qu’Mireille est Laure sont en train de se gouiner, pour toute réponse il m’enlace et se colle à moi, je sens sa queue contre mes cuisses et il me retourne pour me plaquer contre le lave-vaisselle, le buste à plat sur le haut, il est collé à moi et s’aidant de la main, après avoir retroussé ma jupe, il pointe son membre contre mon anus, tâtonne un instant et s’engouffre avec facilité dans mon cul.

Je me mords les lèvres pour ne pas crier de douleur, il est épais le salaud et me vrille le cul de son membre, puis il s’est agrippé à mes hanches et s’efforce de me pénétrer toujours un peu plus loin à chacun de ses coups de boutoir. Son halètement s’est amplifié et je me mords la paume d’une main pour ne pas crier.
Soudain je sens Bertrand qui s’immobilise, il m’agrippe les cheveux et m’oblige à relever la tête. Il approche la sienne et me murmure :
- T’es une sacrée salope !
- Et toi un beau dégueulasse !
Il me fait taire en donnant un violent d’un coup de reins qui m’oblige à lâcher malgré moi un gémissement de plaisir.
- Alors t’apprécie, maintenant ?
- Ohhh, oui !
Bertrand reprend alors ses va-et-vient, à un rythme plus lent mais plus langoureux, maintenant je m’offre à ce salaud qui m’attire pourtant…
Mais il a certainement des idées pour la suite de la soirée, car in sort de mon cul avant de jouir, se rajuste et sort de la cuisine en disant :
- A tout de suite, chère Leslie !
Je retourne peu de temps après dans le salon et vais m’asseoir dans un fauteuil en face de lui, il me sourit et me regarde d’un air satisfait en disant :
- La soirée ne fait que commencer !

La voix de Laure se fait entendre quand elles apparaissent avec Mireille dans le salon :
Nous avons préparé le lit de la chambre d’amis et j’ai montré nos albums photos à Mireille.
A la mine radieuse de Laure, je me doute qu’elles n’ont pas fait que le lit et ont certainement profitées de ces instants pour se gouiner ; si c’est le cas, la soirée va certainement se terminer en partie carrée, d’autant qu’Mireille rajoute :
- Tu es très belle sur les photos Leslie, et certaines te mettent très en valeur.
J’ai compris, Laure lui à montrer notre album intime et nul doute que Mireille connait ma singularité physique, sacrée Laure, elle ne manquera jamais une occasion de faire une soirée sexe…
Mireille est vêtue d’une robe de chambre de Laure, avec une ceinture nouée à ta taille, elle se place debout assise près de Bertrand sur l’accoudoir du canapé.
L’échancrure de la robe de chambre laisse presque échapper un de ses seins, et les pans sont largement ouverts sur ses cuisses, elle doit être certainement nue dessous.
Laure pour sa part a passé un kimono, elle va à la cuisine et revient avec le café, elle nous sert et nous le buvons en silence en nous regardant du coin de l’œil…

A un certain moment, je vois Bertrand glisser sa main entre les pans de la robe de chambre de chambre d’Mireille et remonter vers la fourche de ses cuisses. Mireille se trémousse alors que la main vient probablement d’atteindre son sexe, elle est face à moi et remarque qu’effectivement elle est nue sous son peignoir.
- Arrête mon chéri, dit Mireille, Leslie n’est certainement pas prête…
- Et alors ? Dit Bertrand.
Je ne respire plus, j’ai l’impression que mon cœur va s’arrêter, vat-il dire qu’il vient de me sodomiser debout dans la cuisine.
Maintenant la robe de chambre de Mireille est largement ouverte sur sa nudité et je peux apercevoir sa petite poitrine et son ventre légèrement bombé et son pubis complètement épilé.
Mireille regarde son mari d’un air inquisiteur, et quant à moi, j’attends rn regardant Laure qui me sourit d’un air complice.
- Je l’ai sodomisé dans la cuisine, pendant que tu gouinais avec Laure, en plus, tu as de la concurrence, elle suce comme une reine, dit Bertrand.
- Tu déconnes ? Dit Mireille.
- Demandes-lui si je mens !
Elle tourne son regard vers moi qui ne bouge pas, s’approche et glisse à son tour sa main sous ma jupe, sa main effleure mon sexe et trouve mon anus encore entrouvert, une caresse directe pour vérifier.
Devant la réalité de la chose, elle s’exclame :
- Ca alors…Dit-elle.

La soirée s’est immédiatement accélérée, Laure est venue sucer Bertrand, tandis que Mireille s’attaquait à mon sexe, très vite nous sommes devenus tous les quatre excitées, Je me suis mise à prendre Mireille comme une folle tandis que Bertrand, derrière moi, me sodomisait à nouveau.
Laure s’est absentée un instant et est revenue harnachée d’un gode ceinture et a été directement sodomisée Bertrand en lui disant :
- Que t’encule ma copine, soit, mais tout doit-être partagée, Bertrand se laissa sodomisé.
Nous avons changé plusieurs fois de position et durant toute la soirée nous n’avons fait que baiser et sodomiser, à quatre heures du matin, nous avons été nous coucher, nos trous du cul bien ouverts par les pénétrations reçues.

Ils sont restés chez nous le lendemain nous avons recommencés…

A suivre…

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