De L'Épistolaire Au Réel... De Passionnée À Soumise...

Après cet épisode tendrement amoureux, nous avions elle et moi une impatiente envie de recommencer le plus vite possible…

Nous nous sommes retrouvés sur MSN en continuant d’échanger des mots tendres et de petits scénario forts forts excitants…

De plus en plus souvent, c’était des histoires où elle m’était soumise … de plus en plus soumise… des histoires, où elle cédait de plus en plus de terrain sur ses tabous, ses interdits. Des songes, où elle offrait son corps à mes fantasmes, mes envies qui voulaient refouler ses inhibitions au point qu’elle accepterait ce qu’elle avait refusé à ces autres partenaires… Je la sentais prête à franchir ce pas qui la séparait de l’inconnu et qui la conduirait peut-être encore plus loin sur le chemin d’une complète libération sexuelle.

A quelque temps de là, nous convînmes d’un autre rendez vous et je repartais la retrouver dans une chambre d’hôtel, au Nord équatorial de notre tendresse qui devenait de plus en plus réel… palpable devrais-je dire.

J’arrivais le premier déjà follement impatient. Elle gratta la porte quelques minutes après. J’ouvris et la pris dans mes bras pour un long et fougueux baiser.

Fébrilement je lui enlevais la ceinture de son jean pendant qu’elle faisait céder la mienne Nous faisions les mêmes gestes en miroir… un miroir déshabilleur comme le poker mais en moins risqué et bien plus agréable.

Enfin nus, nous prîmes le lit d’assaut en long baisers où nos langues s’emmêlaient tendrement tandis que nos doigts curieux, repartaient à la re-découverte de nos corps.

Elle empoignait ma virilité, me branlait, pendant que je pénétrais de mes doigts son intimité déjà chaude, déjà trempée et déjà offerte. Nous restâmes un long moment à profiter des cette tendresse lubrique. Peu à peu, je laissais un de mes doigts passer sur l’anneau toujours secret, toujours vierge, caché dans l’étroite vallée de sa raie…

Cédant à la fougue et à ma curiosité, je mettais trois doigts dans son antre avant d’en sortir un, le plus long qui lubrifié de ses transpirations, entra sans peine entre ses fesses… Elle se serra un peu plus contre moi me planta ses ongles dans le dos mais me laissa aller un peu plus loin … La barrière cérébrale, s’affaissait et laissait le champs libre à une plus grande exploration de son corps.

Elle acceptait mes doigts qui s’enfonçaient dans son sexe et entre ses fesses en un rythme lent et régulier.
Tout cela se faisait comme en dehors de notre contrôle puisque nous ne cessions de nous regarder en nous embrassant goulument.

J’étais ému du cadeau qu’elle était en train de me faire en permettant à mes doigts d’entrer dans cette partie sensible, inexplorée, entièrement vierge.
Nous roulions l’un sur l’autre et je ne sais plus comment nous en arrivâmes là, mais je me retrouvais la langue plantée dans son sexe pendant qu’elle dévorait le mien. J’étais en dessous et en profitais pour retrouver sur ma langue les douces fragrances et le goût salé et doucement ferreux des émanations de son excitation grandissante.

Elle descendit et se mit entre mes jambes, son regard planté dans le mien. Sans me quitter des yeux, elle fit aller sa langue de mes perles –comme elle dit- à ma tige et jusqu’au sommet de mon gland gorgé de sang et de désir. Elle posa sa bouche sur le haut du gland et me regardant avec un sourire malicieux, elle entrouvrit les lèvres pour laisser ce sexe tendu pénétrer dans sa bouche.
-« Hummmmmmm oui ma chérie, suce moi, tu le fais si bien… HUMMM cette langue… comment fais tu cela ? »
Elle continuait et je me gardais bien de lui dire quoique ce soit, lui laissant le plaisir de me découvrir pendant que je caressais ses cheveux et son cou pour accompagner le rythme qu’elle avait envie d’imprimer à ces amoureuses succions…

Je me caressais les pointes très lentement pour ne pas affoler mes sens et les laisser me déborder. Je voulais, comme elle d’ailleurs, que cela dure encore et encore. Une main sur ma tige et une autre sur mes perles, je savourais ces délicieux instants de bonheur intenses. Je ne me souvenais pas qu’on m’ait sucé avec tant de tendresse, d’amour et de savoir faire.

Je la ramenais vers moi doucement et embrassais ses seins, les caressant, les pressant entre mes mains câlines, pinçant légèrement les pointes éternellement dressées.

Accoudé sur le lit, je passais une de mes jambes sur elle et fini par me retrouver sur elle.

J’ouvris ses jambes caressant du pouce son clito tout rond, sensible et baignant dans son envie, généreusement visqueuse . Je présentais mon sexe à l’entrée de son vagin appuyant mon gland délicatement pour que s’écartent les grandes lèvres et me laissent aller plus loin. Les petites lèvres cédaient petit à petit et j’entrais tout mon gland en elle avant de m’immobiliser complètement.

Elle fit de grands mouvements de bassins pour s’empaler m’agrippant les hanches pour me tirer à elle. Je mis ses jambes sur mes épaules, lui pris les poignets et lui dit d’une voix douce mais ferme :
-« Ne bouge plus et laisse moi faire. Tu n’as pas le droit de bouger… attend !!! »
Elle ne bougeait plus et se livrait à ma cruauté, attendant une intrusion plus profonde plus nette et surtout plus rapide…
Je la fis languir encore un peu lui caressant les seins, les hanches et le ventre en lui disant des mots d’amour :
-« Tu es belle ma tendre ainsi offerte à mon désir. Ne bouge pas, laisse toi aller et accepte d’attendre tu veux bien ? »
-« Oui mon amour mais viens en moi s’il te plait » me dit-elle.
-« NON ne bouge pas tu n’as pas encore mérité que j’aille plus loin. »
Je voulais prendre un rôle que je n’avais jusque là pris que dans les scénario que je lui envoyais. Le rôle de celui qui décide et dirige les débats la laissant dans le rôle de plus en plus précis de celle qui se conforme et qui attend les désirs de son amant.
-« Je veux que tu t’offres, que tu te donnes. En es tu capable mon amour ? »
-« Oui mon cœur j’en suis capable »
-« Tu en es sure, je peux faire ce que j’ai envie de faire ? »
-« Oui » répondit-elle
-« Tu sais ce que je veux n’est-ce pas ? »
-« Oui je le sais » souffla t-elle.
-« Et de quoi ai-je envie mon amour ? »
Elle ne répondit pas
« Hé bien, de quoi ai-je envie ? »
-« de ce que tu m’as écris la dernière fois »
-« qu’avais-je écris ma tendre ? dis le moi ! »
Elle luttait encore pour ne pas céder ce qu’elle n’avait jamais accordé à personne.

D’une voix forte je lui dis alors :
-« DIS LE !!!»
-« Que tu voulais mes fesses »
-« Non, je ne l’ai pas écris comme ça, fais un effort et dis moi ce que j’ai écris COMME je l’ai écris «
-« Que tu voulais mon cul » dit-elle en rougissant.
Non seulement, elle n’avait jamais été sodomisée, mais en plus, elle n’avait JAMAIS parlé crument.
Afin d’asseoir un peu plus une autorité relative, puisque c’est elle qui me l’accordait, je répétais :
-« redis le ! »
-« Tu as envie de prendre mon cul »
-« Oui en effet et toi, tu as envie de me le donner ? »
Elle souffla sans rien dire .
-« HE BIEN ? TU EN AS ENVIE OU PAS ??? »
-« Oui ! »
-« Tu as envie de quoi dis le moi en faisant une phrase ! »
-« J’ai envie que tu me prennes le cul »
-« Tu me donnes ton cul amour ? »
-« Oui je te donne mon cul mon tendre »
j’arrivais à d’extatiques sommets d’excitation et je bandais comme jamais…
Elle ne me cédait pas vraiment….elle s’offrait à moi et cela me troublait profondément.
Je sentais confusément qu’elle jouait le jeu sans le jouer vraiment, que cela cachait autre chose, mais je ne savais pas quoi.
Excité, je posais mon gland sur la rosace vierge de son cul que je venais de lubrifier d’un doigt enduit de salive. Je poussais doucement, tendrement sur cet anneau et là, surprise, il céda sans que j’ai à forcer, comme s’il se fut agit de son sexe.
J’en déduis qu’elle voulait REELLEMENT m’offrir son cul comme un inestimable présent.

Mon sexe entrait lentement entre les lobes généreux de ses fesses inexplorées. Je n’arrêtais pas jusqu’à ce que mon sexe arrive au bout de cet espace inconnu de tous…
Sauf de moi désormais. J’entamais, un rythme très lent mais inexorable. J’avançais doucement et me reculais sans m’arrêter. Les allés retour m’attiraient vers les sommets des sensations les plus tendres. Elle était serrée, bien sur, mais j’étais aussi perturbé par le fait d’être le premier à emprunter cette voie là que par le fait qu’elle jouait le rôle d’une soumise qui s’offrait pleinement.


Ses jambes étaient toujours sur mes épaules et je décidais d’aller un peu plus vite.
-« Je ne te fais pas mal mon amour ? »
-« Non, je n’ai pas mal »
-« Tu veux que je continues ? »
-« oui »
-« oui quoi ? tu veux que je continues à t’enculer ? »
-« Oui »
-« dis le ma douce, dis le moi »
Je savais que je lui demandais quelque chose qu’elle n’avait encore jamais fait et qu’en plus, je lui demandais de me le dire ce qui visiblement la troublait et la faisait rougir fortement.
-« Oui amour continues de m’enculer. »
Je repris un rythme un peu plus rapide attentif à ne pas lui faire mal, continuer sans la heurter mais faire en sorte qu’elle m’accepte, qu’elle se donne à moi. Elle gémissait mais pas de douleur, juste de cette nouvelle sensation d’être prise autrement, pleinement, entièrement.
Je lui dis alors :
-« Ecartes tes fesses mon amour, montre moi que tu en as VRAIMENT envie ! »
Elle mis ses mains de chaque côté de ses lobes fessiers et écartant ses fesses, elle répondit
–« Encules moi encore »
Après un long moment, je me retirais d’elle lentement pour ne pas lui faire mal et je me penchais sur elle pour la couvrir de baisers. Je me levais pour aller me laver un peu et je revins vers elle. Elle avait toujours les jambes ouvertes et je les repris sur mes épaules, je posais mon gland sur son cul faisant mine de vouloir y retourner. Elle me laissait faire tendrement alanguie.
Je glissais alors vers son sexe et j’entrais fermement en elle. Je m’arrêtais à mi-chemin.
-« Tu me la donne aussi ta chatte ma chérie ? »
-« oui mon amour je te la donne »
j’entrais, un peu brutalement pour me planter an fond d’elle. Elle soupira et me dit :
-« Hooooooooo putain mais que c’est bon, !!! Enfonce toi enfonce enfonce !!! »
Elle posa ses doigts sur mes tétons en les faisant rouler doucement sous la pulpe de ses doigts et je dus faire appel à toutes mes ressources, pour ne pas me laisser aller à jouir en elle … pas tout de suite. Je lui pris les poignets pour ne pas craquer plus que pour montrer ma force et mon emprise sur elle, en disant :
-« Arrête ma salope , je ne veux pas jouir tout de suite ».

Je me penchais sur ses lèvres et l’embrassais à bouche que veux-tu… Elle me rendait chacun de mes baisers fouillant ma bouche de sa langue . Je restais planté en elle murmurant des mots doux et tendres mélangés de « merci mon amour pour ce cadeau merveilleux ».

Après un peu de repos, nous reprîmes nos caresses, nos baisers fous. Je descendais vers son ventre pour lui lécher longuement la chatte et lui nettoyer le cul de ma langue, la boire entièrement et la goûter complètement.
Elle se laissa aller avant de me relever pour me mettre sur le dos et me faire la même chose. Elle me suça longtemps en me fixant de ses grands yeux où je pouvais lire tout son amour et sa tendresse.

Elle vint ensuite me chevaucher et glissa mon sexe dans le sien avec des yeux gourmands…
Elle entama immédiatement une chevauchée d’enfer guidant son plaisir et le mien.
Au bout d’un moment, son regard devint plus trouble, je savais qu’elle était en train de perdre pied et qu’elle allait enfin jouir. Elle se mit à miauler comme la fois précédente.
Doucement d’abord, puis de plus en plus fort.
Par prudence et avant que ses griffes ne me lacèrent, je lui pris les poignets tout en accompagnant ses mouvement amples sur ma bite. Elle s’allongea et essaya de me mordre. Je l’enveloppais de mes bras pour éviter les morsures, mais elle réussit à me mordre l’épaule. « AÏE !!! arrête !!! » lui dis-je, mais c’était peine perdue puisqu’elle était en train de jouir et qu’elle ne s’appartenait déjà plus.
Je la relevais, lâchais un de ses poignets pour lui claquer les seins et lui pincer les pointes.
-« Arrête de me mordre salope ! »
Elle miaula encore plus fort comme une chatte qui attaque et chercha à me griffer encore une fois. Je repris sa main dans la mienne en entremêlant nos doigts.
Elle continua de bouger et de miauler puis s’apaisa tout doucement avant de s’allonger sur moi sans chercher à me mordre cette fois .
Nous restâmes ainsi un long moment enlacés, ma bitte dans sa chatte trempée.
Je débandais lentement en l’embrassant tendrement.
-« Je ne t’ai pas fait mal mon amour ? » risquais-je
-« Ho non, c’était génial ! »
Oui ça l’avait été pour moi, je le lui dis ajoutant :
« ça ne t’a pas fais mal du tout ? »
-« Si un peu mais c’est pas vraiment une douleur… Ca fait quand même tout bizarre »
-« Si tu le veux, nous recommencerons une autre fois »
-« oui, si tu veux mon amour . J’aime bien quand tu fais « l’amant » .»
???
Je compris vaguement sans comprendre. Faire « l’amant », c’était sans doute un peu sa façon de me dire « quand tu es le maître »… Mais je n’en étais pas sur du tout.
Cela demandait des éclaircissements et j’étais déterminé à en avoir le cœur net un peu plus tard.
Elle ajouta :
-« J’ai bien aimé quand tu m’as dit « salope » »
-« Quoi ??? je t’ai dis ça ? »
-« Oui deux fois ! »
-« Non c’est pas vrai ??? »
-« si c’est vrai »
-« Je ne t’ai pas choqué ? Je suis désolé, mais je ne le dis pas d’ordinaire »
-« non, je ne suis pas choquée du tout c’était bon même, à ce moment là »

HOULA, si je m’attendais… Je ne suis habituellement pas très bavard lorsque je fais l’amour et voilà que non seulement je m’étais mis à parler, mais qu’en plus de cela, j’avais prononcé des mots que mon respect pour la femme dans ces moments de tendresse m’interdit de dire.
Nous venions de franchir elle et moi, un cap, inattendu et qui ouvrait d’énormes perspectives.
Ces aveux, cette conversation m’excitait et elle s’en aperçu. Reprenant mon sexe dans sa main pour me branler tendrement, je la laissais faire en lui disant :
-« tu aimes ma bitte ? »
-« Oui je l’aime »
-« Tu aimes la sucer ? »
-« oui beaucoup ! »
-« Alors qu’attends tu pour le faire ? »
Sa bouche s’approcha de ma bitte et elle lui laissa passer la barrière de ses lèvres.
-« Oui suce moi ma petite salope ».
Cette fois, je l’avais dis volontairement. Mon cœur battait plus vite et je sentais une excitation inhabituelle m’envahir… Je me prenais au jeu du maître et elle à celui de la soumise.
-« Tu as aimé que je te prenne le cul ma salope ? »
Je lui pris les cheveux pour lui sortir la bitte de la bouche et lui laisser me répondre :
-« Oui j’ai aimé que tu me prennes le cul ! »
-« J’ai envie de jouir dans ta chatte. Tu veux bien ? »
-« Oui, mon tendre j’ai envie. »
-« mets toi en levrette »
Elle s’exécuta, se mis à quatre pattes m’offrant la vision de ces fesses moins vierges que ce matin. Je lui fis resserrer les jambes, je pris mon sexe en main et l’appliquais vers le bas de la fourche de ses jambes.
Lentement je remontais vers l’entrée de sa chatte offerte, et j’y entrais en vainqueur, fermement, autoritairement. Arrivé au fond de ce sexe, je fis claquer mes perles contre ses cuisses serrées.
Brusquement, j’arrêtais. Elle fis un mouvement de recul pour encore s’empaler mais je mettais mes mains sur ses reins pour l’en empêcher.
D’un voix rude je lui intimais :
-« Dis moi que tu es ma salope et que tu m’appartiens désormais. »
Elle restait muette.
Je fis de nouveau claquer ma peau contre la sienne de façon assez brusque et nette
-« Hé bien ? dis que tu m’appartiens désormais »
D’une toute petite voix elle repris :
-« Oui je t’appartiens désormais »
-« PLUS FORT MA SALOPE !!!»
Elle reprit plus fort :
-« Oui je t’appartiens désormais, je suis à toi »
-« Tu es ma salope ? »
-« Oui, je suis ta salope » lâcha t-elle enfin !

A ces mots, et devant ce nouveau cadeau, sa première soumission je ne pus me retenir et je la pénétrais avec force et vigueur ne pouvant plus m’arrêter. Soudain, tout se mélangeait dans ma tête, mes tempes bourdonnaient et je fus surpris par la force de ma jouissance … Partie de derrière mes jambes, j’étais emporté par un cyclone de jouissance et je criais :
-« HOOOOO mon amour JE T’AIME !!! »

Je m’écroulais sur son dos et elle s’allongea dans le même mouvement. Pour ne pas l’écraser, je roulais sur le côté en embrassant son dos et en la serrant contre moi.

Nous parlâmes longtemps de cet épisode si nouveau pour nous deux. Je lui avouais avoir été fort fort troublé et elle me répondis qu’elle l’était aussi et qu’elle avait pris beaucoup de plaisir.

Nous dûmes penser à nous rhabiller pour reprendre le cours de nos vies respectives avec ce serrement peiné dans la gorge et l’impatience de se retrouver très très vite
Pour un autre épisode, un autre voyage, un autre monde … Tout neuf et rien qu’à nous…

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