Mise En Cage, Début Réel De La Soumission

Chers lecteurs,

Je vais essayer de vous raconter ici l'évolution de notre couple vers la situation actuelle.
Je suis aujourd'hui soumis à ma compagne.
J'essaierai de raconter plusieurs étapes, ça ne sera pas toujours dans l'ordre, et veuillez m'excuser pour les éventuelles fautes, je tacherai de faire attention.
Je ne me souviens pas de tout les détails, certains moments que j'évoquerai ont plusieurs années, j'inventerai donc un peu certains dialogues afin de rendre le récit plus romancé.

Nous sommes alors de jeunes adolescents, de banlieue parisienne, en couple depuis le lycée, après 2 années ensemble, nous avons expérimenté de nombreuses facettes de la sexualité, nous sommes rentrés doucement dans des jeux de domination, en testant des menottes offertes par des amies de ma copine. D'abord dans les 2 sens, au fil de nos jeux, nous avons découvert que nous préférions lorsqu'elle dominait. Je me suis donc retrouvé de plus en plus souvent lors de nos ébats à être la personne soumise, attachée, bâillonnée parfois… Ceci a commencé début au courant de l’année 2015.
Nous avons commencé à aller de plus en plus loin, à repousser nos limites, en m’attachant de manière de plus en plus élaborée, avec des cordes, des menottes en cuir dans lesquelles nous avons investi. Elle aimait me soumettre ainsi en m’attachant, car elle pouvait prendre l’ascendant physique sur moi, en effet, je suis un homme plutôt grand, presque 1m90, bien physiquement, pratiquant le sport, quand à elle : Un peu moins d’1m60 pour environ 50kgs, cheveux châtains, de bonnes formes. En m’attachant, elle pouvait me maîtriser, j’étais alors à sa merci, elle aimait que je sois sa chose…
Je me suis rendu compte d’une chose, nos rapports avec pénétration étaient de moins en moins fréquents, je ne pouvais plus « forcer » comme avant pour avoir un rapport, j’avais développé un self-control, une auto-censure, elle venait alors de prendre l’ascendant psychologique sur moi…
Je devais attendre qu’elle ait envie de « jouer », et lorsqu’elle en avait envie, vu que ma libido était plus forte que la sienne, j’étais toujours partant.

Amplifiant cela, lors de nos « jeux », je devais la faire jouir de plus en plus souvent, tandis que cela était bien plus rare pour moi, je pouvais faire 2 ou 3 séances sans jouir. Bien-sûr, je m’adonnais aux plaisirs solitaires en dehors, elle le savait, et cela lui déplaisait.
Elle a alors pris la décision de vouloir plus de contrôle, elle me demanda d’arrêter de me masturber afin de « me conserver pour elle », au début je n’y arrivais pas, j’ai tout de même un peu réduit la fréquence, car cela m’arrivait de le faire plusieurs fois par jour. Mais tout de même, j’avais honte, je lui mentais en lui disant que je ne l’avais pas fait. Après quelques semaines, j’ai décidé de lui avouer que je le faisais toujours de temps en temps, mais moins, elle m’a alors puni (peut être aurais-je du lui dire cela lorsque je n’étais pas attaché… ? ).
Nous n’habitions pas ensemble alors, on se voyait cependant chaque week-end, et parfois en semaine, les rapports sexuels avec pénétration étaient de moins en moins fréquent, elle m’avoua alors qu’elle n’avait trop aimé cela, et préférait de loin que je m’occupe d’elle avec ma langue. Ce fut un choc pour moi, « est-ce que je m’y prenais mal ? » me disais-je ? Ou bien « Peut-être que mon sexe est trop petit ? Que son attirance pour moi à baisser à force de me dominer ». J’eu quelques jours de doute avant de lui en faire part. Nous eûmes une discussion, je compris qu’elle m’aimait réellement, que le problème ne venait pas de moi, elle me redonna confiance.
C’est alors que vers fin 2016, elle m’avoua que dominer était un fétiche pour elle depuis le début de son adolescence, qu’elle consultait des sites de domination voir de suprématie féminine, elle m’en montra, je fus retourné… M profita de cette discussion pour évoquer pour la première fois la cage de chasteté, je ne connaissais pas. Depuis le début, je la suivais dans nos jeux, je ne me renseignais pas sur le sujet de la soumission, c’était pour moi un moment à part. Je compris que pour elle cela était plus qu’un jeux qu’elle recherchait mais un mode de vie de couple.

Elle m’expliqua qu’elle aimerait que je porte une cage de chasteté dont elle garderait les clefs afin que j’arrête mes « incessantes masturbations ». J’ai catégoriquement refusé en comprenant ce que c’était, je ne me voyais pas porter cela en dehors de nos rapports sexuels. Je remarqua son air déçu, mais elle comprenait ma décision. Nous avons continué à expérimenter le BDSM, jusqu’à la Saint-Valentin de 2016.
Nous avons été au restaurant, échangé nos cadeaux, puis viens la traditionnel partie de jambe en l’air, comme souvent elle a pris l’initiative de m’attacher, les 4 membres aux 4 coins du lit, bien serré, me mis un bandeau sur les yeux. Mais ne me laissa pas finir en elle, je du cependant finir de lui donner son plaisir ainsi attaché avec ma langue. Lorsqu’elle eu jouis, elle me bâillonna, sans m’essuyer, et commença un monologue :
M : -C. depuis plusieurs mois, nous avons été de plus en plus loin dans nos jeux, j’aimerai franchir des étapes supplémentaires, bien entendu, que ce soit toi ou moi, nous pourrons y mettre un terme, mais vu que nous aimons cela, je trouverais ça dommage de ne pas aller plus loin, si tu es d’accord, hoche la tête pour dire oui.
Etant très excité, je ne réfléchissais guère, je répondis par l’affirmative.
M : J’ai acheté un cadeau très spécial, je t’en ai déjà parlé, il renforcera mon contrôle sur toi, j’aimerai que tu essaies de faire le maximum pour moi, de te dépasser.
Je sentis alors quelque chose enserrer mes testicules, j’eu mal sur le coup, je poussai un grognement dans mon bâillon.
M : Excuse moi C. est-ce que ça va ?
Je répondis encore par l’affirmative de manière gestuelle.
M : Je suppose que tu as compris ce que c’est ?
En effet, je savais qu’il s’agissait de la cage de chasteté dont on avait parlé ensemble, j’étais aujourd’hui prêt à accepter de tester cela.
M : Tu vas la porter pour cette nuit, tu me diras ce que tu en as pensé demain matin.
Elle eu du mal à mettre le tube de la cage, car en effet, l’anneau avait eu pour effet de me donner une forte érection, c’était une nouvelle sensation pour moi, elle entreprit alors de me faire une fellation, la compression de l’anneau autour de mes testicules me procurait une sensation bizarre, j’ai éjaculé assez vite mais c’était différent, il y avait un peu de douleur, mais plus de plaisir… Je n’arrivais pas à clairement identifier ce que je venais de ressentir, c’était une des meilleures fellations que j’ai reçu, j’ai aussi senti le plaisir qu’elle y a mis, me voir accepté la cage de chasteté l’a rendu très active, très appliquée, elle voulait me rendre la pareille.

Elle m’a ensuite détaché, retiré mon bandeau et mon bâillon, nous nous sommes embrassés, câlinés… j’eu du mal à m’endormir avec ce nouvel objet, mais c’était le début d’une relation d’un nouveau genre…

C.

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