2Ème Passage

Le week end qui suivit la formation de ma femme fût chaste pour moi, elle me disait être trop fatiguée pour quoi que ce soit, ma queue bien pleine resta dans sa cage.
Au cours de la semaine elle ne me permit pas de me vider mais j’eu le droit de lui donner du plaisir avec ma langue et mes doigts quasiment tous les soirs. A chaque fois elle me parlait de son expérience, de cette queue qui n’était pas la mienne et qui s’était vidée en elle…Ses paroles me rendaient fou d’excitation et mon sexe remplissait tout l’espace possible dans son étroite cage de chasteté.
Le vendredi soir alors que je m’appliquais à lécher son sexe, elle me demanda si cela me dérangerait si elle invitait son collègue à boire un verre un soir à la maison.
- Tu fais comme tu veux ma chérie, c’est toi qui décide.
- Merci mon chéri, je te promets que je serai sage. D’ailleurs il est dans le coin en ce moment, je vais l’inviter pour demain soir alors.
Je ne dis rien et la lécha avec encore plus d’intensité, elle jouit vite et fort, on alla se coucher, ma queue me faisait mal entravée dans sa prison.

Le lendemain soir, ma femme prépara une petite soirée apéritif avec soin, peu avant l’arrivée de notre invité elle alla se changer dans la chambre.
La voir revenir dans le salon habillée d’une courte robe très échancrée sans rien dessous, j’en eu le souffle coupé.
- Alors mon chéri, ta petite femme te plait ?
- Euh oui mais je croyais que tu allais être sage ?
- C’est pas toi qui aime quand je ne porte rien sous mes robes ? Et Cédric a déjà visité tout mon corps, je ne vais rien lui montrer qu’il ne connait pas. Et je te promets que je serai très sage…..mais seulement avec toi…..
La robe de ma femme était un appel au viol, sur le côté la moitié de ses seins était visible et elle couvrait à peine ses fesses.
Notre invité arriva, elle lui fit la bise sur la joue, me le présenta tout naturellement comme un collègue de travail.

Je savais qu’il l’avait baisé et il savait que je savais.
Un discussion banale s’est engagé sur nos occupations professionnelles et d’autres choses d’un banal autour d’un verre puis d’un second.
- Tiens mon chéri, j’ai expliqué à Cédric que je contrôlais ta sexualité et que tu portais une cage de chasteté, il n’en a jamais vu, tu veux bien lui montrer.
Sa remarque produit un blanc dans la conversation, même notre invité n’osait plus rien dire.
- Allez s’il te plait, montre lui, il ne m’a pas cru quand je lui en ai parlé.
Cédric et ma femme me regardaient avec insistance, j’ai baissé les yeux, déboutonné mon pantalon et l’ai baissé.
Ma femme a pris mon sexe emprisonné dans sa main et en même temps elle montrait la clé du cadenas qu’elle avait autour du cou.
- Il adore cela et ça fait maintenant plus de 3 semaines qu’il n’a pas joui. Lui ne jouira pas ce soir en tout cas.
Sa remarque faite, elle m’embrassa délicatement sur la joue en me disant qu’elle m’aimait. Cédric notre incité la reluquait sans vergogne, louchant dans son décolleté, regardant entre ses jambes pour apercevoir sa fente toute lisse.
La soirée se passait tranquillement, ma femme se penchait pour faire profiter de son décolleté ou croissait et décroisait ses jambes pour exciter notre amis, il bandait dur sous son pantalon.
Vers 22h00 ma femme m’a interpellé :
- Chéri, tu dois être fatigué, si tu veux aller te coucher, tu peux y aller.
- Non, ça va.
- Si mon chéri, je suis sûre que tu as envie d’aller dormir et Cédric ne t’en voudra pas d’aller te coucher.
Le sexe de notre invité était toujours dressé, j’obéis à ma femme et je montai dans notre chambre à l’étage. Je me couchai sans fermer la porte entièrement.
Leur conversation était inaudible, je ne percevais que des chuchotements puis plus rien assez vite.
Mon sexe cognait sa prison, je rampais sur la mezzanine pour espionner ma femme et son invité.
Assis nu sur le canapé, ma femme le chevauchais avec gourmandise.
Les mains de Cédric passaient de ses fesses à ses seins, leurs bouches se soudaient et se dessoudaient au grès de leurs gémissements. De temps en temps elle regardait vers le haut et croisait mon regard, ses yeux me disaient « alors, heureux, c’est ce que tu voulais… »
J’étais nu couché sur la mezzanine à espionner ma femme avec son amant.
Elle a joui, lui a suivi en se vidant en elle, leurs corps se sont séparés, elle s’est allongée à côté de lui.
- Chéri, si tu ne dors pas, tu peux nous ramener une autre bouteille de champagne, on a soif.
Je ne bougeais pas.
- Chéri s’il te plait, j’ai soif.
Je me suis levé, j’ai descendu les escaliers nu, je suis allé chercher une bouteille dans le frigo et je suis revenu au salon.
Les deux amants étaient nus sur le canapé, du sperme coulait entre les jambes écartées de ma femme. J’ai servi un verre à chacun des deux amants, ma femme me fixant du regard :
- Et toi chéri, tu n’as pas soif ?
Elle regarda sa fente suintante de sperme.
- Allez viens, fais toi plaisir, je suis sûre que tu en as envie.
Sans un mot, je me suis agenouillé entre les cuisses de ma femme et j’ai léché sa fente pleine de sperme de son amant.
- Enlève bien tout mon chéri. Depuis que tu es en cage je ne prends plus la pilule, lèche bien, je ne veux pas tomber enceinte.
Dans un état second, ma langue a tout léché, ses cuisses, son vagin elle a nettoyé entièrement sa fente.
- Il en reste sur la bite de Cédric, tu veux bien t’en occuper aussi mon chéri.
Sans un mot, j’ai léché le sexe de l’amant de ma femme puis j’ai fini par le prendre entièrement en bouche.
- Chéri tu suces une bite, ça me fait drôle. Tu aimes ?
Je ne disais rien et continuais mon ouvrage. La queue de l’amant de ma femme reprenait de la vigueur, je continuais mon œuvre.
- C’est bien mon chéri, Cédric apprécie, tu suces bien. Continue
La queue de l’amant de ma femme était redevenue dure, je m’appliquais à le sucer comme j’aimais qu’on me suce.
Il appréciait et ses hanches bougeaient en rythme avec ma bouche.
Je le regardais, il regardait ma femme….Ses mains ont maintenu ma tête et il a joui dans ma bouche.
- C’est bien mon chéri, la prochaine fois j’offrirais peut être ton cul à Cédric.
L’amant de ma femme se leva, remit ses vêtements, embrassa ma femme et pris congés.
Mon sexe coulait d’excitation à travers ma cage.
- Chouette soirée mon chéri, on va se coucher.
Sans un mot je suivi ma femme au lit.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!