Le Passage Suite

Le lendemain de la soirée avec Cédric, ma femme n’était pas au top, elle voulait qu’on
parle.
- Chéri, je suis partagée, j’ai apprécié la soirée d’hier mais je t’aime plus
que tout, je ne veux pas te perdre et j’ai peur d’aller trop loin avec toi.
- Si cela ne me convenait pas, cela fait longtemps que je te l’aurais dit, que
tu contrôles ma sexualité était un fantasme pour moi, sa réalisation est un bonheur,
je ne regrette rien et je prends mon pied dans nos jeux.
- Tout de même, tu me vois moi, ta femme se faire prendre par un autre et tu
lèches le sperme de mon amant. Excitée par la soirée je t’ai même fait sucer sa queue,
tu aimes vraiment ça ?
Les yeux dans les yeux, en souriant je lui répondis
- Oui, j’aime tous nos jeux, je ne souhaite qu’une chose, c’est de continuer
comme on est parti. Je n’avais jamais sucé une queue mais excité par trois semaines
d’abstinence, je n’ai pas eu de mal à franchir le pas.
- Mon chéri, j’ai plein de fantasmes qui s’éveillent en moi, mais es tu bien
sûr de vouloir y aller ?
- Je t’ai offert ma sexualité, c’est à toi maintenant d’en disposer comme tu le
souhaites.
- Et notre ? On voulait en mettre en route un second, comme on va faire
si tu n’es pas le seul à jouir en moi ? On devrait faire une pause le temps de le
faire. Si on continue et que tu n’étais pas le père de ton , il se passerait
quoi ?
- Je serai le père de l’ que tu porteras et je t’aimerai toujours autant.
Je la pris dans mes bras et la serra fort contre moi.
La soirée fût très câline entre nous, on s’endormit l’un contre l’autre nus dans notre
lit.
Le lendemain elle m’annonça que dorénavant j’aurais le droit de jouir au moins une
fois par mois, mais c’est elle qui choisirait quand et comment. Toute la semaine je
gardais ma cage de chasteté, à la fin de la semaine, après un mois d’abstinence du
sperme s’écoulait de temps en temps de ma queue trop pleine.


- Mon chéri, ce soir tu vas jouir. Tu as toujours voulu me sodomiser en
m’expliquant qu’on pouvait jouir de la sorte et que pas mal de femmes aimaient cela,
alors ce soir on va vérifier mais c’est toi qui fera la femme.
Le soir dans notre chambre, elle me libera de ma cage, ma queue se mis instantanément
au garde à vous. Nu, je me mis à quatre pattes sur le lit, cambrant les fesses pour
attendre mon du.
Elle se déshabilla, sortir un gode ceinture d’un sac, un achat fait exprès pour
l’occasion, et l’installa sur elle. Ses doigts badigeonnairent de lubrifiant mon
anus, jouant à entrer un après l’autre en moi puis deux ensemble.
- Alors ça te fait quoi de te dire que tu vas te faire enculer par ta femme ?
- J’ai un peu peur, mais rien que de sentir tes doigts prendre mes fesses, ça
m’excite.
Ma queue était dure et coulante, allait elle me branler en même temps qu’en me
prendrait ?
Je sentis le bout du gode contre mon anus, tout d’abord il tourna doucement autour
puis il se mit pile dans l’ouverture et commença à pousser. Mon sphincter résista un
peu mais le lubrifiant lui fit rendre les armes très vite et le gode força l’entrée
et s’introduit en moi doucement mais continuellement.
J’en avais le souffle coupé, ma femme me tenait fermement par les hanches et me
signalait chaque centimètre qui était passé.
- Je te fais mal ? J’ai mis la moitié, tu veux qu’on arrête ?
Sans un mot je fis non de la tête.
- Alors je continue mon chéri, tu vas tout prendre. Il est un peu plus long et
large que la tienne mais ça t’habia quand tu en prendre des vraies.
Je la sentais complètement contre mes fesses, elle se figeât pour me laisser
m’habi puis elle bougea tout doucement...
- Je suis trempée d’enculer mon petit mari, si je ne me retenais pas, je te
défoncerais ton cul comme dans les films.
Ses va et viens prenaient plus d’ampleur et de vitesse, mon cul avait accepté son
visiteur, la douleur était partie.

- Alors tu maies te faire enculer ?
- Oui, j’aime que ma femme m’encule.
- Tu crois que tu vas jouir par le cul et ta queue se vider ?
- Je ne sais pas, je ne crois pas…
- Je vais t’aider….
En continuant ses mouvement, elle prit son mini vibro qu’elle avait posé à côté
d’elle, le mis en marche et le colla à mon gland. Avec les vibrations, ma queue
sursautait et gonflait, je n’allais pas être très long.
En même pas deux minutes, ma queue explosa et expulsa une quantité incroyable de
sperme sur le lit. Cette jouissance me dévasta, j’ai vide de chez vide. Elle décula et
se colla à moi en caressant délicatement mon corps.
- C’est bien mon chéri, maintenant tu peux remettre ta cage mais je te promets
que tu pourras très bientôt jouir à nouveau et en moi. On va faire un bébé.

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