Un Pervers Près De Moi 3

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Alain surgit de la pénombre et se rapproche de nous. Je me mets devant Fanny qui ne veut pas le regarder. Elle se sent toujours honteuse.
_ Tu n’en as pas assez fait comme ça franchement ?
_ Qu’est ce que tu racontes ma lulu ? me dit Alain.
Il sort une cigarette de son paquet, prend son briquet puis l’allume.
Fanny reste derrière moi, je peux la sentir, toute tremblotante. Est ce la peur ? De la honte ? Certainement un mélange des deux.

Mon visage s’assombrit .
_ Tu es un sale pervers. Je t’ai vu me mater aux toilettes, espèce de sale voyeur. Par contre, ce que tu as fait à Fanny, c’est une honte. Je vais tout raconter...
_ « A qui ? dit il en me coupant la parole et en se rapprochant de moi . A ta mère ? A steph ? Et comment ils vont réagir en sachant que Fanny m’a branlé la bite dans les toilettes. »
Ses paroles me glace le sang. Fanny se remet à pleurer. Je ne sais pas trop quoi dire. Il a raison, si je raconte ça, maman ne pardonnera jamais Fanny et elle perdra Steph.
Il faut se rendre à l’évidence, notre piège s’est refermé sur nous.
_ Ta sœur, elle t’a bien évidemment raconté ce que l’on a fait dans tes toilettes, dit il en souriant. Ça te plairait de sentir ma bite dans ta main ma lulu ?
Il frotte sa main gauche sur son entre jambe comme pour me montrer comment je devais m’y prendre.
_ Tu me dégoûtes Alain, si tu as un tant soit peu de respect pour ma mère et pour nous, tu divorceras et tu nous laissera tranquille. Maintenant, écoute moi bien...
_ Non, toi ecoutes moi bien petite salope, après ce que ta chienne de sœur vient de me faire, c’est moi qui dicte les règles.
Il se rapproche de moi, jette sa clope par terre et finit par m’attr à la gorge.
_ Je vais te baiser, t’humilier, te souiller comme ta sœur. Toi, avec tes gros nichons et ta gueule de salope, je vais pas y aller de main morte.


Fanny commence à attr les mains d’Alain pour les dégager de ma gorge. Je me débat, mais heureusement qu’il ne sert pas, il veut me faire peur et ça marche. Il tourne son visage vers Fanny et lui dit :
_ Ne t’inquiètes pas ma chérie, je ne vais pas faire de mal à ta sœur dit il en relâchant doucement ses mains et libérant ma gorge. Vous êtes à moi maintenant et je compte bien en profiter. La nuit sera longue, très longue dit il en ricanant . Il repart vers la porte, on voit son ventre remuer dans la pénombre. Il entre dans ma maison, nous laissant seules, toutes les deux, choquées de ce qu’il sait passé.

On éclate toutes les deux en sanglots et on se prend dans les bras.

_Qu’est ce que l’on va faire Lucie ?
_ je ne sais pas, on doit essayer au maximum de rester ensemble et ne jamais se retrouver toute seule.
_Allez, il faut que l’on retourne à l’intérieur, sinon les garçons et maman vont se poser des questions dit Fanny.
_ Oui, allons y.
On se dirige à nouveau vers la porte, terrifiée de croiser une nouvelle fois mon beau-père.
Fanny, reste près de moi, je pars dans la cuisine et sort six assiette à dessert. J’espère que personne ne verra que nous avons pleuré. On a prit soin de se remaquiller légèrement avant d’entrer.
_ On nous a volé le container à ordures ? Me dit Arnaud arrivant du salon avec une bouteille vide.
_ Non pourquoi tu dis ça ? lui dis je en me dirigeant vers le congélateur et essayant de rien laisser transparaître.
_ Tu as mis pratiquement 15 minutes pour sortir la poubelle.
_C’est de ma faute, intervient Fanny, j’avais besoin de parler avec ma sœur, au sujet de ma dernière...fausse couche.
Arnaud se sentit bête, att une bouteille d’eau et me dit:
_ J’ai déjà tout préparer, le dessert est sur la table. Tu n’as plus qu’à porter seulement les glaces que j’ai posé sur le plan de travail.
_ Merci doudou.
Je me dirige vers lui et l’embrasse tendremant sur la bouche.
Ça me fait du bien de le savoir la. Comme si un instant tout ça n’était qu’un cauchemar.
Je prends les glaces, me dirige vers la salle à manger. Fanny et moi, nous nous regardons dans les yeux comme pour nous encourager. A notre arrivée, je vois un jeu de société se jouant en équipe sur la table.
_ Les filles, on a sortit le jeu et on a déjà fait les équipes, nous dit notre mère en attrapant son verre de mousseux.
_ Je suis avec qui ? Demande Fanny inquiète.
_ Tu es avec moi ma chérie. Je vois que Fanny se sent soulagé. J’ai peur de poser la question et sans que je demande ma mère me donne la réponse. Lucie toi tu es avec Alain. Il faut que tu te mettes à côté de lui et que tu changes de place avec Steph.
Je regarde Alain dans les yeux. Il a l’air très satisfait contrairement à moi.
_ euh... d’accord.

Je pars m’asseoir à cote d’Alain. Je sens son odeur abominable, un mélange de crasse et de tabac froid. J’ai peur, je ne veux pas me mettre à côté de lui.
Le jeux commence, Arnaud et Steph jouent en premier. Je sens une main proche de ma cuisse gauche. Petit à petit, des doigts commence à monter dessus. Ma jambe droite vient se resserrer contre la gauche. Je tourne ma tête vers Alain, et lui fait les gros yeux. Mon visage est fermé, mes yeux perçants. Il fait comme si de rien était.
_ Ça te fais chier que l’on joue Lucie ? Me dit Steph d’un ton ironique voyant mon visage fermé.
Je tourne ma tête vers lui:
_ Bien sur que non, mais je vous trouve long.
Évidemment je ne pouvais pas lui dire ce qu’il se passait.
_Alain, Lulu c’est à vous, dit ma mere.
J’att le dé et le lance. J’en profite pour bouger mon corps et me débarrasser de la main velu d’Alain.
Notre tour se termine. En m’assaillant de nouveau, la main d’Alain revient sur ma cuisse. Il progresse à l’intérieur . Je referme rapidement mon entre jambe et bloque sa main. Je le sens assez énervé, bougeant sa main pour se dégager et il finit par me pincer la cuisse.
La douleur me fait sursauter et lâcher un petit cri:
_Aiiiiiie !
Tous le monde se retourne vers moi .
_ Ça va ? Me dit Arnaud
_Oui, mais quelque chose vient de me piquer.
_C’est bon, ne vous inquiétez pas, c’était un morceau de cure dent qui était sur la chaise, dit Alain.

Je m’assieds de nouveau sur ma chaise, en me disant que ça allait être compliqué de résister pour moi.

Au moment ou ma mère et Fanny se mettent à jouer, je sens de nouveau la main droite d’Alain revenir sur ma cuisse. Au moment où je ferme de nouveau ma cuisse droite pour l’empêcher de progresser sur mon vagin, je sens sa main partir sur mon genou gauche. Il tire d’un coup sec vers lui, ce qui ouvre ma cuisse puis la bloque avec son pied. Je n’ai plus de solution, je suis sans défense . Il peut faire ce qu’il veut de ma chatte.

J’entends son souffle accélérer, un léger filet de bave sur la commissure des lèvres et un air satisfait. Sa main glissse tout doucement sur mon aine et je sens ses doigts tout boudiné frotter délicatement mon pubis a travers mon shorty. J’essaye de me reculer au maximum au fond de ma chaise. J’ai envie de pleurer mais je dois rien laisser paraître. Au fur et à mesure que le jeu continue, Alain se montre de plus en plus insistant en frottant ses doigts sur mes lèvres inférieures.
Je me mords la langue pour ne pas gémir. Il insiste de plus en plus sur mon clitoris. Ma chatte devient extrêmement humide.
Pourquoi est ce que j’aime ça ? Je devrais avoir honte mais au fond de moi, je ne veux pas qu’il s’arrête. Je suis près de la jouissance. J’ai de plus en plus de mal à me retenir.
Mon visage se crispe, mais personne ne doit comprendre ce que me fait mon beau-père. J’essaye de rester naturelle mais ça devient compliqué.
Au bout de quelques secondes, je sens du liquide couler sur le long de ma cuisse. Il descend jusqu’à la cheville.
Je viens de jouir.
Alain retire sa main qui est trempée et me dit discrètement en me murmurant à l’oreille:
_ ça t’a plu petite chienne ?
Je reste là, satisfaite parce que j’ai aimé ça et toute honteuse car cette homme est mon beau-père et il me répugne.

Je ne me dégonfle pas et je vais lui dire ce que je pense. Je m’approche à mon tour de son oreille et...

_ Ils sont en train de tricher. Je vous ai grillé tous les deux. Du coup vous êtes éliminé me dit Arnaud.
_Quoi ? Mais pas du tout, on parlait de tout autre chose, dis-je à Arnaud en essayant d’essuyer là cyprine coulant sur ma jambe.
_ Ah bon ? Et alors vous parliez de quoi ? Me dit ma mère avec un air désabusé.
Je ne savais plus quoi répondre, Alain me fixé l’air inquiet. J’étais en train de paniquer. Est ce que je dois dire la vérité ou mentir à mes proches. Allez Lucie, courage. Dis leur quels genre d’homme est ton beau père.

_Eh ben, je dois vous avouer quelque chose, Alain est...
_Bon c’est vrai, nous avons triché, dit Alain en me coupant la parole.
_Ah j’en étais sûr dit Steph en se levant pour récupérer la bouteille d’eau.
_Eh ben vous êtes éliminés, ajoute Arnaud.

Je suis stupéfaite et je ne réagis pas. Je n’ai pas compris ce qu’il vient de ce passer.

_Alain, tu peux en profiter pour emmener les affaires dans la chambre et préparer le lit puisque tu ne joues plus, dit Marie sans le regarder.
_ Tu peux pas le faire toi ? Tu sais que je peux rien porter de lourd à cause de mon épaule.
Il se tient l’épaule droite, comme si d’un coup il avait mal.
_Lucie va t’aider à les emmenées et elle te montrera la chambre puisqu’elle ne joue plus aussi, dit Arnaud.
_Non , répond ma sœur, Alain est assez grand et puis tes sacs ne sont pas lourds. Tu peux le faire un peu. Tu es vraiment un fainéant.

Ma mère acquiesce à la proposition de ma sœur mais mon mari insiste et je finis par céder. Je tremble, je vais me retrouver seule avec lui pendant quelques temps. Que va t’il vouloir me faire ?

J’att les deux sacs qui ne sont vraiment pas lourd. Je monte la première marche, Alain est juste derrière moi. Il se tourne et dit:
_ Vous en avez encore pour longtemps ?
_ Une dizaine de minutes, pas plus répond Marie.
Il regarde Fanny dans les yeux qui, elle, est terrifiée pour moi, et lui fait un sourire.
Je monte les escaliers, et au moment ou plus personne ne peut nous voir, il met sa main droite sur mon cul. Je remue pour que sa main tombe et qu’il enlève mais rien n’y fait.
_Alors, c’est laquelle ma chambre ? Dit il.
Je lui montre du doigt la première porte à droite. A peine ayant pointer le doigt, il me pousse pour me faire entrer rapidement.
_Bon Lucie, on a moins de dix minutes et je vais te laisser le choix.

Je suis à moins d’un mètre de lui, le visage fermé, du mal à respirer. Mon unique chance, gagner du temps. Je ne préfères pas répondre.
Il me regarde de la tête au pied et je peux voir à son pantalon que la situation l’excite.
_ Tu vas avoir le choix. Soit, tu me branles, je te caresse et je finis par jouir sur toi, soit tu me laisse te lécher et bouffer ta chatte ainsi que tes seins ou alors, soit tu te met nue et tu te masturbes devant moi pendant que je te filme .Tu préfères quoi la salope ?

Des propositions horribles qui me montre à quel point cette personne est mentalement dérangée.
Je recule et finis par m’asseoir sur le lit, les yeux larmoyant.
Qu’est ce qui serait le mieux pour moi. Je n’ai pas envie de sentir sa langue et sa bouche sur mon corps et je ne veux pas le toucher non plus. Mon unique option c’est la masturbation devant lui. Je sais que le film risque de m’être préjudiciable mais je n’aurai simplement qu’à récupérer son téléphone puis le détruire.
_ Je choisis la masturbation, espèce de sale connard.
Il devient furieux, s’approche de moi et me gifle assez fort pour me faire tomber sur le lit.
_Insulte moi encore une fois et je te baise tout de suite, me dit’il en pointant son index devant moi.
Je me redresse en pleurant, il se recule et sors son portable.
_Vas y Lucie, sors moi tes gros seins, montre lés moi.
Je défais la fermeture de ma robe qui se situe dans mon dos et je sors une epaule après l’autre. Ma robe à fleur tombe au niveau de mon nombril. Je suis devant lui avec mon soutien gorge bleue. Je le regarde dans les yeux et je le vois sourire.

_Sors tes seins salope !
Je sors mes bras, un après l’autre du soutien gorge, puis, mes seins apparaissent.
_Oh oui, c’est bon ça, j’ai envie de les lécher. Montre moi si tu y arrives toi.
Je le vois en train de bander comme un porc, se caressant la queue sur son pantalon avec sa main gauche et me filmant avec l’autre.
Mes yeux sont larmoyant, j’ai honte, j’ai froid mais je suis coincé, je ne peux qu’obéir. J’att mon sein gauche, le porte vers ma bouche et je commence à lécher mon téton et mon mamelon. Bizarrement, cela m’excite. J’y prends presque du plaisir. Pourquoi par moment cette situation me plait. Est ce que je serais comme lui ?
_ Maintenant, montre moi ta petite chatte rasée.
Il penche son telephone vers mon entrejambe.
Je lache mon seins, baisse mes collants puis mon shorty et dévoile mon vagin, toujours humidifier de la masturbation de tout à l’heure.
_Joue avec ta chatte , rentres toi un doigt.

Alain, commence à mettre sa main dans son pantalon. Il a envie de se masturber.
Avec ma main droite, j’ecarte mes lèvres pour bien lui montrer. Je frotte légèrement mon clitoris très sensible et je finis par rentrer un doigt dans mon vagin doucement. Ma respiration s’intensifie, de petits gémissement ressortent.
_ Tu es une vrai pute ma Lulu. J’ai envie de te défoncer, mais ça attendra. J’ai tout ce qu’il me faut. Rhabille toi salope avant que quelqu’un entre.
Surprise et déconcertée, je m’exécute.
Maintenant je suis dans la merde, comment vais je faire pour m’en sortir?
Il faut que cette nuit, je détruise son téléphone.

A suivre...

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