Un Pervers Près De Moi 5

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Alain monte les escaliers en souriant. Je le regarde, incapable de réagir.
Je ne peux pas faire ça. Je ne peux pas convaincre ma sœur de lui faire une fellation et moi de masturber mon beau-frère. Et pourtant je n’ai pas le choix.
J’espère que Fanny et Steph ne dorment pas. Je grimpe les escaliers, je frappe à leur porte. Pas de réponse, je frappe à nouveau. J’entends des pas. La porte s’ouvre. Steph est devant, beau comme un dieu. Il porte un marcel bleue laissant apparaître sa musculature et un caleçon noir.
Je pense qu’il dormait, il a de petits yeux.

_ Qu’est ce que tu veux Lucie ? Me dit-il en se frottant les yeux.
_ J’ai besoin de te parler, en privée s’il te plaît.
_ ça ne peut pas attendre demain ? Il est tard la, on dort.
_ C’est urgent, allez tu ne le regretteras pas.
Il sort de la chambre et ferme la porte.
_ Bon alors, qu’est ce qu’il y a de si urgent ?

Allez courage, je me lance. Je dois le chauffer. On ne va pas y aller par Quatre Chemins.
_ Tu sais que tu es impressionnant et vraiment très beau.
Je passe ma main sur son torse.
_ Tu me fais quoi la ? me dit Steph en repoussant ma main.
_Quoi qu’est ce qu’il y’a ? Je ne te plais pas ?
Il me regarde, fait un pas en arrière et se colle au mur juste à côté de la porte.
_ Ce n’est pas ça Lucie, je te trouve très belle mais je suis avec ta sœur et je l’aime.

Je suis soulagée et vexée aussi. Moi, qui pensais que je n’avais qu’à claquer des doigts pour l’avoir depuis qu’il est avec ma sœur et bien je me suis trompée.
En tout cas ça ne m’arrange pas.

_ Elle n’en saura rien, fais moi confiance.
Je m’approche de lui et j’essaye de l’embrasser et il me repousse.
_ Bon je pense que tu as trop bu. Il est temps que tu ailles te coucher. Bonne nuit Lucie .
Il entre dans sa chambre et retourne se coucher.


Je suis contente pour ma sœur mais ça me met dans de sale draps.
Je ne sais plus quoi faire. Il est presque 1h30 du matin. Dans une heure, Alain veut sa vidéo. Comment est ce que je pourrai faire. Ma sœur est censée lui faire une fellation dans 1h30 et elle dort également.

Je décide d’envoyer un sms à Alain.

« Steph m’a mit un vent. Il ne veut pas de moi. Je suis désolée. »

Deux minutes plus tard le téléphone vibre .

« Ok, c’est deux de tes copains qui seront heureux de voir tes seins. Fanny sera là à 3h ? »

Oh non fais chier, pas ça, je ne veux pas que des amis me voient comme ça. Je suis perdu, je ne sais plus quoi faire. Je suis obligée d’assumer et de lui dire la vérité.

« Elle dort. Ça va être compliquée... »

Mon téléphone vibre a nouveau.

« Espèce de grosse pute, tu ne me sers à rien. Retrouve moi dans ton salon dans 3 minutes. »

Merde, il est en colère. J’ai peur de dérouiller sévère. Je descends les escaliers, et rejoins mon salon, vide de monde. Je m’assieds sur le canapé, la boule au ventre.
Quelques instants plus tard, des pas lourds se font entendre. Je vois Alain, l’air agacé. Il est vêtue d’un simple short de sport. Son torse poilu est à l’air. Son ventre est toujours aussi énorme.

_ Alors salope, on ne m’obéit pas ! Me dit Alain en arrivant vers moi . Il me met une baffe sur la joue droite. Mon visage bascule sur le côté. «  Tu vas obéir ? Tu as compris sale chienne !? » il me frappe à nouveau une deuxième puis une troisième fois.

Je lève mes mains pour qu’il arrête de me battre.
Je pleure à chaude larme. Ses coups sont francs et dur.
Quand je comprends qu’il s’est arrêté, je relève la tête, le regarde et lui dit :
_ Tu n’as pas honte de me frapper, tu es vraiment qu’un connard !

Mes mots le met hors de lui, il s’avance à nouveau vers moi et me met une autre baffe en me disant :
_ Quand est-ce que tu vas comprendre que tu es à moi.
Que tu es mon objet, ma pute. Dis le ?!

Il a les dents serré, prêt à nouveau pour me cogner.
_ Arrête , arrête s’il te plaît ! J’ai compris. Je suis à toi lui dis-je toute paniquée.
_ Dis moi que tu es ma pute !
_ Je ...je .. je suis... je ... je suis...
Il me remet une baffe et me dit :
_ Dépêche toi !
_ Je suis ta pute ! Lui dis-je en le frottant la joue.

Je vois son sourire apparaître et il me dit:
_ C’est bien ça, tu es une bonne chienne.

Il me frotte les cheveux comme on caresse un chien.
Il s’assied à côté de moi et me dit:
_ Alors comme ça le beau Steph ne veut pas de toi ?
_ Non, j’ai pourtant tout essayer.
_ Il nous emmerde celui la. Tu vas retourner le voir et il faut que tu l’enferme quelque part...
_ Quoi ? Comment ça ?
_ « FERME TA GUEULE ! J’ai pas terminé de parler. » Je me tais immédiatement de peur de reprendre un coup. « Tu l’enfermes quelque part et après, toi et moi, on va baiser ta sœur. »
_ Je peux parler Alain ?
_ Je t’écoute, me dit’il en me fixant dans les yeux.
_ Si je le distrait, ça suffit amplement.
_ Non, j’ai changé d’avis. Je veux que tu sois là, avec moi, pendant que je baise ta sœur. D’ailleurs tu participeras .
_ Comment ça ? J’ai les yeux exorbité.
_ Tu as déjà bouffé une chatte ? Me dit-il en souriant
_ Non.
_ Eh ben ça va être le moment.
_ Oh non pas ça, pitié, lui dis-je en serrant mes deux mains devant lui.
_ « C’est simple, sois tu obéis, sois j’envoie tes seins à deux de tes amis . Que préfères tu ? » Je ne dis rien, je suis à nouveau au pied du mur. Mon silence est pour lui une réponse. « C’est bien ce que je pensais. » il se lève, devant moi me frotte à nouveau les cheveux. « Allez, au travail et dépêche toi, j’ai très envie de me faire sucer ».

J’hoche la tête pour lui signifier que je vais me dépêcher.
Il repart, remonte les escaliers et en arrivant à la dernière marche, il me dit:
_ Quand c’est bon, tu m’envoies un message .


Je ne répond pas et emboite le pas derrière lui.
Je n’ai plus d’état d’âme pour ma sœur à cette heure-ci. Après tout, c’est elle qui nous a mise dans cette situation.
J’arrive à la chambre de ma sœur. Je frappe. Allez courage Lucie, ça va le faire.
Pas de réponse. Je frappe à nouveau, toujours rien.
Au moment où je m’apprête de nouveau à frapper, Steph vient ouvrir la porte. Toujours aussi sexy.
_ Qu’est ce que tu veux encore ? Tu as vu l’heure ?
_ Il faut que je te parle, c’est urgent .
_ Ça attendra demain me dit-il en commençant à refermer la porte.
Je glisse mon pied et lui dit:
_ Non, maintenant et pas ici.
_ « Tu fais chier Lucie » me dit-il en sortant de la chambre et refermant la porte derrière lui. « On va où ? »
_ Suis moi, je ne veux pas être entendue.
Je pars et descend les escaliers. Je sors de la maison et entre de le garage.
_ Bon c’est bon la ? Je crois qu’on est assez loin. Qu’est ce que tu veux ?

Je fais mine d’entendre un bruit suspect venant de derrière lui.
_ Tu n’as pas entendu ?
_Quoi ?
_ « chhhhhuuuuuut ! » Lui dis-je . » encore, là derrière toi ».

Il se retourne, s’agenouille pour regarder sous le meuble. Pendant ce temps, je sors discrètement, et ferme la porte à clef. Steph est piégé.

Je ne sais pas encore comment je pourrais m’expliquer après ça. Je trouverai bien quelque chose.

J’entre dans la maison, saisis mon portable et envoie « ok » à Alain.
Je monte les escaliers et je vois Alain, sur les starting-blocks.
_ Bien joué ma pute ! Me dit-il.

Je vois qu’il bande déjà. La situation doit l’exciter.
Il ouvre la porte. Ma sœur dort sur le côté gauche du lit. Elle est sur la tranche, tête vers l’extérieur du lit.
_ Je vais me régaler dit Alain en baissant son short et son caleçon.
Il tient ses 10 cm dans la main bien fermement.
Il s’approche du visage de ma sœur, frotte sa queue contre sa joue droite.
Elle est toujours endormie. Moi je regarde Alain faire, ça me degoute.
Je reste collé à la porte d’entrée.

Alain passe sa queue sur la joue, puis les lèvres. Il commence a frapper le visage de Fanny avec sa bite. Elle commence a réagir. Ses yeux s’ouvre petit à petit. Elle finit par sursauter et partir de l’autre côté du lit.

_ Ou vas- tu ma chérie ? Lui dit Alain. « Remet toi comme tu étais « 

Je vois les yeux de ma sœur remplie de larmes. Elle est apeurée et en stress. Elle finit par lui obéir. Fanny se rallonge exactement dans la même position.
_ C’est bien, tu es une bonne fille.

Alain caresse ses cheveux, frotte son sexe contre les lèvres de Fanny.

_ Ne bouge pas Fanny lui dit Alain en lâchant un énorme crachat sur sa joue. Fanny ferme les yeux comprenant que cette fois ci elle allait devoir y passer.

Alain frotte son gland dans sa bave et le répand partout sur sa joue puis vient frotter ses lèvres avec.
_ « Tu aimes ça hein ? Je le vois , tu dois mouiller. » « Lucie vient regarder si la chatte de ta sœur est trempée » me dit-il en tenant les cheveux de ma sœur et frottant sa queue sur ses lèvres.

Je commence à m’approcher du lit quand soudain j’entends :
_ Allez ouvre ta bouche ? Dépêche toi salope !

Ma sœur ouvre tout doucement sa bouche et Alain enfonce sa petite bite dedans.
_ Ooooooh Ouiiii ça c’est bon, j’ai l’impression d’être dans la bouche de ta mère.

Il met de petit coup. Il tient toujours les cheveux de ma sœur.

_ « C’est bon ça ma petite chienne. Frotte plus mon gland avec ta langue ». Il a la tête dirige vers le plafond. «  Lucie, dépêche toi ou je viens m’occuper de ton visage encore ».
_ Oui Alain, je m’en occupe.

J’enlève les draps, dévoilant ma sœur, seins nue et en culotte bleue marine. Alain se réjouit et vient immédiatement toucher un sein.
J’enlève sa culotte et je viens poser délicatement mon index sur les lèvres inférieures de ma sœur. Elle est sèche. Elle n’a aucune réaction.

_ Oh putain vas-y, bouffe moi la bite grosse truie !

Alain ne bouge plus. Ma sœur fait des vas et viens avec son cou pour le sucer. Son visage est dénoué d’émotion.

Je continue à regarder ce spectacle horrible.
_ « Comment est la chatte de ta sœur Lucie ? » « Aaaaaaaah oh putain continue vas y salope ».

Il att ma sœur à la gorge et commence à la marteler de coups de plus en plus fort. Je vois ma sœur commencer à manquer d’air.
_ Alain, calme toi, elle ne peut plus respirer.
_ Ta gueule sale pute ! Doigte la toi !

Alain fracasse littéralement la bouche de ma sœur. C’est coup de rein sont d’une extrême violence.
_ Oh oui, j’aime ça, que c’est bon!
Il lache la gorge de ma sœur et sort sa queue.

_ Hiiiiiiiiiiii Heuuuuuuuuuu hiiiiiiiiiiiii heuuuuuuuuu

Fanny reprend son souffle, s’essuie la bave et se met à tousser.
À Peine eu t-elle le temps de récupérer qu’Alain lui saisit à nouveau les cheveux et lui dit:
_ Maintenant que j’étais doux, je vais y aller plus fort ! Allonge-toi comme tu étais. Elle remet son visage sur le coussin, trempée de bave.
L’avantage pour moi, c’est qu’il est tellement excité qu’il m’oublie.

_ Ouvre ta bouche petite pute ! DÉPÊCHE TOI !

Ma sœur fait Non de la tête en pleurant.
_ Quoi ?! Lui dit-il en lui mettant une baffe sur sa joue.
_Aaaaaie dit ma sœur en ouvrant la bouche
_ Arrête Alain, laisse la tranquille.
_ « Ferme ta gueule toi! Et doigte la . Dépêche toi ! » « C’est bien petite chienne, ouvre bien grand ».

Il enfonce à nouveau sa queue dans la gorge de Fanny. Il la démonte d’entrée. Il appuie le haut de sa tête dans le coussin. Sa deuxième main appuie sur sa gorge. Ma sœur a de nouveau du mal à respirer. Alain lui est en plein plaisir. Je l’entends grogner.

Ma sœur devient violette, elle se débat avec ses deux mains pour repousser Alain.
_ Bouge pas ! BOUGE PAS SALOPE ! JE VAIS JOUIR !

Sans réfléchir, je me lève, saisit la lampe de chevet près de Fanny et Alain et l’éclate sur la tête de ce dernier. Il tombe instantanément sur ma sœur.
_ Fanny ça va ? Tu vas bien ?

Je pousse Alain qui s’écroule par terre, inconscient.
Ma sœur ne bouge pas, choquée. Puis d’un coup éclate en sanglot.
_ c’était horrible Lucie, j’ai eu tellement peur.
Je la saisis dans mes bras pour la rassurer.
_ C’est terminé. On va pouvoir récupérer son téléphone.

Je m’approche de lui, inconscient. Merde j’espère qu’il n’est pas mort. Je prends son pouls. Non ça va, ouf.
Il n’a pas son portable, il l’a laissé dans sa chambre.
Je vais y aller et aussi libérer Steph.

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