Les Commandos

Tout d'abord, merci d'avoir patienté un peu car je reprends mes récits un peu plus tard que prévu… Et heureux de vous lire également. Mieux vaut tard que jamais !
... A qui dédier ce récit ? Pour mon ami Belge bien entendu que j'embrasse. De la lecture, pour toi, en attendant de se retrouver bientôt...

On est en 1981, et après mon chaud conseil de révision (voir ma 5ème histoire), je n'ai plus la patience d’attendre mes 20 ans pour partir ; Ce dont j’ai besoin, et tout de suite, c’est de draguer, frayer parmi les mecs et consti LE tableau de chasse de mes proies, conquises à la vigueur de mon sexe ;
J’ai donc décidé de devancer l’appel pour le régiment et de partir à 19 ans. Quoi de plus tentant après avoir admiré d’aussi près tous ces alignements de bites jeunes et vigoureuses, lors de mes 3 jours, de ne pas remettre le couvert et d’en profiter un peu ?... Le souvenir de toutes ces queues alignées, au garde à vous pour certaines, et au contact de jolis culs masculins ; La vue de tous ces beaux mâles ou ces ours à poil, me pousse à renouveler l’expérience de la baise entre mec au plus vite. Cette fois-ci, pour un an de séjour au pays du sexe, tous frais payés par l’armée, au sein d’un immense club de vacances pour hommes qu’est la caserne.
J’ai encore assez peu d’expérience avec les mecs, et ma bisexualité découverte récemment, se traduit par périodes : Parfois 1 mois ou 2 avec les mecs, parfois 1 mois ou 2 pour les gonzesses. Mais là maintenant, je suis bien attiré par la bonne et jeune virilité, l’odeur de la testostérone et des suées dans les vestiaires de foot, les plans branle collectif et les corps musculeux, sportifs et poilus.
Loin de moi, pour l’instant, la douceur, la chaleur et la sympathique et charmante compagnie d’une femme. Ce qu’il me faut, c’est du muscle, la vie en meute, les armes et les bordées entre hommes.
Bref, tout le contraire de mes périodes meufs. Ou là, je kiffe plutôt les jolis minois, la peau douce, les grosses poitrines et les fesses potelées.

D'ailleurs, lors de cette année et sans le savoir lors de mon départ - je lèverai aussi des PEFAT (personnel féminin de l’armée de terre) en uniforme, Gros nibards et minou poilu et rouquin - sous le top et le slip kaki !... Un bon guerrier n’a pas peur de salir son sabre en toutes circonstances ! Je me taperai donc et aussi des femmes d’engagés ‘prête-à-baiser-à-domicile’, en manque de sexe et gourmandes, lorsque leur compagnon est en manœuvre ou partis en mission... Les engagés et contrairement à ce que je pensai ont l’esprit bien moins coincé qu’on veut bien nous le faire croire ; D’ailleurs, je passerai également, et après avoir baisé Madame, un bon moment au gymnase avec Monsieur, adjudant-chef de son état ...
Je suis affecté dans un régiment commandos en RFA avec entrainement sportif et de combat, dur et intensif. Je commence en février, le mois le plus glacé en Forêt noire. Et en effet, ça commence par du lourd. Nous sommes appelés cette nuit-là, à 3heures du matin pour partir en marche sur 100 Km avec tout le paquetage sur le dos, la tente et l’armement. Dehors il neige, et nous partons vers je ne sais où dans la montagne Allemande à marche rapide et e. C’est dur et nous épuisons dès le départ, toute notre énergie en transpirant fort par ce froid glacial. Bernard, un mec Alsacien gentil, blond, avec une belle tronche rondouillarde et de grands yeux bleus, mais gros, 100 Kg sans problème sur la balance commence dès 10 heures à fatiguer sérieusement ; D’ailleurs il s’écroule dans la boue, transpirant comme un bœuf, exténué au bout d’un moment. Il n’en peut plus et je suis à ses côtés, il faut bien l’aider.
Alors il s’appuie sur moi. Une main sur mon épaule il supporte mieux l’effort, mais ça n’est pas ça, et je sens à son regard, ses gestes et sa voix qu’il a besoin de plus… Alors il m’enserre le cou, me serrant grave, le pauvre est en sueur, je le laisse faire et malgré l’effort, Il ne le sait pas, mais secrètement j’en profite et je kiffe beaucoup ce sauvetage improvisé.

Sa sueur se mêle à la mienne, sa bave, ses crachats trempent ma chemise, mais je m’en fous et enserrés tous les deux, joue contre joue, on se soutient et s’entraide tous les deux. Je sens bien sa présence et sa main autour de mon cou et mes épaules me serre bien plus que de raison. Il a besoin de mon corps pour s’appuyer, rester debout, mais aussi de mon contact, de ma chaleur, de ma présence dans cette épreuve. Il prend le temps, tout en marchant de me chuchoter des mots sympas à l’oreille, comme quoi il sera prêt à faire n’importe quoi pour me remercier.
Alors, je ralenti mon pas, histoire d’être dépassé par les autres, de fermer la marche et de passer aux actes...C’est sûr, ce gaulois à l’accent Teuton sera ma première proie pour votre chasseur - et narrateur -de service !
Et là, sans personne derrière nous, ma main descend pour la lui foutre au cul. C’est bon signe, je le chauffe et il se laisse faire ce cochon. Ma grosse paluche pressée et avide passe d’abord au-dessus du treillis chauffé par ses grosses cuisses, pour lui tâter l’arrière-train comme on fait à la foire avec les taureaux ou les vaches. C’est bon, ça me fait bander de masser et malaxer cette graisse.
Il m’encourage d’ailleurs comme une salope, en bougeant un peu son gros cul ! De toute façon il n’a pas le choix, il a besoin de moi pour le soutenir... Ma caresse me fait bander et mouiller sous le treillis, malgré l’effort, j’ai une bonne gaule et elle n’est pas prête de s’arrêter de sitôt...
(Faut dire que pour être tranquille, j’ai largué ma copine trop chiante et trop jalouse en partant à l’armée et du coup, je n’ai pas baisé depuis plus d’un mois !) Alors je lui malaxe bien les fesses, prenant bien le temps maintenant de glisser mes doigts sur sa peau et de caresser ses fesses glabres et douces. Mon majeur, tendu, s’aventure sans douceur sur son trou bouillant...
Je sens son cul ouvert, ses grosses fesses sont comme celles d’une femme un peu forte que je m’étais tapée par le passé (mais c’est une autre histoire).
Et puis ma main remonte de son cul vers son dos pour le soutenir, l’encourager et le masser un peu, histoire de le détendre et lui donner la force de continuer ; J’approche ma bouche de son oreille :
- Magnes-toi Bernard, bouges ton gros cul ! Je lui dis en rigolant et en imitant l’accent Allemand. En arrivant je vais te soulager ma grosse ! A ma façon ! Tu vas voir ma cochonne ! Tu vas le bouffer mon gros knack !
Alors il me sourit et me répond avec un fort accent alsacien, Nein ! En arrivant mon salop, c’est moi qui vais te soulager et te vider tes grosses couilles !
Lors des pauses, pas con, il a apporté un top de shnapps que nous nous échangeons, histoire de bien se détendre. Là, c’est la demi-heure de pause, alors je pisse contre un sapin et il ne se gêne même plus pour me mater la bite, alors que je prends tout mon temps pour dégrafer la braguette de mon treillis et sortir ma tige bandée, gonflée par l’effort et l’envie de triquer ;
C’est sûr, ce mec m’excite de plus en plus, comme une vraie bonne grosse femelle teutonne. J’en ai ailleurs du mal à pisser, car je bande de plus en plus dur et excité comme je suis, je songe sérieusement si ça continue à m’absenter un moment pour aller le baiser dans les sous-bois ou au pire me taper une queue…C’est facilement 3-4 minutes qu’il me faut pour débander un peu et soulager ma demi-molle en pissant ; quelle bonheur de se vider aussi après une grosse envie.
Quand il pisse, lui aussi, j’aperçois difficilement sa queue, petite et enfouie sous son tas de graisse qui lui sert de ventre, aucun intérêt de ce côté-là. C’est con, il est gros, sa queue est minuscule, il est glabre et n’a rien pour lui avec son accent Alsacien à couper au couteau (à noter que j’adore l’Alsace), mais je l’aime bien ce gros bébé, surtout son gros cul d’ailleurs que j’ai de plus en plus en vie de défoncer après avoir écarté ses 2 jambonneaux grassouillets et sans doute avides de ma queue.
Et l’on repart pour 20 kilomètres, l’après-midi, ma grosse baleine vit un enfer, c’est horreur puissance 10, il n’en peut plus, et en plus l’adjudant - ce vicelard - lui gueule dessus.
J’en ai assez de ses cris, alors je finis par passer mon arme et mon paquetage à Eric, un autre copain (je le baiserai aussi celui-là ? n° 2 de mon tableau de chasse - pendant les tours de garde) et fout mon gros et malheureux compagnon, à califourchon, sur mon dos. Il pèse comme un éléphant ce salop, mais sous la douleur de porter ce quintal vivant, j’aime son contact, sa sueur qui coule dans mon dos et parfois ses lèvres qui effleurent mon cou.
Il a ouvert sa chemise et sa peau est contre la mienne, je fonds de plaisir malgré l’effort, car j’aime souffrir aussi dans ces conditions, c’est sûr, je dois être un peu maso aussi malgré mon côté dominateur !
Putain ! Que j’aime ça ! Souffrir en portant sur mon dos cette masse vivante, mais soulagé en pensant que je le baiserai, arrivé à destination.
Pourtant, vu son état, ce soir dans la tente il va roupiller fort, déjà qu’il somnole sur mon dos. Pensai-je. Je ne le sais pas encore mais je me trompe...D’ailleurs, il est 18h, qu’en est fini pour aujourd’hui, il faut monter le bivouac dans cette petite Sibérie, ma grosse cochonne S’active maintenant pour aller se mettre à l’abri et déballe vite fait la guitoune.
Eric - qui me matte la braguette du treillis de plus en plus avec insistance - et moi, nous cassons la neige glacée sur cette montagne, on monte la tente (plutôt, une bâche sur 2 piquets).
Ma baleine rentre le premier dans notre abri de fortune. Eric est de garde pour 4 heures cette nuit. Moi, je fume une troupe, prend un dernier coup de schnaps et rejoins la tente un peu après, crevé et ne pensant, sur le coup, même plus à triquer, mais plutôt à dormir et soigner mes courbatures.
Les gradés nous on dit de rester en treillis sous le duvet car il fait moins 5 dehors et ça devrait encore descendre cette nuit.
Il est 21 heures, je pue, j’ai froid et mon corps est douloureux, cassé, fatigué et pourtant je ne trouve pas le sommeil ;
C’est ça! Il faut que je nique mon compagnon d’infortune.
Justement, lui, depuis 2 heures s’est endormi à mes côtés, et alors que je commence à sommeiller, je sens son haleine et sa respiration tout prêt de mes lèvres. Je somnole, je suis endormi maintenant, c’est sûr je rêve, ici, sous la tente, isolés tous les deux en plein milieu de la forêt Noire. Je sens une main se poser sur ma veste, elle pousse mon fusil posé contre moi. La main se dirige vers mon col pour le déboutonner. J’ai froid, et la main passe sur mon torse pour me réchauffer.
Je veux la ramener -Ta gueule et Laisses-moi faire ! Il me dit ; Son haleine pue l’alcool et dans la pénombre ses yeux brillent de désir. J’ai compris que je dois fermer ma gueule et le laisser s’activer.
Il s’approche, me roule une pelle du tonnerre parfumé au schnaps, je ne dors plus, je ferme les yeux, et je l’entends dire ‘ DANKE’ et puis aussi des insanités en Allemand qui si je comprends bien et malgré mes pauvres connaissances en langue teutonne, signifie ‘prends mon cul’.
Sa main caresse mon torse, mon ventre et mes cuisses, il défait mes vêtements, les 2 heures de sommeil l’on ragaillardi.
Alors je le laisse faire tandis que la température baisse encore au cœur de la nuit, j’ai chaud sous la tente. Ce mec me réchauffe comme aucune femme ne m’a chauffé jusque maintenant, sa graisse est bienfaisante.
Il est bien excité, ailleurs ses doigts ouvrent ma braguette pour saisir mon chibre, et branler ma longue queue bandée, bien en érection, doucement. C’est sûr, elle commence bien l’armée.
Je lui dis de me passer un peu de Schnaps, histoire d’être aussi un peu plus chaud, je saisi le Top et en prend une bonne goulée, je défais mes rangers, et vire mon froc, je me fous des conseils de l’adjudant qui nous a dit de rester habillé et suis bien décidé à enculer Bernard, au milieu de la nuit et de la forêt glacé, dans cette guitoune de fortune.
C’est loin d’être évident, et si l’on nous surprend, on serrait viré de l’armée pour déviance, un cauchemar pour moi, alors que je dispose pour un an d’un harem de mâles à disposition .
Pourtant, Bernard se retourne, il a baissé son treillis et son slip sur ses chevilles. Il a compris ou je voulais en venir, alors il s’est retourné et se cale contre ma bite, en chien de faïence, pour ajuster sa rondelle, bien en alignement avec mon dard tendu et excité par la situation.
Il fait moins 10° dehors, ça baisse encore, il verse un peu de schnaps dans sa main, écarte ses grosses fesses et se mouille la rondelle avec l’alcool, il veut chauffer son cul et se dilater, je crois qu’il est loin d’être novice en la matière... Mon gland chauffe au contact du produit et je sens son cul ouvert, accueillant après cette journée d’effort.
C’est délicieux, j’oublie la fatigue, la neige et le vent glacial dehors. Ici, sous la tente c’est le paradis, dans le noir, je pousse mon sexe en avant, à tâtons, vers son antre mouillé.
J’avance inexorablement et sans m’arrêter une tige raide, grosse longue et dure et bien glissante par mon produit séminal.
Je vais l’enculer profond et ne plus m’arrêter. Bernard mord son duvet sous la douleur de l’alcool lui brulant le fion ajouté à mon enculade.
Il a mal, mais je ne m’arrête plus en si bon chemin. J’avance encore, son cul est serré, et même s’il ne manque pas d’expérience, il souffre. Même si je suis un peu dominateur, je n’aime pas forcer la nature, je fais mine de m’arrêter un peu et recule.
‘T’es con, prends mon cul, lekte mein derch ! Il me gueule presque au milieu de la nuit.
Alors je ressors de lui, complétement et lui fait signe de se foutre à 4 pattes. Il s’exécute, comme une chienne prête pour la saillie. Avec une violence bien commando, je cale mon gros gland contre sa rondelle, c’est sûr, je vais l’exploser, je ne m’arrête plus, et l’encule d’un coup, rapide, profond.
Je pars en avant et me retire presque entièrement pour le défoncer à nouveau. J’accélère le rythme, la tête ailleurs, comme un fou. Bernard a passé sa main entre ses 2 cuisses pour branler sa queue qui a pris un peu de volume. Rien à gratter de ce côté-là, par contre, quelle douceur son derche, mouillé, gras, serré, mais juste ce qu’il faut ! Les mêmes sensations en fait qu’un vagin, une vrai femelle ce type.
Je n’en peux plus, je ressort ma queue de son cul, il se retourne et me la saisit en bouche, bien décidé à gouter les premières éjaculations. Et ça arrive, doucement. Et à mon grand bonheur, je n’explose pas, mais au contraire, mon sperme monte lentement, gentiment vers le trou de ma bite en haut de ma colonne et me fait jouir, en continu, sensation rare et intense que j’adore.
Ma tête est remplie de sentiments confus, comment conclure ?
Dans sa bouche, sa main ou retrouver son cul ?
C’est la dernière solution que je choisi, je saisis à nouveau ma queue, l'ajuste à l'entrée et sans m'arrêter la lui recolle dans le cul.
J’ai un bâton, un canon de 45 entre les cuisses, bien excité par ce gros lard qui vient de se refoutre à 4 pattes. Encore noyé et mouillé par le sperme déjà un peu largué, mon gland rentre, d’un seul coup. J’arrive au fond de son derche, je ne me retire pas.
C’est trop bon, et là, en lui, je largue ma semence, encore, encore et encore. Mes jets sont puissants 3 , 4 peut-être plus, je ne sais plus, ma tête est ailleurs, loin de la forêt noire !
Lui est aux anges, la gueule dans l’oreiller, il a oublié toutes ses douleurs, jouit en silence et largue dans sa main blanche son sperme immaculé, alcoolisé et très liquide.
Demain sera un autre jour, et les soldats s’endorment du sommeil du juste. Pour moi, 3 heures suffiront, je vais bientôt relever Eric.
On s’enculera aussi tous les deux, bientôt, lors de nos tours de garde...
Mais ça, C’est une autre histoire !

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