Te Promènes Donc Pas La Braguette Ouverte

Te promènes donc pas la braguette ouverte
Chapitre cinq :

Pour rappel, dans les chapitres précédents :
Moi tout jeune homme de 17 ans j'avais découvert ma vraie nature et compris ce qu'était ma virilité car un homme du nom de Marc-Henri m'avait fait don de tout cela et nous avions passé une sorte de contrat « d'apprentissage érotique » qui nous liait par une seule clause:
Chacun devait faire partager ses expériences sexuelles nouvelles afin de les ré expérimenter ensemble. Cela ouvrait des perspectives prometteuses en matière de plaisir...

M-H et moi ne devions nous revoir pas avant une semaine. Je restais perdu dans les souvenirs de ces moments merveilleux où sa queue avait rempli mon fondement autant que ce que je lui avais rendu, et le goût de son jus ; tout cela occupait mon esprit et mes sens. Je mouillais au moindre souvenir et mon anus se dilatait en même temps. Il m'avait imprégné de lui et je devais lui donner autant si je voulais recevoir à nouveau ce bonheur. A cette époque je ne savais pas sous quelle forme l'amour pouvait se présenter, mais je tenais à M-H au plus profond de ma prostate,de mon cul, de ma quéquette, de ma bouche et de mon cerveau. L'amour c’était peut-être ça …

Un jour, alors que je me rendais aux cours d'apprentissage , qui avaient lieux une fois par semaine, comme à mon habitude, chaque fois que je croisais un mec dans la rue, mon regard se portait sur son entre jambes, en levant le regard je reconnu un copain de collège ; un magnifique garçon métissé pour qui je ressentais à l'époque, une attirance que je ne m'expliquais pas. Un sourire éclaira son visage et l'on fut aimantés l'un par l'autre aussitôt. Après quelques échanges de souvenirs nous nous donnions un rencard, chez lui le soir même histoire de boire un verre.
La journée fut interminable et mon esprit et mes entrailles vibraient au rythme de la possible promesse du soir. Je trouvais une cabine téléphonique au plus tôt pour prévenir mes parents que je ne rentrerai pas cette nuit.

Je revoyais l'entre jambes de mon copain et sans savoir si cela serait chaud je bandais fort dans mon slip.

Vers 18h je me trouvais devant la porte de Léopold, l'ouvre porte raisonna avant même que je ne sonne , j'étais attendu ?..

Au rez de chaussée mon pote m'attendait.
Lorsque je pénétrais dans le studio je fus surpris et un peu déçu de voir que nous n'étions pas seuls ;
Un garçon blond, la vingtaine, mince et grand était assis sur un pouf et se leva.
« Je te présente Gérard mon ami qui va passer la soirée avec nous, Gérard, je te présente mon vieux copain de collège » nous nous tendimes la main. La sienne était chaude et humide et douce. Ce garçon timide était charmant et très attirant.

Léopold nous avait préparé des punchs et au bout de deux verres de rhum citron vert, le sucre aidant, nous étions devenus très détendus et de plus en plus proches, les allusions salaces et les mains baladeuses faisaient l'ambiance, et les petits bisous farceurs firent place rapidement aux baisers à trois, là ou les langues se mélangent. Je n'avais jamais connu cela avant.
Je découvrais un nouveau jeu mais ce n'était qu'un début...

Au bout d'un court moment nos étions tous trois à poil sur la moquette , occupés à lécher sucer caresser tout ce qui se trouvait sous ou sur nous , bites , anus, fesses, bouches, langues, poils...

Quand Léopold enculait avec passion son copain Gérard, celui ci me pompait le pénis avec douceur et la bouche humide et chaude durcissait ma bandaison tant et si bien que sans calcul je me retrouvais entraîné dans une double pénétration du cul de Gérard qui geignait de plaisir alors que les bites de Léopold et la mienne se frottaient dans le trou de ce tendre garçon et nous donnait un plaisir inconnu et partagé , donner pour recevoir, oui encore et toujours.

Le tourbillon de cette échange était ponctué d'éjaculations partagées et juteuses, nos spermes mêlés emplissaient nos bouches et nos culs, tapissait nos visages et nos fesses et le plaisir donnait à tout cela un goût fantastique ; celui de l'interdit bafoué.


Je finis à mon tour par connaître la douleur et le plaisir infini du double enculage.
Mon trou béant recevait le bonnheur des deux amants, le beau blond et le magnifique métisse ; tous deux synchrones et si bien membrés. Leur jus vint se mélanger dans une même éjaculation Sirupeuse et odorante. Mon cul leur en était reconnaissant.

Nos échanges terminés nous nous couchâmes tous les trois, blottis ensemble jusqu'au petit matin...

Dans deux jour je devais revoir mon ami Marc-Henri et je lui détaillerai ce que j'avais vécu ce soir.

Je me demandais déjà qui serait notre complice et mon imagination allait bon train ; que de fantasmes !
Je ne savais pas si je pouvais attendre deux jours pour lui raconter. Dès le soir même je lui téléphonerai.

Comment allait-il réagir, tiendrait-il notre contrat et lui qu'avait-il pu vivre ces derniers jours ?


Cela mérite bien d'autres chapitres, non ?,,

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