Quelle Histoire

Une bonne soirée !
Après une bonne journée de travail je prends un verre au bar d’à côté, pour faire tomber la pression. Arrivé, le barman me jette un coup d’œil je lui fais signe de la tête, il me sert un demi. Nous avons ce rituel depuis quelques mois, nous avons d'autres truc, il regarde dans la direction d’une fille pour me dire qu’elle a posé des questions à mon sujet de ce fait je peux entreprendre une approche.
Ce soir c’est le cas, je prends mon verre et me dirige vers la demoiselle, je la salue par son prénom que Denis m’avait glissé discrètement à l’oreille. Donc je m’approche et dis « bonjour Marie » la demoiselle surprise me lance un regard interrogateur, je me présente et ne manque de lui indiquer que je l’avais remarqué depuis plusieurs jours et qu’elle illuminait cet établissement par sa beauté (c’est vrai qu’elle était jolie la coquine).
Après quelques verres nos vies et sentiment échangées une envie présente me fait quitter la salle, lorsque je sors de l’urinoir Marie est plantée devant moi, « j’ai envie de te sucer ».
Je lui réponds "là maintenant?" elle réplique « si tu es capable d’éjaculer rapidement» et comme elle me caresse la bite pendant qu’elle me parle je bande déjà très dure, elle le sent.
Marie n’attendit pas ma réponse et se mit à genoux tout tant baissant mon caleçon, ma bite dans sa bouche une main me masturbant rapidement nous étions dans un moment de speed car mon foutre lui remplit la boîte à sucette en moins de deux minutes, c’est la pipe la plus rapide de ma vie, en même temps je ne m’étais pas branlé et je n’avais pas baisé depuis un moment ce qui explique le fusil chargé, il était temps de délester.
Plus tard dans la soirée Marie me demande si j’ai envie de la baiser. Je lui dis que oui. La nuit était bien entamée elle me dit-on va chez moi ». nous arrivâmes dans un lotissement plutôt bourgeois, je devine qu’elle vit encore chez ses parents, elle me rassure en disant qu’ils étaient cool, alors je ne me fis pas prier.

Nous sommes dans sa chambre, Marie me pousse sur son lit commence une danse érotique tout tant se déshabillant, lorsque arrive le moment des sous-vêtements qui étaient très sexy, elle se mit à genoux et baissa mon pantalon avec mon caleçon en même temps, ma queue surgit d’un coup, je bandais déjà bien fort et dur.
« Toujours prêt » me dit-elle. Cette petite salope mit ma verge dans sa bouche, elle suçait, suçait comme si elle voulait me bouffer la bite. Elle y mettait du cœur, des premiers spasmes et des prémices de sperme arrivèrent, alors je l’allongeai sur le lit et lui mit dans sa fente d'un seul coup mon dard: elle était humide et chaude. Elle ondulât tout de suite, je la limais de toute ma bite, quinze centimètres d’aller et retour, avec en prime des coups de butoir en fin de parcours, qui lui arrachaient des gémissements à chaque fois.
Encore une fois je sentis le plaisir venir, je stoppais net pour la retourner mais elle me demanda de lui brouter le minou, ce qui m’arrangeait pour calmer mon excitation, faire retomber la pression... Je lui donnais des coups langue en lui enfonçant mes doigts, des mouvements de va-et-vient, des sucions, du léchage, je lui dévorais la chatte qui sentait bon la femme.
Une fois qu’elle eut un orgasme je la retournai pour la prendre en levrette pour la pénétrer encore plus profond. J’avais beaucoup de mal à retenir mon foutre et lorsque Marie se mit la main pour se caresser le clito et se donner un orgasme, mon jet lui jaillit dans le fond de son vagin et la coquine lâcha un dernier gémissement de plaisir.
Après quelques ondulations je demandais si je pouvais aller boire quelque chose, Marie m’indiqua la cuisine en me précisant qu’elle m’attendait pour un nouveau chapitre. Je descendis en caleçon vu qu’il était deux heures trente du matin je ne risquais pas de rencontrer quelqu’un, enfin c’est ce que je pensais.
Dès que je fus installé sur l’ilot central avec ma petite collation car je ne peux résister à un poulet froid moutarde et ketchup servit avec une roteuse bien fraiche, c’est qu’il faut de l’énergie pour suivre le mouvement.
Je me régalais quand j’entendis des pas et vis une femme arriver dans la cuisine, elle était blonde, assez grande et les mêmes yeux que Marie ce qui me fait croire qu’elle est sa mère, elle était vêtue d’une robe de chambre façon kimono en satin qui laissait deviner une poitrine importante mais qui se tient et lorsqu’elle me rejoint j’aperçus dans sa démarche qu’elle n’avait pas de chemise de nuit, peut être une culotte ou un string mais en tout cas elle était fort jolie et bien conservée pour son âge que j’estimais de quarante a quarante-cinq ans.
Elle prit la parole la première «bonsoir, vous êtes Franck? », je réponds un oui timide avec un bonsoir bas. Elle ajouta que sa fille lui avait parlé d’un jeune homme qu’elle voulait séduire et éventuellement le ramener ce soir. Pendant qu’elle me parlait de la complicité qu’elle avait avec sa fille je ne pouvais pas m’empêcher de la reluquer et lorsqu’elle changeât son croisement de jambes je vis qu’elle n’avait pas de string ni culotte. Son sexe était bien taillé, j’eus une demi-gaule de suite et plus elle me parlait plus je bandais quand tout à coup elle stoppât et me regarda fixement.
Je me dis que je suis fait comme un rat, elle reprend pour me dire que j’ai de la sauce sur le menton et qu’il y a une serviette dans le tiroir derrière moi, merde! Moi qui ai un détail qui ne va pas lui échapper sur mon anatomie pour le coup je suis fait ! Alors, sans complexe je me lève lui tourne le dos prend la serviette m’essuie le visage et bande toujours, ainsi je reviens face à elle, je vois ses yeux regarder mon caleçon déformé par ma bite en piquet de tente.
Elle sourit et me dit "c’est pour moi que tu as la trique?" "Pour qui d’autre, nous sommes seuls » j’ose répliquer. La mature baisse les yeux en rougissant je sens que je peux la dominer, je lui dis que c’est une belle femme et vêtu de la sorte qu’elle est ment super-bandante, je me lève, la queue au garde-à-vous, me dirige vers elle lui glisse la main dans l’ouverture de son kimono pour lui attr le sein.

Elle dit un petit « non » je lui prends la chevelure et lui tire pour qu’elle penche la tête en arrière et lui met la langue dans la bouche, ma main glisse sur le nœud de sa ceinture j’ouvre son habit ce qui laisse surgir ses seins volumineux un ventre plat et un sexe bien tailler comme je l’avais vu précédemment.
Je lui prends la main et la glisse dans mon caleçon, elle répète un « non » timide mais elle caresse la tige que je frottais sur elle, elle me masturbe et maintenant elle me met la langue dans la bouche. Je lui prends les nichons et les palpes, elle descend sa bouche le long de mon corps pour finir sur ma bite, je lui ôte son kimono et lui prend la tête entre les mains. Elle me suce goulument en faisant des bruits de sucion énormes, elle me branle, me suce, me caresse en alternance et d’un geste elle se jette sur la table la poitrine écrasée, je comprends qu’elle veut que je lui fourre mon braquemart dans le minou, ce dont je ne me fait pas prier. Elle était bien lubrifiée car la pénétration s’est faite toute seule, elle lança un cri étouffé, je la limais sans m’arrêter des coups violents se suivaient, elle aimait ça!
Je pris ma bite dans la main lui caressa l’anus avec mon gland enduit de mouille, elle me dit qu’elle ne l’avait jamais pratiqué, je ne répondis rien et lui enfonce dedans, elle serre les fesses comme pour m’interdire l’entrée, je lui écarte le cul et ma queue glisse dans sa grotte, elle couine mais se laisse faire s’abandonne à ma perversité, je suis comme possédé je n’arrête pas, dans la chatte dans l’anus et encore dans le minou je la retourne l’allonge sur le sol la prend en missionnaire.
La pénétration lui faire lâcher des mots incompréhensibles, elle me dit qu’elle va devenir folle, je lui prends la main pour qu’elle se caresse, elle ne veut pas, je la force en lui disant de faire ce que je lui dis, avec autorité. Puis je me lève, elle se met à genoux, veux retirer sa main de son sexe, je lui ordonne de continuer pendant que je me masturbe dans sa bouche, je là tiens par les cheveux, je sens que mon sperme va gicler, mon plaisir arrive et elle gémit, elle jouit, je lui enfonce ma bite dans le fond de la gorge, éjacule en jouissant aussi.
Je me finis lentement alors elle me prend l’engin et me nettoie à grand coup de langue.
Je remonte mon caleçon et m’apprête à partir, elle me dit « jamais on m’a baissé comme ça, je m’appelle Françoise ». Je la regarde assise sur le sol et lui dit « si tu veux que l’on recommence tu feras ce que je te dis ». « Tout ce que tu veux!! »
De retour dans la chambre Marie s’était endormie, je ne fais pas de bruit pour me coucher et m’endors aussitôt. Au petit matin, vous savez quand nous sommes entre le sommeil et le réveil ou nous rêvons et qu’on aime le songe que l’ont fait, pour ma part rêver de sexe est un de mes rêves préférés. Je m’éveille donc et sens une sensation agréable sur ma verge, c’est chaud, humide, j’ouvre les yeux pour vérifier si je dors ou pas ! Non, c’est Marie qui me pompe, elle est aussi douée que sa mère.
Elle me regarde et me dit en me branlant « tu m’as pas réveillé cette nuit, alors je ratt le temps perdu ». Elle se retourne me montre son cul et sa vulve et ajoute « si tu es réveillé, baise-moi ». Je me positionne, la pénètre ; une petite pipe, une petite branlette, une petite levrette au matin rien de tel pour commencer la journée. En un instant on toque a la porte et celle-ci s’ouvre, Françoise, elle voit sa fille en train de se faire niquer comme une chienne, elle referme aussitôt, en bredouillant des excuses. En continuant de limer ma partenaire j’entends les derniers mots de l’intruse « quelle santé ».
Nous finissons nos ébats dans des râles de plaisir, je lui éjacule mon foutre sur l’anus et m’amuse avec mon gland à lui étaler, mais cela m’excite, je ne débande pas, alors je lui enfonce dedans, elle me dit « je n'ai jamais pratiqué la sodomie », je souris en pensant à ma nuit passer dans la cuisine, mais ne m’arrête pas.
Elle serre les fesses, décidément, je lui écarte le cul et lui met mon pénis entier, elle couine comme sa mère, mes aller-retour se fond profonds, lorsque je la sens sèche je retourne dans le vagin chercher de la mouille et dans l’anus et dans la chatte ainsi de suite cela a pour effet de faire jouir ma coéquipière qui ne sait plus quoi, ou, et qui est complètement à ma merci.
Je finis allongé sur elle, Marie continua à tourner du cul un petit moment. Le soir même, après ma journée de travail, Marie m’avait donné rendez-vous chez elle, lorsque je suis arrivé elle n’était pas là, mais sa mère était dans la cuisine en train de préparer le diner, je m’approche d’elle, je sens qu’elle respire fort, Françoise est un peu gênée, je lui glisse la main entre les jambes et découvre une culotte, je lui glisse à l’oreille « je ne veux plus que tu mettes de sous-vêtements pour que je puisse te caresser ou te pénétrer rapidement, furtivement. » Elle rougit et alla dans sa chambre.
Elle revint dans la cuisine, je me rapproche à nouveau, lui glisse la main dans son corsage et l’autre entre ses cuisses, Françoise mouillait déjà, elle bougeait son bassin de façon à ce que mes doigts lui entrent dans sa chatte, elle penchât la tête en arrière, je lui colle ma langue dans la bouche.
Alors que quelqu’un ouvre la porte d’entrée, nous nous séparâmes en un éclair et au moment au je m’assois sur la chaise de la cuisine Marie entra « Bonjour, déjà arrivé? » me dit-elle. Je lui explique que l’on m’a donné ma soirée et nous passons à table, le repas se passe, j’avais une demi-gaule en passant à Françoise sans culotte et soutient-gorge, on pouvait voir les tétons pointer lorsqu'une petite brise entrait par la fenêtre. Cet été était chaud, lourd nous n’étions pas beaucoup vêtus... Lorsque le diner arriva à sa fin Marie me pria d’aller dans le salon préparer la vidéo qu’elle avait louée avant de rentrer. Une fois installé, les filles arrivèrent en tenue de soirée, Marie en nuisette, Françoise en kimono de satin, elles me demandèrent d’en faire autant, alors je me mis en caleçon et débardeur.
Le film commença et je ne pouvais m’empêcher de mater les deux femmes qui étaient assises avec moi, ma bite se durcissait. Je fis signe à Françoise d’ouvrir les cuisses, elle ne le vit pas au premier signe, j’insistais d'un regard plus noir, elle s’exécuta, et bien sûr je bandais encore plus fort en voyant sa chatte humide. Pendant ce temps Marie s’était assoupie, alors je pris ma bite dans mon caleçon et me masturbais Françoise me voyant me jeta un regard inquiet, je lui fis comprendre qu’il n’y avait pas de risque, je l’invitai à faire de même, elle commençait timidement mais déjà très excitée par la situation ondulât de plus en plus, ce qui nous freinât. Marie qui bougeât me libérant un peu, ma bite était à la portée de ma complice, je lui mis la main derrière la tête en la dirigeant vers mon braquemart et elle ouvrit la bouche avec bonne volonté et commençait à me sucer.
Imaginez le tableau: une jeune femme endormie sur mon épaule droite et de l’autre côté, une mature super-bien foutue qui me suce. Marie bouge encore ce qui effraie Françoise, elle s’éloigne, Marie ouvre les yeux doucement et me dit qu’elle va se coucher, je lui réponds que je la rejoins après le film.
Une fois que l’on entend la porte se fermer ma complice me regarde et en me disant qu’elle avait eu peur que sa fille ne découvre notre histoire se jette sur ma bite pour me la sucer de plus belle, je lui ôte son vêtement, elle vire les miens et on s’allonge dans le canapé.Elle est sur moi m’embrasse sur tout le corps, tantôt la bite dans la bouche où elle me suce comme une furie, tantôt me branle en m’agitant sa vulve sur le nez pour que je lui bouffe puis je me retrouve allongé sur son dos et la pénètre d’un coup. J’étouffe ces cris avec la main sur la bouche qu’elle me lèche et suce, mon autre main trouve son clito et joue avec. Je la baise et la branle en même temps, elle n’en peut plus et s’abandonne à crier de plaisir. Moi je la pénètre de toute ma queue en donnant de grands aller-retour et jouis en même temps. Nous reprenons nos esprits en regardant la fin du film, lorsque celui-ci finit Françoise m’indique qu’elle va se coucher, je reste dans le salon en zappant, je tombe sur un film porno de la chaine payante et le regarde. L’effet ne met pas longtemps à se produire, je bande, je prends ma queue dans la main gauche et me masturbe doucement, lentement sans précipitation, je recherche le plaisir de la branlette, je joue avec mon sexe pendant les dialogues et reprends pendant les scènes chaudes. Marie qui était revenue discrètement par une autre porte de la salle à manger collé au salon m’observait depuis un moment en se touchant le clito, elle m’interrompt en disant « tu as peut-être besoin d’aide », surpris je lui demande si elle est là depuis longtemps ? Elle me répond qu’elle a été réveillée par des gémissements et des cris et qu’elle avait compris lorsqu’elle m’avait surpris la bite à la main en regardant le porno. Marie s’agenouille entre mes cuisses, pose ses mains sur les miennes, donnent un mouvement de haut et de bas et enfourne juste mon gland dans sa bouche, c’est très bon je m’adosse sur le canapé la regarde faire, c’est beau et bon. Je regarde la télé et l’actrice taille une pipe en même temps, c’est drôle on dirait une partouze virtuelle, lorsque l’acteur prend la femme en levrette je fais signe à ma coéquipière de changer de position. Elle me dit qu’elle veut regarder le film aussi et pour se faire elle s’assoie sur ma bite en direction du poste, monte et descend, en me baisant elle se touche et met ses doigts dans la bouche pour les sucer, elle imite la blonde à forte poitrine, lorsque le plaisir des femmes arrive je me lève et dépose Marie sur la table de salon en position de la vache, je suis debout derrière, elle genou sur la table et je la baise avec des grands coups de bite bien durs. Elle gémit en regardant la télévision ou la blonde se fait prendre par deux gars, des gémissements viennent des femmes réelles et virtuelles, ce qui nous donne l’excitation pour finir nos ébats dans des cris de plaisir.
Je suis resté un moment avec Marie je la baisais tous les jours, sa mère aussi, j’ai vécu une belle histoire, mais cela ne pouvait pas durer alors je suis parti un matin sans rien dire ni à l’une ni à l’autre.

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