Leslie La 18

Leslie LA18 – Laure, le journal intime - Encore trop bon

Après mes premières expériences sexuelle je sentais que je pouvais être une jeune fille épanouie, j’ai commencé ma vie sexuelle et je ne pensais pas un seul instant arrêter ma quête du plaisir et de passer à l’acte aussi souvent que cela me serais permis, ne pas laisser passer les occasions qui me seraient offertes…
Par exemple, m’acheter les dessous dont je rêvais, oser entrer tout simplement dans un sex-shop pour demander des films pornos ou oser acheter un livre érotique.
Je comprenais que je pouvais offrir et donner mon corps, pas seulement par amour, mais tout simplement pour mon plaisir.
Mes caresses, solitaires étaient maintenant loin d’être timides, et l’utilisation d’accessoires m’a fait découvrir de grandes sensations.
J’ai parlé à ma mère qui voyait ma transformation, voyait que je m’épanouissais, que sa petite fille était maintenant devenue une femme, même si j’étais un peu jeune pour elle, et que j’allais profiter de la vie et surtout du sexe.
J’avoue être restée un moment, songeuse en pensant à mon tiroir rempli de mes sous-vêtements, en me demandant lequel ferait le plus bander l’homme qui allait m’aborder ou faire mouiller la femme qui allait m’entrainer dans son lit.

Voilà, c’est ainsi et à cet instant, revenant à la vie après m’être perdue un instant dans mes pensées, je suis dans le train me conduisant chez des amis de ma mère, un couple très libre qui m’a invité à passer le premier week-end des vacances de Pâques dans leur maison en Normandie.
J’étais là, ma longue chevelure laissée libre et s’étendant sur mes épaules et allant caresser mon dos, le haut de mon corsages trop légèrement ouvert sur ma poitrine nue, avec une jupe plus courte que la normal et les pointes de mes seins tendus par les pensées érotiques.
Je ne m’étais même pas rendue compte que mes cuisses étaient maintenant ouverte sur mon intimité nue et que ma voisine d’en face se délectait du spectacle que je lui offrais inconsciemment, elle avait tout vu cela était certain et comme nous étions seules dans le compartiment, elle m’a dit :
- Je vois que comme moi, vous êtes une adepte du sans culotte !
Et pour me le prouver, elle a écarté et soulevé ses cuisses me laissant entr’apercevoir sa chatte nue et bronzée sous sa petite jupe, complètement épilée, lui donnant un air de gamine.


A cet instant j’ai pensé que moi aussi, un jour, je devrais complètement m’épilée et voir l’effet que cela ferait à ceux ou celle qui me verrait ainsi, car avant de partir je m’étais tout de même soigneusement taillé court les poils de mon pubis …
Mais là, je lui ai juste dit :
- Au moins nous ne risquons pas de mouiller nos culottes.
Nous sommes parties dans un fou rire, et j’ai remarqué que la pointe de ses seins frémissait sous le tissu léger de son chemisier, excitant…
Malheureusement ma compagne de route est descendue à l’arrêt suivant et nous nous sommes dit au revoir, après m’avoir donné son adresse en me disant :
- On ne sait jamais !
Elle m’a embrasé d’un léger baiser sur les lèvres en prenant soin de me passer un doigt sur ma vulve libre et disponible aux attouchements.
Je suis restée sans voix, alors qu’elle sortait du compartiment en portant le bout de son doigt à ses narines pour sentir mon intimité.

Le reste du trajet s’est faite alors que j’étais sur un nuage.
Encore dans le souvenir de ma brève rencontre, je pensais à ce couple qui m’attendait, je savais pour les avoir entendus parler à ma mère, qu’ils étaient très libres, portés sur le sexe et devaient s’adonner à l’échangisme, peut-être même qu’ils avaient eus des relations avec ma mère dans le passé.
Ils m’avaient invités et trop heureuse de passer un week-end à la campagne, j’avais accepté, ma mère m’avait dit qu’ils avaient beaucoup d’expérience et pouvait beaucoup m’apprendre dans le domaine du plaisir et du sexe et avant de partir, elle m’avait juste dit, comme pour me prévenir :
- Fais attention à toi !

L’arrivée chez mes hôtes, Henri et Claire, s’est faite à la nuit tombante et, après avoir été reçue par le couple et installée dans ma chambre, je me suis rafraichie sous la douche avant de descendre diner, simplement, avec juste ce qu’il fallait pour maintenir le dialogue, mais fatiguée, j’ai pris congé et je suis montée dans ma chambre et là, je me suis jetée dans le grand lit qui me tendait les bras et je me suis endormie aussitôt, nue.

C’est la chaleur du matin qui m’a réveillée, une douche pour démarrer et être fraiche, et je me suis vêtue légèrement, mini-jupe et chemisier, rien de plus.
Le miroir m’a renvoyé mon image avec mes seins qui pointaient sous le tissu ultraléger et mes poils pubiens prêts à se montrer à chacun de mes mouvements… Je faisais vraiment fait fort, je le savais, mais je sentais que j’allais passer un moment mémorable.

Ils m’attendaient pour le petit déjeuner et paraissaient très décontractés, lui un homme mûr, la cinquantaine, elle plus jeune, la quarantaine.
Pendant le petit déjeuner, nous avons parlé très librement, et ils ne sont pas cachés que je leur plaisais et qu’ils ne seraient pas contre m’apprendre certaines choses sur le sexe.
Alors je leur ai dit :
- Je ne suis pas contre d’apprendre et de développer mes connaissances sur les choses du sexe, mais pouvez-vous me conseiller, m’apprendre, voir m’emmener sur les rives du plaisir ?
Et pour prouver que j’étais prête à les suivre, je me suis reculer de la table et j’ai déposé un pied sur l’accoudoir du fauteuil de l’homme, lui laissant parfaitement voir mon pubis près à tout.
Il n’a pas perdu son flegme et m’a répondu d’une voix sage et calme :
- Ma belle, l’homme a besoin du plaisir de sa compagne, il va falloir apprendre à avoir du plaisir et aussi à vous donner, et alors vous en donnerez à tous vos partenaires. Pour arriver à cela, vous devez d’abord apprendre à vous connaître vous-même. Les femmes ont une richesse de jouissance que les hommes n’ont pas. Commencez doucement par le plaisir clitoridien puis vous découvrirez les plaisirs vaginaux, et enfin vous découvrirez, j’en suis certain, les plaisirs buccaux et même anaux, et même si vous avez déjà pratiqué, vous verrez que ce n’était rien par rapport à ce que vous vivrez alors.
C’était apparemment simple, il m’a regardée et a rajouté :
- Commençons par le plaisir clitoridien.

Sous le charme, je l’ai écouté et ma main s’est glissée sur ma fente, écartant légèrement mes lèvres.
Mon doigt s’est mis à aller et venir sollicitant mon petit bouton rose.
Très bien, Laure, libérez-vous et desserrer vos cuisses, soyez décontractée. Et n’oubliez jamais que c’est la fête à tout votre corps, vos seins attendent aussi des caresses.
Je l’ai écouté, j’ai mis mes deux pieds bien écartés sur le transat faisant ainsi profiter mon clitoris du regard de mon guide puis j’ai défait les boutons de mon chemisier pour faire profiter mes seins tendus de mes caresses.
C’était bon, je me masturbais jambes écartées, seins entre les mains devant cet homme et sous le regard attentif de sa femme, visiblement excitée par le spectacle.
Des picotements me montaient du bas du dos, j’étais au bord de l’explosion quand Henri s’est tourné vers Claire et lui a demandé :
- Qu’en pensez-vous mon amie ?
- Splendide ! Dit-elle.
- Allez, montrez-lui ! Dit-il.
Elle m’a tendu la main en m’invitant à la suivre.
- Venez, Laure, n’ayez pas peur, nous allons vous guider sur la voie du plaisir.

Je dois avouer que depuis que j’étais arrivée chez ce couple, je pensais à ma mère qui m’avait dit de faire attention à moi, et je ne profitais pas pleinement de la soirée, alors à cet instant j’ai décidé de suivre mon intuition et de faire confiance à mes hôtes.
Juste faire attention et profiter un maximum…

A suivre…

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