Leslie La 28

Leslie LA28 - Laure, le journal intime - L’installateur

C’est lors du changement de la porte d’entrée que j’ai connu, Diego, mon oncle pour ma sécurité avait jugé utile de remplacer la porte d’entrée de l’appartement par une porte blindée et sécurisé, avec l’installation d’un système de surveillance.
Dany, c’est le prénom qu’il arborait sur sa combinaison de travail s’est présenté le matin à huit heures, travaillant pour la société qui avait été retenu par mon oncle, il d’après ce qui m’avait été dit spécialiste en montage de portes-blindées et en alarme.
Baraqué, plutôt grand, un mètre quatre-vingt-cinq, tout en muscles, la trentaine environ, il m’a fait grande impression quand je lui ouverte ma porte.

Ce mardi-là, j’avais prévue de rester à la maison pendant que la porte serait montée et j’étais vêtue décontractée, comme quelqu’un qui va passer sa journée à rien faire ?
Grand tee-shirt ample couvrant ma nudité et un petit boxer d’appartement, ample lui aussi.
Tandis que Dany s’affairait à son ouvrage, j’en ai profité pour faire un peu de repassage, devant la télé, et à dix heures, à l’occasion d’une pause je lui ai proposé un café, qu’il a aussitôt accepté avec joie.

Installés au salon, l’un en face de l’autre, nous avons parlé de tout et de rien pendant qu’il dégustait son café, nous trainions un peu ne voyant pas le temps passer.
Assis sur le canapé en face de moi, je voyais son regard fixe sur mon entrejambes, et c’est à cet instant que je me suis aperçue que mon large boxer baillait indécemment sur mon intimité, laissant à sa vue ma chatte nue.
J’ai resserré aussitôt mes jambes en l’observant, un peu mal à l’aise, il le remarqua et me dit :
- Trop beau !
- Excusez-moi, mais je ne pensais pas que…
- Ce n’est rien, je retourne au travail et peut-être m’en montrerez-vous un peu plus tout à l’heure !
- Voyons, dis-je, un peu de tenue, ce n’était que fortuit.


- Fortuit ou pas, j’ai envie de vous embrasser.
Et il retourna à son travail, et je pense qu’il mit beaucoup de cœur à l’ouvrage car la porte fut terminée avant midi.

Me demandant de venir constater le travail, je vins vers lui, mais il ne me laissa pas le temps de dire quoi que ce soit, que déjà ses lèvres se posaient sur les miennes.
Je n’ai même pas réagit, je me suis laissée faire, appréciant la chaleur de sa bouche. Je sentis sa langue e mes lèvres, et nous sommes partis dans un baiser fougueux.
Ses mains commencèrent à caresser mon corps, je le sentais sur mes hanches, dans mon dos, sur mes seins, il les faisait courir sans cesse, mettant mon corps en ébullition, alors il me dit :
- Je savais que tu n’attendais que cela, t’es une belle petite salope.
Je me sentais bien dans les bras de cet homme, et je commençais sérieusement à mouiller.

Il m’enleva mon tee-shirt et caressa doucement ma poitrine qui réagit tout de suite, puis il prit mes seins en mains, les caressant doucement, les malaxant avec tendresse, serrant les tétons érigés. Puis il plongea sa bouche pour saisir entre ses lèvres l’une de mes pointes. Il le suça longuement, passant d’un sein à l’autre. Je ressentais de doux picotement dans mon bas ventre, je jouissais de ses douceurs.
Alors qu’il continuait cette douce , l’une ces mains se glissa dans mon boxer, suffisamment large pour l’accueillir, et sans qu’il quitte mes seins de sa bouche, sa main caressa mon sexe nu, déjà il trouvait mes points sensibles, ses doigts caressaient maintenant mes grandes lèvres, doucement entraient en moi, parcouraient mon sillon jusqu’à mon clitoris.
Il me caressait si bien, que je ne pus contenir ma jouissance. Mon sexe semblait envahi par un chaud liquide qui s’écoulait sur les doigts de Dany. Il se recula et me regarda avec un sourire et une tendresse infinie. Alors il me dit :
- Tu mouilles comme une vraie salope, que du bonheur !

Il était encore habillé.
Je me mis alors à m’occuper de lui aussi bien qu’il s’était occupé de moi. Debout près de la porte d’entrée, je le déshabillais.
Je découvrais un torse imberbe, musclé, bronzé. Je le parcourais de ma bouche, allant de ses tétons à son ventre, remontant dans le cou, palpant de ma main la bosse de sa combinaison de travail.
Je décidais alors d’ôter et de découvrir son membre, je descendis sa combinaison et son sexe m’apparut droit, dur et entièrement épilé devant mon visage :
- Mais vous ne portez pas de slip ?
- Avec les clientes comme toi, il faut être prêt !
- Vous prévoyez tout d’avance ?
- J’espère seulement.

J’étais, maintenant à genoux devant ce beau sexe. J’approchais mon visage, puis ma bouche du gland, je donnais quelques coup de langue, et pris son sexe dans ma bouche.
J’essayais de le faire entrer en entier mais il était bien trop gros, j’aurais tant aimé lui faire une gorge profonde.
Je commençais à faire des allers retours, attentive au moindre de ses réactions. Je le sortais de ma bouche et descendais pour flatter ses testicules de ma langue, puis remontais pour le reprendre en bouche tout en caressant ses belles couilles avec ma main. Je pompais de plus en plus vite, mais il me dit :
- Arrêtes, salope, tu vas me faire jouir !
Mais je continuais, décidée d’aller jusqu’au bout et de le faire jouir entre mes lèvres comme la salope qu’il me disait être.
Je le sentis gonfler dans ma bouche et les premières giclées arrivèrent sur ma langue. Je ne bougeais plus, je laissais Dany faire le mouvement. Il jouissait dans ma bouche. Je le regardais pour ne pas perdre un instant du plaisir que je lui donnais.
Il y en avait trop, ça coulait sur mon menton, puis le filet de sperme descendit sur mes seins, je déglutissais en le regardant dans les yeux, j’étais sa salope et lui mon mâle.

Il se redressa, prit mon visage dans ces mains et s’empara de ma bouche et de ma langue pour un baiser plein de passion.
Il me prit par la main et me guida vers la chambre.
Il m’allongea sur le lit et il me couvrit de son corps, puis de ses baisers.
De nouveau il s’occupait de mes seins, puis ses baisers descendirent sur mon ventre, puis sur mon pubis. Il soufflait sa chaleur sur mon clitoris et mes grandes lèvres, sans même les touchers. Il reprenait ses baisers sur mes cuisses, remontait entre mes jambes, il me faisait languir de sa langue. N’en pouvant plus, alors je lui criais :
- Léchez moi, délivrez-moi, je veux vous sentir sur mon sexe.
- Petite salope impatiente !

Il me fit encore patienter le temps de quelques baisers sur ma poitrine et il se dirigea vers ma petite chatte, il joua avec sa langue entre mes lèvres, puis je reçus le contacte de sa bouche et de sa langue sur mon bouton d’amour comme une délivrance. Il me le suça divinement bien. Il allait de mon vagin à mon clito avec une infinie douceur.
Aspirant mes grandes lèvres, mon clito, me pénétrant de sa langue, je devenais folle. Il me fit jouir comme ça, juste en me léchant. J’eus un orgasme très bruyant, lui agrippant les cheveux pour le plaquer très fort contre mon sexe.
Il se redressa, me fit partager mes propres sécrétions dans un baiser toujours aussi passionné, je les goûtais en sentant son sexe dur battre entre mes cuisses.
J’écartais les cuisses pour lui faire comprendre que je l’attendais en moi avec impatience. Il poussa son gland à l’entrée de mon vagin, un frisson parcourut tout mon corps, je le sentais enfin pénétrer en moi.
J’avais l’impression que sa progression ne finirait pas. Il allait toujours plus profond dans une lenteur calculée, enfin ses testicules s’écrasaient entre mes fesses.
Je percevais son sexe si profond que c’était une sensation extraordinaire.

Il bougea en moi lentement, il savourait l’instant présent, je le regardais dans les yeux, puis il s’activa de plus en plus rapidement, faisant parfois de petit mouvement circulaire avec ses hanches, son pénis frottait alors de nouvelles zones sensibles, je ne pouvais me retenir de crier ma jouissance.

Celle-ci s’accentua encore lorsqu’un doigt vint me titiller l’anus. Mon petit trou était enduit de ma mouille et le doigt inquisiteur entra dans mon antre intime.
Il m’arrachait encore un orgasme terrible. Il continua ses va-et-vient longtemps, infatigable, puis il me demanda de me mettre en levrette pour me pénétrer de nouveau, je le sentis encore plus loin cette fois, plus vite, plus fort, je n’étais qu’une boule de jouissance.
Ces gestes commencèrent à être désordonner, il se crispa, j’attendais de recevoir son jus d’homme dans ma chair, puis il se lâcha complètement me remplissant le ventre et la chatte de son foutre chaud.
Il resta quelques minutes en moi, sans débander, puis il se retira, en me laissant allonger sur le ventre.
En se redressant il me dit :
- Je vais manger un morceau, je reviens pour poser l’alarme et après je t’enculerais !
Devant mon étonnement, il rajouta :
- T’es d’accord ?
- Euhh… Oui.
- Bon je reviens !
Dès qu’il est parti, j’ai pris une douche, puis après m’être séchée, je suis restée nue, disponible et j’ai attendu son retour…

Il est revenu vers quatorze heures et il m’a félicité de me retrouver nue.
Il m’a embrassé, caressé, doigter le cul et retournant à l’ouvrage, il m’a dit :
- Tu vas adorer, ton petit cul est souple et prêt. T’aime te faire enculer ?
- Je ne déteste pas !
- T’es bien une salope !
Deux heures plus tard, il me chevauchait son membre enfoncé au plus profond de mon cul, il m’a ainsi enculé pendant près d’une demi-heure avant de jouir au fond de mes entrailles.
Avant de partir en m’embrassant une dernière fois, il m’a tendu sa carte de visite en me disant :
- J’assure aussi le service après-vente !

A suivre…

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