Leslie La19

Leslie LA19 – Laure, le journal intime - Encore trop bon, suite

Je l’ai suivie dans leur chambre, elle s’est arrêtée devant une armoire qu’elle a ouverte, me faisant découvrir des trésors, je n’en revenais pas, sur deux étagères il y avait un étalage d’objets plus étranges les uns que les autres, des pénis de différentes tailles et couleurs, des sortes de billes, des vibromasseurs et un ensemble de petites culottes en cuir, en tissus ultrafins ou composées de quelques ficelles et chaînettes. Des porte-jarretelles, des jarretières et même des genres de guêpières…

Elle a alors soulevé ma jupette, et a porté un regard attentif à ma chatte soigneusement taillée et encore toute frémissante, en disant :
- Je vois, vous êtes une jeune fille pleine de surprises !
Puis elle a pris un petit godemichet, en rajoutant :
- Prenez le, il vous ira bien, il vous aidera à trouver le chemin de certains plaisirs. Faites-en bon usage c’est mon tout premier compagnon et il m’a donné bien du plaisir.
Puis d’un geste, elle s’est mise le bas du ventre nu pour me montrer son sexe entièrement épilé, paré d’un petit anneau doré serti d’un gros diamant qui en soulignait les lèvres.
- C’est très beau, lui ai-je dit, fascinée.
- Les hommes aiment beaucoup, peut-être que je vous épilerais.
Nous sommes restées un instant comme ça à nous échanger des regards complices.

Nous sommes retournées au salon où nous attendait Henri, et je me suis rendue aux toilettes pour satisfaire un besoin bien naturel, le temps de me sécher l’entrecuisse et d’admirer un instant mon nouveau compagnon et j’étais de retour auprès de mes deux compagnons.
Ils n’avaient pas perdus de temps et en revenant j’ai eu droit à la vision de mon hôtesse en train de sucer avidement le sexe d’Henri, qui avait l’air comblé, visiblement je les avais inspirés et ça m’a fait plaisir.
Mais Henri me voyant plantée au milieu de la pièce me dit de sa voix douce :
- Allons, Laure, ne faites pas la timide, installée vous confortablement et donnée-vous du plaisir…
Alors m’installant confortablement dans un des fauteuils face à eux, je commence à me masturber, lui bande, elle suce, je mouille, comme quoi ce n’est pas si compliqué que ça d’avoir un bon moment et loin des tabous, tout le monde est heureux.

..
Je masturbais mon sexe luisant, la jupe largement remontée sur mon ventre et le chemisier grand ouvert et, surtout, le gode dans la main. Quand j’ai relevé les yeux, j’ai constaté qu’Henri me regardait avec des yeux d’envie, alors comme pour le provoquer j’ai glissé le gode dans le seul endroit où il devait être à cet instant, en moi et comme j’étais encore toute mouillée, il s’est glissé sans encombre me faisant soupirer de plaisir.

Je n’ai jamais pris autant de plaisir à me goder en étant observée, le contact du cuir du fauteuil sur ma peau nue faisait frissonner mes fesses et surtout mon nouveau compagnon me chauffait l’intérieur. Henri s’étonnait de me voir me dandinant dans le fauteuil en se faisant sucer.
Je faisais mon essai de donner du plaisir à un homme, en me laissant regarder par lui, en train de me goder en faisant aller et venir mon nouvel ami en moi, c’était bon mais j’ai soudain craqué, j’avais un besoin énorme de jouissance, et d’offrir cette jouissance à Henri, alors je me suis attaquée à mon clitoris et à la pointe de mon sein droit. J’étais vraiment au bord de l’explosion car après deux trois caresses, mon ventre s’est mis en feu et j’ai hurlé mon plaisir.
- Bien, m’a dit Henri, très bien !
Cette petite exhibition de masturbation devant Henri et sa compagne, m’avait rendue toute chose et est loin de me laisser indifférente, j’attendais avec impatience la suite…

Henri m’a regardée et s’adressant à Claire, il lui a dit :
- Il faudrait rendre cette jeune fille encore plus gamine !
- Comme il te plaira, mon chéri, lui dit Claire.
- Viens suis-moi, a dit Claire en me tendant la main.
Elle m’a emmené dans la salle de bains où trônait une table d’auscultation et après m’avoir installé, alors qu’un frisson me parcourait le corps, Claire m’a demandé :
- Tu vois, ainsi ce sera plus facile, tu m’expose ta petite moule avec tes cuisses ainsi écartées, j’en vois souvent et je dois avouer que la tienne est très belle, tu as une bien jolie petite chatte.

- Merci, ai-je répondu, en rougissant comme une petite collégienne.

C’était la première fois qu’on allait m’épiler ma toison et qu’on me complimentait sur mon intimité.
Claire a pris un gros catalogue de mode qu’elle a posé sur mes cuisses et nous avons commencé à le feuilleter ensemble…
Extraordinaire, il y avait tous les modèles de chattes, allant du sexe touffu à celui, tendre, entièrement épilé, comme celle d’une gamine. Il y avait des motifs les plus subtils en forme de triangle, de petit carré ou de fins traits laissant un minimum de poils courts…
Et d’autres avec des pubis glabre laissant voir le tatouage d’une coccinelle, d’un cœur ou d’un serpent sortant de sa tanière.
Mais me sortant de mes pensées, Claire m’a dit :
- J’enlève tout !

Elle a commencé par mettre de la cire sur mes jambes, au cas où, ne se gênant pas de pencher en avant et me laisser admirer la nudité des lèvres parfaitement imberbes de son sexe et de son œillet plissé.
Un frisson m’a parcouru l’échine et s’est perdu au plus profond de mon entrejambe, me faisant certainement mouillée un peu.
Claire a sûrement constaté quelque chose car elle à caresser ma chatte en disant :
- Ca à l’aire de te faire de l’effet de savoir que tu vas te retrouver comme moi !
Et elle à rajouter :
- Touche comme c’est lisse, tu seras bientôt comme moi.
Je ne me suis pas fait prier et je l’ai complimentée sur la douceur de son pubis et sur la douceur de sa fente et enfin, au fur et à mesure que ses cuisses se desserraient, sur la douceur de ses lèvres.

Puis sans un mot elle à commencer à se caresser frénétiquement les seins en regardant avidement ma main tremblante avancer en elle. Sans aucune difficulté, je l’ai écartée délicatement, mes doigts étaient déjà bien humides et j’ai commencé à lui titiller le clitoris. Sa tête était maintenant rejetée en arrière et son pied est venu naturellement se poser sur la table, m’offrant toute la beauté de son intimité la plus profonde.

Son sexe entièrement offert, nu, c’était d’une beauté à me rendre folle. J’ai facilement trouvé le chemin de son clitoris, que ses petites lèvres écartées recouvraient à peine et elle à commencer à frissonner à chacune de mes sollicitations.

Mon doigt s’est alors avancé, glissant entre ses lèvres. Mon majeur a été comme aspiré et, sans difficultés, s’est entièrement logé dans son vagin, provoquant un petit cri de plaisir. Je suis restée là pendant un petit moment, allant et venant dans cette chaleur de plus en plus humide, puis j’ai décidé de continuer mon chemin. Mon doigt est sorti doucement, a refermé l’ouverture béante pour aller vers une ouverture encore plus mystérieuse et inconnue.
Quelle n’a pas été ma surprise de constater du bout du doigt que la place était prise. Sa main droite était bien en train de titiller et pincer ses tétons mais son autre bras s’était glissé dans son dos et sa main gauche caressait ses fesses, les écartait et son majeur avait pénétré son anus. Caresse profonde. Elle, au moins, savait chercher son plaisir partout et sans complexes. J’aurais aimé la rejoindre, l’aider à se sodomiser, mais sa main gauche a rapidement agrippé la mienne, posant avec détermination mon doigt sur son clitoris. Elle m’a lancé un :
- Là, maintenant !
Qui en disait long sur son état d’excitation.

En quelques touchers énergiques, je l’ai fait jouir de tout son corps, sa main crispée sur son sein, la langue léchant son mamelon, son ventre tendu, son autre main en plein va-et-vient dans son anus et il lui a fallu quelques minutes pour émerger, encore haletante, les seins en érection, La chatte dégoulinante et le regard épanoui.
- Ma vengeance sera terrible, m’a-t-elle dit…

A suivre…

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