Moi Et Mon Nounours : Chapitre 5

Moi et mon nounours : chapitre 5 :

Salut à mes chers lecteurs ! Vos petits commentaires me font vraiment plaisir, et plusieurs d'entre vous m'ont laissé leur adresse mail. Je rebondis sur ce fait pour vous le redire : n'hésitez pas à m'envoyer un petit mail, ça fait toujours plaisir ! Je ne garantie absolument pas le retour immédiat d'une réponse (entre la fac, mon homme, le sport, etc… je m'en sors difficilement !) mais vous l'aurez, ne vous en faites pas ! Sur ce, c'est parti…

Nous sommes épuisés, essoufflés, pantelants. Il vient se lover contre moi et me murmure un doux "Je t'aime" à l'oreille, au quel je répond un tendre "Moi aussi, Romain, comme un fou…"

Nous finissons notre après-midi collés, même sous la douche pour "nettoyer" nos ébats. Les baisers sont interminables, et les regards chargés de tendresse. Je dois malheureusement le laisser, et c'est le coeur triste que je repars chez moi, et je suis sûr qu'il l'est aussi, rien qu'à voir ce regard de chien battu qu'il me lance.

Le lendemain était organisé avec l'association sportive de mon lycée une sortie d'escalade en montagne. Etant accro à la grimpe, j'y vais, assurément. Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis que Romain était du voyage ! Il est resté en contact avec son prof de terminale (NDA : nous grimpons toujours, Romain et moi, c'est d'ailleurs lui qui m'a initié en seconde à l'escalade, entre autre) qui le coach un peu aujourd'hui niveau sport, et lui a permis de venir s'éclater avec nous. Dans le car, l'ambiance est là, les commentaires fusent, les uns taquinent les autres, et vas y que ça compare les chaussons, et qui c'est qui a le meilleur baudrier, etc.
Moi, je suis juste collé à Romain, tout content de grimper avec lui, et il me le fait notamment comprendre avec cette simple phrase :

"C'est cool ! je suis content qu'on puisse grimper ensemble, ça faisait un bail !"

C'est le coeur léger (ça aide, on perd du poids !…ou pas…) que je commence l'ascension du monolithe.

Je l'ai déjà monté au moins un vingtaine de fois et je crois qu'au final je viens plus pour l'ambiance pour que la grimpe elle-même. Certes, c'est différent, ça change, mais tomber sur une fourmilière entre les rochers et devoir mettre sa main dedans pour grimper (serait pas question de se ridiculiser ! non non, là on passe pour le battant, le mec qui a pas peur devant TOUS les autres !) c'est…moins cool (je parle d'expérience…).
Mais aujourd'hui, celui qui reçoit la "palme" du meilleur grimpeur c'est assurément MON Romain, qui nous explose tous au chrono. Le bougre, il est grand, mince, souple et musclé par des années d'escalade et de sports divers… L'après-midi se termine dans une ambiance bon , tout le monde il est content, il fait beau, les oiseaux chantent…Mais pourtant, une chose me chiffonne. Tous ces gens, avec nous, je leur cache quelque chose…J'ai l'impression de leur mentir, ils croient tous que je suis hétéro ! Mais non. J'aime un mec. Et ce mec est avec nous, avec moi, dans ce bus. La sensation est assez bizarre, en fait. J'ai l'impression d'avoir un masque avec eux. Car je suis sûr que si l'un d'eux me posaient la question "Hey t'es gay ?" je le regarderai un peu avec un air "What the fuck ?" avant de lui répondre un beau "Non mais non, ça va pas ou quoi ?" car on a très rarement vu un mec au lycée répondre par "Bah oui à fond j'adore me taper toutes les queues dans les vestiaires !". Non. Soyons réalistes. Tout le monde ment à tout le monde. Et j'ai l'impression de leur mentir, mais de devoir ME mentir aussi, en n'assumant pas cette relation. Car si on me pose la question, je répondrai à la négative…Et je sais pas, mais l'effet est bizarre. Passons, ça ira avec le temps, je suppose…un jour, tout le monde le saura, et ça sera tant mieux !
Comme la "tradition" des sorties en montagne le veut, tout le monde se douche au gymnase dans les douches communes, et ça dégénère en bataille de savons, aux éclats de rire, aux glissades sur le carrelage, et j'en passe.
Je ne peux m'empêche de mater discrètement les queues de mes compères, mais de toujours m'émerveiller devant celle de Romain. Même flasque elle garde une certaine dignité (oui, je sais, vous vous dites "Quoi ? une bite ça peut être digne ?" ce à quoi je répondrai que OUI la sienne l'est. Nah.) bien proportionnée, les couilles rasées mais avec quelques poils bien ajustés au dessus. Un régal pour les yeux.
Nous allons nous sécher, et ça part maintenant en bataille de serviettes : et viens que je te fouette le cul, oh c'est rouge ! viens que je te remouille quand t'es (à peu près) sec, et vas y que… Bref, c'est le bordel. Hey ! on est des ados, vous espériez quoi ? qu'on se comporte comme des anges ? Faut pas rêver, non plus.
Je passe un petit coup de fil à ma mère en sortant pour lui dire que je restais passez la fin de l'après-midi chez Romain, chose que nous avions évoquée cinq minutes avant. Elle me donne bien évidement son accord (pourquoi refuserait-elle ? et puis je lui demandais pas vraiment, je l'informais, d'abord.) et tout contents nous nous dirigeons vers le domicile de mon amant. Sitôt rentrés, les sacs valsent et après les muscles des bras et des jambes, c'est à la langue de se dégourdir…j'ai l'impression de sentir deux dauphins s'amuser ensemble, glissant l'un sous l'autre, tournant, titillant l'autre…Ayant oublié une fraction de seconde le caractère taquin de Romain, lorsqu'il me mordille doucement la langue, je suis un peu surpris, et je recule en prenant mon air de vierge effarouchée, chose qui le fait beaucoup rire. Il me regarde avec ce sourire narquois, et je me venge en lui croquant le bout du nez. Voilà, la bataille et lancée ! les coussins volent, ça se pousse, ça crie, ça rigole, ça se frôle, ça prend des coups…Mais bien vite, il prend l'avantage et je me retrouve par terre, plaqué, mort de rire, essoufflé. Il rigole un bon coup lui aussi avant de rouler à mes côtés. Nous restons, comme ça, un peu, sans bouger. Nous reprenons nos esprits, et notre respiration.
Nous nous sommes rapprochés, et nos mains se frôlent. Je sens qu'il veut dire quelque chose, alors j'attend. Comme je le fais toujours. Et ça ne tarde pas trop :

"Tu sais…je sais pas si je suis "gay", au final…
-C'est à dire ?
-Eh bien dans le sens où je suis amoureux de toi, mais je ne pense pas aimer les hommes…Quand on se douchait là, je regardais les autres et tout, et aucun ne m'attirait, sauf toi…et ne nous mentons pas, y en a des mieux foutus que toi…
-Merci, c'est sympa…dis-je avec une moue boudeuse feinte."

Il se relève sur un coude avant de reprendre:

"Non mais c'est pas ce que je voulais dire ! juste que bah t'es bon vivant, tu bouffes bien, pas ment équilibré qui plus est puis voilà ! mais si tu fais un peu gaffe tu perdras du poids de toute façon, vu le sport que tu fais... Mais ce que je voulais dire c'est que je doute pas de mes sentiments envers toi, mais que je suis pas vraiment "gay" non plus…tu sais, c'est troublant, t'es le seul mec qui m'attire…j'ai regardé des pornos gays, tu vois, et ça m'a pas plu, pas excité…mais quand je repense à toi, quand…on…fait l'amour…là, ça m'excite…je sais pas comment le dire…"

Je ne lui répond pas. Il n'attend pas de réponse. Vous savez, on est tous confrontés un jour ou l'autre à quelqu'un qui vous parle pour vider son sac, mais qui n'attend pas de réponse. Là, c'est le cas. Mais ce qu'il me dit me fait mine de rien chaud au coeur. Je me redresse moi aussi sur un coude, et lui demande :

"Et là, tu as envie de moi ?
-Ca s'discute…dit-il avant de se jeter sur mes lèvres… »


Tout dégénère : les vêtements volent et s'éparpillent, et bientôt nous nous retrouvons tous les deux en sous-vêtements, soufflants, râlants comme de animaux. Il se jette sur mon boxer, l'enlève et engloutit ma verge entre ses lèvres pulpeuses comme un mort de faim…Je gémis doucement et imprime un faible mouvement du bassin. Il me caresse le derrière et je sens un doigt partir en éclaireur de ma caverne…Ca y est, il a trouvé l'entrée, et rentre doucement…putain c'est bon…Je gémis de belle, l'encourageant de mes cris à aller plus loin.

Il sort son deign de mon cul, l'humidifie de sa salive, avant de le replonger dans mon antre…suivi d'un deuxième…J'ondule maintenant du bassin et l'effet est fantastique : ma bite lime ses lèvres et mon cul s'excite sur ses doigts…
Sans me laisser le temps de souffler, sa langue investigatrice glisse de mon pieu à mon anus, qu'il lèche, faisant jouer sa langue, tantôt pointue, tantôt léchante…Je n'en peux plus…c'est trop bon…Il le sent à mes gémissements, à ma respiration saccadée… Il arrête ses attouchements et remonte m'embrasser…A mon tour de m'amuser ! Je le retourne, dos au sol, et descend de ses lèvres à ses tétons, que je lèche, mordille, titille. Lui aussi se met à gémir sous l'effet de ma caresse, et m'encourage à aller plus bas d'un mouvement du bassin. Ne me faisant pas prier, je descend son caleçon au niveau des chevilles, et commence un lent va-et-vient avec ma main sur sa queue, dure comme du béton (armé). Il me regarde, ses yeux me suppliant de le prendre en bouche, ce que je fais, avec un léger sourire sur les lèvres, qui s'efface dès que son gland passe mes lèvres, et je me concentre pour donner le meilleur de moi-même à mon Romain…Ma langue tourne, virevolte autour de sa pine, et je le sens se raidir entre mes lèvres, mais au lieu de le laisser redescendre, je continue, et il explose dans ma bouche dans un râle animal. Je n'avale pas, une idée, comme ça, me surgit dans la tête, et je remonte l'embrasser, lui mettant son sperme dans la bouche. Je le sens un peu surpris, ne s'attendant pas à recevoir sa semence dans la bouche. Il me repousse délicatement en arrière et entreprend de finir son travaille…Quelques aller-retour suffisent à m'envoyer vers le 8ème ciel tellement c'est bon…Sans grande surprise, lui aussi a cette fois gardé mon jus, et nous nous le partageons…
Nous restons allongés, un moment…nous caressant, chuchotant des mots doux, des mots d'amour, remplis de sens…mais je dois partir, ayant promis à ma mère de rentrer avant manger…A regret, je me prépare…Il me fixe, l'air abattu, et quand, sur le seuil de la porte, je m'apprête à partir, il me retourne contre la porte, m'embrasse virilement, presque férocement, comme si ce baiser était le dernier, et me regarde droit dans les yeux :

"Tu vas me manquer…"


Voilà, fin du 5ème chapitre ! Comme vous le voyez, je ne fais pas QUE vous raconter mes parties de jambes en l'air (croyez-moi, c'est plus facile si elles sont en l'air) avec Romain, mais aussi mes loisirs, mes passions, pour tout et n'importe quoi (surtout pour n'importe quoi). Vous pourrez en découvrir plus sur moi, sur lui, sur tout ! (surtout sur tout ! OK, je sors, c'est bon…) Vous pourrez découvrir mes blagues pourries ! Et quelques fois (rarement) des blagues DRÔLES que J'AI faites ! (si, je vous assure que ça existe, woh.) Bref, c'est le moment de nous quitter, bye !

Lio

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