Leslie La27

Laure LA27 – Laure, le journal intime - Alyssa, la copine de Lucie

Voilà maintenant une semaine que Lucie partage mes nuits, elle est devenue mon amante le jour où je l’ai découverte en train de prendre du plaisir avec son amie black.
Bien que Lucie soit devenue mon amante, elle est restée très attachée à Alyssa, son ancienne copine, enfin peut-être pas si ancienne que ça, car elle me parle très souvent d’elle, et n’arrête pas de me raconter en détails les parties de jambes en l’air et les plaisirs qu’elle a eu avec elle.
" Elle est très douée… Elle présente bien et a une classe folle… Qu’est-ce qu’elle est douce et souriante dans les ébats, elle est vraiment jolie et a un corps de rêve… "
Lucie ne tarit pas d’éloges sur cette Alyssa, comme si elle voulait me rendre curieuse et que je la rencontre un jour…
Et qui sait que nous fassions un trio ensemble…

Il y a quelques jours, au moment de se coucher, Lucie est encore occupée à me vanter les innombrables mérites et qualités de cette mystérieuse beauté lorsque, n’y tenant plus, je lui pose soudainement la question sous cette forme :
- Mais, dis-donc, tu es toujours amoureuse de ta copine ou quoi…
- Euh, non, se défends Lucie.
- Elle est si formidable que cela ?
- Laure, ma chérie, cette fille est fantastique, tu sais…
- Oui mais tu commences à me bassiner avec elle !
Mais Lucie continue :
- Elle est vraiment délicieuse et désirable… Et oui, j’avoue avoir encore envie d’elle…
- Tu sais, on pourrait passer un excellent moment tous les trois !
- Mais bien sûr, lui dis-je, en fait tu me propose un trio avec ton ancienne amante !
A cet instant, avec tout ce que m’avait déjà raconté Lucie sur cette Alyssa et son obstination à me la mettre entre nous, j’avoue que j’avais maintenant très envie de voir à quoi elle ressemblait et, surtout ce qu’elle valait au pieu…
- Bon, pour te faire plaisir, on va organiser tout ça, tu n’a qu’à l’inviter à manger un de ces soirs.


- Et après le repas, on lui sortira le grand jeu ?
- Si tu veux…
- T’es ma chérie ! Dis Lucie.
Je dois préciser que Lucie est une amante extraordinaire car elle est toujours très sensuelle et disponible et se donne à fond dans les moments intimes !

Nous avons organisé un petit dîner à la maison, nous avons choisi le samedi soir pour être tout à fait à l’aise et avoir la nuit devant nous, et pourquoi pas encore le lendemain dimanche s’il le fallait !
Lucie a préparé une belle table, je me suis chargée de choisir le repas et les vins chez le meilleur traiteur près de chez moi. Pour créer une ambiance propice à la sensualité, nous avons allumé plein de bougies dans l’appartement, pour donner une ambiance romantique.
Le seul problème qui restait à régler, était comment nous habiller.
Pour moi, j’ai opté pour un côté garçonne, cheveux en chignon, pantalon de flanelle noir et chemise de soie blanche, savamment ouverte sur ma poitrine nue, laissant mes seins libres et bien en vue des regards indiscrets, et tes escarpins à haut-talons. Ah oui, juste un superbe micro string en guipure rouge, orné d'un bijou perle et strass sur chacun des côtés, craquant à souhait.
Pour Lucie, une petite robe noire ras du cou et près du corps et assez courte, à mi-cuisse, suffisamment suggestive pour révéler un peu des cuisses de Lucie à chaque fois qu’elle s’assoira et mettra ses jolies formes, qu’Alyssa connait déjà, en valeur et sexy juste ce qu’il faut ! De fins bas noirs et une petite paire d’escarpins à talons plats pour compléter l’ensemble…
- Laisse-moi la surprise pour les dessous ! Me supplie Lucie.

A vingt heures précises, le carillon retentit enfin, Lucie se précipite vers la porte d’entrée pour accueillir Alyssa et sans complexe, elles s’embrassent sur les lèvres, puis elles viennent vers moi, et Lucie fait les présentations :
- Laure, voici Alyssa, dit-elle triomphalement.
Et le choc est terrible, Alyssa est enfin là, debout devant moi, je ne sais plus quoi dire ni quoi faire tant je suis subjugué par son éclatante beauté…
Jolie, elle l’est assurément, et plus encore que je n’aurais pu l’imaginer, puisque je ne l’ai vue que de dos, nue certes mais de dos.

Plutôt grande, elle a un joli visage des femmes des iles, mangé par une longue chevelure noir de jais, décrêpé, donc parfaitement lisses qui lui tombent jusqu’aux reins en une magnifique cascade ondulée.
Et Alyssa s’approchant de moi, m’embrasse, mais sur les joues cette fois.
Lucie pense tout de suite à la débarrasser et d’un geste, elle retire le long imperméable qui dissimule le reste, nouvelle révélation !
Alyssa a passé un simple chemisier blanc, particulièrement transparent, sous lequel un petit soutien à balconnets n’hésite pas à se montrer ostensiblement.
Ainsi joliment mise en valeur, sa poitrine, pas très volumineuse mais en apparences très bien accrochée, est un véritable appel aux caresses les plus hasardeuses…
Le chemisier, discrètement déboutonné sur le dessus, laisse d’ailleurs entrevoir son cou sur lequel un joli collier de perles nacrées est délicatement posé.
Alyssa semble d’autant plus désirable qu’elle porte aussi une micro - jupe de daim noir, si courte qu’elle découvre déjà la lisière de ses bas rehaussés d’une couture à l’arrière de la jambe…
Ainsi hissée sur de hauts talons aiguilles, elle nous toise de toute sa hauteur, tout à fait à l’aise et visiblement très sûre d’elle.

Toujours sous le charme, je lui dis :
- Bonjour Alyssa, très heureuse de vous recevoir chez nous
Elle a un petit sourire narquois et me répond simplement :
- Je pense qu’au vu de nos futures relations, il serait plus intime de s’embrasser plus intimement, tu ne crois pas, Lucie ?
Puis je la sens, à nouveau, se rapprocher très doucement de moi et déposer ses lèvres sur les miennes pour un baiser chaste mais très sensuel en l’accompagnant d’une discrète caresse sur mon épaule et mon bras…
Nous avons été dévoilés et le ton de la soirée est donné, tout ce qui suivra n’en sera que plus facile, mais avec Lucie nous n’avons pas brusqué les choses…

Après un petit apéritif, nous passons à table.
Les plats se succèdent sans encombre et nous goûtons avec grand plaisir aux excellents vins que le traiteur a sélectionnés pour nous…
Au départ, la conversation n’est pas particulièrement orientée sur l’un ou l’autre sujet.
On parle de tout et de rien, Lucie et Alyssa évoquent leur travail, et parfois leur sorties passées… Puis, petit à petit, au fur et à mesure que nous nous laissons gagner par la douce ivresse des divins breuvages que nous buvons, le ton change peu à peu.
Nullement gênée par la tournure que prennent les choses, Alyssa donne même l’impression d’être de plus en plus concernée par les sujets osés de notre conversation.
On devient alors d’avantage intimistes, on fait référence à des domaines où, l’air de rien, il y a toujours un petit caractère coquin, voire des allusions plus franchement sexuelles…
Alyssa, de plus en plus à l’aise, semble se détendre, un mystérieux éclat de bonheur commence à briller dans ses yeux.

Nous venons de terminer notre repas, et c’est à ce moment que je sens un pied venir me frôler la jambe, et lentement, je le sens remonter plus haut vers mon intimité avec une totale assurance.
La position de Lucie qui vient de rapprocher sa chaise de la table et se laisser quelque peu glisser, me fait comprendre que c’est pour m’atteindre avec plus d’aisance…
Lucie est certainement désireuse de passer à des choses plus concrètes…
Tout à coup, alors que les orteils de Lucie me massent délicieusement la vulve sous la table, les choses deviennent plus sérieuses.
Lors-qu’Alyssa nous demande à brûle-pourpoint :
- Que portez-vous en général comme sous-vêtement ?
- Laure, adore les petits strings en dentelle transparente, répond Lucie.
- Tout à fait, ma chérie, j’avoue que cela me fait beaucoup d’effet de sentir la ficelle qui rentre entre mes fesses, dis-je.
Alyssa ne perd pas une miette de notre discours et je la sens de plus en plus sensibilisée par sujet abordé et dit :
- Moi, tu le sais Lucie, ce qui m’excite le plus, ce sont les culottes ouvertes, j’adore porter des sous-vêtements largement fendus à l’entrejambe, car dans certaines circonstances, quand on est vraiment pressés, c’est plus pratique aussi !
- Oui je le sais, répond Lucie.

- J’en ai sur moi en ce moment, dit Alyssa, et tu pourrais me caresser avec ton autre pied.
Simultanément, nos regards se croisent avec Lucie, car elle a découvert le manège de Lucie, ou bien en a-t-elle été profitée.
La réponse de Lucie ne se fait pas attendre :
- Ayez pitié de moi, et allons plutôt nous aimer confortablement dans un lit !
Avec beaucoup de délicatesse, elle recule sa chaise, se lève de la table et se dirige vers la chambre…

En marchant vers la chambre, ses mains viennent d’agripper sa jupe qu’elle enlève sans la moindre hésitation, dévoilant ainsi son petit cul et nous dévoiler ses magnifiques fesses d’une blancheur laiteuse et immaculée et nues…
Le haut de ses cuisses est barré par les élastiques à dentelle de ses bas autoportants mais, lorsqu’elle se retourne pour nous faire signe de venir, c’est en toute impudeur qu’elle nous montre son pubis glabre de tous poils.
Elle reprend doucement la parole en s’approchant d’Alyssa, pour dire :
- Allez, mes petites cochonnes, venez jouir avec moi !
Sans lui laisser la moindre seconde pour réagir, Alyssa se lève et se précipite sur Lucie, non sans avant avoir ôté sa robe pour nous révéler sa culotte fendue…
Alyssa ne nous a pas menti, la magnifique culotte de dentelle blanche ne dissimule presque rien de son sexe, qui se laisse entrevoir par la fente de la culotte…
Quelle contraste entre le sexe noir d’Alyssa et sa culotte blanche, ce sexe généreusement offert à nos yeux, par une large fente dans le tissu qui traverse tout l’entrejambe depuis le milieu du pubis jusqu’au haut des fesses !

Arrivées dans la chambre, Alyssa se met soudain à genoux devant mon amie et enfouit sans plus attendre son visage dans le bas-ventre de ma compagne et lui susurre :
- Allez, écarte bien les jambes, ma chérie, je vais te manger le minou !
Alyssa est bien plus délurée que je le pensais et la voici qui se replonge à nouveau entre les cuisses de Lucie, qui pour faciliter l’accès de ses trésors à notre saphique compagne, s’assied sur le bord du lit et ouvre ses cuisses au maximum.
Le spectacle est magnifique, le sexe luisant et entrouvert de Lucie apparaît de la manière la plus impudique qui soit et Alyssa y a déjà enfoncé deux doigts pour en écarter un peu plus les grandes lèvres…
- Petite cochonne, je vais te lécher et te doigter la chatte, et tu vas adorer ça ! Souffle Alyssa, car je sais que tu aimes ça.
Bientôt, je n’entends plus que le bruit des mouvements de la langue d’Alyssa dans le coquillage humide de Lucie et les premiers gémissements de plaisir de celle-ci.
Devant me spectacle de ces deux gouines en chaleur, je sens mon sexe s’humidifier et je me dis qu’il serait bien plus agréable de me joindre à elles pour donner et prendre du plaisir…
Alors en m’approchant je commence à me caresser…
Cela n’a pas échappé à Alyssa qui s’écrie aussitôt :
- Oh, la vilaine qui se caresse seule dans son coin… Viens, Lucie, nous allons aider Laure à se masturber convenablement…
Pour être plus à l’aise, je quitte en toute hâte mes vêtements et me retrouve bientôt nue, mes deux amies ayant fait de même, nous nous retrouvons nues sur le lit pour commencer à nous aimer…
Lucie complètement nue, me fait allonger sur le lit et vient se coller contre moi, suivi par Alyssa, et elles commencent à s’occuper de mon corps et de mon intimité…

Alyssa est plus sensuelle, plus délicate et plus perverse encore que Lucie, elle saisit avec sa bouche chacune de mes grandes lèvres et les gobe délicatement avec une infinie douceur et lorsqu’elle les relâche, c’est pour laisser vagabonder sa langue plus loin entre mes jambes, en direction de mon anus !
Je suis aux anges car pendant plus d’un quart d’heure, tour à tour, elles me sucent l’une après l’autre avec leur bouche. Ces deux femelles en chaleur s’en donnent à cœur joie et en profitent pour s’embrasser comme deux folles au-dessus de ma vulve…
Le plaisir m’envahit et je m’entends leur dire :
- Oh oui belles salopes, petites vicieuses, donnez-moi du plaisir…
Alyssa me titille l’anus d’un doigt inquisiteur alors que Lucie s’acharne dur ma poitrine et elles me font gémir en continuant de me lécher la vulve avec ardeur et peu de temps après mon corps se cabre, ma bouche s’ouvre pour exhaler un soupir de jouissance…
Puis je retombe sur le lit, alors que mes amies recommencent à s’embrasser et se caresser…
- Viens ma chérie, dit Alyssa, je vais m’occuper de toi pendant que notre amie se remet de ses émotions et je crois qu’elle aura bien besoin de quelques minutes pour se retaper.
Et c’est en spectatrice que j’assiste à de nouveaux ébats saphiques…
Les deux filles sur le lit, s’inversent immédiatement pour prendre chacune possession de l’entrejambe de l’autre, le spectacle est splendide et bientôt, je ne distingue plus les deux visages profondément enfouis dans l’intimité de leur partenaire…
Lucie souffle déjà très fort et écarte les jambes de manière particulièrement odieuse…
Alyssa, semble plus heureuse et de plus en plus excitée, car elle n’arrête pas de répéter :
- J’adore me faire manger la chatte ! Mais j’aimerais bien me faire bourrer par un bon gode !
Et s’adressant à moi, elle dit :
- Laure, t’as rien à me mettre pendant que Leslie me bouffe la chatte !
Je sais maintenant pourquoi Lucie est accroc à cette gonzesse, c’est une belle cochonne, une véritable salope…
- Attends-moi deux minutes, dis-je, je reviens de suite avec de quoi te satisfaire !
Et je les laisse deux minutes se gouiner, Alyssa au-dessus, le cul cambré et offert…

Je reviens deux minutes plus tard, harnachée d’un splendide gode ceinture, assez long et d’une circonférence plus que respectable ! Et je dis à Alyssa :
- Regarde ce que j’ai pour toi, je crois que tu vas déguster !
Immédiatement, elle cambre encore plus les reins, telle une chienne en attente, écarte généreusement les cuisses et relève fièrement la croupe en disant :
- Viens vite me le mettre au plus profond du con, j’ai besoin de me faire défoncer la chatte !
Comme dans une figure de style qui aurait été répétée cent fois, je m’installe derrière Alyssa et présente le gode à l’entrée de la caverne d’amour de notre amie pour la prendre en levrette.
- Tu es déjà complètement trempée, ça va rentrer comme dans du beurre ! Lui dit Lucie.
Et Alyssa se met à grogner de plaisir au fur et à mesure que l’effrayant mandrin s’enfonce au plus profond de ses chairs intimes…
Je suis moi-même assez stupéfaite de découvrir à quel point elle est large et peut accueillir un tel engin, moi-même je n’ai réussi à me l’enfoncer entièrement alors que je me rends compte que je lui ai entré le gode jusqu’à la garde.
Maintenant Alyssa remue le postérieur comme une vraie possédée…
Elle pousse de forts grognements qui annoncent une jouissance prochaine, d’autant plus que Lucie ne se prive pas pour lui lécher le clitoris…
Définitivement emportée par le plaisir qui lui vrille les entrailles et la font se démener de l’arrière-train, Alyssa se tord de plaisir en hurlant son orgasme.

Maintenant, Laure chérie, tu vas t’occuper de son petit trou de libre ! Me dit Lucie
Alors, aussitôt, je dirige le pal factice vers l’anus d’Alyssa, que je vois frémir de désir.
- Oh oui, Laure, vas-y mets-moi le moi, bourres-moi mon petit cul de salope ! Gémit-elle.
Sans me faire prier d’avantage, je laisse glisser le gland du pal parcourir sa raie fessière et, posé à l’entrée de son étroit couloir et sans le moindre avertissement, je force l’entrée de son petit orifice froncé et m’introduit au plus profond de son cul !
- Waouh ! S’écrie Alyssa.
Et en longs et voluptueux coups de boutoirs, je me mets à la pistonner, le résultat est immédiat et fulgurant, Alyssa tressaille de plaisir, donnant de grands mouvements de bassin et de fesses en ma direction comme pour mieux recevoir le pal qui lui défonce l’anus…
Alyssa va bientôt s’abandonner à son plaisir et se laisser aller à un incroyable orgasme et, dans un dernier soubresaut, elle se tend et se laisse aller à jouir puissamment, en hurlant :
- Ahhh, ma salope, qu’est-ce que tu m’as mis !
Et elle se répand d’une impressionnante coulée de cyprine qui semble sourdre du gode pour suinter de son sexe et dégouliner abondamment à l’intérieur de ses cuisses.

Nous échangerons les positions et nous serons embrocher tour à tour par le pal, puis au milieu de la nuit, toutes les trois, nous restons quelques longues minutes enchevêtrées essayant de calmer nos corps en fusion, mais Alyssa nous dit avec un petit air vicieux :
- J’aimerais qu’on recommence, c’était vraiment trop bon et j’ai encore très envie de jouir !
Franchement, Lucie n’avait pas exagéré, Alyssa est vraiment extraordinaire, une super fille qui aime le sexe…

A suivre…

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