Masturbations À Deux

Tu sais, je me suis branlée tout à l’heure. J’avais brusquement envie d’essayer les godes qu’on a commandé. Je me suis mise nue, mes mains ont caressé les seins longuement, jusqu’à ce que je sois trempée. J’ai caressé la chatte un moment avec seulement mes doigts comme je fais devant toi. Je me suis faite jouir naturellement. Après j’ai sorti sur le lit des deux godes, le plus petit, celui que te destine à mon cul et l’autre le plus gros, plus gros que ta queue.
J’étais tellement prise dans le plaisir que j’ai commencé par le cul. Je me suis mise le petit que j’ai entré complètement comme quand tu m’encule. Je ne sais pas pourquoi ça ne me suffisais pas alors j’ai posé le gros sur l’anus. Heureusement que je l’avais bien mouillé avant. J’ai du pour qu’il entre : j’ai même eu mal. Mais une fois dedans, je me suis sentie remplie de plaisir. Mon Dieu que c’était bon de m’enculer. J’ai joui ainsi une première fois. J’ai voulu essayer les deux à la fois. J’ai enfoncé le plus petit dans mon vagin. Là, j’ai vue les étoiles du paradis.
Pour ma première double pénétration j’ai joui comme une folle. Je crois que j’ai même crié en jouissant la première fois. J’ai laissé en place les deux bites pour reprendre aussitôt après. J’ai eu un orgasme inconnu.
Quand tu me baiseras il faudra que tu invente quelque chose de pire. J’aimerai que tu entre dans mon con avec le petit gode pendant que tu m’enculeras avec le gros.

Ainsi parlait ma femme quand je rentre du travail. Je bande en l’écoutant. Je sors ma queue pour me branler devant elle. Elle fait tomber et mon pantalon et mon slip. Elle laisse ma main m’astiquer pendant qu’elle passe comme souvent un doigt sur mon cul. J’accepte toujours, c’est tellement bon de s’occuper de sa bite pendant qu’elle s’occupe de mes fesses. Le résultat arrive trop vite à mon goût : j’éjacule une partie sur le sol et l’autre sur la robe de ma femme. Plus question de baiser rapidement. Elle en a besoin, lors elle m’entraine dans le chambre : les deux godes sont sur le lit, comme en attente de la suite.

Elle les prend dans ses mains pour me les montrer.
C’est vrai qu’il y a une sacrée différence entre les deux. Je comprends qu’elle a eu mal en enfonçant le gros machin dans son petit trou, elle qui des fois se plaint quand je l’encule trop fort.
Elle a à nouveau envie, surtout de me montrer comme elle a fait. Je ne suis pas très en forme quand elle se recouche, qu’elle écarte bien les jambes, me montre toute sa chatte déjà mouillée. Je connais toute son intimité au point d’en être presque blasé, sauf que maintenant elle passe ses mains entre ses cuisses, les caresse lentement en me regardant dans les yeux. Je regarde sa main qui écarte ses lèvres qui fait ressortir le bouton déjà bien bandé. Elle passe lentement deux doigts sur le clitoris.
Quand je pense que c’est moi qui l’ai à se masturber, puisqu’elle n’osait pas se toucher à son endroit secret, qu’elle ne faisait ça que pour me faire plaisir avant de le faire uniquement pour son propre plaisir pour avoir des orgasme de plus en plus fort.
Actuellement ses deux doigts la font jouir : elle montre ses spasmes pour que je vois qu’elle jouit bien. Elle commence à me faire bander légèrement. Je bande bien quand elle entre le gros gode dans l’anus. Elle s’est bien mouillé le cul avec sa cyprine : je vois entrer assez facilement le gode dans son petit trou qui s’élargi tant qu’il pourrait s’ouvrir. Ma femme ferme les yeux, perdue déjà dans un plaisir que je ne connais pas. Elle fait aller et venir la fausse bite dans son ventre avant de jouir.
Elle garde le gode comme un trésor, elle ne veut pas se dégager. Elle en rajoute au contraire quand elle se baise avec l’autre. Les deux mouvements sont cordonnés : quand un sort, l’autre rentre. Son ventre n’est jamais libre.
Je bande tellement que je voudrais qu’elle enlève un des godes pour me faire de la place. Quand elle entrouvre les yeux elle voit que je bande fortement.
Je commence moi aussi à me branler seul devant elle. Ma main droite entoure ma bite pour faire des allers et venues en m’astiquant.
Nous nous regardons nous branler : c’est excitant de voir ses yeux sur ma bite et les miens sur sa chatte.
- Si tu veux je te suce en me branlant.
- Je te dérangerais, continue, je me finis à la main.
- Jouis sur moi pour que je récupère ton jus.
- Tu es une vraie salope. Si je te proposais de baiser avec deux hommes tu ne demanderais pas mieux.
- Oui, si un me baise et l’autre m’encule, à condition qu’il ait une grosse bite.
- Garce tu aimes jouir.
- C’est bien toi qui m’as tout appris.
C’est vrai qu’elle était vierge quand nous nous sommes rencontrés. C’est vrai que j’étais le premier à la baiser et l’enculer, malgré ses supplique de ne pas la sodomiser. Et maintenant j’ai le résultat sous les yeux : elle se branle avec deux godes.
En plus elle aimerait avoir deux amants à la fois un devant l’autre derrière.
Je la vois se raidir comme un arc : elle se fait jouir encore une fois, devant moi. Quand je sens qu’elle arrive totalement à son orgasme, je vais de plus en plus vite sur ma queue : enfin je jouis. Je dirige le jet sur elle. J’asperge de sperme son ventre et ses seins qui deviennent l’objet de ses soins : elle s’essuie avec sa main, récupère le plus possible de ma semence pour la déguster. Elle suce les deux godes en même temps. Ainsi les goûts de mon sperme, de sa chatte et de son cul se trouvent mélangés dans une sorte de cocktail qu’elle apprécie.
Je me couche à ses cotés : nous nous embrassons profondément : je lui caresse aussi les seins qui sont d’une dureté que je ne connaissais pas. J’ai à ma portée le gros gode, je le prends en main, je le touche : c’est vrai qu’il ressemble comme deux gouttes d’eau à une vraie queue. Pour l’exciter encore je passe le gode entre ses seins : elle apprécie beaucoup.
Je le fais descendre cette fois vers son sexe : elle écarte bien les jambes. Je le lui mets sans douceur dans son con. Je me mets en 69 pour bien voir entrer le gode. C’est vrai qu’il est gros, presque trop, pourtant je le lui mets sans forcer.
Je regarde avec trop d’attention : je bande encore. Placée encore comme elle est elle en profite pour me prendre dans sa bouche. Elle veut puiser à la source ma fécondité. Elle tient ma queue par la base avec une seule main. Sa bouche ouverte m’avale en partie. Sa langue lèche sans arrêt mon gland : elle peut me faire jouir quand elle veut.
Ma main conduit la vitesse du gode : elle s’ouvre encore plus que son cul. Je veux lui donner encore du plaisir : je trouve son bouton que je suce dans mes lèvres. Je ne sais si c’est à cause de ses multiples orgasmes, elle se laisse encore aller vers l’infini plein de plaisirs des baiseuses. Elle oublie même que j’ai ma pine dans sa bouche : elle me mordille. C’est oublier que cette « faveur » me fait toujours partir. Je lâche ma dose de semence qu’elle s’empresse de déguster.
Je sors le gode de son vagin avec un léger bruit de floc. Une main vient encore sur son abricot comme pour le protéger. Après cette séance nous nous endormons comblés qu’au matin où nous remettons ça plusieurs fois. Depuis les deux godes sont utiles pour qu’elle jouisse bien.

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