Georges M'A Sucé

J'ai rencontré Georges dans un cinéma. J'y étais allé pour le sexe. Il m'a donné rendez-vous aux toilettes. Là, il m'a fait grimper sur la cuvette. Il a dénouer la ceinture de mon pantalon et l'a accompagné jusque sur mes chaussures. De ses mains, il a envoyé mon slip le rejoindre. Il a saisi ma bite, l'a agitée un instant puis a passé sa langue un peu partout. Relevant la tête, il dit :
- T'as une belle bite !
Il l'a prise dans sa bouche et m'a sucé jusqu'à l'éjaculation. Nous sommes retournés nous asseoir dans la salle. Il m'a raconté qu'il avait une belle maison, qu'il vivait seul et qu'il aimerait bien me ramener chez lui. Il avait certainement plus de 50 ans. Il n'avait pas l'air dangereux, alors je l'ai suivi.
Ca faisait un bon bout de temps que j'étais seul, et les visites au cinéma commençaient à me peser. On ne savait jamais qui pouvait passer devant ce cinéma et me voir entrer. Je travaillait dans un service public et j'avais peur d'être reconnu. Sans parler des risques. Les maladies. Certains ne voulaient pas utiliser de préservatifs. La violence. J'ai assisté à des actes plus ou moins consentis. Ca ne veut pas dire pour autant que mon aventure était sans risque. Peut-être que quelqu'un m'attendait dehors ou même chez lui. J'avoue que sur le coup, je ne me suis pas méfié.
La porte de sa maison donnait dans une rue quelconque. A l'intérieur, on aurait dit le jardin d'éden. L'appartement était relativement petit. La porte du salon donnait sur un jardin où il avait planté des arbres exotiques et des fleurs. C'était magnifique.
Après la visite, Il s'assit sur une sorte de bergère, et m'attira vers lui. Comme au cinéma, il fit tomber mes vêtements à mes pieds et me repris dans sa bouche. Je ne bandai pas.
- Ca ne te plaît pas, quand je te suces ? Demanda-t-il.
- Si ! Mais c'est pas un stylo, ça ne se recharge pas aussi vite.

Tu m'as vidé, au cinéma !
- Alain, dit-il, c'est mon ancien copain, il pouvait donner trois fois de suite...
- Ben pas moi, répondis-je.
- C'est pas grave, dit-il. Tu vas te reposer un peu et on recommencera tout à l'heure. Après, je te prendrai, ajouta-t-il en pétrissant mes fesses.
Il se leva et me conduisit jusqu'à une chambre. Sur la table de chevet, il y avait la photo d'un maghrébin.
- C'est Alain, dit-il.
- Il t'a quitté ? demandai-je.
- D'une certaine façon, il est mort.
- Il y a longtemps ?
- Ca fait deux ans maintenant ! Bon, tu vas dormir un peu et après on ira manger.
J'allai remonter mes vêtements, quand il me fit asseoir sur le lit. Il me retira mes chaussures, le pantalon et le slip. Sur sa lancée, il retira ma chemise. J'étais à poil.
- Attends ! me dit-il.
Du tiroir de la table de chevet, il sortit une bite en plastique. Pas très grosse.
- Ca va te dilater un peu pour tout à l'heure, retourne-toi !
Je me suis mis sur le ventre.
- Dieu, au ciné, j'ai vu que tu avais de la grâce, en fait, tu es vraiment beau !
Il se pencha vers moi. Je regardai de l'autre côté. J'étais déjà à mon aise, parce que j'adore qu'on me déshabille. Des mains d'homme sur ma peau, ça me fait chavirer. Je suis câlin, j'adore les caresses. Il passa ses mains sur mon cul, puis ses lèvres. Il suivit du doigt, la raie de mes fesses et soupira. Il m'enduit l'anus d'un liquide ou d'une crème, je ne sais pas. Il colla le godemiché sur mon trou et à petits coups, centimètre par centimètre, il le poussa dans mon cul.

Quand le gland fut à l'intérieur, il me branla l'anus avec l'engin, pour faciliter sa progression. Je n'avais pas remarqué, mais la bite en plastique était composée de boules successives, chacune plus grosse que la précédente. Quand une boule était à l'intérieur de mon cul, l'anus se refermait sur elle, l'empêchant de ressortir. Quand elles furent toutes rentrées, je restai couché sur le ventre.
- Je vais te regarder dormir un moment. Quand tu te seras endormi, je me branlerai et je jouirai sur ton dos. T'iras prendre une douche, après !
A mon reveil, il me prit par la main et me fit descendre du lit. Il m'attira vers lui et me colla contre lui. Il me caressa longuement, des épaules jusqu'aux cuisses. Je haletai doucement.
- Je me suis aperçu que tu aimais ça ! Tu es tellement beau que je pourrais te caresser pendant des heures. Pendant que tu dormais, j'ai préparé le repas. Tu aimes le porc ?
- Ouais....
- Tant mieux, parce que Alain était musulman et on ne mangeait jamais de porc. Au fait, moi, c'est Georges. Et toi ?
- Yannick ! Dis-moi, Alain, il est mort de quoi ?
- Du sida ! Je lui ai dit de se protéger, mais il l'a attrapé avant de me rencontrer.
- Et toi, dis-je, inquiet. Tu t'es protégé ?
- C'était trop tard. Et puis, je déteste les capotes !
- Euh..je veux pas dire, mais si t'as l'intention de me baiser, c'est avec une capote ou pas du tout ! Je veux pas mourir, moi !
- C'est pas grave, dit-il. Moi, ta bite me suffit. Si tu as besoin, je peux le faire avec le gode ou avec le doigt. Je veux pas te forcer.

A table, il a voulu que je reste à poil. Il y avait du vin blanc italien et un bourgogne rouge. Le pain, le sel, le poivre, tout était hors de ma portée. Quand je lui en ai demandé, il m'a dit :
- Si tu veux quelque chose, il faudra te lever ! Ca me permettra de lorgner sur ton cul, tu es si beau !
A la fin du repas, il me proposa d'habiter avec lui. Il m'achèterait des vêtements. Il voulait m'habiller en fille, me montrer dans cette tenue à ses amis, éventuellement m'offrir à eux. Il voulait même m'adopter. J'ai commencé à avoir peur. Il m'a pompé encore deux fois dans l'après-midi et je suis rentré chez moi. Il m'avait donné son numéro de téléphone, mais, je n'ai jamais rappelé.

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