Karine Soumise - Séance 1

Le soleil réchauffe ma ville natale, celle qui m'a vu naître, et grandir dans la Somme.
Aurait-elle cru qu'un jour je m'oriente sur cette pente, celle de la soumission ?

Je vous ai connu grâce à internet par le biais d'une petite annonce que j'avais mise, sans vraiment penser que cela aboutirai par des réponses. Plusieurs contacts vont venu à moi, mais je ne sais pourquoi votre message m'a plus touché que les autres, nous avons dialogué ainsi en virtuel pendant un petit moment...
Puis nous avons fixé une date pour notre première rencontre, en réel, le 10 octobre 2012.
Je vous attendais dans le hall de la gare, je me sentais bizarre, j'avais beaucoup d'appréhension. Cette attente me semblait longue...,puis la sonnerie de mon téléphone retentit doucement, celle d'un SMS reçu, c'était Lui. Ce message me dis :
"Je te souhaites une bonne après-midi karine."
c'est curieux mais ces quelques mots ont éveillé en moi une certaine crainte,..., peur de l'avoir pas reconnu et que vexé, il soit reparti.
Quand mes yeux se sont poser sur Vous , je n'osais pas trop Vous regarder , j'ai remarqué votre stature , votre prestance , votre façon de vous mouvoir, de marcher, je Vous observais ...
Vous m'avez tendu votre paume de main, comme pour touché mon visage, mais Vous ne l'avez pas fait, elle s'est approché de mes lèvres, et j'ai compris, je me suis souvenu de votre consigne, je vous embrasse la paume de votre main en signe de respect et de bonjour;
Nous sommes ensuite sorti de la gare pour nous rendre à une terrasse de café non loin de là, nous avons parler pendant 45 minutes, de nos envies personnelles, de nos attentes, de questions intimes, et de nos vies vanille....
Vous m'avez trouvée naturelle, exactement comme dans les mails échanger depuis 3 semaines...,
Puis Vous m’avez posé cette question : "désires-tu me suivre, ou partir et ne plus me revoir?"
j'ai réfléchis à peine quelques secondes, et j'ai répondu je Vous suis .

..
Nous marchons, et nous allons à un hotel tout près de la gare que vous aviez réservé déjà sûr de vous. Je rentre à vos cotés, et nous prenons l'ascenseur.
Là, dans cette espace clos, Vous m'avez acculé contre la parois, vos mains se sont poser sur moi, pour me caresser, le premier contact que nous avons eu, vos mains m'ont caresser le visage, les cheveux,...je sentais la chaleur de vos main sur ma peau, votre corps coller contre le mien.
Ne Vous connaissant pas j'ai aimé ce rapprochement. Les portes s'ouvrent , donnant sur un pallier avec une fenêtre puis un couoir. Vous me dites à ce moment:
"Regarde il y a une belle vue de cette fenetre ", je me retourne donc face à celle-ci pour constater de moi-même, on y voyais seulement les quais de la gare, mais c’était déjà trop tard.
Vous étiez déjà derrière moi, j'ai senti votre corps se coller au mien, et vos mains aller se poser sur mes jambes ,et courir de long de mes cuisses, remontant vers mon intimité sans l’atteindre, en remontant ma jupe. Juste quelques secondes, pour me tester, me faire comprendre que vous pouviez faire ce que vous aviez envie.
Puis nous prenons le couloir , et pour me taquiner, vous me dites :
"quel chemin dois t'on prendre pour aller à la chambre,", je le regarde et souris, je dis une direction : c'est la bonne !
Là nous sommes devant la porte, et je me moque de Vous, car Vous ne trouvez pas le badge pour y entrée, puis la main se pose dessus, et la porte s'ouvre.
La porte se referme. je sens mon coeur qui s'emballe dans ma poitrine, je comprends à ce moment que je ne peux plus m’enfuir, la crainte me remplis quelques secondes, ....
J'avance jusqu'au niveau de la table, Vous approcher de moi, et me défaite mon manteau pour le poser sur la chaise, comme un gentleman, j'en profite pour me déplacer dans la chambre, j'approche le lit, je suis juste à coté.
Là sans prévenir Vous m'allonger par la force dessus, je commence à comprendre, comprendre que je vais passer de "l'autre coté du miroir", et que le fantasme présent en moi depuis très longtemps va prendre forme, se concrétiser.
..
Je croise votre regard, j'y vois et j'y lis de la sévérité, votre regard a changé par rapport à l'entretien que nous avions eu au café. Vous devenez autre, dominant.
Vous au dessus de moi, m'empechant de faire le moindre mouvement, votre main me caresse la jambe, remonte sous ma jupe pour me faire comprendre que vous faites ce que vous avez envie, pendant que l'autre maintient mes mains au dessus de ma tête.
Cela a reveillé mon coté rebelle et juste à ce moment précis, je me suis dit que jamais Vous n'auriez le dessus sur moi !!
Pourtant, je ne sais comment, vous arrivez sans me lacher à saisir votre sac, ou de l'intérieur Vous avez sortie des bracelets en cuirs, je me débats contre vous, Vous arrivez quand même à me les mettre malgré ma résistance, et je me retrouve les mains attachées dans le dos. puis vous placez un bandeau sur les yeux qui vient me priver de la vue.
Vous avez ensuite remonté ma jupe au niveau de mon ventre. je m'expose ainsi à votre regard, celui d'un complet inconnu, laissant voir ma chatte.
Je me sens si mal dans cette posture, si honteuse, et vos mots prononcés m'humilient. cette phrase disant:
"Tu es maintenant ma petite salope"
Puis Vous me lever, pour m'emmener, toujours contre moi, essayant de reculer pendant que vous me poussez, de Vous résistez, Vous aggripez mes cheveux, me guidant vers le vestiaire. Mon bandeau tombe. Vous me mettez face à la barre qui sers normalement pour y accrocher les vêtements, les bracelets de cuirs que je porte viennent s'accrocher à des attaches qui se trouve déjà en place (vous prévoyez tout et cela m’agace).
Puis vous me placez des bracelets en cuir à mes chevilles, ainsi qu’une barre entre mes chevilles, une autre entre mes genoux, m'empêchant ainsi de refermer mes jambes, et mes cuisses, vous laissant libre accès à mon intimité,
Je me débats contre ces liens, la barre est très gênante et fais mal quand j'essaye de refermer mes cuisses, car à ces extrémités se trouve des petits pics en bois qui dépasse,
Cette situation m'excite aussi je l'avoue, car me rebeller contre vos envies, me fait mouiller.

Vos mains me farfouillent partout , contre ma volonté, je me cambre, me baisse le plus que je peux tirant sur mes bras attachés pour vous résistez...
Vous me faites remarques que je mouilles, que la situation m’excite. J’ai si honte. j'ai une envie furieuse de me libérer, de m’enfuir, de fuir vos mains qui sont inquisitrices.
Puis vous décidez de me dévetir défaire le t.chirt moulant que je porte, Vous le remonter le long de mes bras jusqu'à mes poignets, puis vos mains s'affairent à défaires les agraphes de mon soutien gorge, pendant que je me tortille dans tous les sens pour vous rendre la tache plus difficile...
Et là , ô mon dieu, c'est pire je me retrouve nue totalement devant vous, je me sens salie, humiliée comme jamais.
Vous me dites : "Tu as de très beaux seins, ils avaient besoin de respirer "
Vous les avez caressés, puis serrés l'un contre l'autre, titillés mes tétons avec vos doigts, selon votre envie, Votre corps coller contre mon dos, absorbant les contre-coups de mon corps résistant,
"Pitié Monsieur, je vous en supplie, arretez" ,
Mais je suis à votre merci, sans recours, nue.
Enfin vos mains viennent me détacher, je suis haletante, fatiguée d'avoir tant lutter contre ces attaches,
Vous me guidez vers le lit, puis Vos fesses viennent se poser sur le bord du lit, Puis toujours par la force Vous me faite mettre à genoux puis à quatre pattes, en tirant sur mes cheveux, Vous me demandez de bien remonter mon culs, en me cambrant, d'écarté les cuisses, je résiste encore , refuse, ce qui me vaux en retour de tirer encore plus les cheveux, pour que je cède à vos demandes, et des fessées viennent aussi accompagner ma rébellion, je cède,....
Et Là l'humiliation continue de plus belle, Vous me touchez la chatte, à l'intérieur vos doigts s'immiscent,puis des cercles se forme sur mon clitoris par vos caresses, (et là ou c'est humiliant, affreux, c'est que Vous savez que j'ai mes règles et que je porte des tampons )
Je Vous Hais !! d'avoir osé me toucher l'intérieur de ma chatte, la fouillant de vos doigts partout dedans,
Je me sens très très très sale, honteuse comme jamais, dégradée, humilier.
.. et cela Vous me le faites à plusieurs reprises...
Allonger sur le lit sur le dos, je lutte contre Vous , comme si ma vie en dépendait.
Vos caresses, vos baisers, votre tendresse, que je sens envers moi dans ces gestes, me donne envies de m’abandonner, de plus en plus, mais je voulais Vous montrez que je Vous hais pour cela pour toutes ces humiliations subies, c'est une lutte interne, et si difficile, je sens mes forces m'abandonner,
je m'abandonne petit à petit à Vous mon Maitre, et c'est une humiliation de plus pour moi... mais vos mains me prodiguent de savantes caresses et je sens mon plaisir monter puis m’envahir.
Quand je retrouver mes esprits, j'ai envie de me soulager, et surtout aussi de changer mon tampons, de me laver de toute cette souillure subis par les attouchements.
je vais donc dans la salle de bains, mais juste avant, mon Maitre me donne un ordre ::
"tu laisses la porte ouverte", je le regarde me demandant s'il plaisante, il est debout pas loin de la salle de bains...
je me dirige vers cette dernière, et très vite je claque la porte qui me cache de son regard inquisiteur, et me soulage dans l'intimité, puis me nettoies un peu pour me changer..., je me regarde dans le miroir, et je me sens un peu plus propre...

Mon Maitre n'a pas l'air très content mais je dois m'avouer que je suis heureuse de Lui avoir joué ce coup tordu et d'être victorieuse, mais cela ne dur pas longtemps cette victoire....,
Il me dis nous allons aller diner , il se rhabille; je décide donc de faire de même;...
je cherche mon soutien gorge, mais ne le trouve nul part, je demande à Mon Maitre qui sourit très fier de Lui,
"Pour te punir d'avoir fermé la porte, et de n'avoir pas respecter mon ordre "
Il l’a caché, je souris nerveusement, non, je cherche partout mais ne le trouve pas, cela m'agace,..,je fini par m'habiller mais je ne porte ni soutien gorge , ni culotte.
Nous sortons ainsi, vous me touchez dans l’ascenseur, remontant la jupe, les portes s'ouvrent sur le hall d'entrée de l'hotel, je me rhabille juste à temps avant que le concierge ne nous voyant pas sortir s’approche de l"ascenceur. Quel honte..!!, habillée ainsi, sans soutien gorge malgré ma poitrine opulente, je me sens dégradée, j'ai l'impression très forte "d'être une petite pute", que tout les regards se tournent vers moi, ce qui amuse très fortement mon Maitre pendant tout le trajet jusqu'au resto....
Et Je Vous déteste encore mille fois plus, j'ai envie de Vous mordre, de me révolter contre Vous, mais dehors je ne peux que prendre sur moi, pour ne pas me faire remarquer encore plus.
Dans le resto , nous passons un moment agréable, de complicité, de caresses sur les mains, sur les avant bras, nous parlons de différents sujet, je me sens toutefois gênée par rapport aux voisins car le t.chirt est collant et j'ai peur qu'il vois ce qui se passe, mon Maitre se lève, pour aller payer la note, s'arrête à ma hauteur, puis sa main glisse sur mes seins, je le supplis d'arreter, il fait redresser mes tétons, les pince aussi un peu pour qu'ils soit bien dur, ils pointent sous mon vêtement. Une des femmes de la table d’a coté a vu son manège et sourit. J’ai si honte. Mon Maitre me prends mon manteau se retourne et me dis de le suivre,
Je me lève , mais je suis honteuse de voir comment mes seins pointent, tout le monde va le voir...
j'arrive près du bar où vous payez le resto, et je vous demande de me donner le manteau, mais vous refuser, prenant votre temps et ne me le donnant que juste avant de sortir, je me cache comme je peux avec mes bras ,et mains. Je voulais me faire toute petite...
Dans les rues, vos mains viennent jouer avec mon corps, heureusement peu de passants à cette heure ci.... On croise un couple qui nous demande l’heure, vous en profitez pour me glisser une main sous la jupe. Je vous déteste.
De retour dans la chambre, Vous me faites l'amour , toujours en étant directif, Dominant, et j'ai adoré être à vous ainsi, de me sentir Dominée, de Vous appartenir, ......
Je décide d'aller prendre une douche, et là Vous me suivez et c'est très gênant, au début pour moi, puisque Vous me lavez, me câliner, je n'ai vraiment pas l'habitude de cela, que l'on me lave...., que l'on prenne soin de moi ainsi......
Je prends cela pour une récompense de votre part.
Cette première séance avec vous a été une révélation. Je vous appelle déjà Maitre. J’ai compris que j’avais besoin de me rebeller pour enfin m’abandonner et prendre enfin du plaisir. Vous avez joué de mes sens, du regard des autres sur moi. Vous m’avez humiliée. Et pourtant, j’ai déjà envie de vous revoir.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!