Anna (1)

Il est dans les deux heures du matin. Je ne sais pas. Je m’en fous. Je tourne et retourne dans ma tête ce qui s’est passé au début de l’été dernier avec la fille que j’aimais… enfin ce qu’il s’est passé est beaucoup dire car il ne s’est littéralement rien passé justement. Bref. Maintenant que j’ai changé de lycée, que le temps m’a porté sans trop de heurts jusqu’en Octobre, je peux me projeter. Il y a bien quelque chose qui me tente avec Anna mais je ne sais comment m’y prendre. Je sais qu’elle est très sexe, qu’elle n’hésite pas à aller chez des garçons sur des coups de tête pour faire des cochonneries mais je sais aussi qu’elle est vierge (et moi aussi d’ailleurs). En ce qui me concerne, je ne suis pas intéressé par ses mains ou sa bouche non… c’est son sexe que je veux, son être entier dans le fond. Elle est exactement le type qui me plaît : d’épais cheveux bruns qui pourront défier mes longs cheveux blonds sur un oreiller, une taille prononcé, un corps allongé et élégant et de grands yeux sombres qui s’ouvrent et se ferment comme des lanternes noires sur un visage très claire. Elle a les seins prononcés et charnus et des fesses d’une taille idéale : épaisses mais pas assez pour enlever sa grâce à sa démarche. Anna n’est pas un canon, elle n’attire pas le regard des mâles en rut du lycée, mais c’est moins parce qu’elle n’en vaut pas le coup que parce qu’ils ne savent pas regarder une femme autrement qu’une actrice porno.
Ainsi donc, apprenant qu’elle est allée tailler une pipe à un bon ami à moi, et ne pouvant que difficilement ignorer l’évènement en raison de sa portée au niveau de mon amour propre, je me décide à conquérir Anna au sens le plus étendu du terme, c’est-à-dire de me la faire pour parler jeune. J’engage la discussion par messages et lui fait des avances claires. Nous convenons de nous retrouver chez elles pour regarder un film le weekend suivant. La semaine passe avec son lot de tracas et d’érections à m’en déchirer le pantalon jusqu’au samedi après-midi.

En arrivant chez elle, je tremble un peu. Elle a l’air sereine mais je pense qu’elle cache son jeu. Je pense que je lui plais vraiment, pour accepter au débotté que je vienne chez elle, il faut qu’elle veuille un peu plus de moi que ma simple queue. Un quart d’heure de film s’écoule doucement pendant que nous nous faisons des papouilles en sirotant un verre de blanc (peut-être pas qu’un seul je ne me souviens pas haha) et en s’embrassant relativement sagement. Ce temps là écoulé et le divin alcool aidant, je me lance à l’assaut de son soutien-gorge. Le bras entourant son épaule, je passe sur sa clavicule pour me plonger dans son haut et glisser dans le bonnet ; je mets ma main autour de son sein, le pressant doucement, agaçant son téton que je n’ai jamais vu entre mon pouce et mon index. Elle tourne la tête vers moi et me sourit, visiblement étonné que j’aille si vite. Je pense qu’elle me croit timide, mais elle sourit, me donnant le feu vert pour la suite. Alors, je glisse l’autre main contre son corps pour la placer devant moi dans le canapé, le bas du dos contre mon entre jambe qui s’érige avec vigueur. Dégrafant son soutien-gorge, j’ai maintenant le plein loisir de ses seins offerts, dont je sens la tension augmenter. N’écoutant que mon sexe qui hurle de désir, je descends les mains le long du ventre d’Anna, entre les boutons ouverts de son chemisier. Voilà le bouton de son jean ouvert, sa culotte apparait, et derrière le fin tissu blanc, une toison épaisse et brune marque triomphante de sa féminité dont je prends possession. Je glisse deux doigts plus avant entre ses jambes et trouve la chaleur de son sexe, humide, tendu, gonflé. J’entre doucement un doigt dans sa chatte et je sens immédiatement sa main se refermer avec force sur mon bras gauche tendu. Mon bras droit s’active sur ses seins, alors qu’elle se retourne pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue semble vouloir pénétrer ma bouche autant que ma bite veut pénétrer son sexe.
Elle retire son pantalon d’un geste souple.
Avec s’envole sa culotte. Je fais de même, laissant libre le glaive de 16 centimètres qui se dresse au-dessus de mes couilles. En le voyant, elle a un sourire gourmand. Elle se penche pour me sucer mais je lui att la tête, l’embrasse, et lui dit que c’est sa chatte que je veux. Maintenant que je la vois (Anna est à genoux sur mes genoux, les seins à hauteur de mon visage) je peux détailler cette chatte que je désire tant du regard. Elle a les lèvres discrètes, comme un col moelleux menant à l’entrée de son vagin. Si son pubis est couvert d’une toison de poils noirs, son sexe est épilé tout autour des lèvres et au-dessus du clitoris. Son bouton est petit, discret, élégant et raffiné. Sa chatte longue et élégante semble m’appeler. Je n’en peux plus je veux la prendre. Je saisis ma bite, et la présente à la porte de son corps, attendant un signal d’approbation de la créature qui m’embrasse. Elle pousse sa langue encore plus profond dans ma bouche, je décide de rendre pénétration pour pénétration. J’appuie donc sur ses hanches pour l’asseoir sur mon sexe et la pénétrer doucement, mais sur toute la longueur de mon arme. Elle gémit sourdement, me mord la langue, puis commence à marquer un rythme souple et régulier sur ma bite. Elle enfonce ma tête entre ses seins, je lui lèche toute la poitrine en me concentrant sur ses aréoles brunes et ses tétons tendus. Mes mains empoignent ses fesses qui tiennent fermes et douces comme des coussins de chair. Sa chatte est l’endroit le plus merveilleux du monde. Elle enveloppe ma bite de sa douceur, de sa chaleur et de son humidité. Je sens sa mouille qui coule le long de ma bite, dans la forêt de poils dorés qui la surplombe et sur mes bourses. Sa main justement vient saisir mes bourses pour les masser avec énergie.
Après quelques minutes de rêve à ce régime, elle se dégage pour que nous changions de position. 0 la faveur d’un éclat de lumière venant de la télé (le film tourne toujours), je vois que ma bite et mes poils sont recouverts de son hymen.
Cela me comble d’excitation. Je la possède jusque dans sa chair à vif. Elle se met à quatre pattes sur le canapé, offrant sa chatte et son cul à mon désir. Je rentre d’un coup dans sa chatte dont je commence à connaitre le chemin. Elle est trempée. Tout en la pénétrant sans retenue, j’offre à sa bouche mes doigts couverts de sa mouille et du jus de mon sexe. Elle gémit continuellement. Inspiré par mon délire d’excitation, j’att mon pantalon sans m’arrêter, j’en retire la ceinture, et lui enserre le cou de cuir noir, dont je tiens le bout comme une laisse. Nous continuons ainsi, en levrette pendant encore quelques minutes que je ne saurai compter. Je sens progressivement la pression exercée par sa chatte sur ma bite augmenter. Elle gémit moins mais plus fort, elle va jouir. Son orgasme arrive pendant que je redouble d’efforts pour la pilonner. Cela m’approche de venir. Une fois son plaisir calmé, elle se retourne, écarte les jambes et offre sa chatte en missionnaire. Je me mets sur elle et relance les va et viens profonds, réguliers dans sa chatte. Je l’embrasse, elle me tient des fesses, j’adore cette sensation : elle me veut en elle et pousse min sexe dans sa chatte. Je finis par jouir en longs jets de sperme dans son ventre avant de m’écrouler sur son corps, la face contre ses seins et le sexe baignant dans un mélange divin de nos fluides.
A suivre…

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